Catégorie : Archives de Saintes

La LDH Saintes partenaire du groupe local de concertation Prision de Saintes vous informe

Dans le cadre des Journées nationales prison, le groupe local de concertation prison de Saintes composé de 11 associations humanitaires, invite le public à deux rendez-vous:

dimanche 22 novembre :

visite/parcours (1h30) intitulé Lieux d’enfermement à Saintes pendant la 2° guerre mondiale avec Muriel Perrin directrice de l’Atelier du patrimoine de Saintonge : RDV devant le collège René-Caillé – visite gratuite

vendredi 27 novembre à 20h30 :

projection/débat sur Mères et bébés en prison avec la projection du film Ombline de Stéphane Cazes (2012) et pour animateurs du débat Jean-Luc Douillard psychologue et Jeannette Favre présidente de l’association Solidarité prison en partenariat avec le Gallia-Cinéma : entrée payante.

Lire la suite »

LDH SAINTES – SOIGNER LES PERSONNES VICTIMES DE TORTURES

Les Présidents et membres des associations
Ligue des Droits de l’Homme – section de Saintes
Association Solidarité Saintonge Syrie
vous invitent à participer à la soirée
Lectures de témoignages suivies de la conférence

« SOIGNER LES PERSONNES VICTIMES DE TORTURES »
par Madame Sibel AGRALI,
Directrice du Centre de soins Primo Lévi

le JEUDI 12 NOVEMBRE 2015 à 20h30

Auditorium de la Salle Saintonge – rue Chapsal – 17100 SAINTES

Affiche Saintes 12-10-2015

Lire la suite »

La LDH Saintes partenaire du comité anti expulsion vous informe :

Affiche 14 nov

Le CAE, Comité Anti Expulsion Saintais, actif sur la Saintonge depuis une dizaine d’années, s’est fixé pour objectif d’aider les familles (ou individuels) en attente d’autorisation de séjour dans les démarches administratives propres à leur faire attribuer ces autorisations (demandes d’asile, dossier de demande à la Préfecture, recours en cas de refus…).

Le CAE s’efforce aussi de les assister dans la recherche d’hébergement, dans la scolarisation des enfants, dans le domaine de la Santé, etc.

Il participe également dans la mesure de ses moyens financiers aux frais de transports vers les préfectures (département ou région) et vers la capitale (OFPRA, CNDA), ainsi qu’au règlement des très lourdes taxes de régularisation exigées par l’Etat.

Le 14 novembre 2015 , à 18 h en la cathédrale de Saintes, Cédric Burgelin, titulaire des orgues de Saint Pierre donnera un Concert Solidaire  – oeuvres classiques et populaires – . Des textes seront dits par Jenny Leignel.

Entrée libre – Une collecte sera organisée au bénéfice du Comité Anti Expulsion de Saintes

Lire la suite »

Migrants en Méditerranée – L’Europe doit agir –

insert_lemonde_AI_mediterranee

Loi sur le Renseignement – Avec la section de Saintes de la LDH Dites NON

Le projet de loi relatif au renseignement met en danger les libertés fondamentales
* Surveillance de masse des citoyens
* Pas de contrôle des service de renseignement
* Légalisation des pratiques illégales
NON à la surveillance généralisée !
Mobilisons-nous contre le projet de loi relatif au renseignement !
Adressez une lettre à notre députée.
Les débats sur le projet de loi relatif au renseignement débuteront lundi 13 avril 2015 à l’Assemblée nationale.

Le gouvernement a fait le choix de confisquer le débat démocratique en soumettant ce texte à la procédure accélérée et en entretenant la confusion sur l’objet de ce texte, présenté à tort comme une loi antiterroriste. L’urgence décrétée renvoie dans l’ombre le véritable sujet : les pouvoirs de surveillance de l’État sur les citoyens.

La communication gouvernementale ne doit pas nous tromper : en fait d’encadrement, ce projet entérine les pratiques illégales des services et légalise, dans de vastes domaines de la vie sociales, des méthodes de surveillance lourdement intrusives. Le texte ajoute des moyens de surveillance généralisée comparables à ceux de la NSA dénoncés par Edward Snowden, sans garantie pour les libertés individuelles et pour le respect de la vie privée.

Création de « boîtes noires » destinées à scanner le Web indistinctement, collecte de masse de données personnelles, durée de conservation allongée jusqu’à cinq ans pour certaines données, opacité des moyens d’exploitation de ces données…

Les méthodes de surveillance sont massives, le contrôle inconsistant. Le texte issu de la commission des lois porte un déséquilibre liberticide : l’usage de techniques de surveillance est entre les mains de l’exécutif, sans contrôle solide. La Commission nationale de contrôle des techniques de renseignement, soi-disant garante des libertés, ne disposera ni des pouvoirs ni des moyens nécessaires pour accomplir sa mission. Le Premier ministre pourra toujours passer outre son avis, et elle ne pourra rien interrompre par elle-même. Le gouvernement se refuse à assurer un contrôle systématique et indépendant a priori des demandes des services et organise un contrôle a posteriori illusoire. La saisine du juge administratif restera aléatoire et la procédure asymétrique, les principes processuels fondamentaux cédant devant le secret défense.

Tous les citoyens sont concernés : non seulement parce que les méthodes relèvent de la surveillance de masse, mais aussi parce que le texte étend dangereusement le champ d’action des services spécialisés. La surveillance pourra s’abattre sur les mouvements sociaux et politiques, au titre de la « prévention des violences collectives » et sur tout citoyen ou mobilisation qui, dénonçant des pratiques industrielles néfastes, porterait atteinte aux « intérêts économiques ou industriels essentiels de la France ». Ce projet est une menace pour les libertés politiques et les mobilisations à venir.

La liberté et la sûreté, droits naturels et imprescriptibles reconnus par la Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen sont en péril.

Citoyens et parlementaires doivent refuser ce simulacre de débat et exiger une discussion démocratique protégeant chacun contre les dérives d’une société de surveillance et assurant un contrôle strict et indépendant de l’activité des services de renseignement.

L’Observatoire des libertés et du numérique (OLN) vous appelle à amplifier le mouvement de contestation actuel contre ce projet de loi, en nous rassemblant nombreux le lundi 13 avril 2015 à 12h30, place Edouard Herriot, à Paris, à l’appel des associations et syndicats suivants :

OLN : Cecil, Creis-Terminal, La Quadrature du Net, LDH, Syndicat des avocats de France, Syndicat de la Magistrature

Autres signataires : Amnesty International, Attac, Fondation Copernic, Solidaires, Syndicat national des journalistes

 

Télécharger le modèle de lettre

https://gallery.mailchimp.com/96d6c83ade135980d08d7dbb5/files/LETTRE_AUX_DEPUTES_Loi_renseignement_10_04_2015.doc