10 mai : les dates clés de l’histoire de l’esclavage

Depuis 2006, la France commémore officiellement le 10 mai la Journée nationale des mémoires de la traite, de l’esclavage et de leur abolition. A cette occasion, retour sur les grandes dates qui ont marqué l’histoire de l’esclavage.

Scène de punition d’un esclave © DR
© DR Scène de punition d’un esclave
Par Philippe Triay
Publié le 09/05/2014
L’esclavage transatlantique organisé par les Européens, mais également celui arabo-musulman, fut un système économique et institutionnel qui a entraîné la déportation de dizaines de millions d’êtres humains à travers les siècles. Les dates indiquées ci-dessous concernent pour l’essentiel l’esclavage pratiqué dans les ex-colonies françaises. Les données que nous mentionnons proviennent de différentes sources, en particulier du Comité national pour la mémoire et l’histoire de l’esclavage (CNMHE) et de l’Institut du Tout-Monde (les Mémoires des esclavages et de leurs abolitions).

VIIe siècle (jusqu’à la fin du XIXe) : Traite transsaharienne et orientale arabo-musulmane, qui entraîne la déportation de 12 à 14 millions d’Africains originaires d’Afrique subsaharienne.

–> A lire ici : L’autre esclavage : un aperçu de la traite arabo-musulmane

Fin du XVe siècle (jusqu’à la fin du XIXe) : Début de l’esclavage transatlantique. Environ 12 à 18 millions d’esclaves, selon les estimations, sont déportés d’Afrique subsaharienne vers les Amériques. Près de 2 millions d’entre eux périssent durant le voyage.

–> A lire : A bord du bateau négrier, le récit de l’effroyable traversée

Mars 1685 : Louis XIV édicte le Code noir, qui réglemente la vie des esclaves dans les colonies françaises.

4 février 1794 : Adoption du décret d’émancipation et d’abolition du 16 pluviôse an II par la Convention en France. Cela fait suite aux révoltes qui éclatent en août 1791 à Saint-Domingue (Haïti) et à la proclamation de l’abolition de l’esclavage dans cette île en 1793.

Le code noir
20 mai 1802 : Rétablissement par décret de l’esclavage par Napoléon Bonaparte. Une répression intense est menée dans les colonies françaises, notamment en Guadeloupe et en Guyane.

1er janvier 1804 : Proclamation de l’indépendance d’Haïti, sous la direction de Jean-Jacques Dessalines, qui devient la première République noire du monde. Les anciens esclaves ont vaincu l’armée napoléonienne.

–> A voir : Et Haïti se libéra de ses chaînes…

1807 : L’Angleterre vote la suppression de la traite négrière.

1814 : Par le Traité de Paris, la France s’engage à unir ses efforts à ceux de la Grande-Bretagne pour abolir la traite. Elle ne commencera vraiment à la réprimer qu’à partir de 1827, vingt ans après les Anglais.

27 avril 1848 : Promulgation du décret d’abolition de l’esclavage dans les colonies et possessions françaises.

22 mai 1848 : Proclamation du décret d’émancipation en Martinique (74.000 esclaves émancipés).

27 mai 1848 : Proclamation du décret en Guadeloupe (87.000 esclaves émancipés).

–> A lire ici : 10 mai : « L’histoire de l’esclavage nous permet de repenser l’égalité et la démocratie » (Myriam Cottias)
–> Agenda : Les commémorations de l’abolition de l’esclavage dans l’hexagone

10 août 1848 : Proclamation du décret en Guyane (environ 13.000 esclaves émancipés).

20 décembre 1848 : Proclamation du décret à la Réunion (62.000 esclaves émancipés).

30 avril 1849 : Vote de la loi qui fixe le montant des indemnisations aux colons. Plus de 126 millions de francs de l’époque sont versés aux anciens propriétaires d’esclaves par l’Etat français.

21 mai 2001 : Loi n°2001-434 du Parlement français « tendant à la reconnaissance de la traite et de l’esclavage en tant que crime contre l’humanité », dite loi Taubira.

 

#10Mai – Journée nationale de commémorations de la traite, de l’esclavage et de leurs abolitions : La CNCDH s’inquiète du manque d’engagement politique pour lutter contre le fléau de la traite moderne en France et appelle le Gouvernement à se doter d’un plan national de lutte au plus vite.
La France n’a plus de plan de lutte depuis 2017, soit depuis plus de 2 ans !

Pour lire le communiqué de presse ??https://www.cncdh.fr/node/1965

MARCHER ENSEMBLE POUR NOTRE ENVIRONNEMENT ET LES DROITS HUMAINS

Communiqué LDH]
La #LDH appelle à la grande marche citoyenne du #18Mai pour dénoncer la destruction de l’#environnement et les atteintes aux droits humains par les multinationales, telles que #Monsanto !
#JourDuDepassement
➤ http://frama.link/Marche18Mai

 
Depuis maintenant sept ans, une marche citoyenne a lieu en mai dans le monde entier pour dénoncer les pratiques attentatoires au droit de vivre dans un environnement sain des grands groupes de l’industrie agrochimique. Elle se concentre sur la figure de Monsanto (désormais Bayer-Monsanto), non parce qu’il en est le seul responsable, mais parce qu’il en est venu à incarner l’esprit d’inconséquence qui domine le système économique contemporain.

Déformant l’objectif de sécurité alimentaire face aux aléas naturels, l’agrochimie est allée très loin dans la volonté de contrôler les cycles et la chaîne de production, incluant des pans toujours plus grands de la vie sociale agricole dans un marché mondial. En Inde par exemple, le contrôle par Monsanto des semences transgéniques stériles du coton a conduit des milliers de paysans à la misère et au désespoir, avant que le gouvernement ne réagisse.

Car de manière générale, les pouvoirs publics ne jouent qu’a minima leur rôle de protection des populations, se satisfaisant d’une régulation minimale des logiques capitalistiques de l’industrie. Les conflits d’intérêts dans la recherche sur la dangerosité des produits pesticides et leurs effets sur les écosystèmes, les tentatives d’influence qui ne sont pas découragées sont autant de signes délétères pour la démocratie.

Face à cela, des collectifs citoyens se sont mobilisés pour mettre les institutions et l’industrie face à leurs responsabilités respectives. La quasi-impunité de Monsanto commence à être battue en brèche, avec des décisions de justice qui lui ont été récemment défavorables. Cela a aussi été rendu possible grâce au travail réalisé lors du procès fictif de Monsanto à La Haye dès 2015, qui avait dégagé des arguments sur sa culpabilité dans un « crime d’écocide » : une destruction intentionnelle de l’environnement portant atteinte aux droits humains.

Face aux calculs essentiellement financiers et à courte vue des multinationales, mais dont les conséquences se font sentir à long terme, il importe en effet que les droits soient défendus non plus seulement de manière immédiate, mais aussi en perspective. Pour l’exiger, marchons le 18 mai !

Paris, le 9 mai 2019

 

 

 

Alerte : traite à Madagascar !

Enquête sur traite d’humaines entre la Chine et Madagascar

La police des enquêtes spécialisées a arrêté huit personnes, dont deux couples, à Ambohibary Moramanga, lors d’un mariage entre des migrantes malgaches et des chinois. Ils ont été emmené à Antananarivo pour y être interrogé pour traite humaine.

Deux chinois et trois femmes malgaches sont restés en garde à vue, car la police pense qu’ils sont les cerveaux de ce trafic, qui rapporte beaucoup.
Une femme coûte environ 84 millions d’ariary (20 100 €), pour faciliter les démarches, ils se marient civilement avec les femmes. Chaque recruteuse perçoit 500 00 ariary par fille et la fiancée touche 2 millions d’ariary.

« Lorsque tout est prêt, elles organisent la rencontre entre les filles et les chinois venus exprès à Madagascar. La principale actrice de ces activités criminelles est activement recherchée par la SES depuis deux ans pour la même raison« , a expliqué le service communication du ministère de la sécurité publique.

D’ailleurs, « les prospects chinois viennent se marier avec elles à Madagascar en corrompant des agents de la commune afin de couronner leur mariage. Toute cette étape dans le but d’amener les migrantes à l’étranger qui leur serviront ensuite d’esclaves, parfois sexuelles« , a indiqué le service.

Ne laissons pas l’antisémitisme relever la tête

19 mars 2019
La Ligue des droits de l’Homme à la Réunion appelle à un rassemblement mardi 19 février à 17h30 à Champ Fleuri


En 2018 le nombre d’actes antisémites a augmenté de 74%. Depuis quelques semaines des individus multiplient les provocations immondes : le mot « Juden » stigmatise, à la peinture jaune, la devanture d’une boulangerie juive, des croix gammées sont appliquées sur le visage de Simone Veil, les arbres plantés en hommage à Ilan Halimi sont tranchés. Tout cela surgit sur fond d’un déversement régulier de propos anonymes sur les réseaux sociaux alors que des slogans d’extrême droite réapparaissent sur les murs. Aucun de ces actes ne peut être banalisé.
A l’appel de plusieurs organisations un rassemblement est organisé à Paris le 19 février.
La LDH à La Réunion s’associe à cet appel pour une large mobilisation.
La LDH exclut toute instrumentalisation au service de telle ou telle considération de tactique politicienne.
La LDH poursuivra inlassablement son action pour un combat commun de toutes celles et tous ceux qui s’attachent à faire vivre au quotidien l’idéal républicain de la fraternité, de l’égalité et de la liberté..
L’antisémitisme n’est pas l’affaire des Juifs il est l’affaire de tous.
Rassemblement mardi 19 février à 18h sur le parvis des droits de l’Homme à Champ Fleuri.
La LDH à La Réunion

Centenaire de l’armistice : à l’école Henri Dunan de St Denis #LaRéunion

Centenaire de l’armistice. .à l’école Henri Dunan de St Denis..974.des chants proposés par chaque classe.. des chants magnifiques orchestrés sous la houlette d‘un enseignant virtuose musicien…un monument aux morts symbole de la Grande Guerre dans chaque village de France…ici dans la cour…confectionné par les CM2…une allocution d « Ericka Bareigh députée et d »Isnelle Goulgnar de la Ligue des Droits de l’Homme en présence de Brigitte Adame élue du secteur
Un grand moment de souvenir citoyen…autour des valeurs de CONSTRUCTION de la Paix…émotion garantie pour élèves parents invités voisins réunis pour la Marseillaise reprise en choeur avec coeur.?

La Réunion qui envoya alors presque 5000 soldats sur les champs de bataille… 

15 septembre 2018 : Soutien à la vie associative à la Réunion

Conférence de presse de la LDH à la Réunion pour le soutien à la vie associative

« En moyenne, trois associations ferment chaque jour, à La Réunion« , selon Jean Fauconnet, président de la Ligue des Droits de l’Homme. Comme ses co-responsables, il regrette la diminution des subventions allouées aux associations et le manque d’adhésion des citoyens. « Qui sera en mesure d’accompagner les victimes des défaillances de l’Etat, questionnent-ils. Nous sommes très inquiets. »

Tous pointent également un manque de moyens alloués aux acteurs ultramarins afin de défendre les mesures gouvernementales. La cause des femmes fait partie intégrante du programme d’Emmanuel Macron depuis novembre 2017. Mais la Ligue des Droits de l’Homme n’a aperçu « aucune campagne d’information sur les accompagnements existants pour les Réunionnaises victimes de violence. Pire, poursuit Jean Fauconnet, le Collectif pour l’élimination des Violences Intra-Familiales (Cévif) risque de disparaître en raison de grandes difficultés financières. » L’instance associative projette de mener des actions, ainsi qu’une marche solidaire, dans plusieurs villes de l’île en marge de la lutte contre les violences faites aux femmes.

Femmes, jeunes et enfants

La LDH, qui fête son 70ème anniversaire, entend continuer ses actions de prévention. Les enfants et les adolescents sont particulièrement ciblés. En novembre prochain, des Jeunes Ambassadeurs du Droit animeront des ateliers à propos de l’égalité à l’occasion de la fête des droits de l’enfance. Un « groupe jeunes » de la LDH est, d’ailleurs, actuellement en création. « L’éducation est l’un des chantiers majeurs, explique Isnelle Gouljar, vice-présidente. Nous sensibiliserons les classes de découverte et les élèves de tous les établissements scolaires volontaires. » Par ailleurs, la LDH de l’île suit particulièrement les dossiers Mahorais.

OU EN EST-ON DE LA PREPARATION DES ASSISES DE LA JEUNESSE REUNIONNAISE promises « avant la fin de cette année »?

Le 08/12/2013:

Dans deux jours ce sera aussi, le 10 décembre, l’anniversaire de la Déclaration universelle des Droits de l’Homme. Et 10 jours plus tard, le 20 décembre, l’anniversaire de l’Abolition de l’esclavage à la Réunion.

Ces dates symboliques doivent nous conduire à réfléchir à nos engagements pour la défense des droits et de la dignité de la personne humaine, tant il est vrai que ces dates sont à la fois des ABOUTISSEMENTS et des COMMENCEMENTS.

C’est pourquoi nous voulons saisir cette occasion pour redire l’extrême urgence tenant à l’exclusion massive de nos jeunes de moins de 25 ans privés d’accès au DROIT AU TRAVAIL, alors qu’ils entrent dans la vie adulte.

OU EN EST-ON DE LA PREPARATION DES ASSISES DE LA JEUNESSE REUNIONNAISE promises « avant la fin de cette année »? Où en est-on dans la formulation et la mise en œuvre de propositions nouvelles et audacieuses pour faire reculer substantiellement et durablement le chômage des jeunes dans notre ile?

Où en est-on dans la formulation et la mise en œuvre de propositions nouvelles et audacieuses pour faire reculer substantiellement et durablement le chômage des jeunes dans notre ile?

Nous demandons, c’est un minimum, que la préparation des Assises promises fasse l’objet d’une concertation transparente avec tous les acteurs et qu’un calendrier précis soit établi.

La Réunion regorge d’énergies positives et d’intelligences. Il nous faut les mobiliser sans attendre pour répondre au défi de l’emploi des jeunes. En ne craignant pas de bousculer les idées reçues et de remettre en cause les carcans qui nous paralysent. C’est ainsi que nous donnerons sens à la Déclaration Universelle dans notre Ile et travaillerons à notre émancipation collective. C’est ainsi que nous honorerons nos illustres prédécesseurs parmi lesquels s’inscrit à jamais l’immense et lumineuse figure de NELSON MANDELA.

Isnelle GOULJAR

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17 mai 2007: rien de ce qui est Africain ne nous est étranger

Pour nous Réunionnais, l’Afrique est une part de notre histoire, de notre héritage, une part aussi de notre Avenir. Rien de ce qui est Africain ne nous est étranger.
Pour nous Réunionnais, qui avons conquis, par la lutte de nos ancêtres, le droit de proclamer, avec la République, que « Nulle terre française ne peut plus porter d’esclaves », nul esclavage moderne, nulle razzia visant à constituer butin d’êtres humains, qui plus est des enfants, ne sauraient nous laisser indifférents.
Nous, plus que d’autres peut-être, nous avons, nous devons avoir, la très exigeante conscience que pour faire vivre la grande « Famille Humaine » dont parle la Déclaration des Droits de 1948, il nous faut, au jour le jour, tisser les liens invisibles mais durables d’une solidarité et d’une responsabilité universelle.
Comme il nous faut, ici et maintenant, faire ensemble R-E-U-N-I-O-N …
C’est avec cela en tête que nous sommes ici rassemblés.
Le sort cruel fait à ces jeunes filles africaines du NIGERIA nous émeut et nous rassemble.
Nous voulons d’abord leur libération. Et pour cela, notre mobilisation n’est pas vaine.
Nous voulons ensuite redire que si les droits humains sont indivisibles, le droit à l’Education, le droit à l’Emancipation pour les femmes, jeunes ou moins jeunes, et de tous les continents, est NOTRE combat.
Nous voulons enfin exiger que le crime, celui-ci comme d’autres, ne reste pas impuni.
REND BAND TI FILLES A ZOT FAMILLE !
Notre rassemblement d’aujourd’hui est un cri ! C’est une protestation contre la barbarie qui prend toujours visage humain.
La lutte contre le conditionnement des consciences, qu’il soit sectaire ou communautaire, passe par l’affirmation des principes laïques de notre République.
La survie de notre société démocratique et laïque dépend de sa capacité à éliminer les groupements nuisant à l’équilibre de la société et des individus.
Mais au-delà de ce cri, nous voulons faire une promesse à nos enfants et à nous-mêmes : celle de travailler ensemble, au-delà de nos différences, afin d’élargir concrètement le champ de nos solidarités et de nos responsabilités citoyennes. Dans notre Ile. Et dans le monde.

(…)
Allocution de Isnelle GOULJAR Présidente de la LDH à la Réunion

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Le 17 mai 2014 – Parvis des Droits de l’Homme,
Saint-Denis

Don en confiance / LDH [Faites un don]

LA LIGUE DES DROITS DE L’HOMME OBTIENT LE LABEL « DON EN CONFIANCE »

Aujourd’hui, 16 février 2018, la Ligue des droits de l’Homme (LDH) a obtenu l’agrément du Comité de la charte et est labellisée « Don en confiance »VOUS AUSSI, FAITES UN DON À LA LDH !DON EN CONFIANCE, organisme à but non lucratif ouvert à toutes les causes d’intérêt général, a été créé en 1989 par de grandes associations et fondations sociales et humanitaires avec la volonté de préserver et développer une relation de confiance avec leurs donateurs.

Ayant fondé il y a près de trente ans une Charte de déontologie, il exerce la mission de contrôle de l’appel public à la générosité basé sur des principes de transparence, de recherche d’efficacité, de probité et désintéressement, et de respect des donateurs, personnes physiques ou morales.

À ce jour, le Don en confiance rassemble près de 90 organisations labellisées suivies par une centaine de contrôleurs bénévoles experts.

 

social_media_09La LDH est reconnue par le label comme respectueuse des 4 grands principes du Comité :

  • fonctionnement statutaire et gestion désintéressée ;
  • rigueur de la gestion ;
  • qualité de la communication et des actions de collecte de fonds ;
  • transparence financière.

 

Parce que chaque donateur a le droit de savoir comment est dépensé son argent et d’être assuré que chaque fondation et association recueillant des dons fonctionne en toute transparence.

NOUVELLES INITIATIVES DE LA LDH à la REUNION

NOUVELLES INITITIVES DE LA LDH à la REUNION
« Dans la ligne de l’action conduite ces dernières années »

Le bureau de la LDH à la Réunion s’est réuni ce 10 février, pour mettre en œuvre les orientations arrêtées lors de l’Assemblée générale du 3 février dernier
A l’invitation de son président, le bureau a ainsi validé un certain nombre d’initiatives, notamment une série de contacts à établir avec les services de l’Etat, les Collectivités et l’ensemble de nos partenaires associatifs, pour faire le point en ce début d’année sur divers sujets d’actualité. Ont spécialement été évoqués :
– le renforcement de l’Education civique et laïque à la Réunion par la signature d’une convention pluriannuelle proposée par l’ensemble des associations d’éducation populaires ;
– la lutte contre les discriminations et contre les violences faites aux femmes ;
– La situation de l’emploi, du chômage des jeunes et de leur formation ;
Le bureau a adopté un calendrier sur l’année pour un ensemble de réunions dans les différentes régions de l’Île, et les modalités de la création d’un groupe « JEUNES » dotée de son autonomie au sein de la Ligue.
Le président Jean FAUCONNET a tenu à souligner que ces initiatives s’inscrivaient dans la ligne traditionnelle de la Ligue à la Réunion et a rendu à cet égard un hommage appuyé à Mme Isnelle GOULJAR, présidente ces 6 dernières années ainsi qu’à Jérôme TARBES, trésorier durant la même période. « Pour remplir le mandat confié par notre assemblée générale du 3 février dernier de donner un nouveau souffle à l’action de la LDH à la Réunion en l’ouvrant davantage à la Jeunesse, a-t-il indiqué, nous devons placer notre action dans la continuité de celle engagée ces dernières années. »
Da cet esprit, le bureau a confirmé l’attachement de la LDH à la Réunion aux partenariats inter-associatifs noués dans l’action citoyenne durant la dernière période et appelle à les renforcer.

Fait à Saint-Denis le 10/02/2017
Le secrétariat de la LDH à la Réunion.