« Stop aux violences sexistes et sexuelles », Paris, 23 novembre, place de l’Opéra

Marche #NousToutes

 

rendez vous LDH  Devant La brioche dorée,

angle place de l’Opéra / rue du 4 septembre; 

Pl. de l’Opéra > République > Nation 


Samedi 23 novembre, RDV national à Paris pour marcher contre les violences sexistes et sexuelles

Nous appelons toutes celles et tous ceux qui veulent en finir avec les violences sexistes et sexuelles et avec les féminicides à marcher le samedi 23 novembre, à Paris.

Chaque jour, dans notre pays, des femmes sont victimes de violences psychologiques, verbales, économiques, médicales, physiques ou sexuelles. Une femme meurt tous les 2 jours assassinée par son compagnon ou son ex-compagnon. Qu’elles aient lieu à la maison, au travail ou dans la rue, les violences ne sont pas une fatalité. Jamais.

Avec cette marche, nous dirons notre exigence d’un monde dans lequel les violences n’ont pas leur place. Les femmes et les enfants, aujourd’hui victimes de violences, peuvent être protégé·e·s. Les femmes et les enfants en danger peuvent être mis·es en sécurité. Les criminels doivent être sanctionnés.

Avec cette marche, nous rappellerons que c’est notre droit fondamental de vivre à l’abri des violences. Ce droit est chaque jour bafoué dans une indifférence qui nous sidère.

Avec cette marche, nous ferons entendre nos voix dans chaque famille, entreprise, administration, quartier, école, hôpital et association. Dans tous les espaces de vie, la question des violences doit être posée. Et traitée.

Avec cette marche, nous porterons la voix de toutes celles qui, parmi nous, cumulent les violences en raison de leur situation de handicap, de vulnérabilité, de leur âge, de leur origine sociale, de leur statut de migrantes, de leur orientation sexuelle, de leur identité de genre ou parce qu’elles sont racisées.

Avec cette marche, nous porterons la voix des milliers d’enfants victimes ou co-victimes de violences. Nous dénoncerons les décisions de justice qui relaxent des pédocriminels en bafouant les droits les plus élémentaires des enfants.

Avec cette marche, nous porterons la voix de celles qui ne peuvent plus parler. Celles qui ont été assassinées parce qu’elles étaient des femmes. Nous n’arrivons plus à compter les cas où les féminicides auraient pu être évités. Nous proclamerons notre colère de voir que les pouvoirs publics leur ont tourné le dos, classant leurs plaintes, refusant d’entendre leurs appels à l’aide.

Avec cette marche, nous ferons en sorte que les pouvoirs publics prennent enfin des mesures à la hauteur. Les demi-solutions ressassées depuis des décennies ne fonctionnent pas. Un Grenelle ne suffira pas. Le gouvernement doit passer à la vitesse supérieure et débloquer un milliard d’euros pour financer des politiques publiques qui touchent l’ensemble de la population. La société est prête à se mettre en mouvement contre les violences. Il manque aujourd’hui la volonté politique et les moyens.

Les solutions pour faire sortir la France des violences existent. Mieux, elles sont connues et reconnues. Les associations de terrain en parlent. Sans cesse. Parmi elles : formation des professionnel·le·s à détecter les violences et à réagir de manière efficace, ouverture de places pérennes d’hébergement dans des lieux dédiés, démultiplication des ordonnances de protection et systématisation des bracelets électroniques pour les compagnons violents condamnés, campagnes de communication continues et nationales sur le modèle de celles que l’on a connues pour la sécurité routière, prévention obligatoire et systématique à l’école, obligation faite aux entreprises de prévenir effectivement les violences sexistes et sexuelles au travail et de protéger les femmes victimes de violences conjugales.

Le 23 novembre nous marcherons. Nous exprimerons notre force, notre colère et notre détermination. Nous sommes déjà des milliers. Et nous allons en finir avec les violences sexistes et sexuelles.

Rejoignez-nous.

Libertés menacées, état d’urgence, mouvements sociaux, contrôles , soirée de débat Nanterre Université, 28 novembre

Ciné rencontre  » Pour Sama, Saint Ouen, 25 novembre

A l’invitation d’Amnesty international 

Hélène Mathonnière  présentera le film  Pour Sama ». 

espace 1789 – Saint Ouen

25 novembre 2019, à 20h15  précises  

 

 

La LDH qu’est-ce que c’est, comment ça fonctionne ? journée du 16 novembre, Paris

 Rencontres régionales de la LDH en Ile-de-France

La LDH qu’est-ce que c’est, comment ça fonctionne ?

 

Samedi 16 novembre 2019 de 10h à 16h30

LDH – 138, rue Marcadet – 75018 Paris (M° Lamarck-Caulaincourt)

Que vous ayez rejoint la LDH tout récemment ou bien de longue date, que vous envisagiez ou non d’exercer des responsabilités au sein de votre section…

Que vous souhaitiez découvrir ou faire plus amplement connaissance avec le fonctionnement de votre section, de votre fédération ou de la LDH en général…

Quels que soient votre parcours, vos projets, vos ambitions, vos questions…

Cette journée est pour vous !

La LDH est l’affaire de toutes les ligueuses et tous les ligueurs ;venez échanger vos idées, partager vos expériences et contribuer à la vie de notre association.

Pré – programme

Accueil des participants à compter de 9h30 – Début des travaux à 10h

1 – Présentation rapide de la LDH- quelques dates, quelques chiffres clés.

2 – Les différentes instances de la LDH

3 – La section structure de base dans la LDH

Que doivent faire, que peuvent faire les sections ?

4 – Chaque ligueuse, chaque ligueur, doit pouvoir trouver sa place dans sa section.

12h30 – 14h00 –Déjeuner sur place à réserver (repas indien 12€)

14h00 – 16h

1 –Questions d’actualité

2 –De la théorie à la pratique – Construire la section idéale

Comment les sections déclinent-elles leur action dans leur fonctionnement.

Et si chacun imaginait assurer la présidence de sa section, que ferait-il ?

Travail en groupes , mise en commun

Conclusion 16h00/16h30

Bulletin d’inscription et informations pratiques :page suivante

Inscrivez-vous dès maintenant à l’adresse : ldhidf@ldh-france.org

en envoyant les informations suivantes :

Objet : inscription formation la LDH qu’est-ce que c’est? 2019

NOM :

Prénom :

Section :

Responsabilité : adhérent, membre du bureau, secrétaire, trésorier(e), président(e)

Téléphone :

Courriel :

Réservation déjeuner (12 euros à régler sur place) : oui ou non (rayer la mention inutile)

 

observatoire des pratiques policières de Seine-Saint-Denis, création le 9 octobre

Réunion de lancement de

l’observatoire des pratiques policières de Seine-Saint-Denis

Réunies par une préoccupation commune face à l’ampleur des dérives dans l’emploi de la force publique et aux dysfonctionnements du service public de la sécurité, nos organisations appellent toutes les militantes, tous les habitants concernés, spécialistes ou non, à contribuer aux travaux de l’Observatoire, à faire connaître son existence et à informer largement la population sur les droits et les libertés face aux abus.

Après une présentation générale et une prise de parole des organisations qui fondent l’Observatoire, un échange s’engagera avec la salle.

Membres et partenaires de l’Observatoire des pratiques policières 93 : CEMEA Île-de-France, Femmes Solidaires de Saint-Denis, LDH 93, MRAP Saint-Denis, Nénuphar Pantin, Observatoire de la Fraternité 93, SAF Bobigny, Zonzon 93.


Salle Henri Oreste

l’Observatoire des pratiques policières de Seine-Saint-Denis

Depuis plusieurs années, la mise en œuvre de lois sécuritaires alimente un climat de tension entre la police et la population, au prétexte du maintien de l’ordre public.

Dans les rues, les quartiers, les commissariats, les relations de la police avec la population se dégradent.

L’instrumentalisation des forces de police et de gendarmerie par le Gouvernement aboutit, de fait, à faire obstacle à l’expression de la contestation dans l’espace public, notamment par l’emploi d’armes de guerre (LBD, grenades GLI F4…), d’abord dans les quartiers populaires, à l’encontre des jeunes en particulier, puis lors des manifestations, avec pour conséquence des traumatismes, des blessures graves, ou même des mutilations.

Ces dérives dans l’emploi de la force publique, avec leur cortège de contrôles abusifs et de violences, procèdent d’une même doctrine d’engagement, non pas justifiée par l’ordre et la paix publiques, mais par un objectif de contrôle politique et social. Cela conduit à remettre en cause l’exercice des droits et des libertés, en plus d’empêcher les agents de police d’être véritablement au service de la collectivité.

Ce n’est pas nouveau, mais la période récente a vu une multiplication de cas très graves que les institutions ne reconnaissent que marginalement, quand elles ne sont pas dans le déni, quelque chose que la Seine-Saint-Denis entre autres connaît bien depuis de nombreuses années dans les rapports de la population avec la police. Les difficultés à déposer plainte, notamment pour les femmes victimes de violence, sont un autre signe du dysfonctionnement de ce service public.

Parce que nous refusons de nous résigner face à l’iniquité, parce que nous sommes convaincues que la diffusion de l’information et l’élargissement du débat public sur ces questions peuvent contribuer à éveiller les consciences, nous, organisations locales et réseaux nationaux, militantes ou habitants concernés, spécialistes ou non, voulons participer à documenter ces pratiques abusives, à notre échelle, depuis la prise de décision d’engager des forces de police jusqu’au suivi judiciaire.

Nous créons donc un observatoire des pratiques policières en Seine-Saint-Denis.

Des observatrices et observateurs seront présents sur les lieux où s’exercent ces pratiques et recueilleront des témoignages. Des rapports et analyses seront rendus publics afin de sensibiliser les citoyens, les acteurs de la justice et les pouvoirs publics, d’alimenter le débat d’intérêt général sur les libertés et d’apporter une réponse collective à ces dérives.

Informations : contact@obs93.org

Rendez vous en Préfecture, RV le 9 octobre Hauts de Seine, Val de Marne, Seine St Denis

 
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Bonjour à tous ! 

le 9 octobre, nous proposons de se mobiliser avec tous les membres du Collectif Droit à l’Accueil et surtout tous ceux qui le souhaitent, pour l’accès aux services publics des préfectures par les personnes étrangères qui aujourd’hui n’arrivent plus à prendre RDV par internet. 
La réunion de ce soir a porté ses fruits. Avec Philippe (RESF), Toussaint, Marie-Françoise (tous deux citoyens engagés), Chantal (CCFD), Abdelkrim (Secours Catholique 92), Gérard (SMR Rueil), Sophie (MRAP Nanterre) et Mélanie (ASTI-RESF Nanterre) qui se sont mobilisés malgré l’appel au dernier moment, nous avons travaillé sur un format pour le 9 octobre. 

 

dans les Hauts de Seine :

  1. Rencontre régionale le matin (heure à définir autour de 10h ou 11h) au tribunal administratif de Montreuil dans le 93 afin de déposer symboliquement nos dossiers de contentieux.
  2. A 15H, RDV à la Préfecture de Nanterre.Nous marcherons pour faire une boucle en passant par la Défense, et revenir à la préfecture de Nanterre. L’objectif est de communiquer au grand public et inviter à nous rejoindre. Sur cette route, nous symboliseront les files d’attentes virtuelles par une file fantôme : nous déposerons des fantômes sur le chemin, symbolisés par 3 bâtons recouverts d’un tissu et d’un ballon de baudruche avec la tete du fantôme. Pour cela, nous avons besoin de bâtons et de tissus en nombre !!! 
  3. Sur la route puis à l’arrivée à la Préfecture, nous constituerons une montagne d’ordinateurs dessinés sur des cartons, montagne qui tombera sous notre passage. Nous avons donc besoin de beaucoup de cartons les plus grands possibles pour coller ensemble des ordinateurs dessus et des messages ! 
  4. Nous aurons évidemment des banderoles à fabriquer, de matériel pour cela et de personnes pour les écrire
  5. A l’arrivée à la préfecture vers 17h-17h30, nous ferons un tour de parole de témoignages de diverses personnes qui ont vécu indirectement ou directement ces obstacles aux rdv. D’ores et déjà, contactons ceux que nous connaissons dans cette situation et proposons leurs de témoigner. Dès que vous avez des personnes en tête, merci de me le dire, j’ai une aide pour aider à constituer un récit qui permette qu’une personne soit à l’aise de raconter ce qui lui est arrivé. reconstituerons la pile d’ordinateurs, passerons dessus sur le passage, puis les accrocherons aux grilles de la Préfecture. 

La Réforme de la justice, Nogent sur Marne, 3 octobre

 

Soirée débat sur la Réforme de la Justice ,

co-organisée par la LDH Section de Fontenay – Nogent sur Marne 

Avec des intervenants de la LDH  et du Syndicat des avocats de France    

à Nogent  le 3 octobre, 20h30  Espace Simone Weil 

 

Journée d’étude « Droits des étrangers » , Comité Régional Ile de France, Paris, 12 octobre

INFORMATION-FORMATION Droits des étrangers »
Samedi 12 octobre 2019 de 9h30 à 16h30
138, rue Marcadet –   75018 Paris

Journée d’étude « Droits des étrangers »
proposée par le Comité Régional Ile de France et le
Groupe de Travail LDH : étrangers et immigrés

 

 

Programme
Accueil des participants à partir de 9h.

Au cours de l’année 2018, deux lois ont modifié et complexifié la procédure d’asile (loi du 20 mars 2018 sur
l’application du régime d’asile européen et la loi du 10 septembre 2018 « pour une immigration maîtrisée, un droit
d’asile effectif et une intégration réussie »).
Plusieurs mois après l’entrée en vigueur des ces nouvelles dispositions, il nous a semblé nécessaire de faire le point
sur la procédure d’asile.

 

9h : Accueil des participants
9h30 : Ouverture par les co-déléguées du Comité Ile de France ( Sylvie Haton et Annie Jubert)
9h 35 – 10h30: Le parcours du demandeur d’asile
Structures d’accueil (SPADA, PADA), centres d’accueil et d’examen des situations, guichet unique, OFPRA,
CNDA…la course d’obstacles du demandeurs d’asile.
Intervenants : Dom’Asile (sous réserve)

10h30 – 11h30: L’hébergement et les droits sociaux des demandeurs d’asile
L’hébergement des demandeurs d’asile, l’allocation pour demandeur d’asile (ADA), la domiciliation, le droit au
travail…..
Intervenants du collectif des travailleurs sociaux

11h30 – 12h30: Comment accompagner les demandeurs d’asile en procédure « Dublin » ?
Le règlement Dublin III prévoit qu’un seul Etat européen, déterminé en fonction de différents critères, est compétent
pour l’examen de la demande d’asile.
Les pouvoirs publics français font un usage à outrance de ces dispositions pour refuser d’examiner la demende d’asile
et tenter de renvoyer les demandeurs d’asile vers l’Etat dit « responsable » de l’examen de la demande d’asile.
Comment aider et accompagner les demandeurs d’asile placés en procédure « Dublin » ?
Intervenante: Caroline MAILLARY – GISTI
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12h30 – 14h Déjeuner (possibilité d’un repas indien sur place, voir bon de réservation cijoint.)
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14h: Débat / échanges de pratiques : agir pour changer le regard sur les migrations, combattre les idéologies
xénophobes !     Intervenante:Catherine Teule
16h00 : Evaluation et conclusion de la journée.

 

Informations pratiques
Restauration prévue sur place (repas indien) : 12 euros (à régler sur place) mais réservation préalable
indispensable avant le 5 octobre à l’adresse suivante : ldhidf@ldh-france.org
Des documents relatifs au thème traité seront mis à la disposition des participants

 

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Inscription obligatoire par mail à ldhidf@ldh-France.org (bulletin ci-dessous)

INSCRIPTION A LA JOURNÉE DU 12 OCTOBRE 2019
Merci de renvoyer ce bulletin d’inscription rempli à la LDH IDF par mail à : ldhidf@ldh-france.org
NOM :
Prénom :
Section :
Téléphone :
courriel :
Je m’inscris à la journée de formation du 12 octobre 2019
Je réserve un déjeuner (12€ à payer sur place) (cocher  la case pour réserver)

Fête de l’Humanité. Stand avec débats, discussions, La Courneuve, 13 au 15 septembre

 

 

Comme chaque  année, la fédération 93 de la LDH, avec le soutien des fédérations IDF

tiendra un stand avec débats, discussions. 

Lire le programme complet des débats du village de l’ESS

Débat : « Menaces sur les libertés associatives »

Le dimanche 15 septembre à 11h45, en présence de Marie-Christine Vergiat, vice-présidente de la LDH.

Assignations à résidence, interdiction de manifester, répression d’action non-violente ou de solidarité, pressions sur les subventions publiques, généralisation des appels à projet et rétrécissements des contrats d’objectifs… L’engagement associatif est l’objet de pressions et de pénalisation croissante. Comment réaffirmer ce droit fondamental acquis depuis plus d’un siècle ?

Débat : « Discriminations à l’accès au logement. Le droit à un toit »

Le dimanche 15 septembre à 10h30, organisé par la fédération LDH de Seine-Saint-Denis.

L’accès à un logement est un véritable parcours du combattant pour de nombreux habitants d’Ile-de-France ou d’autres régions : logements sociaux insuffisants, logements vétustes et insalubres, loyers inabordables, accès à la propriété difficile voire impossible… Des collectivités locales, des associations, se battent au quotidien pour défendre le droit à un toit de leurs habitants, en soutenant par exemple l’instauration du permis de louer, l’interdiction des expulsions sans solution durable.

 

 

 “De l’art de tisser les luttes et les alternatives.’ –  Paris 10, 18 juin

 

Rencontre avec Pınar Selek  animée par Lindgaard Jade autour du livre

« L’insolente » Mardi 18 juin à 19h à la Médiathèque Françoise Sagan

 “De l’art de tisser les luttes et les alternatives.’ 

 

 

 

Sociologue, militante antimilitariste féministe et écrivaine turque, Pinar Selek présente le livre L’insolente, dialogues avec Pinar Selek, de Guillaume Gamblin (éd. Cambourakis).

Lorsque Pinar Selek rencontre le célèbre journaliste arménien de Turquie Hrant Dink, qui sera assassiné en 2007, celui-ci la surnomme affectueusement «L’insolente». Il avait raison : elle est insolente, partout, en Turquie comme en France.

Pinar Selek est surtout connue en raison de la répression dont elle est victime depuis plus de 20 ans de la part de la justice turque. Dans ce livre, elle revient sur son parcours, son enfance, ses combats auprès des opprimé-es : avec les enfants des rues d’Istanbul, les prostituées, les Kurdes, les Arménien-nes.

Elle raconte la torture et la prison, mais aussi la création d’un atelier des artistes de rue, d’une coopérative féministe ou d’une plateforme d’écologie sociale. Aujourd’hui exilée en France, elle poursuit ses recherches universitaires, mais elle continue avant tout son combat pour décloisonner les luttes et ouvrir des voies créatives vers une autre société.

 

Rencontre organisée par
L’Assemblée Citoyenne des Originaires de Turquie – L’ACORT
La Revue Silence 
Le mouvement Charjoum 
En partenariat avec
– Attac Paris centre 
– Ensemble, nous sommes le 10e
– Ligue des droits de l’Homme Paris 10/11