Alors que le Parlement européen envisage d’interdire le déploiement de ces technologies de surveillance, la France, en autorisant la VSA, fera cavalier seul et tentera ainsi une « expérimentation » dont de nombreux acteurs associatifs et experts estiment qu’elles constituent une menace pour les libertés publiques (droit de circuler, droit de manifester entre autres).
Reposant sur l’usage de données biométriques recueillies sans notre consentement, la VSA est tout aussi dangereuse pour nos libertés que ne l’est la reconnaissance faciale. Le risque de discrimination et de criminalisation d’un certain nombre de « comportements » dans l’espace public (se tenir statique, courir, porter une banderole, etc.) est manifeste.
NOUS NE VOULONS PAS ETRE CONSIDERES COMME TOUS SUSPECTS !
Nous ne voulons pas que, sous prétexte de sécuriser ces compétitions, l’État français et les entreprises qu’il mobilisera pour déployer ces technologies à grande échelle et aux frais du contribuable, disposent de moyens de contrôle social similaires à ce que l’État chinois a mis en œuvre pour surveiller certaines populations
Signez la pétition à l’intention de la présidence de la MEL et des pouvoirs publics locaux demandant un moratoire sur la mise en place de la surveillance généralisée et automatisée de l’espace et des transports publics dans la métropole lilloise
NON A LA VIDEOSURVEILLANCE ALGORITHMIQUE !
-
Rencontres en librairie avec Sonia Fayman et Béatrice Orès
Save the Date, 27 mars 19h : Nous vous invitons à une rencontre avec Sonia Fayman et Béatrice Orès autour de leur livre « Antisionisme, une histoire juive ». Avec Amitie Lille… Lire la suite Rencontres en librairie avec Sonia Fayman et Béatrice Orès
-
VIOLENCES POLICIÈRES : UN AUTRE MAINTIEN DE L’ORDRE EST POSSIBLE
https://www.ldh-france.org/violences-policieres-un-autre…/ L’année 2023 a été marquée par un nouveau tournant dans la gestion autoritaire du gouvernement en matière de maintien de l’ordre. Mobilisation sociale contre la réforme des retraites, action… Lire la suite VIOLENCES POLICIÈRES : UN AUTRE MAINTIEN DE L’ORDRE EST POSSIBLE