Catégorie : On nous communique

Conv. des Luttes Saintes: Proposition réunion vendredi 24.11 Venue M Le Pen à Saintes le 2.12

Voici la proposition de réunion dont nous avons eu connaissance :
(Sachant en plus que c’est le weekend du Salon du livre et des droits de l’Homme, !!!!)

« Bonjour à toutes et tous,

Comme vous le savez, M Le PEN vient à Saintes samedi 2 décembre.

Elle organise une rencontre avec ses troupes au Vegas à 12h.

 

Nous vous proposons de nous réunir pour réfléchir à ce que nous pourrions faire ensemble pour ne pas les laisser occuper le terrain sans opposition.

RDV pour celles et ceux qui le souhaitent vendredi 24.11 à 17h à la Bourse du travail.

 

SUD Education 17. »

soirée Amérique Latine Saintes le 18/11/18

Les inscriptions tardives seront reçues avec plaisir, il reste des places!!

réunion du comité de soutien aux sans-papiers de la Charente, Maison des peuples et de la paix le 07/11 18h.

Bonjour à tous et toutes,

Depuis quelque temps, le gouvernement et les préfectures font des attaques de plus en plus dangereuses contre les migrants, les procédures se durcissent, les annonces pour les prochaines lois sont désastreuses.
Macron parle de réduire les études des dossiers des demandeurs d’asile à 6 mois, recours compris; la délivrance de l’ADA (allocation de 340 euros pour les demandeurs d’asile), aujourd’hui octroyée pendant toute la procédure, devrait ne concerner que les deux premiers mois de la procédure. En ce moment, le RSA n’est délivré que si le migrant peut prouver 5 ans de régularité en France, il faudra désormais prouver 15 ans de présence régulière !
Ceci n’est qu’un aperçu, on remarque une chasse à l’homme, de plus en plus de contrôles, un rejet systématique des dossiers, une précarisation des situations, une difficulté de renouvellement des titres de séjour, des mises en doute régulières de la minorité des jeunes, jusqu’à refuser leur demande de titre de séjour à leur majorité.
Aujourd’hui en Charente, beaucoup de demandeurs d’asile sont considérés comme des intrus, voire des délinquants. De plus en plus souvent dublinés, la Préfecture cherche à les renvoyer dans le premier pays européen qu’ils ont traversé. La création des PRADHA, centre de rétention pour demandeur d’asile, où aucune association ne peut pénétrer, sert à faciliter leur transfert.
La préfecture, à travers son service des étrangers se ferme de plus en plus, refusant les demandes de titre de séjour, a du retard dans ses instructions, avec impossibilité de connaître avec certitude le suivi des dossiers.
Devant son refus (malgré 3 demandes) de nous rencontrer pour présenter certains dossiers et les faire avancer, (c’est la première fois depuis environ 20 ans qu’un Préfet refuse ces rencontres), nous pensons nécessaire et indispensable de réunir le comité de soutien pour discuter des suites à donner.

Une réunion du comité de soutien aux sans-papiers de la Charente se tiendra donc à la Maison des peuples et de la paix le mardi 7 novembre à 18h.

SOYONS NOMBREUX POUR FAIRE UN FRONT COMMUN !
 Pour le comité de soutien, Jean-Luc GIRAUD et Frédérique ROUSSEL (co-présidents de Baobab)

État d’urgence : de l’exception à la permanence… (La quadrature du net)

État d’urgence : de l’exception à la permanence, les parlementaires au pied du mur

Paris, le 5 juillet 2017 — Douze organisations, des avocats et des universitaires (liste ci-dessous) appellent les députés à ne pas voter la loi de prorogation de l’état d’urgence et tous les parlementaires à rejeter la loi renforçant la lutte contre le terrorisme et la sécurité intérieure. Elles dénoncent la dangereuse logique du soupçon qui imprègne les deux textes. Les parlementaires ne doivent pas se laisser abuser par l’idée que la France va sortir d’un régime d’exception alors même qu’il s’agit de l’inscrire dans le marbre de la loi permanente.

Photo Vox Public

Photo Vox Public

Le discours du Président de la République, lors du Congrès à Versailles, a été l’occasion d’un nouveau tour de passe-passe : prétendre à une sortie de l’état d’urgence, quand, en même temps, le Sénat examinait une sixième loi de prorogation de ce dispositif d’exception, suivie du projet de loi antiterroriste qui pérennisera l’état d’urgence pour l’inscrire dans le droit commun.

Le 30 juin, lors d’une rencontre avec le Président de la République, notre collectif « état d’urgence / antiterrorisme » s’est employé à mettre au jour ces incohérences entre les annonces et les faits. Face à ces contradictions, le Président de la République n’a pas montré d’ouverture pour modifier le fond de ces projets de loi. Les perquisitions et assignations administratives, mesures phares de l’état d’urgence, aussi inefficaces qu’excessives, ne disparaîtront ainsi pas en novembre 2017. Elles seront pérennisées ; les assignés et perquisitionnés de l’état d’urgence d’aujourd’hui seront, sans nul doute, les assignés et perquisitionnés de la loi antiterroriste de demain.

En prétendant aujourd’hui réserver aux seuls terroristes ces mesures, le gouvernement reconnaît en creux l’usage arbitraire et dévoyé de l’état d’urgence. Autre preuve de duplicité du discours officiel : les interdictions dites « de séjour » (valant interdiction de se déplacer pour participer à une manifestation), censurées par le Conseil constitutionnel, ont été réintroduites par le gouvernement et aussitôt adoptées en commission des Lois du Sénat. Cette disposition spécifique pourra être utilisée contre des manifestants ou militants, sans lien avec le terrorisme, comme cela été le cas ces derniers mois.

Nos organisations alertent les parlementaires sur la nouvelle loi antiterroriste qui vise à normaliser la logique du soupçon. L’objectif fondamental, subjectif et donc potentiellement arbitraire, demeure la neutralisation d’individus dont on pourrait anticiper les « comportements non conformes » et la « radicalisation » supposée. Le texte ambitionne ainsi de pérenniser des dispositifs qui accuseront les personnes sur la base de critères flous (notamment d’appartenance à l’entourage de personnes ou d’organisations, l’adhésion, même privée, à des idées ou doctrines religieuses…) et bien en amont de toute preuve de la commission ou la préparation d’un acte de terrorisme, laquelle, rappelons-le, est d’ores et déjà prise en charge au plan pénal. La nature de la contrainte demeure elle aussi inchangée. Le contrôle par un juge, fût-il judiciaire, exercé selon des critères vagues et sur la base de notes blanches fournies par les services de renseignement, ne sera, par essence, pas plus effectif que sous l’état d’urgence.

Entre l’état d’urgence qu’on s’apprête enfin, nous dit-on, à quitter, et l’état de soupçon permanent dans lequel il s’agirait d’entrer, il n’y a pas de différence de nature. Tandis que l’état d’urgence se voulait temporaire et ses mesures exceptionnelles, les fouilles indifférenciées, les assignations et les perquisitions de la loi à venir seront permanentes. Les atteintes aux libertés d’aller et de venir, de se réunir et de manifester, la stigmatisation des personnes de confession musulmanes ou supposées telles, et avec elles, la division de la société, prendront, elles aussi, un tour permanent, par l’effet de cliquet propre aux législations antiterroristes, comme le montre l’expérience de celles accumulées, presque sans débat, ces dernières années.

Le réseau « état d’urgence / antiterrorisme » est composé :

  • des organisations suivantes : ACAT-France (Action des chrétiens pour l’abolition de la torture), Action Droits des Musulmans, Amnesty international – France, Collectif contre l’Islamophobie en France (CCIF), European Prison Litigation Network, Greenpeace France, Human Rights Watch, La Quadrature du Net, Ligue des Droits de l’Homme, Observatoire international des Prisons (section française), Syndicat des Avocats de France et Syndicat de la Magistrature.
  • des cabinets d’avocats suivants : Cabinet Arié Alimi, Cabinet Bourdon, Cabinet VIGO (Emmanuel Daoud)
  • et d’universitaires (membres, notamment, Centre de recherche et d’études sur les droits fondamentaux (CREDOF) de l’Université Paris Nanterre, engagés dans un programme de recherche sur l’état d’urgence 2015-17).

https://www.laquadrature.net/fr/etat_urgence_permanent

 

rencontre avec le poète syrien Omar Youssef Souleimane le 18/10 à La musardière – Saintes

rencontre-poésie-Saintes- octobre 2017

Être différents, vivre ensemble

ÊTRE DIFFÉRENTS, VIVRE ENSEMBLE Samedi 23 septembre 2017
des films de Denys Piningre de 14h30 à la nuit… au Centre Social Belle Rive 3 rue du Cormier, à Saintes

(Cliquer sur l’image pour l’agrandir)

Fichier pdf : invit 3SF 23 9

Soutien de la section LDH Angoulême pour la Marche pour la Paix en faveur de la Syrie du 11 au 16 aout 2017 à Cognac

L’état d’urgence : « En marche » et sans changement !

Communiqué LDH

Le président de la République a changé mais ni l’état d’urgence ni la méthode.

A peine installé, usant, comme ses prédécesseurs, de l’émotion légitime provoquée par l’attentat de Manchester, le nouveau pouvoir propose de renouveler l’état d’urgence et l’adoption d’une nouvelle loi pour y inscrire de nouvelles mesures d’exception.

Sans mener aucune réflexion sur la pertinence d’une législation qui n’a pas prouvé son utilité mais qui a restreint nos libertés, créé des situations arbitraires et, énième réflexe pavlovien, qui voit chaque événement suivi d’un nouveau projet répressif.

La LDH déplore cette continuité dans le peu d’intérêt consacré à la protection des libertés, le mépris affiché des avis des plus hautes autorités judiciaires et administratives et l’ignorance des conséquences d’un état d’urgence qui autorise bien autre chose que la lutte contre le terrorisme, et qui continue de stigmatiser une partie de la population.

« Il faut que tout change pour que rien ne change » avait écrit un auteur italien.

La LDH poursuivra ses efforts pour qu’il soit mis un terme au seul état d’urgence appliqué au sein de l’Union européenne.

Paris, le 24 mai 2017

Nous vous invitons à prendre connaissance sur ce sujet du rapport établi par Amnesty International

cf lien ci-dessous

https://www.amnesty.fr/liberte-d-expression/actualites/droit-de-manifester-en-france

La gauche va-t-elle disparaître ?

 André Burguière

Historien, Directeur d’études à l’EHESS et  saintongeais de coeur à la belle saison.

L’identité de la gauche, son avenir ou sa fin annoncée font l’objet de pronostics politiques et médiatiques. Ce livre clair et documenté offre une indispensable réflexion sur le sujet.
C’est d’abord en historien qu’André Burguière analyse les fondements de la gauche, mais aussi en intellectuel engagé dans la cité. Son objectif n’est pas d’en départager les différentes tendances, mais de dégager leur socle commun. Il montre que le partage idéologique, hérité directement de la Révolution française et indirectement d’une longue histoire de la démocratie, continue à structurer nos représentations politiques. Mais il constate combien la « passion noble » de l’égalité a cédé du terrain.
Sur le long cours, l’évolution du système représentatif, le pouvoir des élus et leur professionnalisation ont disqualifié la parole des citoyens. Étatisme, constitution monarchique, faiblesse du syndicalisme, les maux, nombreux, se sont accumulés. Sans compter, récemment, la façon dont le gouvernement socialiste a cédé aux pressions du libéralisme économique et des politiques sécuritaires.
Inquiet, mais non résigné, André Burguière jalonne ses analyses de propositions. Rendre la société plus juste, plus protectrice et plus démocratique, tel est, rappelle-t-il, le véritable projet de la gauche. À lire d’urgence !

Journée Mondiale de l’Eau Jeudi 23 Mars 2017 Lycée Chadignac Saintes

Bonjour à tous,

Le Comité Amérique Latine est co-organisateur avec les étudiants du Lycée Georges Desclaude de la soirée autour de la journée mondiale de l’eau.
« Un monde sans eau ? » sujet qui ne peut qu’intéresser nos amis ligueurs me semble t’il !
Cela se passe au Lycée Chadignac, Le Petit Chadignac, 17100 Saintes (05 46 74 34 37)

Thenac 18-19 Mars 2017 Festival Littéraire et Artistique

Vivre, c’est le souhait que partagent tous les humains à  travers les villes ,les campagnes, les déserts ou les jungles. Mais les hommes vivent de manière très diverses et toutes ces différences ont beaucoup à nous apprendre.
Il nous faut plus que jamais respecter: la force de l’humain, son droit au respect pour toutes les formes de construction culturelles, la liberté et le désir universel d’imaginer  le monde qui viendra.
Pour avoir des informations sur le festival, consultez:

           site internet : salondulivrethenac.fr   
          page facebook: www.facebook.com/salondulivrethenac2
          compte twitter: https://twitter.com/L_EP2L

La Syrie, de l’Antiquité au début du XXI siècle (Saintes le 16/02/17)

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« Les citoyens qui viennent /comment le renouvellement générationnel transforme la vie politique en France » par Vincent Tiberj

Lien pdf : Les citoyens qui viennent Communiqué