Archives des articles
Soirée théâtre-débat sur l’engagement citoyen
20 janvier 2012, espace Courbet, Lorient. Pièce Rêvolutions de Pascal Guin mettant en scène des moments et des textes clefs, expressions d’une progression vers la démocratie en France depuis la révolution. Spectacle suivi d’un débat sur la conception et les enjeux de l’engagement citoyen, initié par Pascal Guin et le président de la LDH Lorient Alain Simon.
Conférence-débat: Statut-socio-économique des femmes en France aujourd’hui
Ligue des Droits de l’Homme Section de Lorient |
Conférence-débat:
Quelle est la situation
économique et sociale
des femmes en France ?
Par Isabelle Pineau
de l’association « Questions d’égalité »
Vendredi 13 mai
20 h 30
Maison des Associations
Cité Allende bâtiment A salle A02 Lorient
Entrée libre et gratuite
Concours « Filles garçons Egalité »
En dépit de certaines avancées, l’égalité filles-garçons, femmes-hommes reste dans bien des domaines à conquérir.
En choisissant ce thème pour le concours 2011, La LDH souhaite amener candidates et candidats à se pencher sur un certain nombre de réalités qui clivent encore le destin des filles et des garçons dans notre pays et partout dans le monde, tout en évitant d’enfermer les unes dans le rôle de victimes, les autres dans celui de bourreaux.
Conférence-débat sur la Tunisie
Mardi 1 er mars 2011 à 20 h30 à la médiathèque de Lanester. Soirée débat organisée par le Crisla, en partenariat avec la Ligue des Droits de l’Homme. Entrée libre et gratuite.
avec Mouhieddine Cherbib, ancien président de la fédération des Tunisiens citoyens des deux Rives (FTCR) et membre fondateur du comité pour le Respect des libertés et des droits de l’Homme en Tunisie (CRLDHT).
Formation des nouveaux ligueurs.
Qu’est-ce que la Ligue des Droits de l’Homme ? Définir ses enjeux.
Samedi 26 février 2011 de 10 h à 12 h. A la Cité Allende
LOPSSI2
Le projet de « loi d’orientation et de programmation pour la performance et la sécurité intérieure », dite LOPPSI 2, est examiné en seconde lecture par l’Assemblée nationale le mardi 14 décembre 2010.
Selon toute vraisemblance, le texte sera adopté – au mieux – en l’état. Cependant, des risques d’aggravation sont toujours possibles.
Le projet de loi en discussion est un agrégat hétéroclite de dispositions techniques, un véritable fourre-tout législatif, dont la lecture est loin d’être aisée. Cette difficulté de lecture élude les débats parlementaires et publics, et empêche les acteurs de prendre du recul.
Or, il s’agit d’un texte éminemment politique qui insiste sur le fichage, la surveillance, le contrôle et l’enfermement, mettant ainsi en avant les valeurs que le gouvernement veut imposer à la société : répression, exclusion, stigmatisation, suspicion.
Le texte gouvernemental en cours d’examen relaie un discours politique sécuritaire qui utilise la figure du délinquant pour entretenir le fantasme de l’ennemi intérieur.
C’est ainsi que tout au long des 48 articles composant le texte de loi, les mesures dérogatoires au droit commun deviennent la norme, la surveillance et le contrôle social s’étendent, et l’objectif de réinsertion disparaît à chaque peine.
Le projet de loi est donc dangereux. Il est essentiel que nous en ayons connaissance pour mieux en combattre les effets pervers.
4 juin 2010. Hortefeux condamné pour injure raciale.
Sont en cause ses propos prononcés en septembre 2009 sur les Arabes (quand il y en a un ça va…) dans le cadre d’une réunion UMP.
3 juin 2010. La Halde cannibalisée.
3 juin. La Halde cannibalisée. Jeannette Bougrab nommée nouvelle présidente de la Halde en avril ne comprend pas que l’on remette en cause une institution qui fonctionne (14 000 réclamations par an sont traitées). La Halde est en effet également concernée par l’intégration dans la fonction de défenseur des droits. Celui-ci aura moins de temps à consacrer à la lutte contre les discriminations et ne sera pas obligé de suivre les délibérations de son collège.
1er juin 2010. Suppression de la CNDS et du défenseur des enfants.
1er juin. Suppression de la CNDS et du défenseur des enfants. Dans une tribune du journal Le Monde, Lionel Jospin dénonce la suppression de ces 2 institutions créées par son gouvernement. Il souligne que le défenseur des droits censé intégrer leurs rôles sera moins collégial et disposera de moins de pouvoir d’enquête. Il s’agit selon lui de « régressions inacceptables« .