Jeudi 18 novembre, à 18h, un rassemblement de soutien pour la libération de Ramy Shaat, militant des droits humains, actuellement détenu en Egypte, est organisé.
Lieu: Parc des anciennes mairies, RER Nanterre Ville
Jeudi 18 novembre, à 18h, un rassemblement de soutien pour la libération de Ramy Shaat, militant des droits humains, actuellement détenu en Egypte, est organisé.
Lieu: Parc des anciennes mairies, RER Nanterre Ville
La fédération de la ligue des droits de l’Homme des Hauts de Seine a un nouveau président.
A l’issue de l’assemblée générale annuelle qui s’est tenue le 7 janvier 2016, Jean Claude Capaldi, responsable local de la section LDH d’ Asnières Colombes depuis 2012 succède à Habiba Bigdade à la présidence de la fédération des Hauts de Seine la Ligue des droits de l’Homme.
Ce début d’année est marqué par le débat sur l’état d’urgence et l’extension de la déchéance de la nationalité.
La Ligue des Droits de l’Homme ainsi que près de 80 organisations se sont regroupées au sein du collectif « Nous ne cèderons pas » pour lancer une mobilisation citoyenne.
Ce collectif refuse le projet de déchéance de la nationalité, cette démocratie sous état d’urgence, une réforme constitutionnelle imposée sans débat, en exploitant l’effroi légitime suscité par les attentats.
Ce collectif n’accepte pas non plus la gouvernance de la peur, celle qui n’offre aucune sécurité mais qui assurément permet de violer nos principes les plus essentiels.
C’est un appel à tous ceux et celles qui partagent une autre idée de la France à le manifester avec une pétition en ligne : http://www.nousnecederonspas.org/
Section Nanterre Université de la Ligue des droits de l’homme
avec le soutien de l’association Coexister
QUEL VIVRE ENSEMBLE APRÈS LE 13 NOVEMBRE 2015 ?
LUNDI 30 NOVEMBRE 2015
DE 17H30 À 20H30 EN AMPHI D DU BÂTIMENT F
QUEL VIVRE ENSEMBLE APRÈS LE 13 NOVEMBRE 2015-1
Première Table ronde : Dans quel État sommes-nous ?
« Un État d’exception ? »
Marc TOUILLIER, Charlotte GIRARD, Malik BOUMEDIENE
« Un État policier ? »
Laurent BONELLI
« Un État de guerre ? »
Jelena APARAC, Olivier de FROUVILLE
Seconde Table ronde : Dans quel état sommes-nous ?
« Le néant pour seul idéal : jeunesse et phénomène de radicalisation? »
Laurence CROIX
« Lutter contre les discriminations »
Abdellali HAJJAT, Jean-Pierre DUBOIS
« Fraterniser ? »
Ismael MEDJOUB (Association COEXISTER)
La fédération des Hauts de Seine de la Ligue des Droits de l’Homme s’associe aux associations de résistants pour dénoncer la décision municipale de rebaptiser la place de de la Résistance par le le nom de Charles Pasqua. et appelle au rassemblement ce samedi 24 octobre à 11H.
LA PLACE DE LA RESISTANCE NE DOIT PAS DEVENIR PLACE CHARLES PASQUA
Alors que cette année nous commémorons le 70e anniversaire de la création du Conseil National de la Résistance (C.N.R.), regroupant Gaullistes, Communistes,
Socialistes et Radicaux, la décision municipale de débaptiser la place de la Résistance heurte profondément de très nombreux Robinsonnais.
Cette décision meurtrit les gens bien au-delà de tout clivage politique !
Pour permettre au Maire de rendre hommage à son « mentor », le conseil municipal a pris une décision qui va à l’encontre du devoir de mémoire qu’il faut continuer de perpétuer pour ces femmes et hommes qui se sont engagés dans la résistance au péril de leur vie.
C’est pourquoi à l’appel des principales associations de résistants et amis de la Résistance
ANACR Association Nationale des Anciens Combattants de la Résistance
FNDIRP Fédération Nationale des Déportés et Internés, Résistants et Patriotes
ANFFMRFA Association Nationales des Familles de Fusillés et Massacrés de la Résistance Française et de leurs Amis
de syndicalistes et de parti politiques,
un rassemblement républicain est organisé sur cette place de la Résistance
Samedi 24 octobre à 11H00
Nous vous attendons nombreux et nombreuses pour dire :
« NON cette place de la Résistance NE doit PAS changer de nom ! »
Rappelons-nous : Le choix de la première municipalité du Plessis-Robinson issue de la Résistance a été d’honorer les résistantes et résistants locaux de tous bords et leurs actes de bravoures, en faisant déboucher l’avenue de la Résistance sur la place de la Résistance. Ne touchons pas à ce double symbole !
LA PLACE DE LA RESISTANCE NE DOIT PAS DEVENIR PLACE CHARLES PASQUA
Alors que cette année nous commémorons le 70e anniversaire de la création du Conseil National de la Résistance (C.N.R.), regroupant Gaullistes, Communistes,
Socialistes et Radicaux, la décision municipale de débaptiser la place de la Résistance heurte profondément de très nombreux Robinsonnais.
Cette décision meurtrit les gens bien au-delà de tout clivage politique !
Pour permettre au Maire de rendre hommage à son « mentor », le conseil municipal a pris une décision qui va à l’encontre du devoir de mémoire qu’il faut continuer de perpétuer pour ces femmes et hommes qui se sont engagés dans la résistance au péril de leur vie.
C’est pourquoi à l’appel des principales associations de résistants et amis de la Résistance
ANACR Association Nationale des Anciens Combattants de la Résistance
FNDIRP Fédération Nationale des Déportés et Internés, Résistants et Patriotes
ANFFMRFA Association Nationales des Familles de Fusillés et Massacrés de la Résistance Française et de leurs Amis
de syndicalistes et de parti politiques,
un rassemblement républicain est organisé sur cette place de la Résistance
Samedi 24 octobre à 11H00
Nous vous attendons nombreux et nombreuses pour dire :
« NON cette place de la Résistance NE doit PAS changer de nom ! »
Rappelons-nous : Le choix de la première municipalité du Plessis-Robinson issue de la Résistance a été d’honorer les résistantes et résistants locaux de tous bords et leurs actes de bravoures, en faisant déboucher l’avenue de la Résistance sur la place de la Résistance. Ne touchons pas à ce double symbole !
Dans le prolongement d’un stage LDH régional »santé » en 2014, le Comité régional Ile-de-France a conçu un important colloque co-organisé avec la Macif (dans le cadre du partenariat LDH-Macif), avec le soutien de la Ville de Nanterre qui l’accueille dans le grand auditorium de la Maison de la Musique (en centre-ville, facilement accessible en RER A), samedi 14 novembre, de 9 à 18h.
Ce colloque est titré « Pour une santé égalitaire et solidaire ! » en reprenant l’intitulé du »Manifeste des 123 » – signé par la LDH en décembre 2011- avec l’accord des concepteurs de ce livre-manifeste, toujours valide, dont deux auteurs interviendront dans le Colloque, Frédéric Pierru et André Grimaldi.
Ce colloque sera triplement dans l’actualité, en étant placé volontairement au cours du »mois de l’économie sociale », au moment où le PLFSS et le PLF2016 seront en débat (et à mettre en regard des engagements de la Loi santé pour la réduction des inégalités), et en lien avec les débats autour de la Conférence climat (Cop21) compte-tenu des regards qui seront proposés en matinée sur les déterminants non-médicaux de la santé, particulièrement environnementaux…
Il est ouvert à tout public et le programme détaillé est téléchargeable ici.
Jean Ganeval, délégué régional LDH-Ile de France
Philippe Laville, élu au CR LDH-IDF et au CC, coordonnateur de la préparation du Colloque
POUR UNE SANTÉ EGALITAIRE ET SOLIDAIRE !
Exposés et débats avec des chercheurs, praticiens de santé, élus associatifs, mutualistes, politiques, syndicaux…
Sur chaque thème, un focus sur la situation à Nanterre, pour illustrer les études générales par des exemples concrets et encourager le développement des interventions citoyennes. Expositions sur les perturbateurs endocriniens (Réseau Environnement Santéet Mutualité Francilienne), la crise sanitaire… Tables de publications des intervenants, projection de films, théâtre-forum (extrait de « A votre santé ! » par la Compagnie NAJE ( »Nous n’Abandonnerons Jamais l’Espoir »)…
De 9 à 13h – La santé en amont du soin
Quelles maladies pourraient être évitées ? Quels effets sur notre santé des conditions de travail et de vie (alimentation, habitat, transports, loisirs…) ? Quels effets des dégradations plus ou moins visibles de l’environnement (climat, invasion des produits chimiques et nano-particules…) ? Comment y remédier et lutter contre les inégalités ? Quelles contributions des géographes de la santé ?
Présentation de l’exemple d’une »Evaluation d’Impact en Santé » : le projet urbain du quartier Nanterre Gare Université
De 14 à 18h – Inégalités sociales de santé et conditions de l’égalité d’accès à des soins de qualité pour tous
Quelles évolutions de la protection sociale avec les désengagements de la Sécurité Sociale et les grandes inégalités entre »complémentaires » ? Quelles justes rémunérations des médecins, quelles causes des inégalités d’accès à des soins de qualité en consultations médicales, et en hôpitaux ?
Focus sur le centre de santé municipal et la défense de l’hôpital local.
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Ont, à ce jour, confirmé leur participation aux table-rondes, suivies de débats avec le public : Habiba Bigdade(maire-adjointe à la santé à Nanterre),André Cicolella(président du Réseau Environnement Santé),Hélène Colombani(médecin directrice de la Santé de la Ville de Nanterre, secrétaire générale de la Fédération Nationale des Centres de Santé),Jean-Pierre Dubois (professeur de droit public, président d’honneur de la LDH), Laurent El Ghozi(chirurgien hospitalier, conseiller municipal délégué de Nanterre, président ESPT),Emmanuelle Fourneyron (BN LDH, co-responsable groupe de travail national LDH santé-bioéthique),Jacqueline Fraysse (cardiologue, députée), André Grimaldi (diabétologue, chef de service AP-HP, initiateur du Mouvement de défense de l’hôpital public, co-auteur du Manifeste pour une santé égalitaire et solidaire), Patrick Jarry (maire de Nanterre), Tatiana Gründler (juriste, Centre de recherches et d’études sur les droits fondamentaux CREDOF-Université Paris Ouest Nanterre),Martine Lalande (médecin généraliste à Gennevilliers, militante du COMEGAS, de l’Observatoire du Droit à la Santé des Etrangers,vice-présidente du Syndicat de la Médecine Générale), Françoise Lareur (Présidente Macif-Idf), Philippe Laville (CR-idf et CC LDH, co-responsable groupe de travail national LDH santé-bioéthique), Roger Lenglet (journaliste, philosophe, auteur de « Lobbying et santé« , « 24h sous influences : comment on nous tue jour après jour« , « Nanotoxiques » ; par visio-conférence), Danièle Lochak (juriste, prof. émérite Université Paris Ouest Nanterre, militante GISTI et LDH), Philippe Lorrain (médecin généraliste, co-rédacteur en chef de la revue « Pratiques » et de son dossier « Ces maladies que l’on pourrait éviter » de mai 2015),Patric Mourgère(Président de CPAM), Fabrice Nicolino (journaliste d’investigation, auteur notamment de »Un empoisonnement universel »-sous réserve), Marie Pezé (docteur en psychologie, expert judiciaire, responsable du réseau national de consultations www.souffrance-et-travail.com),Frédéric Pierru (sociologue, chercheur CNRS, comité directeur Sciences-Po santé Paris, Haut Conseil de la Santé Publique, co-auteur du Manifeste pour une santé égalitaire et solidaire…), Stéphane Rican (géographe de la santé, LADYSS-Université Paris Ouest Nanterre), Yorghos Remvikos(professeur de santé environnementale, OVSQ-Université Versailles St-Quentin), Nora Tréhel (présidente de la MUFIF, Union régionale Ile-de-France de la Mutualité française), Zoé Vaillant(géographe de la santé, LADYSS-Université Paris Ouest Nanterre)…
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Entrée libre et gratuite au Colloque mais sur pré-inscription impérative au plus tard le 12/11
en retournant le coupon ci-dessous par messagerie colloque-sante-14-11-2015-nanterre@ldh-france.org
Nom, prénom : …………………………………………………………………………………………………………………………
profession-fonction (facultatif) : ……………………………………………
Ville – département : ……………………………………………. Tel. / courriel : ……………………………………………..
Nanterre le 11/09/2015,
Communiqué
La Fédération de la Ligue des Droits de l’Homme des Hauts-de-Seine condamne fermement les propos tenus par Patrick Devedjian, Président du Conseil départemental des Hauts-de-Seine sur les réfugiés, lors d’une conférence de presse à la Préfecture de région au cours de laquelle le préfet de région évoquait la situation des réfugiés syriens et irakiens en provenance d’outre-Rhin.
« Ils nous ont pris nos juifs, ils nous rendent des Arabes. » sont des propos inacceptables, qui d’une part, établissent une surenchère entre deux groupes d’individus et réduisent la vie des femmes, des hommes et des enfants qui ont vécu ou vivent des drames terribles, à une logique comptable nauséabonde déshumanisant les victimes de l’exode.
D’autre part la LDH 92 salue l’effort fait par l’Allemagne d’organiser l’accueil de réfugiés sur son territoire, le rappel de M. Devedjian aux heures sombres de son histoire est cynique.
La LDH 92 invite M. Devedjian dès à présent à mettre en musique ses regrets en finançant l’accueil de réfugiés dans toutes les villes du département à travers sa compétence principale qu’est l’action sociale.
Conscient que son métier de photographe l’amène à questionner les gens sur ce qu’ils sont, Stéphane Ragot décide de retourner la question sur lui-même et de s’interroger sur son histoire et celle de sa famille. « Je suis Français, dit-il. Je veux regarder en face l’histoire dont je suis l’héritier. Je veux interroger un récit familial et national qui ne va pas de soi. Je suis Français de souche comme on dit, de cette souche vantée par les nationalistes et méprisée par les humanistes. Je refuse l’orgueil que me promettent les uns et je refuse la honte que me prescrivent les autres. Le pacte est rompu. Je suis Français et je refuse de me résigner au repli, à la défense, même passive, surtout passive, d’une permanence figée et imaginaire de l’identité française. Je suis photographe et je veux faire un film qui porte mon refus. Je veux donner à voir mon histoire, affirmer ma place. Tenir debout face à la violence symbolique d’une identité nationale asservie. »
Ses grands-pères, morts depuis longtemps étaient tous deux militaires pourtant leur histoire est bien différente. Paul le parachutiste, a fait une belle carrière d’officier, a reçu la légion d’honneur des mains du général de Gaulle, ses filles se sont mariées à des Saint-Cyriens. Pierre le légionnaire a été boucher, et ses états de service, dans la Légion, sont peu élogieux, enfant illégitime il fut rejeté par sa mère. En remontant dans leur histoire marquée par les guerres, Stéphane Ragot accomplit un travail minutieux d’historien, il nous fait découvrir une histoire de la France où l’on rencontre aussi bien des défenseurs de l’empire colonial, des témoignages de la « grande guerre », des badauds du défilé du 14 juillet. Un des moments les plus touchants est celui où des sans papiers en marche pour leurs droits se recueillent dans la nécropole militaire Notre-Dame de Lorette, près d’Arras, où à coté des croix portant les noms de soldats français, des tombes musulmanes portent la même mention « mort pour la France ».
Partant de cette démarche individuelle de reconstitution de son histoire familiale, Stéphane Ragot fait émerger des questions liées à l’identité personnelle, familiale et nationale. Il nous montre la perversité de la question de l’identité nationale et de tout ce qui la sous-tend dans une France tellement diverse : « Inoculé par un pouvoir qui parie sur la division et la stigmatisation, je vois le venin de l’identité nationale, loin d’avoir disparu avec le ministère du même nom, s’immiscer dans les tissus d’un corps social déjà tétanisé par la peur de l’autre. Je rejette les termes d’un débat biaisé et je refuse d’abandonner aux puissants l’usage des mots, des images et des symboles. »
Citons enfin les propos très élogieux de Jean Baubérot qui nous invite à voir et faire voir ce film : « …Voilà une œuvre qui parle magnifiquement de la France d’hier et d’aujourd’hui entremêlées. […]Un film qui, par la justesse de son propos, par la beauté de ses images, par l’impressionnant travail de montage réalisé, procure un vrai bonheur, un bonheur grave capable de panser des blessures secrètes ou béantes, les blessures que chacun d’entre nous porte. »
En même temps que le film, parait Patria lucida un livre des photos et des textes du film ainsi qu’un beau texte de Pierre Bergounioux intitulé « Qui nous sommes » (180 pages, format 20×28 cm, éditions, 30 euros).
Patria obscura
Documentaire, 2014
Durée : 83 mn
Réalisation : Stéphane Ragot
Distribution : DHR
La section de la LDH Université Paris Ouest-Nanterre organise
Le Mercredi 21 janvier de 17h à 20 h
amphithéâtre D (Bâtiment F, campus de Nanterre)
une Conférence-débat sur
Liberté d’expression : quel avenir pour la démocratie post-Charlie?
Mot d’ouverture Florence Bellivier, co-directrice de l’UFR droit & sciences politiques et Serge Slama, président de la section LDH Paris Ouest Nanterre
Débat animé par Pascal Beauvais, professeur de droit, Univ. Paris Ouest-Nanterre, co-directeur de l’UFR droit & sciences politiques, membre de la CNCDH
Avec
Emmanuel Dockès, professeur de droit social, Univ Paris Ouest-Nanterre, IRERP
Stéphanie Hennette-Vauchez, professeure de droit public, Univ. Paris Ouest-Nanterre, CREDOF
Nicolas Hervieu, doctorant en droit public au CREDOF, chargé d’enseignements à l’Université Panthéon-Assas et collaborateur d’avocat aux Conseils
Thomas Hochmann, professeur de droit public à l’Université de Reims
Franck Johannès, Journaliste au Monde
Agnès Tricoire, avocat au barreau de Paris, déléguée de l’Observatoire de la liberté d’expression/ LDH
Camille Viennot, maitre de conférences en droit privé, Univ. Paris Ouest-Nanterre, CDPC
LDH Section Paris-Ouest Nanterre, bâtiment F, 200 avenue de la République 92001 NANTERRE CEDEX