Soutien aux occupant.e.s d’immeubles vides, verbalisé

Le 9 février, Place Sadi Carnot, un rassemblement pour le droit au logement
de personnes à la rue qui occupent des logements vides est verbalisé par la
police : le montant des amendes dépasse au total 4 000€ !
Depuis mars 2020, une quarantaine de personnes, dont 11 enfants, occupent un immeuble vide, 1 place Sadi Carnot, qu’une société immobilière projette de transformer en hôtel de luxe.

Fin janvier 2021, les habitant.es reçoivent via jugement un ordre d’expulsion sans délai en pleine trêve hivernale !
Le 9 février, à 13h, les habitant.es de l’immeuble se postent à leurs fenêtres, tendent des banderoles expliquant leur situation, à grand renfort de prises de parole au mégaphone. Une cinquantaine de personnes sont mobilisées à cette occasion pour dénoncer une nouvelle expulsion sans solution. Certaines répondaient à l’appel du Collectif El Manba, d’autres étaient des habitant.es du quartier qui s’étonnaient en face du déploiement de cinq cars de police, des journalistes étaient présents.
Le rassemblement était pacifique, des petits groupes porteurs de masques
discutaient, proposaient des tracts. Au prétexte que le rassemblement n’avait pas été déclaré, les policiers ont effectué des contrôles d’identité auprès de l’ensemble des présent.es.

Sans sommation, sans prévenir ni expliquer que c’était pour dresser des contraventions d’un montant de 135 €.
Une quinzaine de personnes a même reçu deux amendes de 135 €, certain.es pour le même motif (deux amendes identiques pour participation à un rassemblement interdit), d’autres pour non port du masque alors qu’il serait facile de prouver le contraire.
Nous dénonçons ce déploiement disproportionné de forces de police, refusons cette politique d’intimidation infantilisante et demandons la levée des contraventions. La Préfette de Marseille interdit une manifestation de solidarité pour des raisons sanitaires : simultanément la justice expulse et met des réfugiés dans une situation sanitaire dangereuse.
Nous vous donnons rendez-vous à la grande manifestation pour le droit au logement samedi 27 mars qui aura lieu dans 21 pays d’Europe.
Une démarche collective de solidarité aux personnes verbalisées est lancée.
Collectif El Manba / Collectif du 5 novembre / Un Centre-ville pour tous / La Cimade / Legal Team / Ligue des Droits de l’Homme / MRAP

SÉCURITÉ GLOBALE

MANIFESTONS LE SAMEDI 16 JANVIER
14h VIEUX PORT MARSEILLE

SÉCURITÉ GLOBALE.
VIOLENCES POLICIÈRES.
NOUVEAU SCHÉMA DU MAINTIEN DE L’ORDRE.
FICHAGE DES OPINIONS POLITIQUES, DES CONVICTIONS RELIGIEUSES, DES APPARTENANCES SYNDICALES ET ASSOCIATIVES, DES TROUBLES PSYCHOLOGIQUES.
PROJET DE LOI CONFORTANT LE RESPECT DES PRINCIPES DE LA RÉPUBLIQUE.
REFUSONS CETTE POLITIQUE SÉCURITAIRE ET LES ATTEINTES AUX LIBERTÉS FONDAMENTALES.

Alors que les sénateurs devront prochainement se prononcer sur le projet de loi « sécurité globale », partout en France de nouvelles manifestations seront organisées pour faire entendre notre désapprobation face à cette frénésie sécuritaire.
Alors que depuis des mois se font entendre dans le pays de justes revendications pour la justice et le progrès social, pour la réduction des inégalités et une autre répartition des richesses, pour l’accès aux droits économiques, sociaux, culturels et à leur effectivité, pour faire entendre l’exigence démocratique, le gouvernement, faute de répondre aux vraies questions sociales et politiques, n’envisage que l’affirmation de son autorité.
Nous refusons que la France soit le pays des violences policières, des atteintes à la liberté d’informer et de manifester, du contrôle de masse.
Nous resterons mobilisés jusqu’au retrait.
A l’appel de :
CGT 13
SOLIDAIRES13
LDH Mlle
CRI Mlle
FSU 13
UNL 1CFDT 13
CNT 13
ATTAC Mlle
Place Publique 13
MRAP 13
Quadrature du Net
Collectif d’échanges citoyens du pays d’Aix
UNEF Aix Mlle
Marseille révolté
Extinction Rébellion Mlle
Gilets Jaunes Mlle centre
VISA13
SNUIPP13
La Cimade Mlle

Appel à manifester contre la Sécurité Globale, pour les libertés, le 12 décembre, Marseille

Tou-tes ensemble, manifestons Samedi 12 décembre, 14h, Vieux-Port de Marseille.
Pour exiger le retrait total de la loi dite de Sécurité Globale.
Pour le retrait du nouveau Schéma national du maintien de l’ordre
Pour mettre fin aux violences policières.
Pour dénoncer l’extension du fichage politique décidée par le gouvernement.
Pour faire échec au livre blanc de la sécurité intérieure.
Pour stopper les projets technopoliciers à Marseille et partout sur le territoire.
Pour mettre fin à quarante ans de dérives sécuritaires.
Pour la défense de nos libertés.
Pour le progrès démocratique, social et écologique.

Le gouvernement persiste et signe, en dépit des mobilisations historiques massives contre sa dérive autoritaire, et après ses basses manoeuvres pour étouffer la contestation en prétendant « réécrire » l’article 24 de la proposition de loi sur la Sécurité Globale.
D’un côté, il vient d’adopter le projet de loi sur le séparatisme, qui restreint à son tour les libertés publiques au nom de l’affirmation des « principes républicains ». De l’autre, il vient de faire publier trois nouveaux décrets engageant un fichage massif de militantes et militants politiques.

Quand Emmanuel Macron annonce un « Beauvau de la sécurité» pour tenter de rassurer l’opinion publique, son ministre de l’intérieur Gérald Darmanin s’empresse de voir dans cette initiative la « première pierre de la grande loi de programmation de la sécurité intérieure que les forces de l’ordre méritent depuis longtemps ». Derrière cette annonce d’une nouvelle loi sécuritaire, on devine la volonté du gouvernement de mettre en oeuvre au plus vite les préconisations du livre blanc de la sécurité intérieure, lequel réclame le triplement du budget de la police, la prolifération de la surveillance numérique et du contrôle biométrique.
Le gouvernement continue de faire la sourde oreille tout en s’adonnant à une piteuse communication de crise pour tenter d’étouffer la contestation. Pour l’heure, il n’a nulle intention de mettre un coup d’arrêt à sa fuite en avant sécuritaire.
Localement aussi, nous nous heurtons à une fin de non recevoir : à Marseille, la nouvelle majorité municipale refuse toujours d’honorer sa promesse de mettre un terme à l’expérimentation de la vidéosurveillance automatisée et à son prototype de police prédictive, l’« observatoire Big Data de la tranquillité publique ».
Déterminé.e.s à défendre nos droits contre la répression, la surveillance et le musellement des libertés, nous serons de retour dans la rue ce samedi 12 novembre pour exiger le retrait de la loi dite « de Sécurité Globale », et du Schéma national du maintien de l’ordre. C’est là un préalable indispensable. Au-delà, c’est l’ensemble des politiques sécuritaires, la violence systémique et la technologisation toujours plus poussée du contrôle social que nous entendons battre en brèche.
Rendez-vous, à Marseille, SAMEDI 12 DÉCEMBRE, à 14h au Vieux-Port, pour
marcher de nouveaux pour les libertés.
Premiers signataires,
La Quadrature du Net
La Ligue des Droits de l’Homme Marseille
Marseille révoltée
UNL 13
Confluences
Youth for Climate Marseille
Gilets Jaunes Marseille Centre

Appel à manifester contre la Sécurité Globale, en hommage à Zineb Redouane

Pour un autre choix de société
Tou-tes ensemble, manifestons Samedi 5 décembre 2O2O,
14h, Vieux-Port, Marseille

Pour exiger le retrait total de la loi dite de Sécurité Globale,
Pour mettre fin à la technopolice et à cette surveillance globale qui envahit nos villes et nos vies,
Contre les violences policières,
En hommage à Zineb Redouane,
Contre la précarité,
Pour exiger un autre choix de société,
Pour le progrès social et écologique,


Premiers signataires,

Ligue des Droits de l’Homme Marseille, La Quadrature du Net,

Marseille contre les violences policières, CGT 13, FSU13,

Gilets Jaunes – Marseille Centre, MRAP13, SNUipp13, La Cimade Marseille, Solidaires 13, SUD Éducation 13, Solidaires Étudiant-e-s Aix-Marseille,

UNL 13, Place Publique 13, Collectif du 5 Novembre, BDS Marseille,

CNT-SO 13, Marseille Révoltée, Extinction Rébellion Marseille,

UNEF AIX-MARSEILLE, FSE Marseille, SNES-FSU AIX MARSEILLE,

PARTI DE GAUCHE 13, LP13, PCF 13, UL CNT 13, NPA 13, Confluences

Les élus locaux face à la résorption des squats et bidonvilles

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Elus locaux, vous pouvez agir efficacement !
Près de 18 000 personnes vivent toujours en bidonville ou squat en France, dans des conditions parfaitement indignes. Les politiques publiques ont jusqu’à présent échoué à résorber durablement ces habitats et à assurer aux personnes qui y survivent des conditions d’insertion correctes. Les chiffres ne bougent guère. Le recours à l’expulsion, trop souvent utilisé, s’est avéré une solution de facilité, vaine et violente pour les familles, faute de s’attaquer au vrai problème : la grande précarité et la pauvreté des personnes.
Mais l’État a changé d’optique, désireux d’impulser des stratégies porteuses de résultats au niveau local. Il entend régler la question d’ici à 2022, volontarisme appuyé par le doublement du budget dédié de la Délégation interministérielle à l’hébergement et l’accès au logement (Dihal).
Mais le succès dépendra étroitement de l’implication des élus locaux. 2020, année d’élections municipales. Année de l’efficacité ?
Retrouvez l’intégralité du rapport du Collectif National Droits de l’Homme Romeurope :
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Justice des Enfants : Protection et Éducation !

Retrouvons nous le vendredi 31 janvier à 18h au Barreau de Marseille, 51 rue Grignan.

soiree débat

« La France n’est pas assez riche d’enfants pour qu’elle ait le droit de négliger tout ce qui peut en faire des êtres sains »

Parce qu’en 1945, après la seconde guerre mondiale, la France prend conscience qu’il faut éduquer ses enfants, orphelins, livrés à eux même, délinquants et victimes de guerre, une ordonnance voit le jour pour l’éducation avant la sanction.

L’ordonnance du 2 février 1945 a été à maintes reprises modifiée et depuis longtemps nos organisations dénoncent le dévoiement des principes fondateurs de l’ordonnance au profit d’une justice enfants de plus en plus calquée sur celle des majeur.e.s et par conséquent de plus en plus répressive, de moins en moins éducative.

En guise de réforme de l’ordonnance de 45 annoncée par le gouvernement, il s’agit de son abrogation et d’un projet de Code de Justice Pénale des Mineurs qui réduit l’enfant à son acte délinquant ; un projet non respectueux de la spécificité de la justice des enfants prévoyant des dispositions plus restrictives pour ces dernier.ère.s que pour les majeur.e.s ; un projet revenant sur le principe de la primauté de l’éducatif en mélangeant probation et suivi éducatif dans une mesure à l’intitulé pour le moins équivoque de « mise à l’épreuve éducative ».

Enfin, et surtout, un projet, sans ambition et sans âme dans son contenu, et qui n’a pas pu, du fait de la méthode être soumis au débat démocratique, une ordonnance du 11 septembre 2019 a été publiée au JO qui n’attend que la ratification par le parlement, le code de justice pénale des mineurs est créée.

A l’occasion des 75 ans de l’ordonnance de 45, le collectif des Bouches du Rhône composé de :

Syndicat de la Magistrature du 13, Syndicat des Avocats de France du 13, SNPES-PJJ/FSU 13, Ligue des Droits de l’Homme PACA, Observatoire International des Prisons du 13, Solidaires 13, CGT-PJJ 13 et FSU13

Propose une soirée débat :

  • Projection d’un documentaire sur l’Ordonnance de 45
  • Débat avec Magistrat.e.s, Avocat.e.s et Éducateur.rice.s sur les conséquences du Code de Justice Pénale des Mineurs

Venez nombreux pour comprendre les enjeux sur la jeunesse de notre pays, il s’agit d’une question qui nous concerne tous !

 

« Paroles de Bandits » de Jean Boiron-Lajous- Journée internationale des migrants-18 décembre 2019

MERCREDI 18 DÉCEMBRE 2019 – 20 h. – Cinéma le Gyptis

Première de « Paroles de Bandits » de Jean Boiron-Lajous au cinéma Le GYPTIS de Marseille dans le cadre de la Journée internationale des Migrants.
En partenariat avec le Réseau Hospitalité Marseille, RESF 13, La Cimade Marseille, la LDH Marseille et ATTAC Marseille. Débat en présence de Jean-Pierre Cavalié et Philippe Chaudon, avocat.

Depuis la fermeture de la frontière entre la France et l’Italie en 2015, la vallée de la Roya est devenue le symbole de l’insoumission.
Les migrants bloqués à Vintimille continuent de passer en déjouant barrages et contrôles, aidés par certains habitants de la vallée. Dans cette enclave où des migrants espèrent atteindre un avenir meilleur,la solidarité des habitants est devenue un acte de résistance. À travers le récit de celles et ceux qui sont dans l’illégalité pour faire respecter des droits fondamentaux, « Paroles de bandits » raconte l’histoire de ce territoire et de tant d’autres…

? Sortie Nationale le 18 décembre dans le cadre de la Journée Internationale des Migrants

? Bande annonce : https://www.youtube.com/watch?v=a0mC0D0OYpU

A QUAND UNE POLITIQUE D’ACCUEIL À MARSEILLE ?

Au moment où l’échec des politiques migratoires européenne et nationale entrainent une montée des populismes tout en restreignant les droits humains fondamentaux, des élus de villes et collectivités ont décidé de porter haut une bannière commune : celle de l’accueil inconditionnel.

En Italie, le Maire de Palerme a signé en 2015 la Charte « Mobilité humaine internationale : De la migration comme souffrance à la mobilité, comme droit de l’homme inaliénable ».

En France, à l’issue de la convention nationale sur l’accueil et les migrations de mars 2018, a été créée l’Association Nationale des Villes et Territoires accueillants -ANVITA- promouvant l’hospitalité avec, comme premiers signataires, les Villes de la Grande Synthe, Grenoble, Martigues, La Seyne sur Mer, Briançon…pour n’en citer que quelques-unes.

Dans nos quartiers, des initiatives citoyennes promeuvent des réponses aux impératifs de l’urgence humanitaire et d’intégration.

Aussi dans la continuité de la réflexion engagée dans le cadre des Etats Généraux de Marseille au printemps dernier, le collectif marseillais des Etats Généraux des Migrations -EGM- organise à l’occasion de la JOURNEE INTERNATIONALE DES MIGRANTS proclamée par l’ONU, une soirée débat sur l’accueil inconditionnel des personnes migrantes et/ou réfugiées :

Le Samedi 14 décembre à 17heures,

Dans les locaux de l’Institut Culturel Italien,

6 rue Fernand Pauriol, 13005 Marseille (M° Baille)

Le Maire de la ville de Palerme (liaison par Skype) et des élus de villes adhérentes à l’Association Nationale des Villes et Territoires Accueillants – ANVITA- : Martigues, Briançon et La Seyne sur Mer… participeront à ces débats, ainsi qu’une chercheuse du CNRS mais aussi des associations et collectifs citoyens marseillais….

Associations Impliquées dans les Etats Généraux des Migrations Marseillais : CCFDT -Terre Solidaire, La Cimade, CGT Synpac, la Ligue des Droits de l’homme, Réseau Education Sans Frontière, Réseau Hospitalité, Réseau Universités sans Frontière,…

 

Traite des êtres humains. Avis de la CNCDH

Le 18 octobre 2019, le Gouvernement a présenté le second plan d’action national contre la traite des êtres humains (2019-2021), attendu depuis près de trois ans. Ce document ne répond pas aux attentes de la Commission nationale consultative des droits de l’homme (CNCDH), rapporteur national indépendant sur la question. Cette dernière rappelle l’importance primordiale de la création d’un véritable mécanisme national pour l’identification et l’accompagnement des victimes de traite et d’exploitation, qui doit être au coeur de la stratégie française de prévention et de lutte contre ce phénomène. Elle souligne également que des écueils structurels majeurs font obstacle à toute application concrète de ce plan d’action national : sans calendrier ni budget, sa mise en oeuvre est en effet illusoire.
La CNCDH recommande donc vivement que le comité de coordination prévu par le plan se réunisse dans les plus brefs délais et définisse un plan stratégique annuel comprenant des échéances précises, des mesures détaillées, des indicateurs de suivi, un coût identifié par mesure et une source de financement dédiée.

LIRE LE RAPPORT CNCDH Traite des êtres humains

Solidarité avec les habitants du 59 St Just ! Pour le respect des droits des demandeurs d’asile et des mineurs laissés à la rue!

Le 14 octobre on fête la Saint Juste à St Just !

Plusieurs Juste ont été déclarés saints, toujours pour avoir défendu les droits de leurs semblables.

Depuis 10 mois, le squat du 59 avenue de St Just accueille des mineurs et des demandeurs d’asile, laissés délibérément à la rue par les institutions chargées de les mettre à l’abri. Les organisations signataires, excédées par les positions récentes du Conseil Départemental qui considère le squat comme un endroit où il fait bon vivre pour des mineurs isolés, et de la Préfecture résolument silencieuse à ce sujet, appellent à fêter la Saint Juste.

Pour faire de cette date un jour de solidarité et d’expression politique :

-Nos différentes interpellations sont restées inefficaces et nous continuerons à dénoncer le non-accueil de ceux qu’on appelle « étrangers »

-Des dizaines de mineurs, des centaines de familles, vivent dans la plus grande précarité, à la rue, dans des bidonvilles ou dans des squats, en plus des 320 habitants du 59 St Just.

-Il n’est pas juste que les droits des mineurs, des demandeurs d‘asile ne soient pas respectés

-Il n’est pas juste que le Conseil Départemental, que la Préfecture, se reposent sur la solidarité pour assumer les responsabilités et obligations légales qui leur incombent

-Mais il est juste que notre devoir de solidarité s’exerce envers tous ceux dont les droits fondamentaux sont bafoués.

Pour toutes ces raisons, nous vous convions lundi 14 octobre à 18h à une conférence de presse au squat, avec prises de parole des habitant.es et des différentes organisations solidaires. Une salle de presse sera mise à disposition. Nous continuerons la soirée par un repas partagé et un concert de musique africaine animé par le groupe Yancouba Diébaté & Wato.

Le 17 octobre, c’est le procès de l’occupation du squat. Rendez-vous devant le TGI à 14h, tables d’infos des différentes organisations, prises de parole, et départ ensemble pour rejoindre le cercle de silence à l’angle Canebière – Cours St Louis à 17h30.

Durant cette semaine, il s’agit de rappeler que nous sommes toujours là, non pour pallier la démission de l’Etat et du Département, mais pour les contraindre enfin à transformer leurs promesses en actes, et à mettre en œuvre leurs obligations légales.

Contact : collectif 59 St Just

Tél 07 51 16 30 59

Premiers signataires : Collectif MIE 13, Association Katilla, CIMADE, RESF 13, Emmaüs, CCFD-Terre Solidaire, collectif El Manba, LDH Marseille, collectif Coup de Pouce aux Migrants de la Gare St Charles, Fondation Abbé Pierre

AFFICHE 14 17 octobre