7 avril. « Sans papiers : sortir de l’incohérence ».

C’est le titre de l’édito du Monde qui rappelle que la plupart des 400 000 sans papiers travaillent et paient des cotisations. Le ministre Besson refuse de les régulariser et a donné aux préfets un pouvoir discrétionnaire pour régulariser au cas par cas. Des syndicats et des employeurs ont défini une approche commune pour régulariser sur des « critères objectifs ». Le gouvernement refuse le dialogue.et les sans papiers ne veulent pas demander aux préfectures de peur d’être expulsé.