Catégorie : communiqués

Hommage à Jack Ralite

Hommage à Jack Ralite

Jack Ralite vient de nous quitter.
Homme de culture, militant infatigable, homme d’ouverture, ardent défenseur des droits de
l’Homme, de la citoyenneté et des valeurs républicaines, Jack Ralite fut député, conseiller
régional, sénateur, ministre de la santé, puis ministre de l’emploi, et maire de la ville
d’Aubervilliers ; il fut aussi animateur des Etats généraux de la culture. Mais tous ces mandats
n’ont jamais affecté une chose : il était aussi un homme proche des gens et en particulier de
la population albertivillarienne. Il suffisait de voir l’affection que lui portaient les habitants
lorsqu’ils le croisaient dans la rue, à la mairie ou à la librairie d’Aubervilliers où il aimait passer
du temps.
Il y a peu, après la disparition de Simone Veil, lui rendant un vibrant et émouvant hommage,
il écrivait : « Elle était comme dirait Saint John Perse « un grand arbre de lumière » ».
« Un grand arbre de lumière », c’est aussi ce qu’était Jack Ralite.

A sa famille, à ses proches la fédération de Seine-Saint-Denis et la section de Saint-Denis Plaine
Commune de la LDH adressent leurs plus sincères condoléances.

Aubervilliers / Saint-Denis, le 12 novembre 2017

Soutien aux maires ayant pris des arrêtés « anti mise à la rue »

La section Saint-Denis Plaine Commune de la Ligue des droits de l’Homme assure de son plein
soutien les maires des villes de Stains, La Courneuve, Saint-Denis, Villetaneuse, Aubervilliers, ainsi
que Bondy, à la veille de l’audience du tribunal administratif de Montreuil consacrée à la demande de
suspension des arrêtés « anti-mise à la rue » pris par eux, présentée par le préfet de Seine-Saint-
Denis.
LIRE ICI L’INITÉGRALITÉ DU COMUUNIQUÉ

Pour mémoire, voici le communiqué de ces maires : http://www.aubervilliers.fr/Droit-au-logement-6-maires-convoques-devant-le-tribunal-administratif

Non au démantèlement des camps sans solutions décente

Suite au démantèlement du camp des expulsés du 168 avenue Wilson et aux autres démantèlements
de camps de migrants ou de roms (le dernier en date av. de Stalingrad), la section appelle à signer la pétition suivante (cliquez ici pour signer):

Un toit c’est un droit – Non au démantèlement des campements sans solution décente

Saint-Denis, le 17 janvier 2016.

Au moment où le gouvernement prolonge de 6 mois l’état d’urgence, les organisations signataires constatent une multiplication des interventions policières pour démanteler les campements et les bidonvilles des personnes en grandes difficultés sociales sans que des solutions à la hauteur des besoins ne leurs soient proposées, particulièrement celui d’être hébergé.

Elles dénoncent les expulsions sauvages pratiquées par le Préfet de Seine Saint Denis, sans aucune mise à l’abri des 83 habitants expulsés de leur immeuble du 168 avenue du président Wilson, mais aussi de nombreuses familles de la Plaine St Denis, et dernièrement du bidonville des Roms des Joncheroles.

Elles dénoncent le démantèlement, sur le terre plein de l’avenue du Président Wilson, des campements des migrants et des habitants expulsés du 168. Ces expulsions à répétition bafouent les droits humains élémentaires.

Elles dénoncent la situation d’accueil -plutôt de non accueil- des migrants en France et en région parisienne, qui aboutit à jeter dans une précarité plus grande des personnes ayant déjà subi et fui les guerres, les tortures, les famines et ce au mépris des lois françaises, des directives européennes, des conventions internationales et des droits fondamentaux qui y sont rattachés.

Elles dénoncent le traitement policier de ces situations par les traques, les rafles, les déplacements, les destructions de camps et de bidonvilles, les humiliations, les expulsions.

Elles exigent que les droits et la dignité de toutes les personnes soient respectées et particulièrement celui d’avoir un toit pour se protéger et protéger sa famille, mais aussi la liberté d’installation et de circulation, la régularisation des sans-papiers, la fermeture de tous les lieux d’enfermement.

Réseau Solidarité Logement, Droit Au Logement, Centre Social Autogéré ATTIEKE, MRAP, Coordination 93 des Sans Papiers, Coordination des foyers de Plaine Commune, APEIS, Action des Chrétiens pour l’Abolition de la Torture, CCFD Terre Solidaire, CERAS, UL Solidaire Saint Denis, union locale CGT de saint Denis, FCPE Saint Denis, Sciences Populaires, Union fraternelle de la Plaine, Ensemble Vivre Travailler et Coopérer, Section LDH Saint-Denis Plaine Commune, LDH de l’EHESS, Compagnie Jolie Môme, Mouvement de la Paix Saint-Denis, Les Bonnets d’Âne, Association Droits Devant.

Soutenues par : NPA, PCF, Ensemble, Saint Denis Insoumise, Groupe Poulaille FA, CGA.

Soutien aux expulsés du 168

À la suite de l’expulsion du campement des anciens habitants du 168 av. Wilson les associations de soutien appellent à une manifestation samedi 14 janvier à 11h pour le relogement, contre l’expulsion des camps et contre la présence des grilles « anti-campements » sur l’avenue.

La section LDH de Saint-Denis Plaine Cimmune est signataire su texte suivant:

UN TOIT C’EST UN DROIT

NON AU DÉMANTÈLEMENT DES CAMPEMENTS SANS SOLUTION DÉCENTE

Au moment où le gouvernement prolonge de 6 mois l’état d’urgence, les organisations signataires constatent une multiplication des interventions policières pour démanteler les campements et les bidonvilles des personnes en grandes difficultés sociales sans que des solutions à la hauteur des besoins ne leurs soient proposées, particulièrement celui d’être hébergé.

Elles dénoncent les expulsions sauvages pratiquées par le Préfet de Seine Saint Denis, sans aucune mise à l’abri des 83 habitants expulsés de leur immeuble du 168 avenue du président Wilson, mais aussi de nombreuses familles de la Plaine St Denis, et dernièrement du bidonville des Roms des Joncherolles.

Elles dénoncent le démantèlement, sur le terre plein de l’avenue du Président Wilson, des campements des migrants et des habitants expulsés du 168. Ces expulsions à répétition bafouent les droits humains élémentaires.

Elles dénoncent la situation d’accueil -plutôt de non accueil- des migrants en France et en région parisienne, qui aboutit à jeter dans une précarité plus grande des personnes ayant déjà subi et fui les guerres, les tortures, les famines et ce au mépris des lois françaises, des directives européennes, des conventions internationales et des droits fondamentaux qui y sont rattachés.

Elles dénoncent le traitement policier de ces situations par les traques, les rafles, les déplacements, les destructions de camps et de bidonvilles, les humiliations, les expulsions.

Elles exigent que les droits et la dignité de toutes les personnes soient respectées et particulièrement celui d’avoir un toit pour se protéger et protéger sa famille, mais aussi la liberté d’installation et de circulation, la régularisation des sans-papiers, la fermeture de tous les lieux d’enfermement.

MANIFESTATION LE SAMEDI 14 JANVIER 2017, 11h, devant le 168 WILSON à la Plaine Saint-Denis

Réseau Solidarité Logement, Droit Au Logement, Centre Social Autogéré ATTIEKE, MRAP, Coordination 93 des Sans Papiers, Coordination des foyers de Plaine Commune, Action des Chrétiens pour l’Abolition de la Torture, CCFD Terre Solidaire, CERAS, UL Solidaire Saint Denis, union locale CGT de saint Denis, FCPE Saint Denis, Sciences Populaires, Union fraternelle de la Plaine, Ensemble Vivre Travailler et coopérer, Section LDH Saint-Denis Plaine Commune,
Soutenu par : NPA, Ensemble, Saint Denis Insoumise, Groupe Poulaille F.A.,

Rassemblement de soutien aux sinistrés de la rue du Corbillon le 18 novembre

Reconnaître enfin aux habitants du 48, rue de la République à Saint-Denis le statut de victimes

Rassemblement de soutien et point presse le 18 novembre à partir de 17h rue du Corbillon.

Il y a un an exactement, au petit matin, les services de l’unité Recherche, assistance, intervention,
dissuasion (RAID) ont engagé un assaut contre des membres de la cellule terroriste jihadiste
responsable des attentats du 13 novembre, retranchés dans un appartement de l’immeuble situé au
48, rue de la République à Saint-Denis. Alors que la France entière vient de commémorer avec dignité
la tragédie qui s’est abattue sur des centaines d’innocents à Saint-Denis et à Paris et de s’incliner en
mémoire des victimes, l’abandon des habitants sinistrés de cette résidence est inadmissible et
totalement indigne.

Lire ici suite du communiqué de la section et le communiqué communque nous avons signé avec le DAL et d’autres organisations.

Suites de l’expulsion du 81, avenue Victor Hugo : soutien au collectif des habitants

Depuis leur éviction mercredi 26 octobre de l’immeuble situé au 81, avenue Victor Hugo à
Aubervilliers, qu’elles avaient investi pendant plus d’une année, 50 personnes, dont des familles, des enfants, ont été accueillies au Théâtre de la Commune où elles trouvent depuis quelques nuits un abri de fortune. Que ce lieu public dont ce n’est pas la destination puisse être porteur d’une telle solidarité met en évidence, par contraste, la faible capacité de réaction des services dont c’est la mission première d’héberger en urgence.La suite du communiqué se trouve ici

Non aux expulsions sans relogement!

Nouvelle expulsion de Roms à Saint-Denis le 4 août ! Lire ici le communiqué de la fédération LDH de Seine-Saint-Denis

Communiqué à propos de l’opération de police du 20 juin

La police est intervenue au bidonville du terrain Coignet lundi 20 juin tôt le matin.
Il a été distribué un certain nombre d’OQTF alors qu’un certain nombre des familles du campement est engagé dans un processus d’insertion dans le cadre de la plate-forme
régionale préfectorale gérée par ADOMA et avec l’appui d’un comité de soutien auquel participe
la setion LDH. Ci-joint le communiqué de protestation de la section LDH et le lien vers le communiqué du MRAP.

Communiqué de soutien au maire de Stains

Les poursuites intentées contre le maire de Stains comme insupportables.
Lire ici le communiqué de la Ligue des Droits de l’Homme.

Loi Travail

La fédération de Seine Saint-Denis de la LDH adresse aux élus parlementaires du département ses observations sur la loi El Khomri.

Lire ici cette lettre