des poissons rouges tournant en rond dans leur bocal !
La macronite&lepenite aigüe accédant au second tour. Résultat 2ieme tour : 44% à Macron + 25% d’abstention + 22% à Marine + 9% de blanc ou nuls = 100%
Et s’il s’agissait du même bocal, le national-libéralisme ; c’est le nationalisme pour les pauvres, et le libéralisme pour les riches. On jette en pâture le nationalisme, l’identité, aux pauvres. Et les riches jouissent du libéralisme économique et financier. Pourquoi devrions-nous toujours avoir le nez collé au verre de ce bocal?
S’adapter à la mondialisation, ou accepter le repli identitaire ? Nombreux sont ceux qui réduisent le champ des possibles à ces deux seules options pour justifier le vote utile, disqualifier la recherche d’une alternative. Dans un essai décapant, le politologue Jean-François Bayart, directeur de recherche au CNRS et spécialiste de l’étude des État-nations, montre au contraire comment la globalisation et le repli national-identitaire, loin d’être antagoniques, fonctionnent ensemble, enfermant nos sociétés dans une nouvelle impasse, dont il est urgent d’en sortir par la construction d’« un nouvel universalisme politique ».
La montée des inégalités, de la précarité, de la désespérance sociale, de la perte du savoir-faire à la désindustrialisation, du recul en droits humains et simultanément l’accélération du réchauffement climatique et de la perte de biodiversité, ne sont que des suites stupides, répétitives, à long terme, qu’engendre la cupidité de rentiers de l’économie de marché globalisé, d’un totalitarisme qu’il faudrait continuer à « libérââliser » ? L’unique accentuation que de la richesse financière, ce credo mine nos sociétés, implose l’humanité, déséquilibre notre planète et hypothèque notre avenir proche et descendance, grossissant ainsi proportionnellement le terreau sur lequel prospère l’autre totalitarisme ne réactivant que la tectonique des luttes de classe, de religion, d’origines des peuples ; un jeu d’égos à l’encontre d’égaux ne menant qu’à la destruction des valeurs humaines, des droits de vie et la désertification de notre planète. Là où les totalitarismes passent, l’équilibre de notre planète trépasse ; il nous reste la solution de les mettre à la rue, les faire embarquer au plus vite sur mars ou sur la lune avec quelques jouets- robots pour leur mégalomanie ! source: https://www.bastamag.net/Trump-Poutine-Erdogan-Le-Pen-C-est-le-nationalisme-pour-les-pauvres-et-le
Le célèbre astrophysicien, qui donnait encore à l’humanité 1000 ans à vivre, vient de rabaisser l’échéance à 100 ans et recommande de faire de la colonisation d’autres planètes une priorité pour avoir une chance de survivre.
Stephen Hawking, dont la parole est souvent écoutée, a une nouvelle fois fait une prévision alarmiste quant à la survie de l’espèce humaine. Lui qui affirmait il y a encore quelques semaines que nous disposions d’un millénaire pour trouver une solution, vient de réduire ce délais à seulement un siècle. D’après lui, il nous reste 100 ans pour trouver une nouvelle planète et commencer à la coloniser.
Stephen Hawking est particulièrement pessimiste sur l’avenir de l’humanité
Le célèbre astrophysicien participe à une émission qui sera diffusée par la chaîne britannique BBC intitulée Tomorrow’s World. Dans cette série documentaire, le scientifique et son équipe parcourent le monde à la recherche des avancées scientifiques qui permettront de quitter la planète.
Il y a peu Stephen Hawking affirmait : « Je crois que la vie sur terre risque d’être à tout moment balayée par un désastre, tel qu’une guerre nucléaire soudaine, un virus génétiquement modifié, ou d’autres dangers. Je pense que la race humaine n’a aucun avenir si nous n’allons pas dans l’espace ». Il estimait que la Terre subirait un évènement critique dans les 1.000 à 10.000 prochaines années, mais le scientifique est désormais convaincu que la démographie galopante, le peu de mesures entreprises par les hommes pour ralentir et inverser le réchauffement climatique et certaines avancées trop rapides et sans contrôle dans le domaine de l’intelligence artificielle, réduisent considérablement les chances de survie de l’humanité si l’homme ne dispose pas d’une planète viable pour commencer la colonisation.
Un siècle pour quitter la Terre…
Seul soucis, envisager un grand déménagement vers l’inconnu est une bonne idée, sauf qu’en l’état des moyens dont disposent l’humanité, l’unique planète à portée de main est Mars et il s’agit d’une planète dont les conditions sont très défavorables à notre espèce. Le délais de 100 ans annoncé par Stephen Hawking est dont très loin d’être suffisant, car les éventuelles planètes candidates au statut de “potentiellement habitable”, se trouvent à des années lumière de notre système solaire, des distances que l’homme ne peut matériellement pas franchir à ce jour… Pour information, l’objet le plus loin de la Terre est Voyager 1, il se trouve à seulement 20 milliards de kilomètres et aura mis 40 ans pour en arriver là !
Plutôt que la fuite toujours en avant dans la croissance des profits pour quelques-uns, dans l’adoration de l’élite aux commandes, le meilleur moyen pour assurer la survie de l’humanité sera tout simplement de reprendre notre place d’humble locataire de notre planète, de prendre enfin soin de la Terre et de l’environnement en général, afin d’avoir un futur d’Homme respectueux dans ses droits et devoirs à offrir aux générations suivantes ?
Ldh91-R.André / source http://www.begeek.fr/dapres-stephen-hawking-reste-100-ans-a-vivre-238890
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