La LDH de Dijon, en partenariat avec la librairie La Fleur qui pousse à l’intérieur, organise une conférence-débat le vendredi 4 mars, à 19h à la salle Camille Claudel (Dijon) :
Racisme en France : état des lieux – Connaître pour mieux combattre
A cette occasion nous accueillerons le politologueOlivier Le Cour Grandmaisonqui nous présentera notamment le livreRacismes de France(La découverte, 2020)qu’il a coordonné avec Omar Slaouti
Des associations luttant localement contre le racisme viendront également témoigner
Lira et Liana K ont trois ans et huit ans, elles sont nées en France de parents kosovars, vont à l’école à Dijon. Leur père et leur mère vivent en France depuis 10 ans. Leur sœur aînée âgée de 20 ans bénéficie d’un titre de séjour et fait des études pour travailler dans l’industrie. Leurs tantes sont citoyennes françaises.
Et pourtant, elles risquent d’être séparées de leur père aujourd’hui retenu en centre de rétention administrative et menacé d’expulsion alors qu’il remplit toutes les conditions pour être régularisé.
La seule « faute » qui lui est reprochée : une erreur dans ses démarches administratives.
La France est signataire de la convention internationale des droits de l’enfant qui garantit le droitdes enfants de vivre avec leurs parents. Ce droit doit être respecté. L’appliquer est une question d’humanité élémentaire.
Représentants des parents d’élèves, enseignants, habitants du quartier, associations, élus sont intervenus en sa faveur auprès du préfet de Côte d’Or. Ils doivent être entendus.
Monsieur K doit pouvoir rentrer chez lui à Dijon, vivre avec sa famille, travailler.
Rassemblement de soutien le mercredi 10 novembre à 8h30 devant l’école Jean-Baptiste Lallemand 1 bis Avenue du Lac Dijon
Les représentants des parents d’élèves de l’école Jean-Baptiste Lallemand
soutenus par :
– Collectif de soutien aux demandeurs d’asile et migrants ( ACAT Dijon / Action Catholique Ouvrière / AFRANE Bourgogne/ AGIRabcd 21/ AIDES Bourgogne Franche Comté/Amis de la Confédération Paysanne/ Amnesty International Dijon / APF France Handicap/ ATTAC21 / ATMF Dijon / CFDT 21 / CGT 21 /Clos exister/ Club Unesco Dijon / CCFD-Terre Solidaire / CNT 21 / Collectif du lycée d’accueil international Le Castel/ Confédération Paysanne/ Confédération Syndicale des Familles / Espace Autogéré des Tanneries / Euphorbe en Illabakan / FCPE / FSU 21 / LVN personnalistes et citoyens / Ligue des Droits de l’Homme / MAN / Mouvement de la Paix/Maison Phare Fontaine d’Ouche/ MRAP / Pastorale des Migrants / RESF 21 / SAF / SNES FSU / SOS Refoulement / SOS Racisme / Solidaires / Solidarité afghane / Sud santé sociaux / UJFP / UNEF/ Tends la Main / Urgence Solidaire ) /Cimade/ secours catholique
La ville de Dijon se prépare à accueillir la Marche des fiertés 2021 le samedi 25 septembre, dont le départ est prévu à 14h place Wilson.
Elle sera l’occasion de réaffirmer nos revendications, et de rappeler que le contexte sanitaire impacte particulièrement les personnes déjà fragilisées, précarisées et discriminées. Les associations organisatrices constatent que l’égalité des droits n’est toujours pas effective pour les personnes LGBTQI+, et que la communication gouvernementale ne masque pas l’insuffisance des lois et des budgets !
Elles revendiquent notamment des moyens pour l’accès à la santé, pour la lutte contre la transphobie, en particulier en milieu scolaire et une loi contre les « thérapies de conversion ». Parce que le respect de nos droits ne se négocie pas, parce que les prétendues « avancées » ne s’applaudissent pas, parce que la régression se combat, nous marcherons avec détermination ce samedi 25 septembre !
Marche organisée par l’association AIDES Dijon et soutenue par l’Autre Cercle Bourgogne Franche Comté, Gang Reine, le Planning Familial 21, les Orageus.e.s, SOS Refoulement, la Ligue des Droits de l’Homme, Amnesty International, Solidaires 21, la CFDT, la CGT et la FSU ; avec le soutien financier de la Ville de Dijon et de l’Amacod.
Dans le cadre du Festival des Solutions Écologiques organisé par la Région BOURGOGNE FRANCHE-COMTE du 6 au 12 septembre prochains, les sections locales de la Ligue des Droits de l’Homme et du Syndicat des Avocats de France vous invitent à une conférence – débat sur le thème : « La transition écologique par le droit? »
Depuis 2012, le préjudice écologique a été consacré par la justice. Il s’agit à présent de porter la voix de la protection de l’environnement pour qu’elle soit réellement respectée et que ses atteintes soient sanctionnées. La récente création du pôle régional de l’environnement au sein du Tribunal judiciaire de Dijon incarne cette dynamique.
C’est par des témoignages croisés de citoyens (désobéissants civils et bénévoles) et de professionnels (petites et grandes associations, avocats) engagés, que cette conférence propose de présenter un état des lieux et des pistes de réflexions communes, pour agir à l’échelle nationale et locale.
Programme prévisionnel :
Le droit comme moyen d’action innovant pour la transition écologique
Animation : Me Alexia GIRE, Avocate au Barreau de Dijon
Quelles impulsions nationales ? : Lionel BRUN-VALICON, Membre du Bureau de la Ligue des droits de l’homme, coordinateur du groupe de travail « Environnement et développement durable », Laure Abramowitch, Avocate au Barreau de Dijon,
Quelles applications et innovations locales ?
Existantes : Gilles Moyne et Lorane Mouzon, Centre Athenas (39)
A inventer :
Me Dominique CLEMANG, Ancien Bâtonnier du Barreau de Dijon, Avocate,
Militants pour la défense des Jardins de l’Engrenage (21),
Marion Leroy de la Brière, militante ANV Cop21 (58)
La conférence aura lieu le mercredi 8 septembre 2021 à 18h à la PENICHE CANCALE (Port du Canal à DIJON) – ENTRÉE LIBRE LES PLACES ETANT LIMITEES A 50 PERSONNES, MERCI DE VOUS INSCRIRE VIA LE FORMULAIRE: https://forms.gle/J1FySupm2RAek4TK9
Depuis 2012, le préjudice écologique a été consacré par la justice. Il s’agit à présent de porter la voix de la protection de l’environnement pour qu’elle soit réellement respectée et que ses atteintes soient sanctionnées. La récente création du pôle régional de l’environnement au sein du Tribunal judiciaire de Dijon incarne cette dynamique.
C’est par des témoignages croisés de citoyens (désobéissants civils et bénévoles) et de professionnels (petites et grandes associations, avocats) engagés, que cette conférence propose de présenter un état des lieux et des pistes de réflexions communes, pour agir à l’échelle nationale et locale.
Programme prévisionnel :
Le droit comme moyen d’action innovant pour la transition écologique
Animation : Me Alexia GIRE, Avocate au Barreau de Dijon
Quelles impulsions nationales ? : Lionel BRUN-VALICON, Membre du Bureau de la Ligue des droits de l’homme, coordinateur du groupe de travail « Environnement et développement durable », Laure Abramowitch, Avocate au Barreau de Dijon,
Quelles applications et innovations locales ?
Existantes : Gilles Moyne et Lorane Mouzon, Centre Athenas (39)
A inventer :
Me Dominique CLEMANG, Ancien Bâtonnier du Barreau de Dijon, Avocate,
Militants pour la défense des Jardins de l’Engrenage (21),
Marion Leroy de la Brière, militante ANV Cop21 (58)
La conférence aura lieu le mercredi 8 septembre 2021 à 18h à la PENICHE CANCALE (Port du Canal à DIJON) – ENTRÉE LIBRE LES PLACES ETANT LIMITEES A 50 PERSONNES, MERCI DE VOUS INSCRIRE VIA LE FORMULAIRE: https://forms.gle/J1FySupm2RAek4TK9
Depuis maintenant plusieurs mois nous constatons un climat politique et social alarmant. S’allier avec l’extrême droite ou reprendre ses idées ne constituent plus un interdit. Les propos et actes racistes et sexistes au travail et dans la vie se propagent. Les attaques contre les libertés et les droits sociaux s’accentuent gravement. Dans ce contexte politique, économique, social et sanitaire les injustices explosent et génèrent une forte misère sociale. Plusieurs lois liberticides organisent une société autoritaire de surveillance et de contrôle qui empêcheraient d’informer sur des violences policières, déjà trop importantes. De plus, si certaines de ces lois stigmatisent une partie de la population en raison de sa religion, d’autres en ciblent en raison de leur activité militante. Comme les signataires de l’appel pour les libertés et contre les idées mortifères de d’extrême droite (https://www.appelpourleslibertes.com), nous ressentons toutes et tous l’urgence de construire une réponse forte et unitaire qui dessine l’alliance des libertés, du travail et d’un avenir durable.Face à ce climat de haine, raciste et attentatoire aux libertés individuelles et collectives, nous avons décidé collectivement d’organiser le samedi 12 juin une première grande journée nationale de manifestation et de mobilisations. A Dijon, nous appelons à nous rassembler à 14h place de la République. Cette journée fait partie des initiatives unitaires qui se multiplient. D’ores et déjà, nos organisations syndicales, politiques, associations, collectifs, signataires de l’appel, ont décidé de co-construire ce combat dans la durée.
premiers signataires : UD CGT, FSU21, Solidaires21, Coordination SUD 21, Syndicat des Avocats De France, UNL Dijon et Antifasciste, Amis de l’Humanité/AdH21, Attac21, Collectif de soutien à la Maskarade BFC, LDH Dijon, Mouvement de la Paix, MRAP, SOS racisme, SOS refoulement, UJFP, Ensemble!21, La France Insoumise21, Mistoufle-FA, Nouveaux Démocrates, NPA21, Parti de Gauche21, PCF 21
La coordination
#StopLoiSécuritéGlobale appelle à de nouvelles marches des libertés
partout en France ce samedi 16 janvier 2021. A Paris, une manifestation
est prévue entre place Daumesnil et Bastille.
La proposition de loi dite « Sécurité
globale » a été votée par l’Assemblée nationale et poursuit son
cheminement parlementaire au Sénat. L’annonce par le gouvernement de la
réécriture du texte par une commission indépendante a fait long feu
puisqu’elle était tout simplement contraire au principe de séparation
des pouvoirs. Une commission sénatoriale a consulté certaines
organisations membres de la coordination en leur annonçant que l’article
24 de la loi serait bien réécrit pour être éventuellement introduit
dans l’article 18 de la loi dite Séparatisme.
Aucune annonce n’a été faite à propos des articles 21 et 22 concernant la surveillance généralisée par drone et par caméra piéton, ni sur le Schéma national du maintien de l’ordre (SNMO). Le président de la République n’a pas davantage répondu à notre demande de rencontre formulée dans une lettre ouverte envoyée le 14 décembre. C’est dans ce contexte que la coordination #StopLoiSécuritéGlobale a décidé de poursuivre sa mobilisation contre ces textes liberticides. Elle continuera jusqu’à ce qu’ils soient définitivement abandonnés.
A Dijon rassemblement samedi 16 janvier à11h devant la préfecture
La LDH soutient la mobilisation pour qu’Elvis, élève au lycée du Castel à Dijon, arrivé en France il y a 5 ans, ne soit pas expulsé, obtiennent un titre de séjour et puisse poursuivre ses études ici.
Nous vous invitons à signer et faire signer la pétition pour le soutenir
« Des tags
racistes sont apparus sur des vitrines à Dijon, comme dans d’autres villes.Ils
font suite aux crimes terroristes qui ont successivement touché notre pays.
Les commerçants ciblés l’ont été pour leur origine ou pour leur
religion, par un amalgame injustifiable avec les tueurs.
Nos associations alertent nos concitoyens sur ces entreprises de
stigmatisation d’une partie de la population assimilée au terrorisme , parce
que de confession musulmane.
Ces provocations à la haine sont le fait de provocateurs qui
cherchent à fracturer dangereusement la société et à en tirer parti. Nous
devons nous opposer collectivement à ces entreprises de divisions, dictées par
la haine et l’intolérance, et malheureusement, parfois activées par certains
politiques ayant des visées électoralistes. Il faut, ensemble, défendre ces
acquis communs que sont les droits et libertés qui fondent une société sociale
et laïque.
Nos associations, condamnent les auteurs de ces actes racistes
et islamophobes, soutiennent les dépôts de plainte des commerçants dont les
vitrines ont été dégradées et demandent que la justice se saisisse rapidement
des plaintes qui seront déposées. «
MRAP, LDH, CCIF, SOS Racisme , Amnesty International Dijon, UJFP
Venons le dire devant le tribunal jeudi 9 juillet à 8h15,
Avec la sortie du
confinement qui a mis en évidence toutes les inégalités de notre
société, on aurait pu espérer un peu plus d’humanisme de la part
des pouvoirs publics. C’est malheureusement loin d’être le cas en
Côte d’Or :
-Pour la première fois,
un jeune dijonnais d’origine étrangère est attaqué en pénal pour
le seul délit de vivre en France, pays où il a grandi, où vit sa
famille, où il a fait ses études . Il a été victime d’une
« obligation de quitter le territoire » pour être rentré
en France sans visa alors qu’il était enfant.
-La préfecture prétend
interdire aux associations sociales d ‘héberger des familles à la
rue , car elle veut les contraindre à être regroupées dans un lieu
de préparation aux expulsions alors même que leur dossier est
devant la justice.
-Il vient d’être annoncé
une convention entre Divia et la gendarmerie pour des « contrôles
d’identité aléatoires » dans les trams visant visiblement les
étrangers soupçonnés d’être en situation irrégulière en toute
violation des règles limitant les possibilités de contrôles
d’identité au cas de« risque effectif d’atteinte à la
sécurité des personnes ou des biens à l’endroit et au moment où
le contrôle est fait. «
-Le défenseur des droits
au niveau national vient de prendre une position condamnant
clairement les pratiques de la préfecture de la Côte d’Or visant à
expulser du territoire des jeunes arrivés mineurs sous prétexte que
les documents d’état civil validés par les ambassades de leurs pays
ne conviendraient pas aux service préfectoraux. Pour le moment, nous
attendons toujours un changement de pratiques.
Il ne peut y avoir d’état
de droit niant en permanence ceux des exilés
Le procès du jeune
« coupable » d’avoir grandi, étudié et d’être resté
en France a lieu ce jeudi au tribunal Bd Clémenceau à 8h30 . Nous
appelons à venir le soutenir à cette occasion et à affirmer notre
attachements aux libertés et au principe de fraternité
Collectif
de soutien aux demandeurs d’asile et migrants :
ACAT
Dijon / Action Catholique Ouvrière / AFRANE Bourgogne/ AGIRabcd
21/Aides / Amis de la Confédération
Paysanne/ Amnesty International Dijon / APF France Handicap/ ATTAC21
/ ATMF Dijon / CFDT 21 / CGT 21 / Club Unesco Dijon / CCFD-Terre
Solidaire / CNT 21 / Collectif du lycée d’accueil international Le
Castel/ Confédération Paysanne/ Confédération Syndicale des
Familles / Espace Autogéré des Tanneries / Euphorbe en Illabakan /
FCPE / FSU 21 / LVN personnalistes et citoyens / Ligue des Droits de
l’Homme / MAN / Mouvement de la Paix/ MRAP / Pastorale des Migrants
/ RESF 21 / SAF / SNES FSU / SOS Refoulement / SOS Racisme /
Solidaires / Solidarité afghane / Sud santé sociaux / UJFP / UNEF/
Tends la Main / Urgence Solidaire