Ne laissons pas l’antisémitisme relever la tête

19 mars 2019
La Ligue des droits de l’Homme à la Réunion appelle à un rassemblement mardi 19 février à 17h30 à Champ Fleuri


En 2018 le nombre d’actes antisémites a augmenté de 74%. Depuis quelques semaines des individus multiplient les provocations immondes : le mot « Juden » stigmatise, à la peinture jaune, la devanture d’une boulangerie juive, des croix gammées sont appliquées sur le visage de Simone Veil, les arbres plantés en hommage à Ilan Halimi sont tranchés. Tout cela surgit sur fond d’un déversement régulier de propos anonymes sur les réseaux sociaux alors que des slogans d’extrême droite réapparaissent sur les murs. Aucun de ces actes ne peut être banalisé.
A l’appel de plusieurs organisations un rassemblement est organisé à Paris le 19 février.
La LDH à La Réunion s’associe à cet appel pour une large mobilisation.
La LDH exclut toute instrumentalisation au service de telle ou telle considération de tactique politicienne.
La LDH poursuivra inlassablement son action pour un combat commun de toutes celles et tous ceux qui s’attachent à faire vivre au quotidien l’idéal républicain de la fraternité, de l’égalité et de la liberté..
L’antisémitisme n’est pas l’affaire des Juifs il est l’affaire de tous.
Rassemblement mardi 19 février à 18h sur le parvis des droits de l’Homme à Champ Fleuri.
La LDH à La Réunion

Centenaire de l’armistice : à l’école Henri Dunan de St Denis #LaRéunion

Centenaire de l’armistice. .à l’école Henri Dunan de St Denis..974.des chants proposés par chaque classe.. des chants magnifiques orchestrés sous la houlette d‘un enseignant virtuose musicien…un monument aux morts symbole de la Grande Guerre dans chaque village de France…ici dans la cour…confectionné par les CM2…une allocution d « Ericka Bareigh députée et d »Isnelle Goulgnar de la Ligue des Droits de l’Homme en présence de Brigitte Adame élue du secteur
Un grand moment de souvenir citoyen…autour des valeurs de CONSTRUCTION de la Paix…émotion garantie pour élèves parents invités voisins réunis pour la Marseillaise reprise en choeur avec coeur.?

La Réunion qui envoya alors presque 5000 soldats sur les champs de bataille… 

15 septembre 2018 : Soutien à la vie associative à la Réunion

Conférence de presse de la LDH à la Réunion pour le soutien à la vie associative

« En moyenne, trois associations ferment chaque jour, à La Réunion« , selon Jean Fauconnet, président de la Ligue des Droits de l’Homme. Comme ses co-responsables, il regrette la diminution des subventions allouées aux associations et le manque d’adhésion des citoyens. « Qui sera en mesure d’accompagner les victimes des défaillances de l’Etat, questionnent-ils. Nous sommes très inquiets. »

Tous pointent également un manque de moyens alloués aux acteurs ultramarins afin de défendre les mesures gouvernementales. La cause des femmes fait partie intégrante du programme d’Emmanuel Macron depuis novembre 2017. Mais la Ligue des Droits de l’Homme n’a aperçu « aucune campagne d’information sur les accompagnements existants pour les Réunionnaises victimes de violence. Pire, poursuit Jean Fauconnet, le Collectif pour l’élimination des Violences Intra-Familiales (Cévif) risque de disparaître en raison de grandes difficultés financières. » L’instance associative projette de mener des actions, ainsi qu’une marche solidaire, dans plusieurs villes de l’île en marge de la lutte contre les violences faites aux femmes.

Femmes, jeunes et enfants

La LDH, qui fête son 70ème anniversaire, entend continuer ses actions de prévention. Les enfants et les adolescents sont particulièrement ciblés. En novembre prochain, des Jeunes Ambassadeurs du Droit animeront des ateliers à propos de l’égalité à l’occasion de la fête des droits de l’enfance. Un « groupe jeunes » de la LDH est, d’ailleurs, actuellement en création. « L’éducation est l’un des chantiers majeurs, explique Isnelle Gouljar, vice-présidente. Nous sensibiliserons les classes de découverte et les élèves de tous les établissements scolaires volontaires. » Par ailleurs, la LDH de l’île suit particulièrement les dossiers Mahorais.

OU EN EST-ON DE LA PREPARATION DES ASSISES DE LA JEUNESSE REUNIONNAISE promises « avant la fin de cette année »?

Le 08/12/2013:

Dans deux jours ce sera aussi, le 10 décembre, l’anniversaire de la Déclaration universelle des Droits de l’Homme. Et 10 jours plus tard, le 20 décembre, l’anniversaire de l’Abolition de l’esclavage à la Réunion.

Ces dates symboliques doivent nous conduire à réfléchir à nos engagements pour la défense des droits et de la dignité de la personne humaine, tant il est vrai que ces dates sont à la fois des ABOUTISSEMENTS et des COMMENCEMENTS.

C’est pourquoi nous voulons saisir cette occasion pour redire l’extrême urgence tenant à l’exclusion massive de nos jeunes de moins de 25 ans privés d’accès au DROIT AU TRAVAIL, alors qu’ils entrent dans la vie adulte.

OU EN EST-ON DE LA PREPARATION DES ASSISES DE LA JEUNESSE REUNIONNAISE promises « avant la fin de cette année »? Où en est-on dans la formulation et la mise en œuvre de propositions nouvelles et audacieuses pour faire reculer substantiellement et durablement le chômage des jeunes dans notre ile?

Où en est-on dans la formulation et la mise en œuvre de propositions nouvelles et audacieuses pour faire reculer substantiellement et durablement le chômage des jeunes dans notre ile?

Nous demandons, c’est un minimum, que la préparation des Assises promises fasse l’objet d’une concertation transparente avec tous les acteurs et qu’un calendrier précis soit établi.

La Réunion regorge d’énergies positives et d’intelligences. Il nous faut les mobiliser sans attendre pour répondre au défi de l’emploi des jeunes. En ne craignant pas de bousculer les idées reçues et de remettre en cause les carcans qui nous paralysent. C’est ainsi que nous donnerons sens à la Déclaration Universelle dans notre Ile et travaillerons à notre émancipation collective. C’est ainsi que nous honorerons nos illustres prédécesseurs parmi lesquels s’inscrit à jamais l’immense et lumineuse figure de NELSON MANDELA.

Isnelle GOULJAR

<br />

17 mai 2007: rien de ce qui est Africain ne nous est étranger

Pour nous Réunionnais, l’Afrique est une part de notre histoire, de notre héritage, une part aussi de notre Avenir. Rien de ce qui est Africain ne nous est étranger.
Pour nous Réunionnais, qui avons conquis, par la lutte de nos ancêtres, le droit de proclamer, avec la République, que « Nulle terre française ne peut plus porter d’esclaves », nul esclavage moderne, nulle razzia visant à constituer butin d’êtres humains, qui plus est des enfants, ne sauraient nous laisser indifférents.
Nous, plus que d’autres peut-être, nous avons, nous devons avoir, la très exigeante conscience que pour faire vivre la grande « Famille Humaine » dont parle la Déclaration des Droits de 1948, il nous faut, au jour le jour, tisser les liens invisibles mais durables d’une solidarité et d’une responsabilité universelle.
Comme il nous faut, ici et maintenant, faire ensemble R-E-U-N-I-O-N …
C’est avec cela en tête que nous sommes ici rassemblés.
Le sort cruel fait à ces jeunes filles africaines du NIGERIA nous émeut et nous rassemble.
Nous voulons d’abord leur libération. Et pour cela, notre mobilisation n’est pas vaine.
Nous voulons ensuite redire que si les droits humains sont indivisibles, le droit à l’Education, le droit à l’Emancipation pour les femmes, jeunes ou moins jeunes, et de tous les continents, est NOTRE combat.
Nous voulons enfin exiger que le crime, celui-ci comme d’autres, ne reste pas impuni.
REND BAND TI FILLES A ZOT FAMILLE !
Notre rassemblement d’aujourd’hui est un cri ! C’est une protestation contre la barbarie qui prend toujours visage humain.
La lutte contre le conditionnement des consciences, qu’il soit sectaire ou communautaire, passe par l’affirmation des principes laïques de notre République.
La survie de notre société démocratique et laïque dépend de sa capacité à éliminer les groupements nuisant à l’équilibre de la société et des individus.
Mais au-delà de ce cri, nous voulons faire une promesse à nos enfants et à nous-mêmes : celle de travailler ensemble, au-delà de nos différences, afin d’élargir concrètement le champ de nos solidarités et de nos responsabilités citoyennes. Dans notre Ile. Et dans le monde.

(…)
Allocution de Isnelle GOULJAR Présidente de la LDH à la Réunion

<br />

Le 17 mai 2014 – Parvis des Droits de l’Homme,
Saint-Denis

Don en confiance / LDH [Faites un don]

LA LIGUE DES DROITS DE L’HOMME OBTIENT LE LABEL « DON EN CONFIANCE »

Aujourd’hui, 16 février 2018, la Ligue des droits de l’Homme (LDH) a obtenu l’agrément du Comité de la charte et est labellisée « Don en confiance »VOUS AUSSI, FAITES UN DON À LA LDH !DON EN CONFIANCE, organisme à but non lucratif ouvert à toutes les causes d’intérêt général, a été créé en 1989 par de grandes associations et fondations sociales et humanitaires avec la volonté de préserver et développer une relation de confiance avec leurs donateurs.

Ayant fondé il y a près de trente ans une Charte de déontologie, il exerce la mission de contrôle de l’appel public à la générosité basé sur des principes de transparence, de recherche d’efficacité, de probité et désintéressement, et de respect des donateurs, personnes physiques ou morales.

À ce jour, le Don en confiance rassemble près de 90 organisations labellisées suivies par une centaine de contrôleurs bénévoles experts.

 

social_media_09La LDH est reconnue par le label comme respectueuse des 4 grands principes du Comité :

  • fonctionnement statutaire et gestion désintéressée ;
  • rigueur de la gestion ;
  • qualité de la communication et des actions de collecte de fonds ;
  • transparence financière.

 

Parce que chaque donateur a le droit de savoir comment est dépensé son argent et d’être assuré que chaque fondation et association recueillant des dons fonctionne en toute transparence.

NOUVELLES INITIATIVES DE LA LDH à la REUNION

NOUVELLES INITITIVES DE LA LDH à la REUNION
« Dans la ligne de l’action conduite ces dernières années »

Le bureau de la LDH à la Réunion s’est réuni ce 10 février, pour mettre en œuvre les orientations arrêtées lors de l’Assemblée générale du 3 février dernier
A l’invitation de son président, le bureau a ainsi validé un certain nombre d’initiatives, notamment une série de contacts à établir avec les services de l’Etat, les Collectivités et l’ensemble de nos partenaires associatifs, pour faire le point en ce début d’année sur divers sujets d’actualité. Ont spécialement été évoqués :
– le renforcement de l’Education civique et laïque à la Réunion par la signature d’une convention pluriannuelle proposée par l’ensemble des associations d’éducation populaires ;
– la lutte contre les discriminations et contre les violences faites aux femmes ;
– La situation de l’emploi, du chômage des jeunes et de leur formation ;
Le bureau a adopté un calendrier sur l’année pour un ensemble de réunions dans les différentes régions de l’Île, et les modalités de la création d’un groupe « JEUNES » dotée de son autonomie au sein de la Ligue.
Le président Jean FAUCONNET a tenu à souligner que ces initiatives s’inscrivaient dans la ligne traditionnelle de la Ligue à la Réunion et a rendu à cet égard un hommage appuyé à Mme Isnelle GOULJAR, présidente ces 6 dernières années ainsi qu’à Jérôme TARBES, trésorier durant la même période. « Pour remplir le mandat confié par notre assemblée générale du 3 février dernier de donner un nouveau souffle à l’action de la LDH à la Réunion en l’ouvrant davantage à la Jeunesse, a-t-il indiqué, nous devons placer notre action dans la continuité de celle engagée ces dernières années. »
Da cet esprit, le bureau a confirmé l’attachement de la LDH à la Réunion aux partenariats inter-associatifs noués dans l’action citoyenne durant la dernière période et appelle à les renforcer.

Fait à Saint-Denis le 10/02/2017
Le secrétariat de la LDH à la Réunion.

Contre le racisme : se respecter soi-même ! #LaRéunion

Spectacles de Dieudonné à la Réunion
(…)
La Ligue des droits de l’Homme à la Réunion tient particulièrement à mettre en garde les réunionnais, au nom de nos valeurs et notamment de nos valeurs « réunionnaises », contre le péril du racisme, sur les dérives des idées simplistes d’extrême droite véhiculées par Dieudonné et d’autres…
Nous rappelons que la situation sociale préoccupante et les manquements à la promesse républicaine sont autant de facteurs qui permettent à un discours anti-système, parfois violent et dangereux, non seulement d’exister mais surtout d’agréger une partie des citoyens qui se sentent ou sont délaissés. Il nous paraît indispensable que ces signaux d’alertes soient pris en compte par les acteurs politiques afin de mettre en œuvre des dispositifs qui rassemblent plus qu’ils ne divisent.
La liberté d’expression est valable pour tous les citoyens. Si l’on peut rire de tout on ne peut le faire sans dommage avec des gens qui font profession d’attiser la haine et qui dénoncent volontiers le racisme d’autrui à leur égard pour mieux justifier leurs propos racistes.
Respecter les autres, c’est se respecter soi-même.
Fait à Saint-Denis le 15/02/2017,
Le Secrétariat de la LDH à la Réunion.

COMORES : Pour une mobilisation en faveur d’une coopération concrète et renforcée avec les COMORES

COMMUNIQUE

La Ligue des droits de l’Homme à la Réunion partage l’émotion légitime provoquée par les propos du Président de la République sur les kwassa-kwassa.

Se trouvent ainsi remis en pleine lumière :

–  la question de la responsabilité de notre pays dans la situation dramatique qui conduit depuis tant d’années des migrants comoriens à périr en mer pour rejoindre Mayotte ;

–  l’urgence d’une réponse adaptée, mettant en œuvre tous les moyens nécessaires pour relancer d’une manière concrète une coopération active avec les Comores ;

–  l’indispensable solidarité de tous les acteurs, les Etat, les  Collectivités, et les ONG des sociétés civiles pour mettre en œuvre des actions en ce sens.

Au-delà de l’émotion, la Ligue des Droits de l’Homme à la Réunion appelle les représentants politiques de la Réunion et l’ensemble des réunionnais à agir en faveur de cette mobilisation utile et concrète. Il s’agit pour nous de garder le respect de nous-mêmes, de nos voisins et de notre unique et égale humanité.

Saint-Denis, le 06/06/2017

 

La Ligue des Droits de l’Homme à la Réunion

97 avenue de Lattre de Tassigny   –  97490 Ste-Clotilde –  TEL : 0692 69 01 71 – 0262 30 15 66
Courriel : saintdenis-reunion@ldh-france.org – Site : http://www.ldh-france.org/section/saintdenis-reunion/

https://www.facebook.com/ldh.reunion   https://twitter.com/LDHReunion

Congrès de la LDH 2017 : Orientations / Malik Salemkour élu président.

#LDH #CONGRES : Malik Salemkour élu président national de la Ligue des droits de l’Homme. S’adressant à l’ensemble des adhérent-e-s, il réaffirme que « le futur n’est inscrit nulle part : il est entre nos mains ! », et nous invite ainsi toutes et tous à nous mobiliser « La ligue est debout, à nous de la faire entendre, à nous de convaincre, au travail ! »
C’est l’occasion aussi de rendre hommage à Françoise Dumont, et de la remercier du travail accompli à la Présidence de la LDH

 

GRENOBLE 2017, LA LDH EN CONGRÈS, VENT DEBOUT POUR LA DÉFENSE DES DROITS ET DES LIBERTÉS

Du 3 au 5 juin 2017, la Ligue des droits de l’Homme a réuni ses délégués, représentant les sections, fédérations et comités régionaux, lors de son 89e congrès national, à Grenoble.
Le président de Grenoble-Alpes métropole, Christophe Ferrari, et le maire de Grenoble, Eric Piolle, ont montré leur attachement à la défense des droits et à la lutte contre les discriminations.La solidarité et les droits des femmes au cœur du congrès

La LDH a mis à l’honneur la solidarité en recevant les délinquants solidaires, Léopold Jacquens et Pierre-Alain Mannoni, ainsi que les droits des femmes partout dans le monde en accueillant Nabia Haddouche, présidente de l’Association démocratique des femmes du Maroc (ADFM) et vice-présidente d’EuroMed Droits, Magda Grabowska, chercheuse en sciences sociales et militante féministe, Pinar Selek, sociologue, écrivaine et militante féministe membre de la LDH de Nice.

Un congrès tourné vers l’international

Maryse Artiguelong, vice-présidente de la Fédération internationale des Ligues des droits de l’Homme (FIDH), Claude Debrulle, secrétaire général de l’Association européenne pour la défense des droits de l’Homme (AEDH), Michel Tubiana, président d’EuroMed Droits, ont rappelé l’importance de la défense des droits et des libertés, notamment dans le contexte actuel et face à la promulgation de l’état d’urgence.

Le congrès a adopté trois résolutions :

– Vive la démocratie ! – La démocratie est l’avenir du monde, à condition que le monde s’en occupe. Car les droits, les libertés, la fraternité et le bien-être, s’ils sont rendus possible par la démocratie en sont aussi la condition et l’horizon, un objectif qui doit sans cesse être réaffirmé.
– La lutte contre le racisme ne se divise pas – La LDH réaffirme son engagement dans la lutte contre le racisme sous toutes ses formes et appelle les organisations et personnes, à se rassembler pour mieux organiser un combat nécessairement commun.
– Législatives 2017, voter pour les droits et les libertés – La protection des libertés individuelles et collectives est un impératif démocratique. Nous appelons donc les électrices et les électeurs à se déterminer. Ils, elles, détiennent le pouvoir de faire changer les choses et d’imposer leur volonté d’une société plus libre, plus égale, et plus fraternelle.

La LDH en action

Le rapport moral, le rapport d’activité et le rapport financier ont été adoptés par une forte majorité des délégué-e-s des sections.
Un message de soutien a été adressé à l’action des ligueurs de Corse.

Malik Salemkour élu président de la LDH

A l’issue du congrès, le Comité central renouvelé a élu le Bureau national. Malik Salemkour a été élu président de la LDH. Maryse Artiguelong, Françoise Castex et Dominique Noguères sont vice-présidentes ; Dominique Guibert est secrétaire général ; Martine Cocquet, Stéphane Lenoël, Fabienne Messica et Vincent Rebérioux sont secrétaires généraux adjoints. Alain Esmery est trésorier national. Stéphanie Calvo, Patrick Canin, Philippe Legrand et Jan Robert Suesser sont membres du Bureau national.
Le congrès a élu par acclamation Françoise Dumont présidente d’honneur.

Alimi Arié, Artiguelong Maryse, Bordji Sandra, Bectarte Clémence, Biache Roland, Blondin Stéphane, Calvo Stephanie, Canin Patrick, Castex Françoise, Cocquet Martine, Coquard Yves, Djerrah Nadja, Esmery Alain, Eynaud Bernard, Garrigues Paul, Gharbi Mohamed, Ghermani Odile, Grethen Geneviève, Guibert Dominique, Hamida Khaled, Lacoste Lucie, Laville Philippe, Legrand Philippe, Lelièvre Jean-Marie, Lemétayer Germaine, Lenoël Stéphane, Levasseur Fabienne, Manceron Gilles, Messica Fabienne, Mignard Jean-François, Miné Michel, Molesin Julien, Montacié Jacques, Nakache Pascal, Noguères Dominique, Nowak Clémence, Pineau Philippe, Rafier Jean-Pierre, Ramond Thierry, Rebérioux Vincent, Salemkour Malik, Selek Pinar, Stervinou Matthieu, Suesser Jan Robert, Tricoire Agnès, Tubiana Michel, Véron Christiane, Vossah Koffi composent désormais le Comité central.

Grenoble, le 5 juin 2017