« BEZIERS , l’envers du décor » à Nanterre

Projection débat le 4 octobre

Les épisodes électoraux de l’année 2024 out été marqués par la présence de plus en plus forte de l’extrême-droite.
Sa présence dans les médias est de plus en plus oppressante.
Les ravages créés quand elle est au pouvoir dans certaines villes, comme Béziers, Perpignan, Orange, Hénin-Beaumont sont de plus en plus manifestes.

OUVRONS LES YEUX ! ALERTONS AUTOUR DE NOUS !

Le cas emblématique de Béziers fait l’objet du film récent du réalisateur Daniel Kupferstein « Béziers, l’envers du décor », qui présente notamment la démagogie et les manipulations auxquelles se livre l’organe municipal,  » Le Journal du Biterrois », depuis sa prise en main par le maire Robert Ménard et son équipe d’extrême-droite aux élections municipales de 2014.

 Daniel Kupferstein sera présent à l’Agora de Nanterre le vendredi 4 octobre 2024 de 18h. à 22h. pour présenter son film et en débattre avec nous !

Débat à l’initiative du MRAP et de la Ligue des Droits de l’Homme

AGORA 20 RUE DE STALINGRAD RER NANTERRE VILLE

Laïcité, genre, race : la bataille des mots

Dans le cadre des rendez-vous de la Ligue des droits de l’Homme, la section d’Antony recevra le chercheur Eric FASSIN le 5 novembre prochain autour d’un débat :

Laïcité, genre, race. La bataille des mots

elle vous y souhaite nombreux !

Qui est Eric FASSIN ?
Éric Fassin est chercheur à l’Institut de recherche interdisciplinaire sur les enjeux sociaux (sciences sociales, politique, santé), unité mixte de recherche associant le CNRS, l’Inserm, l’EHESS et l’université de Paris XIII. Sociologue engagé dans le débat public, il enseigne à Paris VIII et travaille sur la politisation des questions sexuelles et raciales, en France et aux États-Unis.

Informations pratiques.
mercredi 5 novembre 2014 à partir de 20h
Accueil par le restaurant La cour des potes
24, av. de la Division Leclerc à  Antony

Réservation indispensable avant le mercredi 29 octobre 2014 auprès de antony92@ldh-france.org
retrouver les détails sur l’invitation

La LDH 92 condamne les actes homophobes perpétrés dans le département.

Communiqué.

La fédération de la ligue des Droits de l’Homme des Hauts-de-Seine (LDH 92) condamne les violences dirigées contre trois locaux du Parti socialiste situés dans des communes des Hauts-de-Seine, qui ont faits l’objet de jets de pierre dans la nuit de dimanche dernier. Outre les vitrines brisées, des tags et des auto-collants portant des slogans hostiles au projet de mariage pour tous ont été retrouvées sur place selon les responsables des sections.

Plus encore, la LDH 92 condamne fermement les propos clairement homophobes tagués sur les murs par les vandales et déplore que les responsables de ces dégradations n’aient d’autres arguments à opposer au projet de mariage pour tous.

Elle rappelle par ailleurs que ce projet de loi s’ancre dans un contexte où la composition des familles, depuis des décennies, ne reposent plus sur un modèle unique. La reconnaissance du mariage pour tous constitue un pas en avant dans la mise en œuvre du principe d’égalité en offrant à tous les couples, ainsi qu’aux enfants qu’ils élèvent, la possibilité de disposer d’un statut juridique.

 

Nanterre, 22 janvier 2013.

 

Les Hauts-de-Seine au crible des droits de l’homme

Les Hauts de Seine au crible des droits de l’homme

Tribune publiée par Mediapart le 5 juin 2012

Droit de vote des étrangers non ressortissants de l’Union européenne aux élections locales, refonte de la loi sur la vidéo-surveillance, mixité du logement: autant de propositions de la LDH auxquelles s’opposent de nombreux candidats dans le départements. Habiba Bigdade, présidente de la fédération de la Ligue des droits de l’homme des Hauts-de-Seine, les passe en revue.

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Rroms en fête à Clichy- Regard sur la culture d’un peuple millénaire

La section Clichoise de la Ligue des droits de l’Homme vous convie à cet évènement, fruit de plusieurs mois de travail.
Au travers de la musique, de la poésie, d’une exposition mais aussi d’une conférence, venez découvrir toute la richesse de la culture rrom. Ambiance garantie !
Venez nombreux et n’oubliez pas d’inviter vos amis !!!

 

Dimanche 1 avril de 14h30 à 19h

Salle Merthyr Tydfil,

Rue Médéric, Place du Marché du Centre,

Métro Mairie de Clichy (Ligne 13), 92110 Clichy-la-Garenne

Au programme :

– « Mo Ilo » : 4 musiciens, de la musique du coeur pour aller droit au coeur

– « Opré Roma ! Demain le monde  » : Une exposition pédagogique réalisée par la Ligue des droits de l’Homme, Médecins du Monde et Solidarité Laïque, qui retrace un itinéraire migratoire spécifique, celui auquel sont contraints quelques milliers de Rroms

–  » Un peuple de promeneurs » d’Alexandre Romanes : Lecture libre de l’oeuvre par le public !!!

– « Rroms d’hier à aujourd’hui  » : Une conférence menée par Jean Pierre Dacheux, auteur d’une thèse de doctorat en philosophie , « les interpellations tsiganes de la philosophie des Lumières  » et par Jean Claude Vitran, membre du comité central de la Ligue des droits de l’Homme.

– Et une surprise , mais chut !!!!

 

Roms de Châtenay : l’expulsion n’est pas la solution

Roms de Châtenay : l’expulsion n’est pas la solution

Le 26/02/2011 – Communiqué de la Fédération LDH 92, des sections de Châtenay, Meudon-Clamart, Antony :

Le préfet des Hauts-de-Seine a décidé de faire évacuer et démanteler à brève échéance le campement précaire situé à Châtenay-Malabry (Hauts-de-Seine), entre la nationale 118 et le bois de Verrières, dans lequel s’abritent depuis un an une quarantaine de Roms de nationalité roumaine. On connait la suite : emploi de la force publique pour déloger les occupants puis du bulldozer pour détruire le campement et « nettoyer »le terrain. Quant aux Roms, ils seront « renvoyés dans leur pays », en Roumanie.
Nous ne contestons pas les raisons invoquées par la préfecture pour justifier son action : occupation illégale du terrain, campement insalubre et potentiellement dangereux etc. Mais n’y a-t-il pas d’autre choix que la destruction du camp et l’expulsion des familles ?
On le sait bien, outre le traumatisme infligé aux familles et en particulier aux enfants, ceci ne règlera rien. Stigmatisés et maltraités en Roumanie, ils ne manqueront pas de revenir dans les mois, voire les semaines qui suivent. Déjà chassés de Meudon en 2008, puis de Clamart, la persistance de leur présence est la marque de leur volonté de s’établir dans notre pays. Des associations sont prêtes à les y aider, tant sur le plan matériel qu’en aidant à la scolarisation des enfants et à l’alphabétisation des parents.
On a su, dans le passé, éradiquer des bidonvilles en proposant de meilleures conditions d’hébergement ; on peut encore le faire aujourd’hui, à condition que les pouvoirs publics fassent le choix de l’intégration et non de l’exclusion.
Discriminés depuis toujours, ce sont des Européens « pas comme les autres » puisque nul ne leur reconnaît les droits que leur confère pourtant leur citoyenneté européenne. Si le cas des Roms doit bien évidement être traité au niveau européen et en particulier en Roumanie, la France se doit d’en assumer sa juste part et permettre à ceux qui en ont fait le choix de pouvoir vivre parmi nous dans des conditions dignes.