LLira et Liana ont le droit de vivre avec leur papa

Lira et Liana K ont trois ans et huit ans, elles sont nées en France de parents kosovars, vont à l’école à Dijon. Leur père et leur mère vivent en France depuis 10 ans. Leur sœur aînée âgée de 20 ans bénéficie d’un titre de séjour et fait des études pour travailler dans l’industrie. Leurs tantes sont citoyennes françaises.

Et pourtant, elles risquent d’être séparées de leur père aujourd’hui retenu en centre de rétention administrative et menacé d’expulsion alors qu’il remplit toutes les conditions pour être régularisé.

La seule « faute » qui lui est reprochée : une erreur dans ses démarches administratives.

La France est signataire de la convention internationale des droits de l’enfant qui garantit le droit des enfants de vivre avec leurs parents. Ce droit doit être respecté. L’appliquer est une question d’humanité élémentaire.

Représentants des parents d’élèves, enseignants, habitants du quartier, associations, élus sont intervenus en sa faveur auprès du préfet de Côte d’Or. Ils doivent être entendus.

Monsieur K doit pouvoir rentrer chez lui à Dijon, vivre avec sa famille, travailler.

Rassemblement de soutien le mercredi 10 novembre à 8h30 devant l’école Jean-Baptiste Lallemand 1 bis Avenue du Lac Dijon

Les représentants des parents d’élèves de l’école Jean-Baptiste Lallemand

soutenus par :
– Collectif de soutien aux demandeurs d’asile et migrants ( ACAT Dijon / Action Catholique Ouvrière / AFRANE Bourgogne/ AGIRabcd 21/ AIDES Bourgogne Franche Comté/Amis de la Confédération Paysanne/ Amnesty International Dijon / APF France Handicap/ ATTAC21 / ATMF Dijon / CFDT 21 / CGT 21 /Clos exister/ Club Unesco Dijon / CCFD-Terre Solidaire / CNT 21 / Collectif du lycée d’accueil international Le Castel/ Confédération Paysanne/ Confédération Syndicale des Familles / Espace Autogéré des Tanneries / Euphorbe en Illabakan / FCPE / FSU 21 / LVN personnalistes et citoyens / Ligue des Droits de l’Homme / MAN / Mouvement de la Paix/Maison Phare Fontaine d’Ouche/ MRAP / Pastorale des Migrants / RESF 21 / SAF / SNES FSU / SOS Refoulement / SOS Racisme / Solidaires / Solidarité afghane / Sud santé sociaux / UJFP / UNEF/ Tends la Main / Urgence Solidaire ) /Cimade/ secours catholique

Pour qu’Elvis puisse continuer ses études à Dijon

La LDH soutient la mobilisation pour qu’Elvis, élève au lycée du Castel à Dijon, arrivé en France il y a 5 ans, ne soit pas expulsé, obtiennent un titre de séjour et puisse poursuivre ses études ici.

Nous vous invitons à signer et faire signer la pétition pour le soutenir

https://www.change.org/p/france-aidons-elvis-bajrami-a-rester-en-france-avec-sa-famille-et-finir-ses-%C3%A9tudes

et à suivre les prochaines mobilisations.

Etre étranger n’est pas un crime, être solidaire n’est pas un délit

Venons le dire devant le tribunal jeudi 9 juillet à 8h15,

Avec la sortie du confinement qui a mis en évidence toutes les inégalités de notre société, on aurait pu espérer un peu plus d’humanisme de la part des pouvoirs publics. C’est malheureusement loin d’être le cas en Côte d’Or :

-Pour la première fois, un jeune dijonnais d’origine étrangère est attaqué en pénal pour le seul délit de vivre en France, pays où il a grandi, où vit sa famille, où il a fait ses études . Il a été victime d’une « obligation de quitter le territoire » pour être rentré en France sans visa alors qu’il était enfant.

-La préfecture prétend interdire aux associations sociales d ‘héberger des familles à la rue , car elle veut les contraindre à être regroupées dans un lieu de préparation aux expulsions alors même que leur dossier est devant la justice.

-Il vient d’être annoncé une convention entre Divia et la gendarmerie pour des « contrôles d’identité aléatoires » dans les trams visant visiblement les étrangers soupçonnés d’être en situation irrégulière en toute violation des règles limitant les possibilités de contrôles d’identité au cas de« risque effectif d’atteinte à la sécurité des personnes ou des biens à l’endroit et au moment où le contrôle est fait. « 

-Le défenseur des droits au niveau national vient de prendre une position condamnant clairement les pratiques de la préfecture de la Côte d’Or visant à expulser du territoire des jeunes arrivés mineurs sous prétexte que les documents d’état civil validés par les ambassades de leurs pays ne conviendraient pas aux service préfectoraux. Pour le moment, nous attendons toujours un changement de pratiques.

Il ne peut y avoir d’état de droit niant en permanence ceux des exilés

Le procès du jeune « coupable » d’avoir grandi, étudié et d’être resté en France a lieu ce jeudi au tribunal Bd Clémenceau à 8h30 . Nous appelons à venir le soutenir à cette occasion et à affirmer notre attachements aux libertés et au principe de fraternité

Collectif de soutien aux demandeurs d’asile et migrants :

ACAT Dijon / Action Catholique Ouvrière / AFRANE Bourgogne/ AGIRabcd 21/Aides / Amis de la Confédération Paysanne/ Amnesty International Dijon / APF France Handicap/ ATTAC21 / ATMF Dijon / CFDT 21 / CGT 21 / Club Unesco Dijon / CCFD-Terre Solidaire / CNT 21 / Collectif du lycée d’accueil international Le Castel/ Confédération Paysanne/ Confédération Syndicale des Familles / Espace Autogéré des Tanneries / Euphorbe en Illabakan / FCPE / FSU 21 / LVN personnalistes et citoyens / Ligue des Droits de l’Homme / MAN / Mouvement de la Paix/ MRAP / Pastorale des Migrants / RESF 21 / SAF / SNES FSU / SOS Refoulement / SOS Racisme / Solidaires / Solidarité afghane / Sud santé sociaux / UJFP / UNEF/ Tends la Main / Urgence Solidaire

Ciné-débat sur Oskar et Lily à l’Eldorado

Le 6 mars 2020 à 20h15 aura lieu à l’Eldorado la projection du film Oscar et Lily de Arash T. Riahi suivie d’un débat sur le film et les politiques migratoires mises en place par les Etats de l’Union Européenne.

Le film raconte le périple de deux enfants tchétchènes sur le point d’être expulsés d’Autriche avec leur mère.

La LDH est partenaire de cette événement.

Nous vous invitons à venir nombreux et nombreuses.

Lien de présentation du film: https: https://cinemaeldorado.wordpress.com/a-laffiche/oskar-et-lily/

Journée internationale des droits de l’Homme : rassemblement place Notre-Dame à Dijon

10 décembre 2019, journée internationale des droits de l’Homme

Actions et rassemblement à Dijon pour la défense des droits universels les plus fondamentaux et en hommage aux personnes mortes et disparues aux frontières de l’Europe.

La Déclaration universelle des droits de l’Homme et la convention de Genève de1951 qui engagent la France comme l’ensemble de l’Union Européenne proclament que :

•             Toute personne a le droit de quitter tout pays, y compris le sien, et de revenir dans son pays. (Article 13 de la Déclaration)

•             Devant la persécution, toute personne a le droit de chercher asile et de bénéficier de l’asile en d’autres pays. (Article 14 de la Déclaration)

Et pourtant, la fermeture des frontières empêchant la libre circulation et l’absence de voies d’accès sécurisées pour demander l’asile font des milliers de victimes (de l’ordre de 3000 morts par an pour la seule Méditerranée).

En cette journée internationale des droits de l’Homme, un tapis sera déroulé face à l’église Notre-Dame. Il porte les noms de 17 306 personnes mortes noyées en mer Méditerranée en tentant de migrer vers l’Europe.

La situation des demandeurs d’asile et des migrants s’aggrave d’année en année.

Aujourd’hui, sur notre territoire, nos associations œuvrent au quotidien aux côtés des demandeurs d’asile et des migrants pour défendre et faire respecter leurs droits fondamentaux, mais se heurtent à des décisions (préfectorales) qui privent des familles, des enfants, des jeunes, du droit à circuler librement, à travailler, à vivre en famille, à poursuivre leurs études, à construire en France un avenir dans lequel leur vie ou leur liberté ne seront pas menacées…

– A partir de 16h, hommage autour du tapis avec les noms de 17306 morts aux portes de l’Europe ;

– A 17h30, rassemblement place Notre-Dame

– A partir de 18h, Cercle de silence  autour de la banderole

Téléchargez le texte de l’appel pour la journée internationale des migrants sur Dijon

Rassemblement organisé à l’appel de :                                                                                           CCFD Terre Solidaire/ Cimade/ DCC/ Secours Catholique, dans le cadre du festival Migrant’scène   Les associations membres du Collectif de Soutien aux demandeurs d’asile et migrants : ACAT Dijon / Action Catholique Ouvrière / AGIRabcd 21/Amis de la Confédération Paysanne/ Amnesty International Dijon /Association des Paralysés de France/ ATTAC 21 / ATMF Dijon / CFDT 21 / CGT 21 /CCFD Terre Solidaire/Clubs UNESCO /CNT 21 /Collectif du Collège les Lentillères/ Collectif du lycée d’accueil inter-national du Castel/ Confédération Paysanne/ CSF / Espace Autogéré des Tanneries / Euphorbe en Illabakan / FCPE / FSU 21 / LVN personnalistes et citoyens / Ligue des Droits de l’Homme / MAN /Mouvement de la Paix/ MRAP / Pastorale des Migrants / RESF 21 /SAF /SNES FSU/ SOS Refoulement / SOS racisme / Solidaires / Solidarité afghane /Sud santé sociaux/ UJFP / UNEF/ Tends la Main / Urgence Solidaire / Ligue de l’Enseignement/

Gvansta libérée, la mobilisation doit continuer pour sa régularisation

Nous venons d’apprendre que la justice vient d’ordonner la libération de Gvantsa, car la préfecture de Côte d’Or n’avait pas respecté les procédures. On ne peut que se réjouir de la voir revenue parmi les siens et du désaveu d’une méthode particulièrement brutale. Rappelons qu’elle a été arrêtée par surprise sans pouvoir amener aucune affaire personnelle alors qu’elle respectait les obligations de pointage au commissariat pendant la durée de sa procédure et sans que les moindre délit puisse lui être reproché. Cependant, la question n’est aucunement réglée sur le fond. La décision de régularisation pour pouvoir continuer de vivre avec sa famille et ses proches dépend du pouvoir discrétionnaire du préfet. Elle remplit toutes les conditions de régularisation. Il est urgent qu’elle puisse reprendre une vie et des études sereines. C’est ce que nous appelons tous à venir demander demain jeudi 29 août à 17h devant la préfecture à Dijon.

Collectif de soutien aux demandeurs d’asile et migrants

Gvantsa doit pouvoir vivre auprès des siens : rassemblement jeudi 29/08 à 17H

Gvantsa, une jeune dijonnaise d’origine géorgienne élève du lycée H. Fontaine à Dijon qui devait faire sa rentrée lundi 2 septembre en terminale, a été arrêtée par surprise alors qu’elle se présentait
au commissariat, incarcérée en centre de rétention à Metz, sans qu’aucun délit ne puisse lui être
reproché. Metz n’est qu’un point de passage avant son renvoi en Géorgie, où elle n’a plus de famille. Son père qui l’a prise en charge depuis des années vit en situation régulière en France comme conjoint d’une Française. La préfecture qui avait demandé des preuves de cette situation a refusé de les prendre en compte quand elles lui ont été transmises.
Comment comprendre que Gvantsa, 19 ans, seule et sans attache dans ce pays qui n’est plus
le sien, qui a eu un parcours irréprochable depuis qu’elle est en France puisse vivre une telle situation? Qui va prendre soin d’elle? Alors que sa famille est en France en situation régulière.
Où va-t-elle poursuivre ses études? Alors qu’elle a une place au lycée H. Fontaine où enseignants
comme camarades de classe l’apprécient unanimement. En trois jours, 2100 personnes ont signé une pétition de soutien, les interventions en sa faveur se multiplient.
Vous pouvez également la signer ici.
Nous demandons la régularisation de la situation de Gvantsa afin qu’elle puisse retrouver sa famille,
faire sa rentrée scolaire à Dijon et poursuivre sereinement ses études. Son cas est malheureusement celui de dizaines de jeunes en Côte d’Or menacés d’expulsion en violation des droits humains les plus élémentaires.
Ses proches, ses enseignants, ses camarades de classe, et les associations du collectif de soutien aux demandeurs d’asile et migrants appellent à
un rassemblement jeudi 29 août devant la préfecture
rue de la préfecture à Dijon à 17h
pour exiger qu’elle soit immédiatement libérée, puisse faire la rentrée avec ses camarades, que lui
soit reconnu le droit de vivre en sécurité avec les siens.
collectif de soutien aux demandeurs d’asile et migrants : ACAT Dijon / Action Catholique Ouvrière / AGIRabcd 21/Amis de la Confédération Paysanne/ Amnesty International Dijon /Association des Paralysés de France/ ATTAC 21 / ATMF Dijon / CFDT 21 / CGT 21 /CCFD Terre Solidaire/Clubs UNESCO /CNT 21 /Collectif du collèges les Lentillères/ Collectif du lycée d’accueil inter-national du Castel/Confédération Paysanne/ CSF / Espace Autogéré des Tanneries / Euphorbe en Illabakan / FCPE / FSU 21 / LVN personnalistes et citoyens / Ligue des Droits de l’Homme / MAN /Mouvement de la Paix/ MRAP / Pastorale des Migrants / RESF 21 /SAF /SNES FSU/ SOS Refoulement / SOS racisme / Solidaires / Solidarité afghane /Sud santé sociaux/ UJFP / UNEF/ Tends la Main / Urgence Solidaire

Marche pour les droits des jeunes étrangers

Jeudi 13 juin 2019, à l’initiative des jeunes étrangers dijonnais étrangers en danger d’être à la rue ou expulsés, organisés en collectif, une Marche pour les droits des jeunes étrangers aura lieu à 14h , au départ du lycée du Castel, suivie d’un rassemblement à 16h devant la Préfecture.

Avec le soutien de la LDH, du Collectif Soutien Asile nord 21 et du Collectif de soutien aux demandeurs d’asile et migrants

Pétition pour le droit à la formation et au séjour des mineurs isolés

Face à l’accueil de plus en plus catastrophique des mineurs isolés en Côte d’Or, tant sur le plan de l’hébergement que de la formation, la LDH et un grand nombre d’associations ont mis en ligne une pétition, dont vous trouverez ci-dessous le texte et que nous vous invitons à signer et à diffuser autour de vous.

 

Les jeunes étrangers arrivés mineurs, reconnus comme tels par le Conseil Départemental peuvent à leur majorité recevoir un titre de séjour, s’ils respectent des exigences en termes de formation.

Ainsi, de nombreux jeunes mineurs, qui sont en formation professionnelle, sous statut scolaire ou sous contrat d’apprentissage, ont-ils cet espoir légitime. Et d’ailleurs, tout le monde est satisfait, leurs enseignants, les employeurs, etc. Notamment dans des secteurs en tension, comme la restauration, le bâtiment travaux publics… où les employeurs peinent à trouver des jeunes aussi motivés.

Mais, à leur majorité, tout s’écroule.

La préfecture remet en cause l’authenticité de leurs documents d’état civil, les confisque systématiquement lorsqu’ils sont originaires de Guinée, et la plupart du temps s’ils viennent d’autres pays africains. L’obtention d’un passeport, pour lequel ils doivent solliciter leur ambassade, est rendue impossible sans document d’état civil. Ces jeunes sont en fait victimes de négligences commises par les administrations de leurs pays de naissance et ne peuvent être tenus pour coupables de ces situations.

Il leur est très difficile de se procurer de nouveaux documents car ils sont souvent orphelins et n’ont pas en général au pays de référent autorisé à faire ces démarches pour eux, ni les moyens d’en assumer les frais.

Ils se retrouvent, au jour de leurs 18 ans, obligés d’interrompre leur contrat de travail ou d’apprentissage, sans ressources et sans possibilité d’hébergement. Cette logique administrative plonge dans le désespoir ces jeunes pour lesquels la collectivité avait investi, en les condamnant à une errance clandestine et aux dangers qui en découlent.

Nous dénonçons ce gâchis tant humain que social, et demandons que des mesures soient mises en place afin de leur permettre de poursuivre leur parcours d’intégration, ce que justifient les efforts qu’ils ont fournis.

Nous demandons :
– qu’un récépissé autorisant au travail soit délivré aux jeunes majeurs, leur permettant de ne pas interrompre leur parcours d’apprentissage, et leur laissant un temps suffisamment long pour la régularisation des pièces demandées.
– que pour les ressortissants des pays dont il est avéré qu’il y a impossibilité à obtenir un passeport, soient acceptés les autres documents prouvant leur identité et leur nationalité, tels que l’autorise la loi.

Les membres du Collectif de soutien aux demandeurs d’asile et migrants :
ACAT Dijon / Action Catholique Ouvrière / AFRANE Bourgogne/ AGIRabcd 21 /Amis de la Confédération Paysanne/ Amnesty International Dijon /Association des Paralysés de France/ ATTAC 21 / ATMF Dijon / CFDT 21 / CGT 21/ Club Unesco Dijon / CCFD Terre Solidaire/ CNT 21/ Collectif du lycée d’accueil international Le Castel / Confédération Paysanne/ Confédération Syndicale des Familles / Espace Autogéré des Tanneries / Euphorbe en Illabakan / FCPE / FSU 21 / La Vie Nouvelle personnalistes et citoyens / Ligue des Droits de l’Homme / MAN / Mouvement de la Paix / MRAP/ Pastorale des Migrants / RESF 21 / SAF / SNES FSU / SOS Refoulement / SOS Racisme / Solidaires / Solidarité afghane /Sud santé sociaux/ UJFP / UNEF/ Tends la Main / Urgence Solidaire.
Les membres du Collectif soutien asile nord 21 :
Amnesty international Semur en Auxois / CCFD-Terre Solidaire / Emmaüs Planay / Ligue des droits de l’Homme, sections de Châtillon sur Seine et Montbard Auxois / MJC André Malraux / RESF / Secours Catholique
La Cimade Dijon
La Ligue de l’Enseignement de Côte d’Or

Vous pouvez signer la pétition en suivant ce lien.

Communiqué LDH – Sortir du cynisme en Méditerranée

2019_01_CP_LDH_sortir_du_cynisme_en_mediterranéeDepuis des mois, à chaque sauvetage de migrants en Méditerranée, les pays de l’Union européenne se renvoient la balle et l’indécision rend chacun complice d’un risque mortel. Ce fut encore le cas ces dernières semaines avec deux navires bloqués au large de l’île de Malte.

Face à cette urgence humanitaire, la France doit sortir de l’indifférence cynique actuelle et prendre l’initiative de sortir de cette impasse inhumaine.

Lire ci-joint le communiqué de presse de la LDH à ce sujet :

site.ldh-france.org/…/2019_01_CP_LDH_sortir_du_cynisme_en_mediterranée.pdf