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Plaidoiries au Lycée du Marquenterre – Mai 2017
Projection discussion LA SOCIALE – mercredi 25 janvier 2017 à 20h – Ciné de Crécy en Ponthieu
Le réalisateur Gilles Perret
Gilles Perret a réalisé 12 documentaires. Ses films ont pour lien ce pays qui est le sien, les Alpes. A s’attarder chez ses voisins de vallée, il aborde la réalité du monde politique, économique et social. Partir du local pour raconter le global. C’est ce regard singulier qui a fait le succès de ses derniers films sortis en salle comme « Ma Mondialisation », « Walter, retour en résistance », « De mémoires d’ouvriers » ou dernièrement en 2014, « Les jours Heureux ».
Aujourd’hui, il nous raconte l’histoire de la Sécurité Sociale, d’où elle vient, ce qu’elle est devenue et ce qu’elle pourrait devenir. Une Histoire peu ou pas racontée jusqu’à ce jour même si elle nous concerne tous. L’histoire d’une lutte qui n’est jamais finie.
Collecte réfugiés – 21 et 22 janvier 2017 au Crotoy et à Rue
semaine du 20 novembre 2016 – AGENDA MILITANT
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LIQUIDATION : le documentaire pour comprendre la lutte des Goodyear – le 18 novembre 20h – Ciné de Crécy
Projection-discussion du film-documentaire LIQUIDATION
ce vendredi 18 novembre à 20h au cinéma de Crécy
Fruit d’une longue enquête, ce film documentaire est avant tout le temps de la réflexion. Mourad Laffitte revient sur la lutte des ouvriers de l’usine Goodyear Amiens-Nord pour défendre leurs emplois. Une véritable plongée au cœur de ce conflit loin des discours et des images qui criminalisent et condamnent de manière hâtive.
Durant 9 ans, le réalisateur a accompagné les ouvriers tout au long de leur lutte – grèves, blocages d’usine, tribunaux, manifestations, réunions, comités de soutien – réalisant ainsi près de 11 000 photos et des centaines d’heures d’entretiens et d’images.
Dans le même temps, il met en parallèle le combat mené par 1200 ouvriers d’une usine Continental située à 80 km d’Amiens. Dans un cas comme dans l’autre, malgré l’invalidation de plusieurs plans sociaux par les tribunaux et des bénéfices colossaux, ces 2 multinationales ont délocalisé leur production, mettant sur le carreau 2500 ouvriers.
Ceci n’est pourtant pas une fatalité. Ce documentaire donne à voir et permet de comprendre les stratégies économiques qui se jouent réellement dernière la façade d’une crise prétendue , ainsi que le cynisme et l’arrogance d’une multinationale avec lesquels elle anéantit la vie des salariés pour toujours plus de profits.
Comité d’éducation à la santé et à la citoyenneté (CESC) Cité scolaire du Marquenterre Avril 2016
Intervention lutte contre les discriminations et les préjugés LDH Le Crotoy-Rue pour le Comité d’Education à la Santé et la Citoyenneté (Rue)
Sortir de l’Etat d’Urgence – Appel Unitaire
http://www.ldh-france.org/sortir-letat-durgence/
En réaction à l’horreur des attentats, l’état d’urgence a été décrété par le gouvernement, puis aggravé et prolongé pour une durée de trois mois. Nos organisations ont immédiatement exprimé leurs craintes vis-à-vis de ce régime d’exception ; ces craintes sont aujourd’hui confirmées par l’ampleur des atteintes aux libertés constatées depuis quelques semaines. Nous assistons à un véritable détournement de l’état d’urgence qui cible également des personnes sans aucun lien avec des risques d’attentat. Ces abus doivent cesser.
La volonté de se rassembler et de manifester ensemble a prévalu après les attentats commis à Charlie Hebdo et l’Hyper Cacher de Vincennes, en janvier 2015. Elle prévaut encore. Or, depuis le 13 novembre 2015, les interdictions visant les mobilisations sur la voie publique se multiplient. Manifester n’est plus un droit, et les rares concessions accordées par les préfectures, qui attendent souvent le dernier moment pour informer de leurs intentions, entravent dans les faits son exercice.
Le ministère de l’Intérieur justifie tout cela par son incapacité à sécuriser les parcours alors même qu’il autorise, dans le même temps, les rencontres sportives et des événements tels que les marchés de Noël, qui se tiennent sur la voie publique. L’interdiction des rassemblements et manifestations entraîne la multiplication des arrestations, des gardes à vue, des assignations à résidence, un fichage policier des militants, et, pour quelques-uns, des condamnations. Qui peut croire que cela soulage les autorités ? La censure, ici, s’avère doublement contreproductive…
L’état d’urgence autorise par ailleurs des perquisitions sur ordre des préfectures, de jour comme de nuit, en dehors de tout cadre judiciaire, sur le fondement de fiches possiblement erronées, de dénonciations, d’informations et de soupçons sujets à caution. Plus de deux mille six cents intrusions discrétionnaires sont intervenues à domicile, dans des mosquées, des commerces, interventions souvent violentes, sans qu’aucune mise en examen pour terrorisme n’ait eu lieu. Rien n’indique qu’une telle frénésie va s’arrêter, chacun peut en être victime.
Les assignations à résidence se multiplient sur la base de motifs aussi vagues que la présence sur le lieu d’une manifestation ou le fait de « connaître » tel ou tel individu. Ces graves restrictions sont appliquées, sans distinction, et de manière massive, d’autant que les juridictions administratives ont montré qu’elles s’en accommodent, quitte à ce que les libertés en souffrent. Elles reprennent à leur compte toutes les allégations du ministère de l’Intérieur et, comble de la démission, sont nombreuses à considérer qu’il n’y aurait pas d’urgence à statuer sur l’état d’urgence.
L’état d’urgence et le climat de guerre intérieure alimenté par le gouvernement contribuent au renforcement des amalgames et aux pratiques discriminantes, notamment de la part des forces de police. Ce ne sont pas « les terroristes qui sont terrorisés », ce sont des jeunes et des populations victimes de l’arbitraire en raison de leur origine et/ou de leur religion qui voient leur situation encore davantage fragilisée.
Reprenant à son compte les exigences de l’extrême droite, FN en tête, le gouvernement s’engage honteusement dans une modification de la Constitution visant à étendre la déchéance de la nationalité aux binationaux nés en France.
Ces multiples atteintes portées au contrat démocratique sont une mauvaise réponse aux actes terroristes. Notre pays a été blessé, mais loin d’en apaiser les plaies, l’état d’urgence risque de les exacerber en appauvrissant notre démocratie, en délégitimant notre liberté.
Dans ces circonstances, nous appelons les pouvoirs publics à :
- jouer leur rôle de garants de la défense des droits et des libertés publiques ;
- rétablir, sans délai, le droit plein et entier de manifester ;
- cesser les perquisitions et les assignations à résidence arbitraires et à agir dans le cadre de procédures judiciaires ;
- mettre en place des garanties effectives de contrôle ;
- lever l’état d’urgence ;
- renoncer à une réforme constitutionnelle préparée dans l’urgence et au contenu inacceptable.
LES HERITIERS : jeudi 12 novembre, Crécy-en-Ponthieu
La section Le Crotoy – Rue de la Ligue des droits de l’Homme organise une
D’après une histoire vraie.
Lycée Léon Blum de Créteil. Une prof décide de faire passer le concours national de la Résistance à sa classe de seconde la plus faible. Cette rencontre va les transformer.Un film d’utilité publique, inspiré d’une histoire vraie, dont la force de réflexion n’a d’égal que celle des émotions procurées.











