Galette des droits sous surveillance, une invitation de la LDH Paris 18 a assisté à une soirée autour de la surveillance numérique à la Salle Saint Bruno le 30 janvier

Galette des droits sous surveillance

Cette année, outre la présentation des actions de la section, nous avons retenu le thème de la surveillance, notamment au vu des élections municipales à venir, et afin de mettre en avant le déploiement technologique en cours qui ne demande qu’à rester discret et à l’abri du regard des citoyen.ne.s.

Le programme est le suivant :

18h45 – présentation de la section
19h30 – apéritif-galette des droits
20h – projection du documentaire Europe au pied des murs de Nicolas Dupuis, Elsa Putelat, et produit par Ekla Production
21h – discussion autour de la surveillance avec comme intervenant·e·s :
Alain Korenblitt, d’Amnesty International, autour de la surveillance à l’étranger et aux frontières de l’UE
Martin Drago, de La Quadrature du Net, responsable de la campagne Technopolice dont la LdH fait partie, et qui parlera smart cities, vidéosurveillance, reconnaissance faciale…

Vous trouverez le flyer en PJ à diffuser largement !

Compte-rendu de réunion de section du 17 octobre

Domiciliation administrative

Une réunion de travail est fixée avec la LDH national le 22 novembre pour produire l’ensemble du kit «domiciliation administrative» qui sera ensuite proposée à l’ensemble des permanences juridiques. Il s’agit aussi d’une occasion d’en faire un sujet dont les sections puissent s’emparer pour les municipales qui suivront.

En termes de travail à fournir pour la section, la répartition des tâches n’est pas très clair, mais Thomas et Olivier connaissent bien le sujet, donc si quelqu’un veut tout savoir de la domiciliation administrative, et participer à l’élaboration du kit, c’est tout à fait possible.

Autre point local : la mairie va (enfin) installer un nouveau centre pour la domiciliation dans le XVIIème en janvier, après avoir vécu dans l’illégalité depuis plusieurs années. La Poste en sera l’opérateur pour la gestion du courrier, le CCAS restant compétent pour déterminer et valider le droit à domiciliation des demandeurs.

Risques : les rendez-vous sont pris par Internet pour l’instruction et on ne voit jamais l’examinateur du dossier.

Municipales

Deux tables-rondes sont prévues, avec au maximum 5 candidat·e·s à chaque fois. La Maison verte est OK pour la date du 29 février, 15h-18h30, sachant que l’élection est le 15 et 22 mars.

Jean-Louis et Thomas voient avec le 18ème du Mois s’ils souhaitent s’associer, et sous quelle forme, et dans tous les cas maximum 20 janvier pour diffuser une info par ce biais.

On aimerait avoir de «petits» candidats, pour avoir des discours plus variés, mais on sait rarement longtemps à l’avance qui sera candidat (le dépôt officiel est tardif), et on ne sait pas toujours les atteindre : voir qui peut trouver à les contacter rapidement. On retient la liste des «sans voix». À faire rapidement

On doit se renseigner pour poser des questions de la compétence du maire, et éviter les déclarations vagues. À préparer

L’idée fait plutôt consensus qu’on prépare une séquence «LDH Paris 18» pour questionner sur les positions que nous défendons. Parmi les thèmes à retravailler on en ressort :

  • l’écologie
  • la sécurité / la liberté
  • sans-abri / migrants
  • services publics locaux

Parrainage républicain

On reconnait que l’entrée par le parrainage est un moyen pratique pour ensuite aller vers d’autres formes de militantisme. Mais personne ne reprend l’action de parrainage, et il faudrait refaire les contacts avec les établissements et les différents acteurs institutionnels.

On reste en «écoute passive» pour suivre les dossiers des jeunes dernièrement parrainés, et aussi pour gérer d’éventuelles situations compliquées, mais pas de démarche pour réorganiser une cérémonie, refaire un groupe de parrainés/parrains…

L’idée serait plutôt de transformer l’action de parrainage en contactant les acteurs locaux 18-19ème qui travaillent autour de l’enfance et/ou jeunes scolarisés, pour éventuellement faire une formation sur le parcours par exemple, ce que pourrait faire le JUJIE, mais difficulté à organiser des acteurs qui ont aussi de profondes divergences de fond. Un peu comme ce qui se fait pour les demandeurs d’asile, avec un certain succès. voir avec Catherine

CQFD à la Goutte d’Or

SOS Casamance reste notre interlocuteur principal, mais rien n’est fait. Une journée «lutte contre les discriminations» est prévue le 18/11.

Concernant les droits des femmes, plusieurs contacts se font ou vont se faire avec des assos de la Goutte d’Or : AGO, groupe linguistique emploi…. Des intervenantes de la LDH GT Droits des femmes pourraient être sollicitées.

Permanences demandeurs d’asile

Rien de particulier, sauf que le lieu est installé dans le paysage parisien, et donc fortes fréquentations (gestion de files, etc.) D’un point de vue juridique, un second contentieux contre la plateforme de l’OFII aura lieu le 18/11, il y aura besoin de main d’œuvre.

Le recours CMA est ponctuellement mis de côté pour se concentrer sur la plateforme, mais le tableau rempli en permanence doit toujours l’être.

Collectif interasso

Un groupe de travail «action» s’est organisé, et souhaite :

  • se rapprocher d’acteurs de terrain sans pap / gilets noirs / COPAF : réunion le 21/10
  • faire des actions plus dynamiques pour relancer les discussions au point mort avec la mairie / l’État

Collectif J’y suis, j’y vote

Ils souhaitent diffuser des infos à l’occasion des municipales, nous les relaierons.

Organisation LDH Fédé de Paris

Suggestion à faire au niveau de la Fédération de Paris pour que des sujets parisiens, voire francilien, soient partagés entre les sections et non plus «gérés» au niveau de la Fédé, qui a autre chose à faire. Ça permettrait, à l’image de l’observatoire parisien des libertés publiques, de créer des groupes de militants transversaux aux sections, et nous permettrait de suivre plus facilement des actions parisiennes portées par des interasso ou collectifs qui ont souvent, eux, des salariés dédiés à ces actions.

Affiche journée festive MNA

Le 26 mai journée festive MNA au Shakirail !

Le dimanche 26 mai, de 15h à 21h, nous organisons une journée festive «Moi, nous, l’Autre : solidarité !» avec des ateliers artistiques, une fanfare, une projection-débat autour de la solidarité avec les MNA, et plus généralement les étrangers.

Tout le monde est le bienvenu au Shakirail 72 rue Riquet, à proximité du métro Marx Dormoy (ligne 12).

L’occasion de venir échanger, discuter… Et de découvrir des pratiques artistiques !

À très vite !

L’entrée est à prix libre et l’inscription aux ateliers (fresque participative, couture, argile, modelage…) a lieu sur place.

Le film projeté est «Regarde ailleurs» d’Arthur Levivier, qui raconte le quotidien d’exilé·e·s à Calais.