C’est le titre de l’édito du Monde qui rappelle que la plupart des 400 000 sans papiers travaillent et paient des cotisations. Le ministre Besson refuse de les régulariser et a donné aux préfets un pouvoir discrétionnaire pour régulariser au cas par cas. Des syndicats et des employeurs ont défini une approche commune pour régulariser sur des « critères objectifs ». Le gouvernement refuse le dialogue.et les sans papiers ne veulent pas demander aux préfectures de peur d’être expulsé.
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