Un documentaire réalisé par un collectif palestino-israélien de quatre jeunes militants 27 mars 2025

Jeudi 27 mars 2025 à 20h30 – NO OTHER LAND, primé aux Oscars comme « meilleurs documentaire 2025 », couronné à la Berlinale 2024 et aux European Film Awards, sera projeté au cinéma Trianon de la ville de Sceaux. Cette projection sera organisée autour d’une rencontre avec la section locale de la LDH, Amnesty International et CCFD Terre Solidaire.


Depuis plus de 5 ans, Basel Adra, un activiste palestinien en Cisjordanie, filme l’expulsion de sa communauté par l’occupation israélienne qui détruit progressivement les villages et chasse ses habitants. Il rencontre Yuval, un journaliste israélien, qui le soutient dans ses démarches. Une amitié inattendue voit le jour. Ce film réalisé par un collectif palestino-israélien de quatre jeunes militants a été réalisé comme un acte de résistance créative sur la voie d’une plus grande justice.

De gauche à droite

BASEL ADRA est un avocat, journaliste et réalisateur palestinien originaire de Masafer Yatta. Il est militant et documentariste depuis l’âge de 15 ans, luttant contre l’expulsion massive de sa communauté par Israël. (1er )

YUVAL ABRAHAM est un cinéaste israélien et un journaliste d’investigation de Jérusalem. (2e)

HAMDAN BALLAL est un photographe, cinéaste et agriculteur palestinien originaire de Susya. Il a travaillé comme chercheur pour plusieurs groupes de défense des droits de l’homme qui luttent contre l’occupation. (3e )

RACHEL SZOR, est une directrice de la photographie, monteuse et réalisatrice israélienne originaire de Jérusalem. (4ème)

Le groupe d’activistes et de cinéastes palestiniens et israéliens a réalisé ce film avec l’intention de mettre fin à l’expulsion de la communauté de Masafer Yatta et de résister à l’apartheid dans laquelle ils sont nés. Entourés par une réalité de plus en plus effrayante, violente et oppressive, ils ont réalisé ce film qui est une proposition pour les Israéliens et les Palestiniens de vivre sur cette terre en pleine égalité.

Projection d’un petit « Making of »

La projection sera précédée d’une courte vidéo tournée par les réalisateurs du film pour en montrer la construction.

Rencontre avec les associations à partir de 20h avant et après le docu

La projection sera suivie d’un débat en présence de :
– Christine Triboulot – CCFD-Terre Solidaire
– Martine Brizemur – Amnesty International

Ressources

Site du distributeur

Dossier de presse

Bande d’annonce

Rencontre avec Olivier Mannoni – 19 mars 2025

Rencontre avec Olivier Mannoni mercredi 19 mars 2025 à 19h00 à Antony salle François Molé, place Devedjian – Réservation conseillée auprès de la librairie La Passerelle ou sur le site de l’événement

La LDH et la librairie La Passerelle à Antony s’associent pour inviter Olivier Mannoni le 19 mars 2025. Olivier Mannoni est traducteur de l’allemand. Il a consacré dix années à la traduction de Mein Kampf : Historiciser le mal : une édition critique de Mein Kampf. A partir de cette expérience, il a écrit « Traduire Hitler » et « Coulée brune Comment le fascisme inonde notre langue ». Dans ces deux essais, il alerte sur la dégradation du langage politique qui menace notre démocratie actuelle, tout comme elle avait concouru à l’arrivée au pouvoir des nazis en Allemagne.

Ressources

Ciné-débat autour du film iranien « No Land’s Song »

Jeudi 13 mars 2025 à 19H – CAEL – Espace Joséphine Baker – 11, rue des Rosiers – Bourg-la-Reine – Entrée libre

Dans le cadre de la semaine internationale pour les droits des femmes, en solidarité avec les femmes iraniennes, les sections locales de la Ligue des droits de l’Homme, d’Amnesty International et l’association ADS organisent une projection débat autour du film No Land’s Song.

No Land’s Song est un film iranien, réalisé par Ayat Najafi et sorti en 2014. En Iran, depuis la révolution de 1979, les femmes n’ont plus le droit de chanter en public en tant que solistes. Une jeune compositrice, Sara Najafi, avec l’aide de trois artistes venues de France, Élise Caron, Jeanne Cherhal et Emel Mathlouthi, va braver censure et tabous pour tenter d’organiser un concert de chanteuses solo. Le film suit le processus d’organisation d’un concert à Téhéran, questionnant de front le système de la censure, face à la caméra.

Après la création du mouvement Femme, Vie, Liberté en 2022, ce film est plus que jamais d’actualité. Son propos permettra d’explorer lors du débat après la projection, la situation actuelle des droits des femmes en Iran et la notion d’apartheid de genre.

Porter les voix des femmes iraniennes…

Ce débat, qui sera suivi d’un échange avec la salle, se déroulera avec la participation de :

  • Chirinne Ardakani, présidente de l’association Iran Justice, avocate
  • Ayat Najafi, réalisateur du film No land’s song (sous réserve)
  • Behi Djanati Atai, actrice (sous réserve)

Chirinne Ardakani est avocate et défend notamment les dissidents politiques à travers le monde. Elle a ainsi défendu la militante féministe et anti-peine de mort Narges Mohammadi, prix Nobel de la paix 2023, ainsi que des otages arbitrairement détenus par les régimes autoritaires. En septembre 2022, en réaction au meurtre de Jina Mahsa Amini, jeune femme kurde iranienne, par la police des mœurs iranienne, elle fonde l’association Iran Justice. Rassemblant avocats, juristes et militants des droits de l’homme, le collectif inventorie, documente et qualifie les exactions du régime iranien dans l’objectif de traduire, un jour, ses auteurs en justice, pour que cesse l’impunité des crimes d’État en Iran.

…Pour dénoncer l’apartheid de genre

Iran Justice plaide pour la reconnaissance internationale et la criminalisation de l’apartheid de genre afin d’en finir avec la ségrégation légale et les persécutions qui sévissent dans certains États du monde en raison du genre ou de l’orientation sexuelle. 

Selon Chirinne Ardakani, « l’apartheid de genre est une notion qui a été théorisée par les Iraniennes en fonction de leur vécu, et des Afghanes, qui dénoncent un système normatif qui infériorise juridiquement les femmes, qui postule qu’elles sont inférieures, que ce sont des citoyennes de seconde zone en Iran, en Afghanistan, qu’elles sont interdites d’un certain nombre d’emplois publics, qu’elles ne peuvent pas bénéficier des mêmes droits que les hommes. Elles sont désavantagées dans les règles de la filiation, elles ne peuvent pas se vêtir comme elles l’entendent, mais elles ont également un certain nombre d’interdictions d’ordre politique et d’ordre moral« .

Ayat Najafi est un réalisateur, documentariste, scénariste et producteur de films iranien. Son film documentaire No Land’s Song a reçu une vingtaine de prix lors de sa sortie. Il est aussi connu pour les films Football Under Cover (2008) and Nothing Has Ever Happened Here (2016).

Behi Djanati Atai est une comédienne franco-iranienne engagée depuis le mouvement vert en 2009 pour aider les Iraniennes et Iraniens et en exil. Elle a joué dans de nombreuses productions de films liés au thème de l’exil ou de la situation en Iran comme Pour un instant la liberté de Arash Riahi en 2007 et tout récemment dans Green Border d’Agnezka Holland où elle joue une femme afghane en exil.

Les échanges se poursuivront autour d’un pot. Nous vous attendons très nombreux !

Ressources

  • Chirinne Ardakani. Des Iraniennes. Femme, vie, liberté, 1979-2024 .- Éditions des Femmes-Antoinette Fouque. Septembre 2024.

En mars 2024, un ciné débat autour du film Afghanes avait été organisé par le même collectif d’associations.

Rencontre avec les collégiennes et collégiens d’Antony

Notre section locale a noué depuis 2015 un partenariat avec le collège Henri-Georges Adam et ses enseignants, à Antony. La LDH intervient chaque année, dans le cadre de la semaine de la fraternité et de la sororité, organisée par l’équipe éducative du collège, pour réaliser des animations dans les classes de 5e et 6e afin de sensibiliser les élèves aux droits humains.

Cette année 2025, au mois de février, la section de la LDH est intervenue pendant deux après-midis dans plusieurs classes du collège.

Une première série d’interventions a permis d’échanger, à partir de cas concrets, avec les élèves de 6e sur les droits des enfants et plus particulièrement la Convention internationale des droits de l’enfant (CIDE). Une deuxième intervention a donné l’occasion, après avoir visionné la vidéo Handi’clip, réalisée par des collégiens, de débattre avec les élèves de 5e autour des difficultés rencontrées par des personnes en situation de handicap. Puis de leur présenter la Convention internationale relative aux droits des personnes handicapées (CIDPH).

L’objectif de ces animations, à la fois ludiques et adaptées aux niveaux des élèves de 5e et 6e, consiste à leur faire prendre conscience de l’existence et de l’importance des droits, de leur mise en œuvre effective et du rôle de la justice en France et dans le monde.

Comme les années précédentes, les débats furent riches plus particulièrement autour des questions de discrimination et d’égalité fille-garçon.

© Image issue de l’Handi’clip réalisé par les élèves du collège Octave Mirbeau de Trévières

Voir le Handi’clip

Recensement INSEE : Ne répondez pas à la question sur les origines de vos parents

Notre section relaie l’appel national de la LDH, ainsi que celui de quatre syndicats et associations (CGT, FSU, Solidaires, MRAP) qui demandent aux habitants de ne pas renseigner une nouvelle question sur les origines de leurs parents, lors du recensement en cours.

La LDH considère qu’aucune politique publique ne justifie que l’origine immigrée de nos parents soit collectée dans notre bulletin individuel. Cette question et sa réponse présentent beaucoup de dangers.
Dans le questionnaire sur Internet et sur la version en papier, il est bien indiqué que la réponse à cette question est facultative. Il n’existe donc aucune obligation de répondre à cette question.

N’hésitez pas à en parler autour de vous pour alerter vos amis et connaissance à ce sujet.

Pour en savoir plus, vous pouvez lire la tribune parue sur le site de la LDH le
12 janvier 2025 et signer la pétition.

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Galette des droits – 26 janvier 2025

Nous vous invitons à partager la Galette des droits en présence de Malik Salemkour, président d’honneur de la LDH. Dimanche 26 janvier 2025 à partir de 10h30, salle François Molé à Antony.

Meilleurs vœux à toutes et tous pour l’année 2025.

Notre section Antony / Bourg-la-Reine / Sceaux reste mobilisée pour le respect des droits et libertés et espère que vous serez nombreuses et nombreux à ses côtés.

Malik Salemkour,
ancien président de la LDH,
membre du groupe « Lutte contre les extrêmes droites ».

Mobilisation le 14 décembre 2024 pour défendre la protection et les droits des travailleurs migrants

A l’occasion de la Journée internationale des migrants, faisons entendre toutes nos voix pour défendre le respect de la protection et des droits des travailleurs migrants, de leurs familles et des personnes exilées .

Visuel manifestation 14 décembre 2024

Nous ne voulons pas d’une société raciste. Nous voulons pour nos voisin-e-s, collègues de bureau, d’atelier, nos camarades d’amphi, pour notre médecin, notre boulanger-e, pour la copine ou le copain de classe de nos filles, de nos garçons… une réelle égalité des droits.

Nous vivons ensemble, et ne concevons pas la société autrement que dans le respect de ce qui nous lie. La fraternité est aux côtés de la liberté et de l’égalité sur le fronton de nos édifices publics. Ces grands principes doivent se traduire par l’accès effectif à tous les droits, pour toutes et tous ; par l’accueil et la valorisation de la diversité qui fait la richesse de notre pays, de tout pays ; par le développement des solidarités pour et avec celles et ceux qui en ont besoin (…).

Lire la suite sur le site de la LDH

Cet appel à l’initiative de la Ligue des droits de l’Homme (LDH) a été signé par des associations, des collectifs et des syndicats : Amnesty International France, Attac France, Centre de recherche et d’information pour le développement (Crid), La Cimade, Confédération générale du travail (CGT), Emmaüs France, Fédération syndicale unitaire (FSU), Femmes Egalité, Groupe accueil et solidarité (Gas), Intercollectif de sans-papiers, Médecins du monde, Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples (Mrap), Oxfam France, SOS Racisme, Syndicat des avocats de France (Saf), Syndicat de la magistrature (SM), Union syndicale Solidaires, Utopia 56.

Consulter la liste complète des signataires

Justice et théâtre – La pièce « LEVIATHAN » dénonce les conséquences des comparutions immédiates

La pièce Léviathan, mise en scène par Lorraine de Sagazan et co-écrite avec Guillaume Poix est le fruit de nombreuses rencontres avec avocats, magistrats, victimes et détenus. Léviathan s’intéresse ainsi aux lacunes de la justice institutionnelle et témoigne des difficultés que ressentent autant les justiciables que le personnel judiciaire. La pièce plonge le spectateur au cœur des failles du système judiciaire français en explorant les procédures de comparution immédiate.

Qu’est-ce que la comparution immédiate ?

La comparution immédiate est une procédure simplifiée qui dure en moyenne vingt minutes. Elle a pour but de juger l’auteur présumé d’une infraction à sa sortie de garde à vue. Critiquée pour son caractère précipité, elle est de plus en plus répandue et favorise largement l’incarcération. 70 % des peines prononcées sont des peines de prison ferme au détriment d’alternatives réparatrices ou transformatrices. En comparution immédiate, l’ordre juridique ne fonctionne pas comme une instance d’intégration et d’organisation collective. Il s’inscrit dans les conflits politiques et reproduit des rapports de forces. Cette justice expéditive, souvent qualifiée de rapide et brutale, révèle les inégalités structurelles et les dérives d’un système qui laisse peu de place à une défense équitable. Ce processus, présenté comme une solution d’efficacité, est en réalité un révélateur des tensions et des injustices qui traversent notre société.

Repenser la justice

La pièce Léviathan interroge la légitimité de nos institutions judiciaires. Elle propose une réflexion sur des modèles alternatifs, inspirés par la justice transformatrice. À travers la figure biblique du Léviathan, symbole d’un pouvoir régulateur mais oppressif, la pièce interroge la nature même de la justice :

  • La justice est-elle réellement équitable ?
  • Comment prendre en compte les besoins des victimes et des accusés dans ce processus ?
  • Peut-on imaginer un système judiciaire inclusif et humain ?

11 décembre 2024 : un rendez-vous à ne pas manquer !

À l’issue de la représentation du 11 décembre 2024 au théâtre L’Azimut à Châtenay-Malabry, un bord de plateau est organisé avec Arié Alimi, avocat et vice-président de la Ligue des Droits de l’Homme (LDH). L’occasion d’échanger sur les dérives des comparutions immédiates et les effets destructeurs d’une justice centrée sur la punition. L’occasion de questionner ensemble le système judiciaire français, ses limites et ses possibles évolutions. C’est un appel à envisager une justice plus juste, où l’humanité, la réparation et l’équité remplacent l’exclusion et la brutalité.

Venez nombreux échanger et débattre !

Ressources pour en savoir plus

« Quel avenir pour les libertés associatives ? » Soirée-débat à Antony le 10 décembre 2024

A l’occasion de la Journée internationale des droits de l’Homme, la LDH d’Antony/Bourg-la-Reine/Sceaux organise une soirée-débat sur le thème des libertés associatives mardi 10 décembre 2024 à 20H, salle François Molé à Antony.

Flyer de la réunion-débat du 10 décembre 2024.

Le contrat d’engagement républicain (CER)

La loi du 24 août 2021 confortant le respect des principes de la République a institué le contrat d’engagement républicain (CER). Le CER concerne les associations et fondations subventionnées ou titulaires d’un agrément. Il impose le respect d’engagements dont la méconnaissance est susceptible d’entraîner le retrait des subventions accordées. Cette mesure marque une défiance à l’égard du monde associatif et risque d’instaurer une censure néfaste pour le pluralisme et la démocratie.

La LDH d’Antony/Bourg-la-Reine/Sceaux a invité deux expertes, Marion Ogier et Maria Garmadi, afin de faire le point sur ce dispositif.

Venez échanger et débattre avec elles !

Rencontre avec deux spécialistes des libertés associatives

Marion Ogier est avocate et membre du Comité national de la LDH. Elle exerce au sein d’un cabinet investi dans la protection des libertés associatives, le conseil et l’accompagnement des associations. Le cabinet intervient en matière contentieuse sur la mise en œuvre du contrat d’engagement ou des dispositions applicables aux dissolutions, et contre les textes limitant la liberté constitutionnelle d’association.

Marion Ogier

Maria Garmadi est titulaire d’un Master 2 Migrations EHESS et travaille à l’Observatoire des libertés associatives. L’Observatoire des libertés associatives rassemble une coalition d’acteurs associatifs. Il a pour objectif de documenter la pluralité des atteintes aux libertés associatives et des entraves à la capacité d’agir collectivement des citoyens dans la France contemporaine.

Patrick Baudouin, président de la LDH, établit un état des lieux des libertés associatives en France. Il déplore une remise en cause croissante de la liberté d’association, une volonté de mainmise préoccupante par le pouvoir politique. Pourtant, la liberté d’association est essentielle en démocratie, où la société civile doit pouvoir s’exprimer par le biais de contre-pouvoirs.

La LDH en congrès à Bordeaux 18-19-20 mai 2024

Le congrès de la Ligue des droits de l’Homme (LDH) a lieu tous les deux ans et constitue un temps fort de l’association. Lors de cette 92ème édition, la LDH se lance dans la bataille du rassemblement contre l’extrême droite pour faire barrage aux politiques qui menacent la démocratie. « Nous voulons être une force de résistance contre l’extrême droite » affirme Nathalie Tehio, nouvelle présidente de la LDH.

Affiche du 92ème congrès de la LDH - Bordeaux, 18-19 et 20 mai 2024

Deux résolutions votées

  • La LDH a adopté une résolution générale intitulée Pour une alternative démocratique, sociale et écologique.

La LDH propose d’être une table commune et ouverte aux différentes forces syndicales, associatives et politiques. Objectif : faire émerger une alternative politique unitaire à même de défaire l’extrême droite lors des élections municipales de 2026 et de l’élection présidentielle de 2027.

Une table ronde a déjà amorcé ce travail avec des partenaires associatifs et syndicaux. Étaient présents pour ces premiers échanges : Attac, la Cimade, Greenpeace, Oxfam, le Syndicat de la magistrature, le Syndicat des avocats de France, la Confédération paysanne, la FSU, l’Union syndicale Solidaires, la CFDT et la CGT.

Pour lire la résolution, cliquer ici

  • La LDH a voté une deuxième résolution de congrès appelant à une paix juste et durable entre les peuples israélien et palestinien dans le respect du droit international.

Pour lire la résolution, cliquer ici

Une nouvelle équipe à la tête de la LDH

Nathalie Tehio, avocate, a été élue présidente de la LDH. Lionel Brun-Valicon est trésorier, Arié Alimi, Vincent Rebérioux et Evelyne Sire-Marin vice-présidents et vice-présidente.

Le congrès a élu par acclamation Patrick Baudouin président d’honneur.

Forte de 4000 nouveaux adhérents depuis le printemps 2023, la LDH rassemble largement pour défendre les libertés publiques, l’État de droit, les droits environnementaux et les droits sociaux

Une plaque en souvenir d’Émile Durkheim, sociologue, défenseur de Dreyfus et président dès 1898 de la section bordelaise de la LDH, a été inaugurée à Bordeaux lors de ce 92ème congrès.

Plaque en hommage à Emile Durkheim.

Revue de presse

Pour en savoir plus

Le rapport d’activités du service juridique de la LDH

Le rapport annuel de la LDH