– dans un ou deux des groupes de travail au niveau national, en retournant le bulletin d’inscription ci-joint (https://www.ldh-france.org/…/bulletin-inscription…) à l’adresse : direction@ldh-france.org ;
– et dans un ou deux des groupes de travail au plan local, en écrivant à la section locale (saintdenis-reunion@ldh-france.org) ÉDUCATION, DROITS DE L’ENFANT, CULTURE DROITS ÉCONOMIQUES ET SOCIAUX, DÉMOCRATIE, LIBERTÉS LOGEMENT DROITS ET ENVIRONNEMENT SANTÉ, BIOÉTHIQUE LAÏCITÉ DROITS DES ÉTRANGERS FEMMES, GENRE, ÉGALITÉ, LGBTI
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les moyens nécessaires à nos actions en faveur de l’égalité, des droits et des libertés.
La
Ligue des droits de l’Homme (LDH) est une association généraliste, reconnue
d’intérêt général, de promotion et de défense des droits fondamentaux. Depuis plus
de 120 ans désormais, depuis 1905 à la Réunion, la Ligue s’efforce de remplir
son rôle au service des doits humains, des citoyens et citoyennes.
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L’actualité en débat Le 24 Octobre 2020 à partir de 9 H 30Au local de la LDH
TOI AUSSI TU PEUX ADHÉRER A LA LIGUECotisation à partir de 10 €/an pour les jeunes de moins de 20 ans et pour les personnes privées d’emploi. Cotisation par prélèvement pour ceux qui peuvent cotiser plusADHÉSION en LIGNE, c’est ici : https://www.ldh-france.org/adherer/(66% de votre adhésion et de votre don sont déductibles des impôts, dans la limite de 20 % de votre revenu imposable, hors abonnements aux revues)
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Voici les initiatives en
cours de la Ligue auxquelles vous êtes invité.e.s à participer :
– Matinée
d’accueil et de formation des nouveaux adhérents le 29/08,
suivi d’un repas. Participation aux groupes de travail.
– Rencontre
inter-associative avec nos partenaires sur inscription
uniquement, le 29/08, 14-18H00.
– Campagne « Nos droits et libertés, parlons-en, faisons-les
vivre ».
– Action judiciaire
contre Brigitte Bardot à la suite de ces propos racistes visant les Réunionnais,
audience du 3/09 13H45, TGI de Saint-Denis.
– Actions
éducatives en partenariat avec les Etablissements
scolaires (courriel pour prochain rendez-vous avec Mme la Rectrice et à divers
établissements correspondants).
– Concours
pour la Fraternité en direction des établissements
scolaires sur le thème : « Nous n’héritons pas la terre de nos
ancêtres, nous l’empruntons à nos enfants. » (proverbe africain cité par
Saint-Exupéry dans Terres des Hommes)
– Actions
citoyennes en vue d’organiser des rencontres populaires et
des rencontres inter-associatives au niveau des communes (courriel adressé aux
maires et rendez-vous en cours)
– Conférences
publiques sur la transmission des stéréotypes racistes
chez les enfants et sur la maltraitance des enfants, en cours de programmation
pour Octobre.
– Journée
des droits de l’enfant (20 novembre) :
vraisemblablement à Saint-Louis cette année.
– Journée
de la Laïcité (9 décembre) : vraisemblablement à
Saint-Pierre cette année avec le concours d’établissements scolaires.
– « KOZENSEMB » : action
nouvelle destinée à lutter contre les stéréotypes de genre, les discriminations
et les violences faites aux femmes et LGTB+.
– Autres initiatives en
partenariat : Journée mondiale du refus de la misère dédiée à la justice
sociale & environnementale (17 octobre) ; journée pour l’élimination
des violences faites aux femmes (25 novembre), 20 décembre.
Pour le bureau de la LDH à la Réunion
Dominique Rivière, président Reine-Claude Grondin, secrétaire
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C’EST MAINTENU : avec port du masque et distanciation physique. Inscriptions obligatoires, les places étant limitées : saintdenis-reunion@ldh-france.org Pour présenter ses préoccupations et projets associatifs ; et échanger sur de possibles convergences ou coopérations au soutien de ces projets ;
Cher.e.s Correspondant.e.s, La situation actuelle de la Réunion nous alerte en tant que responsables associatifs.
Les records d’abstention enregistrés lors des récents scrutins municipaux, les difficultés économiques et sociales à la suite de la crise Covid, l’aggravation des inégalités et du chômage notamment pour les plus démunis et les jeunes, l’accélération des mutations liées au changement climatique, à la globalisation et à la transition numérique : autant de traits, parmi d’autres, qui caractérisent cette situation et constituent des défis à relever.
Nous en tirons la conviction, après divers échanges, que cela pose une et première exigence : construire concrètement, au service de nos concitoyens, une plus grande solidarité entre les acteurs indépendants de la société civile et du milieu associatif en particulier.
C’est dans cet esprit de citoyenneté partagée que nous vous proposons d’organiser, le 29/08/2020, dans l’après-midi, de 14H00 à 18H00, à Château MORANGE Saint-Denis, une RENCONTRE INTER-ASSOCIATIVE qui aurait pour objet :
– D’une part, pour chaque association, de présenter ses préoccupations et projets ; – D’autre part, d’échanger sur de possibles convergences ou coopérations au soutien de ces projets ;
Nous avons donc l’honneur de vous inviter à participer à cette rencontre et, pour sa bonne organisation, à nous faire part de votre réponse avant le 15/08/2020.
Bien solidairement.
Le bureau de la LDH à la Réunion
Partager la publication "RENCONTRE INTER-ASSOCIATIVE : le 29/08/2020 de 14H00 à 18H00, Château Morange, Saint-Denis"
La L D H, section de la Réunion, vous convie à une matinée d’échange et de formation le 29 août 2020 à partir de 9H30, suivie d’un repas. La réunion aura lieu à notre local 97 avenue De Lattre de Tassigny, 97490 Sainte-Clotilde. La matinée débutera par un rappel de l’histoire, des missions, principes et modes d’action de la Ligue des Droits de l’Homme. Il sera aussi question du fonctionnement de notre structure locale et de ses activités. Afin de vous garantir le meilleur accueil, veuillez nous confirmer votre présence. Nous adresser pour cela un mél : saintdenis-reunion@ldh-france.org Au plaisir de vous rencontrer.
« Défendre les droits humains est devenu en France une activité qui peut présenter des risques », publiée sur Le Monde
Tribune de plusieurs personnalités, dont Malik Salemkour président de la LDH
Paris, le 29 octobre 2019
Lire la tribune sur Le Monde
Dans la pratique, l’universalité des droits et leur défense ne résistent que trop rarement aux intérêts économiques ou stratégiques de la France, soulignent, dans une tribune au « Monde », vingt-huit signataires, parmi lesquels Jean-François Julliard, Philippe Martinez ou Aurélie Trouvé, représentant de grands réseaux d’ONG et des organisations syndicales.
En octobre 2017, Emmanuel Macron affirmait devant le Conseil de l’Europe « […] le respect des droits de l’Homme est battu en brèche. Ils sont considérés comme un affaiblissement par celles et ceux qui cherchent à les combattre ou les réduire alors qu’ils sont une force, une spécificité, alors qu’ils sont universels. Ils sont présentés comme une option alors qu’ils sont une obligation ». Le président français aurait pu ajouter que les droits humains étant partout attaqués, celles et ceux qui les défendent sont pris pour cibles.En adoptant la Déclaration des Nations unies sur les défenseurs des droits de l’Homme en décembre1998, les gouvernements se sont engagés à les soutenir et à veiller à ce qu’ils soient en mesure d’agir sans entraves et sans crainte de représailles.Deux décennies plus tard, les défenseurs des droits humains se trouvent confrontés à un niveau de persécution et de répression inédit, tandis que l’offensive contre les droits est de plus en plus assumée par de nombreux dirigeants.Les défenseurs des droits humains sont des personnes qui, seules ou collectivement, s’engagent pacifiquement pour protéger et défendre les droits de tous. C’est Loujain al-Hathloul, qui par son activisme a permis des avancées importantes pour les droits des femmes en Arabie saoudite, et qui est emprisonnée depuis plus de 18 mois. C’est Edward Snowden, ancien employé de la NSA, qui a révélé au monde l’étendue de la surveillance de masse, et qui est obligé de vivre en exil. Ce sont les activistes de Greenpeace France qui se sont introduits dans la centrale de Cattenom pour dénoncer le risque nucléaire, et dont le procès s’ouvre demain. Ce sont également les communautés autochtones qui promeuvent un autre modèle social et environnemental face à la rapacité et l’irresponsabilité des entreprises extractives. Ce sont ces millions de Hongkongais qui bravent pacifiquement les interdictions de manifester pour préserver leurs droits démocratiques. Ce sont ces milliers de citoyens en Europe qui apportent une aide essentielle aux personnes réfugiées et migrantes lorsque les États ont tourné le dos à leurs obligations et à leur humanité.Il y a un an jour pour jour, à l’occasion du Sommet mondial des défenseurs à Paris, Emmanuel Macron recevait à l’Élysée une délégation de défenseurs venue lancer un appel aux États afin qu’ils respectent enfin leurs engagements. Dans les mois suivants, le ministère de l’Europe et des Affaires étrangères français annonçait officiellement que la protection des défenseurs serait une priorité de sa nouvelle stratégie internationale en matière de droits humains.Les engagements sont donc pris et la doctrine semble claire : il faut protéger le droit de défendre les droits. Dans la pratique pourtant, l’universalité des droits et leur défense ne résistent que trop rarement aux intérêts économiques ou stratégiques de la France.Ainsi, en octobre 2019, Emmanuel Macron dénonçait à nouveau devant le Conseil de l’Europe la répression judiciaire contre les défenseurs des droits en Turquie ou encore la répression de manifestations en Russie, quelques jours seulement après avoir refusé de s’associer à une déclaration sur la situation des droits humains en Arabie Saoudite, présentée au Conseil des droits de l’Homme des Nations unies et pourtant portée par vingt-quatre pays dont quinze européens.Échouant à mettre en oeuvre une réelle stratégie de protection des défenseurs, cohérente et durable,dans sa politique extérieure, la France d’Emmanuel Macron est également loin d’être exemplaire à l’intérieur de ses frontières. Des bénévoles associatifs défendant les droits des personnes réfugiées et migrantes, des observateurs des pratiques policières lors des manifestations, des journalistes indépendants, des militants écologistes, sont aujourd’hui soumis à de fréquentes intimidations policières et à des poursuites judiciaires. Défendre les droits en France est devenu, en quelques années seulement, une activité qui peut présenter des risques.La parole de la France perd de sa crédibilité quand, dans sa diplomatie comme sur le territoire national,la défense des droits varie selon les intérêts économiques, stratégiques ou encore les enjeux sécuritaires. C’est pourquoi nous appelons la France à la cohérence dans ses actes et l’ambition dans sa stratégie, afin de ne pas participer elle aussi à l’affaiblissement des droits et à la mise en danger de celles et ceux qui les défendent.Nous demandons à M. Macron que cessent les silences complices, le « deux poids, deux mesures » et l’érosion des libertés en France.Nous demandons au gouvernement français de répondre à l’appel lancé il y a un an lors du Sommet mondial des défenseurs à Paris. À l’instar des autres États, la France, doit s’engager à élaborer, en lien avec la société civile, une stratégie claire et un plan d’action national visant à garantir un environnement sûr et favorable pour celles et ceux qui défendent nos droits à tous. A mi-mandat, il n’est pas trop tard pour que le discours d’octobre 2017, que nous espérions fondateur d’un engagement véritable, se traduise désormais en actes concrets.
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