Fréquence Droits, lundi 29 novembre sur Aligre FM, l’accès aux archives

L ’ (IN)ACCÈS AUX ARCHIVES INDICATEUR DE DÉMOCRATIE Il y va de la transparence du fonctionnement de l’Etat, du droit de regard citoyen sur l’action politique menée en son nom, de l’intérêt général et de l’écriture de l’histoire. Or, qu’il s’agisse du régime de Vichy, des guerres coloniales, du Rwanda, mais aussi des essais nucléaires ou encore de la gestion du Covid, le secret défense cadenasse la vérité et contredit le droit de savoir. L’accessibilité des archives publiques diminue, au nom de la sécurité et des intérêts vitaux du pays, malgré la mobilisation inédite d’archivistes, de militants associatifs et d’historiens. 
 Trois d’entre eux sont les invités de

Fréquence Droit, lundi 29 novembre, de 18h00 à 19h00 :

 Sonia Combe, spécialiste de l’ex-URSS, conservatrice du département des archives de la bibliothèque de documentation internationale contemporaine de 2000 à 2008, autrice d’ « Archives interdites – l’histoire confisquée », La Découverte, 2001.

 – Gilles Manceron, spécialiste de l’histoire coloniale de la France et en particulier de la guerre d’Algérie. Membre du collectif « Accès aux archives publiques », ancien vice-président de la LDH.  – Gilles Morin, spécialiste de l’histoire du socialisme en France et de la collaboration. Président de l’association des usagers du service public des archives nationales, membre du collectif « Accès aux archives publiques ».

Débat animé par Alain Renon.

Section Paris 10/11

Fédération de Paris de la Ligue des Droits de l’HommeLigue des Droits de l’Homme

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Dimanche 12 décembre à 11h au Majestic Bastille

HACKING JUSTICE de Clara Lopez Rubio et Juan Pancorbo, 

séance suivie d’un débat avec

–Maryse Artiguelong, vice-présidente de la LDH et

–Jean-Philippe Foegle, juriste membre de la Maison des Lanceurs d’Alerte.

Voici l’histoire glorieuse et bouleversante de Julian Assange et de sa traque menée par les États-Unis et leurs vassaux dans une nouvelle version de l’éternel combat de Spartacus contre l’Empire. Suivant pas à pas la défense du fondateur de WikiLeaks, coordonnée par l’avocat espagnol Baltasar Garzón, mondialement connu pour avoir fait interpeller l’ancien dictateur chilien Augusto Pinochet, les réalisateurs ont parcouru le monde pendant neuf ans pour retisser cette histoire aux implications politiques profondes. Dans une démocratie, la liberté d’informer est un minimum vital et ne peut être une option, quelles que soient nos opinions politiques. Cette histoire concerne chacun d’entre nous. »

Rendez-vous mensuel, à notre initiative ce mois-ci,
en association avec Autour du 1er mai et en partenariat avec le Majestic Bastille, Amnesty Int.,et  L’OIP  

Section Paris 10/11

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