Journée Internationale des Migrants

Le Samedi 18 Décembre 2021 à 15 h. 00 à Royan

L’ACAT (Action des Chrétiens pour l’Abolition de la Torture et de la Peine de mort) & la LDH (Ligue des Droits de l’Homme) vous invitent à un Rassemblement au carrefour des Droits de l’Homme (Face à la Librairie de la Presse)

Ensemble construisons une société plus juste

Soirée autour de la culture et du milieu carcéral

Soirée autour de la culture et du milieu carcéral

            Relais à Saint Georges de Didonne

Mercredi 9 Juin à partir de 18h

Romain Dutter a relaté son expérience de coordinateur culturel au centre pénitentiaire de Fresnes dans la BD Symphonie carcérale, petites et grandes histoires des concerts en prison, réalisée avec le dessinateur Bouqé (Éd. Steinkis, 2018). Il propose aussi une réflexion sur la pertinence de la musique, de la culture, du travail social plus largement, de tous ces projets mis en place à destination des publics dits « empêchés », « éloignés » de la culture.

Le film d’Emmanuel Courcol est projeté dans le cadre des avants-premières Télérama.

10° Anniversaire du début du soulèvement syrien APPEL à RASSEMBLEMENT pour la SYRIE

Plateforme contre les discriminations

Suite aux annonces du Président de la République, la Défenseure des droits (DDD) a été chargée de mettre en œuvre une plateforme de lutte contre les discriminations (joignable par téléphone et discussions instantanées en ligne), destinée à simplifier le signalement des discriminations et à permettre l’accompagnement et l’écoute des victimes, et ce dans tous les domaines: emploi, logement, éducation, santé, sport, contrôles d’identité́…

La plateforme, officiellement lancée le vendredi 12 février, peut être contactée par téléphone via:

Un numéro de téléphone à quatre chiffres: le 3928

Un site internet/,https://www.antidiscriminations.fr/ doté d’un tchat


Disponible du lundi au vendredi (9h-18h),
Un accès spécifique pour les personnes sourdes et malentendantes.


RENCONTRES ANNULÉES

2021 Les 6èmes rencontres du Livre et du Citoyen
sont ajournées, Covid oblige

Rassemblement et prise de parole contre la loi Sécurité Globale, 23 Janvier 2021 à Royan.

Rassemblement et prise de parole contre la loi Sécurité Globale, 23 Janvier 2021 à Royan.

« Depuis plusieurs années nous vivons de façon quasi permanente en État d’urgence.
Déjà en 1991 au moment de la guerre du Golfe apparaissait le plan Vigipirate, régulièrement réactualisé depuis et intensifié en 2015 à la suite de l’attentat contre Charlie Hebdo.
A un État d’urgence contre le terrorisme s’ajoute depuis 2020 l’État d’urgence sanitaire.

Une situation d’exception est donc devenue la norme avec toutes les conséquences que nous connaissons :

– projets et propositions de loi adoptés en procédure accélérée
– décisions prises sans contrôle judiciaire
– dégradation du débat démocratique
– toujours plus de pouvoir concentré dans les mains de l’exécutif.

La France fait figure d’exception parmi nos voisins européens.

Dans ce contexte anxiogène, il est facile, et pratique, pour les pouvoirs publics d’entretenir et de cultiver les peurs.
Le vocabulaire guerrier utilisé par le président de la République au début de la pandémie a bien joué ce rôle.
Les termes « guerre, mobilisation générale, ennemi » ont fait peser d’emblée sur le pays une chape de peur et de méfiance généralisée.

Dans une société déjà fragilisée par la crise sociale et le poids des inégalités, une société muselée par les peurs: du terrorisme, de l’étranger, de la maladie et de la précarité, faire de  l’autre  une source d’insécurité permanente permet de désolidariser, d’isoler et de séparer.

C’est une méthode qui a fait ses preuves et qui permet, à terme, d’accroître le contrôle de l’État.

Sous prétexte de protéger la population, il devient facile alors de proposer une offre sécuritaire qui emporte l’adhésion.

Depuis 1 an les pouvoirs publics s’engagent dans une voie toujours plus répressive et optent pour des moyens accrus de surveillance sans concertation avec la société civile et sans égard pour les droits fondamentaux.

Le plus bel exemple est ce projet de Loi de Sécurité Globale qui nous rassemble aujourd’hui et dont plusieurs articles sont inquiétants.

Déjà voté par l’Assemblée nationale le 24/11, il doit encore être examiné par les Sénateurs fin janvier.
Il prévoit, entre autres :
– l’interdiction de diffuser des images de policiers
– le transfert de compétences aux policiers municipaux et aux agents de sécurité privée
– l’utilisation de drones pour surveiller la population

On y voit également apparaître la possibilité nouvelle de sanctionner des intentions. Jusqu’à présent le droit français sanctionnait les actes.

Ce n’est par hasard que cette loi a suscité l’inquiétude de nombreux défenseurs des droits dont le conseil des Droits de l’Homme de l’ONU, dénonçant une atteinte au droit à la vie privée et à la liberté d’information.

MAIS cette loi n’est qu’une infime partie de l’iceberg sécuritaire du gouvernement.


On peut y ajouter :
– le projet de loi confortant les valeurs de la République qui risque de porter durement atteinte à la vie associative et créer de nouveau un sentiment de méfiance à l’égard d’une partie de la population.

– et surtout le feu vert donné le 4/01 par le Conseil d’État au fichage, par la police et la gendarmerie des opinions politiques, appartenances syndicales, convictions philosophiques et religieuses.

Tout cela au nom de la « Sauvegarde de l’ordre public » comme l’arrestation, lors de la manifestation parisienne du 16 janvier dernier, de conducteurs de camions musicaux pour « agression sonore » et saisie des camions au prétexte que « le style de musique qui allait être joué ne correspondait pas au style habituel des manifestations «, d’après la Préfecture de Paris.

Nous ne pouvons pas accepter ces textes uniquement répressifs, jamais équilibrés par un volet éducatif ou social.
Nous ne pouvons pas admettre que les Droits des uns soient moins importants que les droits des autres.
Nous nous battons pour défendre les droits de tous, pas pour en enlever à certains.
Nous ne pouvons pas renoncer à nos libertés fondamentales, celles de la France des Droits de l’homme, au profit d’une illusoire sécurité.

Et, contrairement à ce que beaucoup pensent qui disent ne rien craindre parce qu’ils n’ont rien à se reprocher, nous sommes tous concernés.

Et c’est ensemble que nous réussirons à préserver ces biens communs.

LOI SECURITE GLOBALE RASSEMBLEMENT

RASSEMBLEMENT CONTRE LA LOI . « SECURITE GLOBALE »

La section LDH du pays royannais appelle à un

Samedi 23 janvier 2021 à 11h30

Place Charles de Gaulle – Royan

Soyons vigilants sur le respect des gestes sanitaires

La Ligue des droits de l’Homme inquiète

SÉCURITÉ

 La LDH du Pays royannais milite contre le projet de loi
« Sécurité globale » et s’est rapprochée des députés.

Dans un communiqué, la section Pays royannais de la Ligue des droits de l’Homme(LDH) s’inquiète du recul des libertés et des droits fondamentaux présent dans le projet de loi  » Sécurité globale » qui sera présenté au Parlement ce mardi. Elle a d’ailleurs interpellé les députés de Charente-Maritime sur le sujet pour dire « non à l’obsession sécuritaire ». « Ce texte prévoit d’étendre aux polices municipales des compétences de la police nationale. De plus, il organise une privatisation de la police en contradiction flagrante avec les normes constitutionnelles en déléguant aux agents privés de sécurité des pouvoirs réservés à la police judiciaire », constate la LDH du Pays royannais.


« Des risques considérables »

Et de faire remarquer, toujours dans le communiqué, « qu’allant encore plus loin dans la surenchère sécuritaire, il prévoit d’instaurer une surveillance généralisée de l’espace public, en autorisant l’État à utiliser des drones avec caméras. Il propose aussi l’utilisation immédiate des images des “caméras mobiles” portées par les policiers et leur analyse automatisée pour reconnaître en temps réel l’identité de tous les manifestants (reconnaissance faciale). »

Enfin, la LDH du Pays royannais ne comprend pas pourquoi « le texte prévoit la pénalisation de la diffusion d’images de policiers ou de gendarmes agissant dans le cadre de leurs missions d’ordre public, portant atteinte à la nécessaire transparence de ces opérations».

Et d’assurer qu’«une telle mesure, avec des sanctions très lourdes (un an d’emprisonnement et 45 000 € d’amende) empêcherait tout contrôle citoyen, voire le travail des journalistes, en favorisant l’impunité d’auteurs de violences policières ». Pour la LDH, « les risques sont considérables ».

Journée internationale des migrants

Un collectif d’associations dont la LDH appelle à participer au cercle de silence qui aura lieu :

Vendredi  18 décembre entre 17h30 et 18h30 Place Ch. de Gaulle ROYAN

Munis d’une lumière (bougie, lampe électrique, frontale…) vous pouvez nous rejoindre à tout moment, quelle que soit la durée de votre participation.

Depuis 2007, un peu partout en France, des citoyens  se rassemblent et forment un cercle  pour observer 1 heure silencieuse.

Cette démarche vise à dénoncer le non respect des droits fondamentaux des migrants et sans papier en France.

Le choix d’un Cercle (figure géométrique ronde, sans angles) n’est pas  anodin. Quel que soit son statut , personne n’y occupe une place prédominante. Chacun y trouve sa place, à égale distance du lanterneau central.

Le silence permet ainsi d’unir des personnes qui seraient facilement divisées par les paroles, les idéologies ou les croyances. Dans le Cercle de Silence au contraire, pas question d’argumenter ou de s’opposer à l’autre à cause de sa religion, de ses idées.

Les cercles de silence  regroupent tous les courants de pensée et sont ouverts à tous. Ils cherchent à attirer l’attention sur les conditions de vie des migrants en France et partout dans le monde.

Par notre participation :

         Nous n’acceptons pas que la France, en vertu de lois de plus en plus dures, refuse sa protection aux demandeurs d’asile exposés à de très graves dangers dans leur pays d’origine.

            Nous n’acceptons pas que sous prétexte de sécurité des personnes soient brutalement évacuées de leur installation précaire  sans possibilité de mise à l’abri dans des structures d’accueil appropriées.

         Nous n’acceptons pas que soient prises en notre nom des dispositions  qui brisent des vies et détruisent couples et familles.

         Nous refusons les interpellations au faciès, l’expulsion et l’enfermement inhumain d’adultes et d’enfants en centres de rétention administrative ainsi qu’en zones d’attente d’aéroports et l’existence même de ces lieux..
           

          Nous voulons que la France redevienne un pays d’accueil, sans cesse enrichi et transformé par des êtres humains venus du monde entier.

Ciné-débat

ANNULÉ

Film : « Un pays qui se tient sage »

David Dufresne (documentaire sur les violences policières) :

mardi 10 Novembre à 20h30

au cinéma du Relais de St Georges

en partenariat avec CREA

Débat animé par Pierre-Antoine Cazau, président de la section LDH de Bordeaux qui travaille sur le sujet depuis 2 ans et connaît le film et Jean-Claude Guicheney, délégué Régional Nouvelle Aquitaine (ils font partie de l’Observatoire girondin des Libertés publiques).de Lucas Belvaux (fiction sur la guerre d’Algérie) ne sera pas en partenariat mais soutenu par la LDH car live avec le réalisateur en direct du festival du cinéma européen :

Né-e-s ici ou venu-e-s d’ailleurs, l’égalité des droits, c’est pour toutes et tous !

Appel à mobilisation :

Manifestations le 14 décembre 2024, partout en France et à Paris, place de Clichy à 14h

Meeting le 18 décembre 2024, à 18h30, à la Bourse du travail, 29 boulevard du Temple 75011 Paris – salle Henaff

Nous ne voulons pas d’une société raciste. Nous voulons pour nos voisin-e-s, collègues de bureau, d’atelier, nos camarades d’amphi, pour notre médecin, notre boulanger-e, pour la copine ou le copain de classe de nos filles, de nos garçons… une réelle égalité des droits.

Nous vivons ensemble, et ne concevons pas la société autrement que dans le respect de ce qui nous lie. La fraternité est aux côtés de la liberté et de l’égalité sur le fronton de nos édifices publics. Ces grands principes doivent se traduire par l’accès effectif à tous les droits, pour toutes et tous ; par l’accueil et la valorisation de la diversité qui fait la richesse de notre pays, de tout pays ; par le développement des solidarités pour et avec celles et ceux qui en ont besoin.

Travailleuses et travailleurs étrangers, personnes exilées, étudiantes et étudiants internationaux… qu’ils et elles soient arrivés hier ou il y a 20 ans, toutes et tous se retrouvent la cible de politiques migratoires qui voient en l’étranger un criminel en puissance, un « indésirable ».

La loi immigration de janvier 2024 et le Pacte Asile & Immigration de l’Union européenne ont encore radicalisé des politiques répressives et brutales, généralisant la maltraitance administrative. Les politiques publiques sont aujourd’hui dévoyées et utilisées comme des outils pour surveiller, arrêter, enfermer, expulser… C’est sur cette toile de fond que prospèrent au quotidien la xénophobie, la stigmatisation et les discriminations.

Les mers ramènent sur nos côtes les corps de celles et ceux que le choix politique d’une « Europe forteresse » a condamné-e-s ; des exilé-e-s venu-e-s chercher la protection à laquelle elles et ils ont droit sont renvoyé-e-s vers d’atroces destins dans des pays qui violent les droits fondamentaux autant que le droit international ; des enfants et des adolescents sont abandonnés par les institutions qui devraient les protéger ; des personnes qui travaillent, étudient, vivent avec nous sont harcelées et traitées comme des délinquantes faute de recevoir les documents qui légaliseraient et pérenniseraient leur séjour ; des résident-e-s de longue date rencontrent des difficultés indues pour la prolongation de leur titre de séjour, et se retrouvent de ce fait plongé-e-s dans une dramatique spirale, perdant leur travail, leur logement, leurs droits sociaux et leur couverture médicale.

L’extrême droite développe le fantasme d’une population « étrangère » présentée comme trop nombreuse et « inassimilable ». Elle attise auprès de la population le rejet des « étrangers » qui — selon elle — seraient la cause de tous les maux socio-économiques endurés par la société. En écho, le gouvernement instrumentalise cette peur de l’autre et prépare une énième loi toujours plus répressive qui pourrait s’affranchir, cette fois, du cadre de l’Etat de droit. Cette surenchère, contraire à nos valeurs d’humanité et de solidarité à la base de notre pacte social, abîme profondément nos sociétés.

Il faut réagir ! Nous sommes déjà nombreuses et nombreux à le faire au quotidien, en dépit des menaces qui pèsent sur nos militant-e-s syndicaux et associatifs qui s’engagent auprès de celles et ceux qui sont privé-e-s de leurs droits et de leur dignité pour une couleur de peau, une religion ou le simple fait d’être né-e ailleurs.
Des millions de citoyennes et de citoyens pensent comme nous et sont prêts à faire retentir la puissante voix de la solidarité !

Mobilisations partout en France

Voir en plein écran

➤ Le 14 décembre, manifestons partout en France pour défendre le respect de la protection et des droits des travailleuses et travailleurs migrants, de leurs familles et de toutes les personnes exilées !

Et le 18 décembre, Journée internationale des migrants, en meeting unitaire à Paris et dans d’autres initiatives en régions, réaffirmons plus encore l’impérieuse nécessité de l’égalité des droits pour toutes et tous, né-e-s ici ou venu-e-s d’ailleurs !

Ciné Blabla du Collectif Habitat

« Domicile fixe » de Xavier Diskeuve

Le Collectif pour l’habitat social en pays royannais vous donne rendez-vous
au cinéma Michel Legrand de Saint-Palais-sur-Mer,
mardi 10 décembre, à 19h, pour la première étape de « L’habitat dans tous ses états ! »

« Domicile fixe » court métrage de Xavier Diskeuve, suivi d’un débat : sans abris, une réalité ici comme ailleurs

CINE-DEBAT « JOUER AVEC LE FEU »

le 7/12/2024 à 20h30 au CREA

Synopsis

Pierre élève seul ses deux fils. Louis, le cadet, réussit ses études et avance facilement dans la vie. Fus, l’aîné, part à la dérive. Fasciné par la violence et les rapports de force, il se rapproche de groupes d’extrême-droite, à l’opposé des valeurs de son père. Pierre assiste impuissant à l’emprise de ces fréquentations sur son fils. Peu à peu, l’amour cède place à l’incompréhension…

SAINTE-SOLINE : LE RAPPORT QUI DÉMASQUE LES MENSONGES DES HOMMES DE DARMANIN

Vous pourrez voir la vidéo, en cliquant sur la lien ci dessous, d’un entretien entre une journaliste de « Le Media », Lisa Lap et deux observatrice et observateur de la LDH, Capucine Blouet et Flavian Lauzu. Ils commentent le rapport des observatoires des libertés publiques et pratiques policières de la LDH :  » Empêcher l’accès à la bassine quel qu’en soit le coût humain » .( Sainte Soline, le 25 mars 2023)

 « Le Media »: newsletter.lemedia.fr

Le 14 juin 2023, un jeune guinéen âgé de 19 ans était abattu par un ou de plusieurs tirs d’un policier à Saint-Yrieix-de-Charente à Angoulême à la suite d’un contrôle routier.

Conférence-débat: « Bébés d’ici, mères d’exil »

Le Collectif Migrants 17 vous invite à une conférence-débat au Palais des Congrès de Rochefort 73,rue Toufaire – Auditorium, le 31 mai 2023 à 20h.

La section LDH de Royan

La section de la Ligue des Droits de l’Homme de Royan reprend ses réunions mensuelles pour l’année 2024/2025.

Elles ont lieu tous les 1er lundi du mois à 18h30 à la Maison Des Associations de Royan.

Si vous êtes intéressés, si vous voulez discuter ou adhérer, n’hésitez pas à nous joindre:

ldhpaysroyannais@orange.fr

ÉCRITS POUR LA FRATERNITÉ 2024 : « L’EAU N’EST PAS NÉCESSAIRE À LA VIE; ELLE EST LA VIE » Antoine de Saint Exupéry

Une dizaine de classes de maternelles et élémentaires de Royan, Médis, Vaux-sur-Mer, Saint-Palais-sur-Mer ont participé au concours cette année. Voici certaines de leurs productions. Merci à ces élèves (et à leurs maîtres et maîtresses) conscients de l’importance de l’eau!

Coupures de Presse « RENCONTRES DU LIVRE ET DU CITOYEN » 2024 -« Environnement : trop tard pour être pessimiste! » 

Sud-Ouest – Le Littoral

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