café-débat à la Maison-Phare

Samedi 12 février à 15h au Café associatif (1 allée du Roussillon)

Université Populaire

« Laïcité du XXIème siècle : outil du vivre ensemble ou de division ? »

Avec la Ligue des Droits de l’Homme et le Pôle d’Économie Solidaire 21

Café associatif (1 allée du Roussillon)

Le débat sera co-animé par la LDH

 

ENTRÉE LIBRE / RENSEIGNEMENTS au 03.80.45.45.26

Pour les libertés et contre les idées des extrêmes droites, encore et toujours : manifestation le 12 février à Saulieu

Le comité régional de la LDH et la section de Dijon soutiennent l’appel intersyndical et interassociatif à manifester contre la venue d’Éric Zemmour en Côte d’Or.
Il n’est pas un candidat comme les autres. Condamné plusieurs fois pour
incitation à la haine raciale, il attise les peurs, la haine et le rejet de l’autre, en
diffusant des idées délirantes et fausses sur les migrant-es et la criminalité. Il
divise la société sur des bases ethniques, religieuses, identitaires.
Il a tenu à maintes reprises des propos sexistes et clairement misogynes, des
propos hostiles aux militant-es antiracistes et aux militant-es qui combattent
les LGBTphobies, des propos hostiles à l’inclusion des enfants porteurs de
handicap dans nos établissements scolaires.
Il ne dénonce jamais les inégalités sociales, les salaires insuffisants des
premiers de corvée quand les plus riches ne cessent de s’enrichir même
pendant la crise sanitaire. Eric Zemmour est un candidat d’extrême-droite, qui
comme tous ses semblables accuse des boucs émissaires au lieu de mettre
en cause un modèle libéral et capitaliste dont il est en réalité le serviteur.
Nous, syndicats et associations de la Côte-d’Or, continuons et continuerons à
promouvoir une société démocratique, laïque et sociale, une société inclusive
et solidaire où le vivre ensemble n’est pas une formule creuse. Nous
persisterons à identifier et à dénoncer les idées des extrêmes droites quelles
que soient les personnes qui les portent.

Rendez-vous, le samedi 12 Février 2022 à 13h00 à Saulieu

Retrouvez l’appel Pour les libertés et contre les idées des extrêmes droite au format PDF

communiqué interassociatif suite à la mobilisation pour la famille de Rizart, menacée d’expulsion

A la suite au rassemblement de ce jour devant l’école de la Colombière à Dijon pour soutenir Rizart et sa famille, une délégation représentant les parents d’élève et les organisations de défense des droits humains a été reçue par le secrétaire général de la préfecture et une représentante du cabinet du préfet..

Nous avons eu un long échange. Nous avons insisté sur l’impératif humanitaire de régulariser cette famille. Cela est indispensable au vu du traumatisme subi par l’enfant accompagnant tous les jours depuis des mois ses parents handicapés au commissariat pour signer leurs documents d’assignation à résidence avant de se rendre à l’école, témoin d’une tentative d’expulsion, sachant son père aujourd’hui à l’hôpital blessé à la suite de sa tentative de mettre fin à ses jours.

C’est indispensable au vu de la situation dramatique des parents cumulant handicap lourd et maladie grave. Toutes celles et ceux qui les connaissent sont à la fois admiratifs devant leur volonté de trouver leur place dans notre société, de surmonter tous ces obstacles et angoissés devant le risque que le drame évité de justesse ce jeudi ne puisse se reproduire.

Il a été convenu à l’issue de la réunion que nous déposerions sous quinzaine un dossier développant ce qui justifie une demande de titre de séjour et que, d’ici là, la famille  serait en sécurité.

Nous espérons que notre message sera entendu. Nous appelons à rester mobilisés pour enfin aboutir à une solution permettant à Rizart de vivre sa vie d’enfant avec ses parents.

Pour le collectif de soutien aux demandeurs d’asile et migrants ( ACAT Dijon / Action Catholique Ouvrière /AFPS 21/ AFRANE Bourgogne/ AGIRabcd 21/ AIDES Bourgogne Franche Comté/Amis de la Confédération Paysanne/ Amnesty International Dijon / APF France Handicap/ ATTAC21 / ATMF Dijon / CFDT 21 / CGT 21 /Clos exister/ Club Unesco Dijon / CCFD-Terre Solidaire / CNT 21 / Collectif du lycée d’accueil international Le Castel/ Confédération Paysanne/ Confédération Syndicale des Familles / Espace Autogéré des Tanneries / Euphorbe en Illabakan / FCPE / FSU 21 / LVN personnalistes et citoyens / Ligue des Droits de l’Homme / Maison phare Fontaine d’Ouche/MAN / Mouvement de la Paix/ MRAP / Pastorale des Migrants /PNS Bourgogne Mali/ RESF 21 / SAF / SNES FSU / SOS Refoulement / SOS Racisme / Solidaires / Solidarité afghane / Sud santé sociaux / UJFP / UNEF/ )

 

rassemblement de soutien à la résistance des démocrates soudanais

Les démocrates soudanais de Dijon organisent un rassemblement de soutien à la résistance des démocrates soudanais face au coup d’état militaire le samedi 13 novembre place de la République à Dijon à 15h30. La LDH soutient cette initiative pour sauver une révolution démocratique, exiger la libération des prisonniers politiques et le retour à un pouvoir civil

LLira et Liana ont le droit de vivre avec leur papa

Lira et Liana K ont trois ans et huit ans, elles sont nées en France de parents kosovars, vont à l’école à Dijon. Leur père et leur mère vivent en France depuis 10 ans. Leur sœur aînée âgée de 20 ans bénéficie d’un titre de séjour et fait des études pour travailler dans l’industrie. Leurs tantes sont citoyennes françaises.

Et pourtant, elles risquent d’être séparées de leur père aujourd’hui retenu en centre de rétention administrative et menacé d’expulsion alors qu’il remplit toutes les conditions pour être régularisé.

La seule « faute » qui lui est reprochée : une erreur dans ses démarches administratives.

La France est signataire de la convention internationale des droits de l’enfant qui garantit le droit des enfants de vivre avec leurs parents. Ce droit doit être respecté. L’appliquer est une question d’humanité élémentaire.

Représentants des parents d’élèves, enseignants, habitants du quartier, associations, élus sont intervenus en sa faveur auprès du préfet de Côte d’Or. Ils doivent être entendus.

Monsieur K doit pouvoir rentrer chez lui à Dijon, vivre avec sa famille, travailler.

Rassemblement de soutien le mercredi 10 novembre à 8h30 devant l’école Jean-Baptiste Lallemand 1 bis Avenue du Lac Dijon

Les représentants des parents d’élèves de l’école Jean-Baptiste Lallemand

soutenus par :
– Collectif de soutien aux demandeurs d’asile et migrants ( ACAT Dijon / Action Catholique Ouvrière / AFRANE Bourgogne/ AGIRabcd 21/ AIDES Bourgogne Franche Comté/Amis de la Confédération Paysanne/ Amnesty International Dijon / APF France Handicap/ ATTAC21 / ATMF Dijon / CFDT 21 / CGT 21 /Clos exister/ Club Unesco Dijon / CCFD-Terre Solidaire / CNT 21 / Collectif du lycée d’accueil international Le Castel/ Confédération Paysanne/ Confédération Syndicale des Familles / Espace Autogéré des Tanneries / Euphorbe en Illabakan / FCPE / FSU 21 / LVN personnalistes et citoyens / Ligue des Droits de l’Homme / MAN / Mouvement de la Paix/Maison Phare Fontaine d’Ouche/ MRAP / Pastorale des Migrants / RESF 21 / SAF / SNES FSU / SOS Refoulement / SOS Racisme / Solidaires / Solidarité afghane / Sud santé sociaux / UJFP / UNEF/ Tends la Main / Urgence Solidaire ) /Cimade/ secours catholique

Marche des fiertés à Dijon le samedi 25 septembre 2021 « Fier·es de nos identités, solidaires jusqu’à l’égalité »

La ville de Dijon se prépare à accueillir la Marche des fiertés 2021 le samedi 25 septembre, dont le départ est prévu à 14h place Wilson.
 
Elle sera l’occasion de réaffirmer nos revendications, et de rappeler que le contexte sanitaire impacte particulièrement les personnes déjà fragilisées, précarisées et discriminées. Les associations organisatrices constatent que l’égalité des droits n’est toujours pas effective pour les personnes LGBTQI+, et que la communication gouvernementale ne masque pas l’insuffisance des lois et des budgets !
 
Elles revendiquent notamment des moyens pour l’accès à la santé, pour la lutte contre la transphobie, en particulier en milieu scolaire et une loi contre les « thérapies de conversion ».

Parce que le respect de nos droits ne se négocie pas, parce que les prétendues « avancées » ne s’applaudissent pas, parce que la régression se combat, nous marcherons avec détermination ce samedi 25 septembre !
 
Marche organisée par l’association AIDES Dijon et soutenue par l’Autre Cercle Bourgogne Franche Comté, Gang Reine, le Planning Familial 21, les Orageus.e.s, SOS Refoulement, la Ligue des Droits de l’Homme, Amnesty International, Solidaires 21, la CFDT, la CGT et la FSU ; avec le soutien financier de la Ville de Dijon et de l’Amacod.

Conférence-débat : la transition écologique par le droit ?

Dans le cadre du Festival des Solutions Écologiques organisé par la Région BOURGOGNE FRANCHE-COMTE du 6 au 12 septembre prochains, les sections locales de la Ligue des Droits de l’Homme et du Syndicat des Avocats de France vous invitent à une conférence – débat sur le thème : « La transition écologique par le droit? »

Depuis 2012, le préjudice écologique a été consacré par la justice. Il s’agit à présent de porter la voix de la protection de l’environnement pour qu’elle soit réellement respectée et que ses atteintes soient sanctionnées. La récente création du pôle régional de l’environnement au sein du Tribunal judiciaire de Dijon incarne cette dynamique.

C’est par des témoignages croisés de citoyens (désobéissants civils et bénévoles) et de professionnels (petites et grandes associations, avocats) engagés, que cette conférence propose de présenter un état des lieux et des pistes de réflexions communes, pour agir à l’échelle nationale et locale.

Programme prévisionnel :

Le droit comme moyen d’action innovant pour la transition écologique

Animation : Me Alexia GIRE, Avocate au Barreau de Dijon

  • Quelles impulsions nationales ? : Lionel BRUN-VALICON, Membre du Bureau de la Ligue des droits de l’homme, coordinateur du groupe de travail « Environnement et développement durable », Laure Abramowitch, Avocate au Barreau de Dijon,
  • Quelles applications et innovations locales ?
    • Existantes : Gilles Moyne et Lorane Mouzon, Centre Athenas (39)
    • A inventer :
      • Me Dominique CLEMANG, Ancien Bâtonnier du Barreau de Dijon, Avocate,
      • Militants pour la défense des Jardins de l’Engrenage (21),
      • Marion Leroy de la Brière, militante ANV Cop21 (58)

La conférence aura lieu le mercredi 8 septembre 2021 à 18h à la PENICHE CANCALE (Port du Canal à DIJON) – ENTRÉE LIBRE
LES PLACES ETANT LIMITEES A 50 PERSONNES, MERCI DE VOUS INSCRIRE VIA LE FORMULAIRE: https://forms.gle/J1FySupm2RAek4TK9

Depuis 2012, le préjudice écologique a été consacré par la justice. Il s’agit à présent de porter la voix de la protection de l’environnement pour qu’elle soit réellement respectée et que ses atteintes soient sanctionnées. La récente création du pôle régional de l’environnement au sein du Tribunal judiciaire de Dijon incarne cette dynamique.

C’est par des témoignages croisés de citoyens (désobéissants civils et bénévoles) et de professionnels (petites et grandes associations, avocats) engagés, que cette conférence propose de présenter un état des lieux et des pistes de réflexions communes, pour agir à l’échelle nationale et locale.

Programme prévisionnel :

Le droit comme moyen d’action innovant pour la transition écologique

Animation : Me Alexia GIRE, Avocate au Barreau de Dijon

  • Quelles impulsions nationales ? : Lionel BRUN-VALICON, Membre du Bureau de la Ligue des droits de l’homme, coordinateur du groupe de travail « Environnement et développement durable », Laure Abramowitch, Avocate au Barreau de Dijon,
  • Quelles applications et innovations locales ?
    • Existantes : Gilles Moyne et Lorane Mouzon, Centre Athenas (39)
    • A inventer :
      • Me Dominique CLEMANG, Ancien Bâtonnier du Barreau de Dijon, Avocate,
      • Militants pour la défense des Jardins de l’Engrenage (21),
      • Marion Leroy de la Brière, militante ANV Cop21 (58)

La conférence aura lieu le mercredi 8 septembre 2021 à 18h à la PENICHE CANCALE (Port du Canal à DIJON) – ENTRÉE LIBRE
LES PLACES ETANT LIMITEES A 50 PERSONNES, MERCI DE VOUS INSCRIRE VIA LE FORMULAIRE: https://forms.gle/J1FySupm2RAek4TK9

Ville connectée, ville surveillée ? débat le 8 juillet

En partenariat avec la Maison-Phare, la LDH vous invite à participer au débat dans le cadre des Rendez-vous Voisins, Voisines de la Maison-Phare

sur le thème « ville connectée, ville surveillée ?« .

RV le 8 juillet à 18h aux Ateliers d’été de la Maison-Phare, Cour de l’école Alsace, 7 allée de Saint-Nazaire à Fontaine d’Ouche.

 

Prise de parole lors de la manifestation du 12 juin

Nous sommes aujourd’hui plus de 800 à Dijon !

Nous sommes aujourd’hui des milliers dans tout le pays à avoir répondu à l’appel pour former ensemble un front des libertés, face à l’autoritarisme, au racisme, au sexisme, aux discriminations et à la haine des autres.

Nous nous sommes rassemblé·es pour réaffirmer notre combat commun contre l’extrême droite, ses idées, et toutes celles et ceux qui participent à sa propagation.

La fachosphère se déchaine sur le net, dans les médias des éditocrates vocifèrent leur racisme, leur sexisme, et aboient contre le système et le politiquement correct ! Ils revendiquent la liberté d’expression pour mieux imposer leurs idées rances. La tolérance est grande pour celles et ceux qui sont du côté des dominants ! Ce sont en fait les parfaits bouffons du pouvoir, à la fois garde-chiourmes et épouvantails, rouage important dans la préservation de l’ordre établi.

Non, le Rassemblement national n’est pas et ne sera jamais un parti comme les autres ! On a :

→ des tracts électoraux pour les départementales qui sont une véritable incitation à la haine contre les migrant-es et particulièrement les mineurs isolés

→ une tête de liste aux régionales mis en examen pour recel de détournement de fonds publics dans l’affaire des assistants parlementaires du FN et qui tient des propos méprisants aussi bien contre les agriculteurs que contre les femmes… Il est tout sauf un candidat du peuple !

Comme l’écrit le sociologue Ugo Palheta, la « possibilité du fascisme » se trouve à la croisée d’une série de dynamiques : le tournant libéral des politiques publiques ; le durcissement autoritaire de l’État ; le renforcement du nationalisme et du racisme ; l’affaiblissement politique du prolétariat.

Alors retroussons nos manches et luttons sur tous les fronts !

→ Luttons contre les mesures anti-sociales, et aussi contre les divisions du mouvement ouvrier, ensemble ! Le nationalisme et la xénophobie sont alimentés par le capitalisme, les effets de l’austérité, le développement des inégalités sociales et territoriales. Participons aux mobilisations sociales qui s’opposent à l’accaparement des richesses, à la destruction de la planète, à la disparition de nos droits et de tout ce qui fait société. Les nationalistes réclament des privilèges, nous revendiquons la justice et l’égalité !

Face au bras tendu, montrons le poing levé !

→ Luttons contre les dérives sécuritaires et anti-démocratiques, contre la répression et les violences policières, défendons nos libertés !

A ce propos, une victoire a été remportée hier : suite à la plainte de plusieurs de nos organisations, le conseil d’État a censuré des dispositions phares du schéma national de maintien de l’ordre qu’avait voulu imposer Darmanin ! Le Conseil d’État a repris les critiques émises contre des techniques policières dangereuses et des atteintes graves aux libertés de manifester et d’informer.

Soyons les voix qui s’élèvent pour nos droits, « compagnons, dans la nuit la liberté nous écoute ! »

→ Luttons contre le racisme et la xénophobie, traquons sans relâche ses moindres expressions, d’où qu’elles viennent ! Refusons la banalisation des propos racistes et sexistes. Résistons aux ministres Blanquer et Vidal qui prétendent contrôler la recherche universitaire ! Lutter contre les discriminations de sexe, de classe, de race, c’est pouvoir en étudier la genèse, en comprendre les mécanismes. Non à la police de la pensée !

→ Luttons contre le bruit des bottes, et aussi contre le silence des pantoufles ! Non, on « n’attend pas qu’ils reviennent » ! Clamons haut et fort notre attachement aux libertés, à la démocratie, à l’égalité, aux droits humains !

La trajectoire du désastre est-elle résistible ? Oui ! Par « la possibilité de l’action collective. Nous sommes des millions d’exploité·es et d’opprimé·es qui, à l’échelle nationale comme à celle de l’humanité toute entière, composent une majorité sociale. » Il est de notre responsabilité d’y œuvrer activement !

Nous sommes la France plurielle, métissée, colorée,

la France fière de ses origines multiples et de sa diversité.

Face à la haine, face aux injustices,

Nous sommes les militant·es du quotidien, de l’égalité, de la solidarité.

Nous sommes et nous resterons déterminé·es et motivé·es,

contre l’extrême droite, contre ses idées qui gangrènent notre société.

Construisons une réponse forte et unitaire qui dessine l’alliance des libertés, du travail et d’un avenir durable, contribuons à inventer un nouveau « nous » multiculturel, alternatif, populaire, antiraciste, féministe, écologiste, démocratique. C’est notre projet de société !

Marchons pour nos libertés, contre les idées d’extrême droite

APPEL A MANIFESTATION A DIJON

Depuis maintenant plusieurs mois nous constatons un climat politique et social alarmant. S’allier avec l’extrême droite ou reprendre ses idées ne constituent plus un interdit. Les propos et actes racistes et sexistes au travail et dans la vie se propagent. Les attaques contre les libertés et les droits sociaux s’accentuent gravement. Dans ce contexte politique, économique, social et sanitaire les injustices explosent et génèrent une forte misère sociale. Plusieurs lois liberticides organisent une société autoritaire de surveillance et de contrôle qui empêcheraient d’informer sur des violences policières, déjà trop importantes. De plus, si certaines de ces lois stigmatisent une partie de la population en raison de sa religion, d’autres en ciblent en raison de leur activité militante. Comme les signataires de l’appel pour les libertés et contre les idées mortifères de d’extrême droite (https://www.appelpourleslibertes.com), nous ressentons toutes et tous l’urgence de construire une réponse forte et unitaire qui dessine l’alliance des libertés, du travail et d’un avenir durable.Face à ce climat de haine, raciste et attentatoire aux libertés individuelles et collectives, nous avons décidé collectivement d’organiser le samedi 12 juin une première grande journée nationale de manifestation et de mobilisations. A Dijon, nous appelons à nous rassembler à 14h place de la République. Cette journée fait partie des initiatives unitaires qui se multiplient. D’ores et déjà, nos organisations syndicales, politiques, associations, collectifs, signataires de l’appel, ont décidé de co-construire ce combat dans la durée.

premiers signataires : UD CGT, FSU21, Solidaires21, Coordination SUD 21, Syndicat des Avocats De France, UNL Dijon et Antifasciste, Amis de l’Humanité/AdH21, Attac21, Collectif de soutien à la Maskarade BFC, LDH Dijon, Mouvement de la Paix, MRAP, SOS racisme, SOS refoulement, UJFP, Ensemble!21, La France Insoumise21, Mistoufle-FA, Nouveaux Démocrates, NPA21, Parti de Gauche21, PCF 21