Dans le Colporteur

L’édition du journal gratuit « Le colporteur » a publié un excellent article sur les Rencontres :

Collectif de graphistes

Dans le cadre de la campagne « D’ailleurs nous sommes d’ici », un collectif de graphistes a réalisé des affiches sur le thème des migrations :

(avec l’aimable autorisation de DNSI)

Dans "Le Littoral"

L’hebdomadaire « Le Littoral de la Charente Maritime » a publié, dans son édition du 17 février, un article sur les Rencontres du livre et du citoyen :

Des BD sur le thème des rencontres

Pour aller plus loin, nous vous proposons une liste de Bandes Dessinées portant sur le thème de ces rencontres « Peuples et Migrations » .

Lors de ces deux jours vous pourrez les retrouver sur le stand « La Grande Librairie ».

BD – Peuples et migrations

Avant les rencontres, les rencontres continuent !

Avec les Lectures des “Diseurs de mots”, dans les bibliothèques de Royan (14 février à 18h30), Le Gua (15 février, 18h30), Meschers (16 février, 18 h 30), et aux « Rendez-vous Littéraires » de Royan (Palais des congrès, 21 février, 18 h) et au Centre socio culturel de Royan, jeudi 22 février, à 18h30.

Avec l’exposition “Migrants et citoyens” à l’Office de tourisme d’Arvert

Ainsi que celle « La terre est ma couleur », autour du livre éponyme édité par Rue du Monde, à la bibliothèque de Meschers.

Et des séances de lectures-discussion organisées (du 9 au 17 février) dans des classes de primaire, dans les écoles de Breuillet, du Gua, de La Tremblade, Meschers, Royan et Saint-Palais.

La BD et les rencontres

Parmi les vingt et quelques auteurs invités aux Rencontres du livre et du citoyen, trois arrivent directement du monde de la bande dessinée : Christophe Dabitch, Jeff Pourquié, Aurélien Ducoudray.

Ces rencontres vous démontreront que la B.D., pour qui l’ignore, pour qui appréhende mal ce genre littéraire, recèle parmi ses 5000 publications annuelles des brûlots politiques, des engagements idéologiques, des enquêtes journalistiques. Que de Tintin qui bouffait allègrement et sans finesse du communiste à Maus d’Art Spiegelman, 60 ans ont passés, et la B.D., devenue adulte, n’a cessé d’élargir son champ graphique et textuel pour, sans crainte et souvent avec effronterie et modernisme, aborder toutes questions, même ardues, politiques ou sociétales.

Au passage, les codes éditoriaux traditionnels ont sauté ! Fini l’album 48 pages avec 8 cases bien rangées. Tout est possible maintenant et la B.D. engagée, celle qui nous intéresse lors des Rencontres, trouve souvent son format dans le style « Roman graphique » ; album épais, gros comme un roman traduction de l’américain «  Graphic novel ». Le roman graphique sous sa forme atypique s’oppose ainsi au «  Franco-belge », renouvelle le genre et ouvre un champ illimité, parce que sans code et sans complexe à une génération d’auteurs passionnants et passionnés.

A la Grande Librairie, vous sera présentée une soixantaine de B.D. représentatives de ce nouvel élan du 9ième art.

Un fil conducteur : Un grand merci à Étienne Davodeau qui nous autorise à reprendre comme affiche des Rencontres le dessin de couverture qu’il avait réalisé pour la B.D. «  Immigrants » éditée chez Futuropolis.

Sur 120 pages couleurs, Christophe Dabitch a recueilli le témoignage de 11 immigrants, parfois venus des anciennes colonies, ayant trouvé asile en France. Ils se nomment Naïma, Misa, Reynad, Hamid, Iray… Ils viennent de Turquie, d’Uruguay, d’Angola, de Roumanie… Pour des raisons économique ou politique, leurs parents ou eux-mêmes ont dû quitter leur pays pour la France. Ces témoignages dessinés sont entrecoupés par six textes d’historiens, spécialistes de la question, qui replacent les raisons de l’immigration dans l’histoire de notre pays.

Une expo : Nous avons la chance et le plaisir de pouvoir vous présenter 34 planches originales extraites de la B.D. «  Immigrants » , des dessins originaux donc d’Étienne  Davodeau, Benjamin Le Flao, Jeff Pourquié, Simon Hureau, Étienne le Roux, Christian Durieux, etc.

Une nouveauté : la B.D. « Békame ». Écrit par Aurélien Ducoudray, ce docu-fiction est né de l’envie qu’il a eu de faire vivre le témoignage de migrants clandestins, qu’il a côtoyés au début des années 2000, en sa qualité de photographe de presse. Il y est question de Sangatte, que l’on peut voir comme un endroit où l’on s’est réellement occupé des migrants, mais que l’on peut aussi considérer comme le réservoir de chair fraîche des passeurs, un Eldorado pourri… Et c’est aussi, et surtout, l’histoire terrible de deux frères perdus corps et morale dans la misère de la clandestinité

L’histoire… Bilel est un jeune adolescent, qui se fait appeler Békame, comme son idole, le footballeur anglais. Il est arrivé clandestinement en France, pour tenter de retrouver son frère Ahmed, qui y réside depuis deux ans. Ils ont le projet de partir en Angleterre, tous les deux. Des ateliers clandestins aux campements sauvages d’immigrés, en passant par le trafic d’humains, Bilel découvre les conditions impitoyables de ces gens qui ont quitté la misère de leur pays pour en trouver une nouvelle, dans une société déshumanisée et bien sombre.

Jeff Pourquié et Aurélien Ducoudray seront présent pour dédicacer «  Békame ».

Christophe Dabitch est né en 1968. Il vit à Bordeaux. Après des études de lettres, il est devenu journaliste indépendant en presse écrite et télévision. Il est auteur de livres historiques et de carnets de voyages et scénariste de B.D. 2003 : Voyage aux pays des Serbes, illustré par David Prudhomme (Éditions Autrement).
2005 : Les Capucins, géographie du ventre, ouvrage collectif sur un quartier populaire de Bordeaux (Éditions Le Cycliste). 2006 : publication des deux volumes de Abdallahi, dessin de Jean-Denis Pendanx (Futuropolis), qui obtient le Prix de la meilleure bande dessinée historique aux Rendez-Vous de l’Histoire de Blois. 2008 : Premier volume du triptyque Jeronimus avec Jean-Denis Pendanx. 2009: Jeronimus, second volume, avec Jean-Denis Pendanx et Mauvais Garçons, 2 tomes, avec Benjamin Flao, éditions Futuropolis. 2010. Fin du triptyque de Jeronimus. 2011: Parution d’Immigrants, collectif co-édité avec l’association BD Boum. Sous la direction de Christophe Dabitch, l’ouvrage recueille 13 témoignages, mis en images par 13 auteurs de bande dessinée.

Jeff Pourquié a 48 ans. Il est né à Toulouse et vit en région parisienne. Dans l’univers de Jeff Pourquié se croisent pêle-mêle bande dessinée, peinture, graphisme, illustration, scénographie, guitare jazz manouche.
2000 : Des méduses plein la tête, avec Patrick Pécherot (Casterman), adaptation d’un épisode du Poulpe : La Bande Décimée d’après Jean-Luc Cochet (6 Pieds Sous Terre). 2001 : Ciao Pékin (Casterman). 2003 : Vague à Lame, avec Patrick Pécherot (Casterman). 2010 : il participe au collectif Immigrants, coédité par Futuropolis et le festival Bd Boum

Aurélien Ducoudray est né en 1973 à Chateauroux et vit dans un petit village de l’Indre. Il a touché à toutes les facettes du journalisme. Photographe de presse, journaliste rédacteur écrit, journaliste reporter de télévision, on lui doit de nombreux documentaires. Après Championzé (avec Eddy Vaccaro, Futuropolis, 2010) et La Faute aux chinois (avec François Ravard, Futuropolis, 2011), il travaille en ce moment sur différents projets, dont une autre biographie de boxeur avec Eddy Vaccaro sur Young Perez, et Bekame avec Jeff Pourquié pour les éditions Futuropolis.

Lectures à La Tremblade (et dans Sud Ouest)

Sud-Ouest a publié un article sur les lectures organisées à la bibliothèque de La Tremblade dans le cadre des rencontres du livre et du citoyen.

Retrouvez l’article ICI.

Lectures à Etaules

Après La Tremblade et avant Breuillet, les « Diseurs de mots » ont posé leurs livres à Etaules pour une heure de lecture.

Quelques images :

Cercle de silence

Le prochain Cercle de silence du pays royannais se réunira samedi 11 février, de 15 heures à 16 heures, sur l’esplanade Kérimel de Kerveno à Royan à l’appel de l’ACAT, Amnesty International, ATTAC, le CCFD, la CGT, EELV, la LDH, le PRG, le PCF et le PS.

Ce cercle de silence se réunit tous les deuxièmes  samedis du mois de 15 heures à 16 heures sur l’esplanade Kérimel de  Kerveno à Royan, depuis maintenant trois mois, avec en moyenne une trentaine de personnes.

Par leur participation au cercle du silence , les citoyens  :

– dénoncent les obstacles administratifs qui visent à rendre de plus en  plus difficile l’obtention d’un titre de séjour et contraignent des hommes,  des femmes, des familles entières à vivre et à travailler dans la clandestinité et la peur, privés de tout projet et de conditions de vie simplement décentes.

– refusent cette chasse aux étrangers qui inflige aussi des traumatismes profonds à ceux qui en sont les témoins, à la société toute entière, aux enfants particulièrement. Les atteintes à la dignité de quelques-uns blessent tous les hommes dans leur humanité.

– dénoncent les conditions de détention inhumaines dans les Centres de Rétention Administrative et les zones d’attente des aéroports (pouvons-nous accepter que des enfants soient emprisonnés dans des Centres de Rétention ?).

– refusent que la police vienne arrêter des familles qui, arrachées à leur propre pays souvent au péril de leur vie et moyennant un prix et des risques élevés, ont cru trouver ailleurs des moyens d’existence.

Nous voulons que la France redevienne un pays d’accueil enrichi par le  travail et la diversité des êtres humains venus du monde entier.  Nous pensons qu’il est important d’engager une réflexion collective sur le respect des Droits de l’Homme en France et en Europe, parce que la  machine d’Etat qui brise des vies chaque jour ne se grippera que si chacun  y apporte son grain de sable.

Nous appelons toutes celles et tous ceux qui souhaitent s’associer à notre  protestation de façon non-violente et silencieuse à se joindre au cercle de silence qui rassemble des femmes et des hommes venus de divers horizons, quelles que soient leurs convictions philosophiques, politiques ou religieuses.

Il est évidemment possible de se joindre au cercle pendant une durée plus courte qu’une heure.

Il y a plus de 150 cercles de silence en France, dont en Charente-Maritime, à La Rochelle, Saintes et Rochefort.

CINE-DEBAT « L’évangile de la révolution » de François-Xavier Drauet en présence du réalisateur

Le 10 novembre 2025 à 20h à . Salle Michel Legrand à Saint-Palais-sur-Mer

Lancement d’une campagne de communication 2025

Aidez-nous à diffuser et partager !

La LDH lance, en ce mois de septembre 2025, une campagne nationale inédite pour alerter, mobiliser et agir contre la progression des idées d’extrême droite et leurs conséquences autoritaires.
Cette campagne a pour objectif de rappeler à chacune et chacun que les droits et libertés sont les éléments constitutifs de toute démocratie et l’Etat de droit, le meilleur rempart face aux dérives autoritaires.

Mobilisations du 1er mai

➤ Partout en France Lire le communiqué

En cette journée de solidarité internationale des travailleuses et travailleurs, portons ensemble la rénovation démocratique qui n’a pas été engagée jusqu’ici et qui doit reposer sur l’Etat de droit et l’indivisibilité des libertés et des droits économiques, sociaux, environnementaux et culturels pour toutes et tous.

Rassemblements le jeudi 1er mai 2025 partout en France➤ A Narbonne En présence de Nathalie Tehio, présidente de la LDH.  Face à l’organisation du meeting du RN le 1er Mai à Narbonne, nous vous invitons à exprimer votre profond désaccord avec les idées d’extrêmes droites en participant à la mobilisation narbonnaise le même jour. Lire le programme

FESTIVAL CINEMA à Saint-Palais-sur-Mer :  «Films, Droits et Liberté(s). »

La section LDH pays royannais et le cinéma de Saint Palais sur Mer organisent un petit festival intitulé : Films, Droits et Liberté(s).

Il aura lieu du 14 au 16 Février prochain à la salle Michel Legrand à Saint-Palais-sur-Mer.

La LDH vous souhaite une bonne année et vous présente ses meilleurs vœux pour 2025 !

Chaque adhérente et adhérent, au sein de leur sections, fédérations et comités régionaux, ont contribué à porter nos luttes essentielles et à défendre les droits et libertés sur tous les territoires. Nous vous en remercions. 

En 2025, poursuivons ensemble nos mobilisations et nos luttes !

Né-e-s ici ou venu-e-s d’ailleurs, l’égalité des droits, c’est pour toutes et tous !

Appel à mobilisation :

Manifestations le 14 décembre 2024, partout en France et à Paris, place de Clichy à 14h

Meeting le 18 décembre 2024, à 18h30, à la Bourse du travail, 29 boulevard du Temple 75011 Paris – salle Henaff

Nous ne voulons pas d’une société raciste. Nous voulons pour nos voisin-e-s, collègues de bureau, d’atelier, nos camarades d’amphi, pour notre médecin, notre boulanger-e, pour la copine ou le copain de classe de nos filles, de nos garçons… une réelle égalité des droits.

Nous vivons ensemble, et ne concevons pas la société autrement que dans le respect de ce qui nous lie. La fraternité est aux côtés de la liberté et de l’égalité sur le fronton de nos édifices publics. Ces grands principes doivent se traduire par l’accès effectif à tous les droits, pour toutes et tous ; par l’accueil et la valorisation de la diversité qui fait la richesse de notre pays, de tout pays ; par le développement des solidarités pour et avec celles et ceux qui en ont besoin.

Travailleuses et travailleurs étrangers, personnes exilées, étudiantes et étudiants internationaux… qu’ils et elles soient arrivés hier ou il y a 20 ans, toutes et tous se retrouvent la cible de politiques migratoires qui voient en l’étranger un criminel en puissance, un « indésirable ».

La loi immigration de janvier 2024 et le Pacte Asile & Immigration de l’Union européenne ont encore radicalisé des politiques répressives et brutales, généralisant la maltraitance administrative. Les politiques publiques sont aujourd’hui dévoyées et utilisées comme des outils pour surveiller, arrêter, enfermer, expulser… C’est sur cette toile de fond que prospèrent au quotidien la xénophobie, la stigmatisation et les discriminations.

Les mers ramènent sur nos côtes les corps de celles et ceux que le choix politique d’une « Europe forteresse » a condamné-e-s ; des exilé-e-s venu-e-s chercher la protection à laquelle elles et ils ont droit sont renvoyé-e-s vers d’atroces destins dans des pays qui violent les droits fondamentaux autant que le droit international ; des enfants et des adolescents sont abandonnés par les institutions qui devraient les protéger ; des personnes qui travaillent, étudient, vivent avec nous sont harcelées et traitées comme des délinquantes faute de recevoir les documents qui légaliseraient et pérenniseraient leur séjour ; des résident-e-s de longue date rencontrent des difficultés indues pour la prolongation de leur titre de séjour, et se retrouvent de ce fait plongé-e-s dans une dramatique spirale, perdant leur travail, leur logement, leurs droits sociaux et leur couverture médicale.

L’extrême droite développe le fantasme d’une population « étrangère » présentée comme trop nombreuse et « inassimilable ». Elle attise auprès de la population le rejet des « étrangers » qui — selon elle — seraient la cause de tous les maux socio-économiques endurés par la société. En écho, le gouvernement instrumentalise cette peur de l’autre et prépare une énième loi toujours plus répressive qui pourrait s’affranchir, cette fois, du cadre de l’Etat de droit. Cette surenchère, contraire à nos valeurs d’humanité et de solidarité à la base de notre pacte social, abîme profondément nos sociétés.

Il faut réagir ! Nous sommes déjà nombreuses et nombreux à le faire au quotidien, en dépit des menaces qui pèsent sur nos militant-e-s syndicaux et associatifs qui s’engagent auprès de celles et ceux qui sont privé-e-s de leurs droits et de leur dignité pour une couleur de peau, une religion ou le simple fait d’être né-e ailleurs.
Des millions de citoyennes et de citoyens pensent comme nous et sont prêts à faire retentir la puissante voix de la solidarité !

Mobilisations partout en France

Voir en plein écran

➤ Le 14 décembre, manifestons partout en France pour défendre le respect de la protection et des droits des travailleuses et travailleurs migrants, de leurs familles et de toutes les personnes exilées !

Et le 18 décembre, Journée internationale des migrants, en meeting unitaire à Paris et dans d’autres initiatives en régions, réaffirmons plus encore l’impérieuse nécessité de l’égalité des droits pour toutes et tous, né-e-s ici ou venu-e-s d’ailleurs !

Ciné Blabla du Collectif Habitat

« Domicile fixe » de Xavier Diskeuve

Le Collectif pour l’habitat social en pays royannais vous donne rendez-vous
au cinéma Michel Legrand de Saint-Palais-sur-Mer,
mardi 10 décembre, à 19h, pour la première étape de « L’habitat dans tous ses états ! »

« Domicile fixe » court métrage de Xavier Diskeuve, suivi d’un débat : sans abris, une réalité ici comme ailleurs

CINE-DEBAT « JOUER AVEC LE FEU »

le 7/12/2024 à 20h30 au CREA

Synopsis

Pierre élève seul ses deux fils. Louis, le cadet, réussit ses études et avance facilement dans la vie. Fus, l’aîné, part à la dérive. Fasciné par la violence et les rapports de force, il se rapproche de groupes d’extrême-droite, à l’opposé des valeurs de son père. Pierre assiste impuissant à l’emprise de ces fréquentations sur son fils. Peu à peu, l’amour cède place à l’incompréhension…

SAINTE-SOLINE : LE RAPPORT QUI DÉMASQUE LES MENSONGES DES HOMMES DE DARMANIN

Vous pourrez voir la vidéo, en cliquant sur la lien ci dessous, d’un entretien entre une journaliste de « Le Media », Lisa Lap et deux observatrice et observateur de la LDH, Capucine Blouet et Flavian Lauzu. Ils commentent le rapport des observatoires des libertés publiques et pratiques policières de la LDH :  » Empêcher l’accès à la bassine quel qu’en soit le coût humain » .( Sainte Soline, le 25 mars 2023)

 « Le Media »: newsletter.lemedia.fr

Le 14 juin 2023, un jeune guinéen âgé de 19 ans était abattu par un ou de plusieurs tirs d’un policier à Saint-Yrieix-de-Charente à Angoulême à la suite d’un contrôle routier.

Conférence-débat: « Bébés d’ici, mères d’exil »

Le Collectif Migrants 17 vous invite à une conférence-débat au Palais des Congrès de Rochefort 73,rue Toufaire – Auditorium, le 31 mai 2023 à 20h.

Violences des frontières,frontières de la violence du 7 au 11 oct. 2025

|1| |2| |3| |19|