Une fresque monumentale signée Seb James à Sèvres

A l’occasion de la journée des Droits de l’Homme*, le 10 décembre 2021, la LDH, Ligue des Droits de l’Homme, met à l’honneur la monumentale fresque peinte sur la façade du Collège de Sèvres, par un rassemblement sur le Parvis Charles de Gaulle , face à la mairie entre 10h et 10h40, dans le respect des gestes barrière

En présence de :

Gilles Manceron, membre de la Direction nationale de la LDH,

Monsieur le Maire de Sèvres, Grégoire de la Roncière

Autour de l’artiste, Seb James

Informations plus précises sur la fresque

*La déclaration Universelle des Droits de l’Homme (DUDH) est adoptée par l’assemblée générale des Nations unies le 10 décembre 1948 à Paris, par les 58 Etats Membres qui constituaient alors l’Assemblée générale. La journée des droits de l’Homme est célébrée chaque année le 10 décembre.

La section LDH de Meudon Sèvres Clamart

Table ronde sur la Fashion Revolution- Nanterre Université- Vendredi 15 juin 18h30

Table ronde sur la Fashion Revolution, et plus largement sur le thème de l’industrie textile et des droits de l’Homme, le vendredi 15 juin à 18h30 à l’Université de Nanterre.
1er étage, bat. F
Donnez du sens à vos vêtements ! Venez rencontrer des acteurs de la mode éthique pour découvrir avec eux ce qu’il en est du respect des droits de l’Homme et de l’environnement aujourd’hui dans l’industrie textile. Quels sont les gestes simples à adopter au quotidien ? Comment s’engager en tant qu’étudiant et en tant que citoyen ? Quelles perspectives professionnelles le secteur de la mode offre-t-il au juriste spécialisé en droit social ?

Seront présents pour discuter avec vous :

-Thomas, co-fondateur de la plateforme SloWeAre (https://www.sloweare.com/),
-Sofia Linares (cofondatrice de l’agence Atypique Atipico https://www.atypiqueatipico.com/),
– et Juliette Camy (membre de l’association Fashion Revolution et étudiante au sein du Master 2 Recherche).

Nous vous attendons nombreux le 15 juin à 18h30, à l’Université de Nanterre !
1er étage , bat. F

Le débat « Quelle police voulons-nous ? »

Quelle police voulons nous ?

Comment établir un lien de confiance avec une police qui devrait protéger avant de réprimer ?

Comment abolir des pratiques abusives et discriminatoires, comme les contrôles d’identité au faciès?

Comment contrôler les moyens d’exercice de la force publique pour éviter les dérives et les abus ?

organisé par le comité local du MRAP de Nanterre

le mardi 3 avril 2018, à 19h.30, à l’Agora de Nanterre

avec le soutien  d’Authenti-cité, de la Ligue des Droits de l’Homme (92), de l’Union locale de Nanterre de la CGT et d’Attac (92)

Venez nombreux

 


Droit de vote des étrangers : ce que pensent vos candidats aux municipales.

Communiqué :

Le 20 mars 2014,

 

Ce que pensent vos candidats aux élections municipales du droit de vote des résidents étrangers aux élections municipales.

 

 

 

La question suivante a été adressée à l’ensemble des candidats têtes de liste des Hauts de Seine :

 

« Aux prochaines élections municipales des étrangers voteront et seront éligibles, il s’agit des résidents étrangers communautaires (de la communauté européenne).

Êtes vous favorables (dans les mêmes conditions que les résidents étrangers communautaires qui ne peuvent être maire, ne peuvent être grand électeur et ne peuvent participer à la désignation des grands électeurs) au droit de vote et d’éligibilité des résidents étrangers extracommunautaires aux élections municipales ? »

 

Parmi les 149 candidats interrogés, 60 ont répondu à la question. Nous voulons  les remercier ici d’avoir pris la peine de nous  faire connaître leur point de vue sur un sujet primordial pour la démocratie.

52 d’entre eux  (87%) se sont positionnés favorablement  et 8 défavorablement (13%).

Les résultats détaillés sont consultables  ici: http://site.ldh-france.org/hautsdeseine/files/2014/03/Resultats-Consultation-droit-de-vote-92.pdf

 

87%  des répondants sont favorables au droit de vote des étrangers

La majorité d’entre eux – soit 48 sur 52 –  sont des candidats de  « gauche », qui ont affirmé ou réaffirmé leur positionnement favorable à l’octroi du droit de vote et d’éligibilité des résidents étrangers extracommunautaires aux élections municipales.

2  répondants  s’affichent sans étiquette.

Les deux derniers sont des centristes, ce qui est une bonne chose.

Il est à noter que de nombreux dirigeants centristes et de la droite classique se sont déjà positionnés favorablement sur cette question, le dernier en date M. De Boishue, ancien ministre d’Alain Juppé, le 2 janvier dernier

 

8 répondants sur 60 s’expriment défavorablement

2 réponses défavorables émanent sans surprise de l’extrême droite.

La droite « classique » reste  pour sa part très silencieuse. Seuls 6 candidats ont répondu, et leurs réponses sont toutes défavorables.

Peut-on y lire la volonté de ne pas ‘s’exprimer publiquement sur une question qui concerne une partie de la population de leur ville ? Ou encore la volonté de ne pas froisser un électorat qui serait défavorable à cette mesure ?

 

Au collectif, nous restons persuadés de la nécessité de notre mobilisation, qui depuis 20 ans n’a pas cessé. Le maintien des votations citoyennes a permis d’années en années  de faire évoluer l’opinion publique favorablement, en insistant sur l’urgence démocratique que constitue cette question. Il est urgent de donner un nouveau souffle à notre démocratie vieillissante qui laisse de côté de nombreux acteurs de la vie locale.

 

En tout état de cause les 23 et 30 mars, beaucoup de parents d’élèves, d’acteurs associatifs de représentants syndicaux, d’ouvriers, d’employés, de chefs d’entreprises seront privés du droit de participer à la désignation de leur futur maire.

Le lien «indéfectible» posé par la Constitution entre la nationalité et la citoyenneté, souvent invoqué, a été infirmé par l’octroi du droit de vote et d’éligibilité aux élections locales et européennes aux résidents étrangers de l’Union européenne il y a plus de 20 ans. Certains d’entre eux seront d’ailleurs probablement élus dans les jours qui viennent.

Pourtant les quatre derniers Présidents de la Républiques se sont prononcés, durablement ou non,  en faveur du droit de vote des résidents étrangers aux élections locales. Tous les responsables politiques même locaux ont ce devoir de participer à l’évolution de l’exercice démocratique, comme ce fut le cas en 1944 quand les femmes ont obtenu le droit de vote.

D’autres pays européens ont déjà engagés les marches du progrès et de l’égalité en accordant à leurs résidents étrangers le droit de vote aux élections locales voire plus.

Notre pays est-il condamné par l’immobilisme de ses élus à rester dans le peloton de queue des pays démocratiques en regard du progrès que constitue l’ouverture du droit de vote à l’ensemble de ses résidents ?

Pour éviter les clivages partisans habituels, le débat sur ce sujet devra gagner en hauteur et en sérénité. Aujourd’hui, il est urgent que le Président de la République engage un chantier sur les enjeux démocratiques et politiques liés au droit de vote en invitant des personnalités politiques, associatives et culturelles à le conduire. Ce processus permettra l’étude des pratiques dans les autres pays, la nécessité de revoir le modèle d’intégration, l’analyse de l’intérêt à ouvrir le droit de vote à tous les résidents pour conforter le lien économique, social, culturel entre tous les habitants de nos communes. Fort de ce travail, nos Assemblées et les élus seront prêts à examiner à nouveau un projet de loi constitutionnelle ouvrant le droit de vote et d‘éligibilité à tous les résidents étrangers aux élections municipales. Il faut rappeler que ce projet devra ensuite être adopté par le Congrès à la majorité qualifiée des 3/5ème des suffrages exprimés.

Pour cela il faudra dépasser le clivage politique actuel avec la conviction que l’égalité des droits et la citoyenneté pour tous les résidents qui participent à chaque instant à la vie économique et culturelle de nos communes est un atout pour la démocratie et qu’il sera un outil pour faire reculer la xénophobie et le racisme qui menacent notre pays.

A ces conditions, nous pouvons espérer qu’aux prochaines élections municipales de 2020, tous les résidents qui vivent la citoyenneté dans nos Cités pourront y participer sans discrimination et qu’ils pourront enfin voter.

Les résultats détaillés des réponses reçues sont consultables ici: http://site.ldh-france.org/hautsdeseine/files/2014/03/Resultats-Consultation-droit-de-vote-92.pdf

Les modalités de la consultation sont consultables ici:http://site.ldh-france.org/hautsdeseine/files/2014/03/Modalités-de-la-consultation.pdf

Municipales 2014, Consultation Droit de vote des étrangers

Une grande consultation a été lancée ce lundi 10 mars à l’adresse de 160 candidats têtes de listes pour les municipales  qui se dérouleront les 23 et 30 mars prochain.

 

Le collectif « Droit de vote 2014 » qui a pour objectif de  lancer le débat sur le droit de vote des résidents étrangers, rappelle que plus que jamais cette question est d’actualité.

 

 

Beaucoup de parents d’élèves, d’acteurs associatifs de représentants syndicaux d’ouvriers, d’employés de chefs d’entreprises seront privés du droit à la désignation de leur futur maire.

 

Le lien «indéfectible» posé par la Constitution entre la nationalité et la citoyenneté a été infirmé par l’octroi du droit de vote et d’éligibilité aux élections locales et européennes aux résident étrangers de l’Union européenne il y a plus de 20 ans, et certains d’entre eux seront même élus dans les jours qui viennent.

 

Cette inégalité entre résidents étrangers  n’a que trop duré.

 

 

Les quatre derniers Présidents de la Républiques se sont prononcés, durablement ou non, favorablement pour le droit de vote des résidents étrangers aux élections locales.

 

Tous les responsables politiques même locaux ont ce devoir de participer à l’évolution de l’exercice démocratique, comme cela a été le cas en 1944 en accordant le droit de vote aux femmes.

 

D’autres pays européens ont déjà engagés les marches du progrès et de l’égalité en accordant à leurs résidents étrangers le droit de vote aux élections locales voire plus.

 

Tous les responsables politiques doivent s’engager dans cette démarche le gouvernement en proposant de modifier la constitution, les parlementaires (députés et sénateurs) en modifiant la constitution lors de la réunion en congrès, mais aussi les élus locaux qui désignent les sénateurs.

 

 

Ainsi dans les Hauts de Seine comme ailleurs, il est comme une évidence que ceux qui depuis toujours soutiennent le droit de vote des résidents étrangers,  interpellent   ces futurs élus, qui auront à designer les sénateurs au cours de leur mandat.

 

C’est dans cette optique, que le collectif des hauts de seine, qui avait déjà lancé la campagne il y a un an lors d’une conférence de presse à l’Assemblé Nationale a lancé une large consultation à l’adresse des 160 candidats têtes de liste dans les Hauts de seine, de droite comme de gauche.

 

Leur positionnement est  fondamental afin que les citoyens qui sont appelés aux urnes les 23 et 30 mars prochain prennent aussi en compte l’intérêt que portent les candidats à l’élargissement de la démocratie locale à l’ensemble des acteurs de leur ville.

 

 

La consultation lancée dès ce lundi 10 mars consiste à répondre à la question suivante :

 

« Aux prochaines élections municipales des étrangers voteront et seront éligibles, il s’agit des résidents étrangers communautaires (de la communauté européenne).
Êtes vous favorables (dans les mêmes conditions que les résidents étrangers communautaires c’est-à-dire, ne peuvent être maire, ne peuvent être grand électeur, et ne peuvent participer à la désignation des grands électeurs) au droit de vote et d’éligibilité des résidents étrangers extracommunautaires aux élections municipales ? »

 

Les réponses sont à retourner à contact.92@droitdevote2014.org avant le lundi 17 mars 2014 au soir.
Les réponses et les non-réponses  seront publiées sur le site www.droitdevote2014.org à la veille du premier tour.

 

 

 

Le collectif droit de vote 2014 des Hauts de Seine

 

 

Histoire de la gestion de l’eau – 7 janvier 2014 à 20h- Bourg La Reine

 

Pour bien démarrer l’année 2014, les « Rendez-vous de la Ligue des droits de l’Homme » vous proposent une rencontre avec

 Jean-Luc Touly autour de « l’histoire de la gestion de l’eau »

le mardi 7 janvier à 20h

 

au café le Vieux Bourg-Le Métro

 

RER Bourg la Reine.

Jean-Luc Touly, responsable eau de la Fondation France Libertés Danielle Mitterrand,est  Conseiller régional Ile-de-France, conseiller municipal de Wissous et Co-auteur de « L’eau des multinationales » (Fayard 2006).

Nous vous retrouverons avec plaisir au café Le vieux Bourg – Le Métro A 50 m du RER (en sortant de la gare, à droite sur le boulevard)
Le café nous accueille gracieusement, merci de prévoir l’achat une boisson.
Ceux qui le souhaitent pourront dîner à partir de 19h.

Contact : antony92@ldhfrance.org

 

www.ldh-france.org

 

Section d’Antony

 

Débat public à Asnières, droit de vote des étrangers, Mercredi 27 novembre

Le Collectif :
LDH Colombes/Asnières, ASTI RESF Asnières, ASTI Colombes, EELV Asnières, Les Alternatifs, PCF-Front de Gauche Asnières, PS Asnières,
NPA Asnières/Gennevilliers, Les Motivé-e-s Pour Colombes, A.T.M.F.
DEBAT PUBLIC
Mercredi 27 Novembre 2013
à 20 heures
Maison des Services Lucie Aubrac
45-51 Rue Henri Poincaré -92600 Asnières
Avec la participation de 
Vincent REBERIOUX (Ligue Des Droits de l’Homme)
Saïd LAAYARI (Association des Travailleurs Maghrébins en France)
Pour le Droit de Vote et d’Eligibilité des Résidents Etrangers
aux Elections Locales
Dans quelques mois les élections municipales marqueront un rendez-vous civique important dans la vie démocratique et citoyenne de nos villes.
Une fois de plus, nombre d’habitants d’Asnières et de Colombes ne pourront y participer: les étrangers non européens. Bien qu’ils contribuent aux impôts et soient actifs dans la vie locale et associative, ils subiront les décisions locales sur lesquelles ils n’auront aucune prise.
Malgré les engagements électoraux, alors que des pays voisins comme la Belgique, les Pays Bas, la Suède et bien d’autres reconnaissent de tels droits à tous leurs résidents étrangers, l’occasion d’assurer une réelle égalité risque encore d’être manquée.
La légitimité des futurs maires souffrira d’un scrutin amputé d’une part importante de ses acteurs et d’une parole politique disqualifiée par ses renoncements.
Nous, citoyens, associations de Colombes et d’Asnières, regroupés en collectif, refusons tout renoncement et engagerons dans les mois qui viennent des actions pour que le droit de vote aux élections locales soit enfin reconnu dès 2014 à tous les résidents étrangers.
Pour un meilleur « Vivre Ensemble » nous sommes toutes et tous concernés : agissons à tous les niveaux pour que ce droit devienne effectif.

Communiqué LDH Antony – Il y a urgence pour le logement étudiant !

Ligue des droits de l’Homme – Section d’Antony (92)
Communiqué – 03-07-2013

Il y a urgence pour le logement étudiant !

Un accord a été signé le 28 juin 2013 par le Conseil général des Hauts-de-Seine, la Communauté d’Agglomération des Hauts de Bièvre (CAHB), la Préfecture des Hauts-de-Seine et la Mairie d’Antony intitulé « Accord sur le projet de convention pour le développement de l’offre sociale de logement étudiant sur le site de la résidence universitaire Jean Zay à Antony et dans les Hauts-de-Seine sur 2013-2019 ».

La capacité d’hébergement de la Résidence Universitaire d’Antony (RUA) était de 2500 personnes en 2010, et ne sera plus que de 1080 à terme. L’accord prévoit la construction de 1200 logements sur l’ensemble des Hauts-de-Seine, destinés à compenser les démolitions de la résidence Jean Zay.

D’autre part, est annoncée la construction de 3 000 logements « répartis sur l’ensemble des Hauts-de-Seine », sans autre indication de localisation, surface et coût.

Moins d’une semaine après la signature de cet accord, un bâtiment de 91 appartements T2 (soit 182 « places ») a été démoli le 2 juillet.

Les projets de réhabilitation proposés pour la RUA ont été écartés sans concertation et le budget de 20 M€ voté par le Conseil régional d’Ile-de-France en 2009 n’a pas été utilisé, alors qu’il était possible de maintenir et d’améliorer l’offre de logement étudiant sur Antony, et ce à des loyers très bas (149 euros pour une chambre et 239 euros pour un T2), permettant aux jeunes de tous milieux un égal accès aux études.

En Ile-de-France, quatre étudiants sur cent trouvent à se loger en cité universitaire, contre huit sur cent dans le reste de la France.

Dans un contexte de crise du logement et de précarité croissante, particulièrement chez les étudiants, alors que les besoins sont urgents et immédiats, la Ligue des droits de l’Homme conteste une décision qui vise à disperser géographiquement et à échelonner sur plusieurs années l’éventuelle mise à disposition de logements pour les étudiants.

Le Plan d’investissement d’urgence pour le logement présenté en mars dernier par le gouvernement précise que « dans un contexte de crise où les Français ont de plus en plus de mal à se loger, il y a urgence à créer un « choc de confiance » ».

La Ligue des droits de l’Homme, membre du « Collectif des associations unies pour une nouvelle politique publique du logement des personnes sans abri ou mal logées », attend de l’État et des collectivités locales, notamment sur le sujet de la Résidence Universitaire d’Antony, non un choc de confiance, mais une prise de responsabilités immédiate et prenant toute la mesure du problème.

Contact : antony92@ldh-france.org

Mobilisations locales dimanche 7 avril 2012 pour la campagne « droit de vote 2014 »

Après la mobilisation départementale à La Défense le samedi 6 avril,
Dimanche 7 avril: mobilisations locales pour le droit de vote de étrangers dans le 92:

Asnières: marché des 4 routes de 10h à 12h.

Antony: marché d’Antony de 10h à 12h.

Nanterre: marché du centre 10h-12h

Ce soir à 21h sur LCP dans le BBC BondyBlog Café qui a reçu Rachida Dati, sera projeté un reportage fait dans le cadre de cette conférence de presse.

A voir des a présent sur le site du Bondy blog