Articles tagués : liberté

La LDH Saintes partenaire du groupe local de concertation Prision de Saintes vous informe

Dans le cadre des Journées nationales prison, le groupe local de concertation prison de Saintes composé de 11 associations humanitaires, invite le public à deux rendez-vous:

dimanche 22 novembre :

visite/parcours (1h30) intitulé Lieux d’enfermement à Saintes pendant la 2° guerre mondiale avec Muriel Perrin directrice de l’Atelier du patrimoine de Saintonge : RDV devant le collège René-Caillé – visite gratuite

vendredi 27 novembre à 20h30 :

projection/débat sur Mères et bébés en prison avec la projection du film Ombline de Stéphane Cazes (2012) et pour animateurs du débat Jean-Luc Douillard psychologue et Jeannette Favre présidente de l’association Solidarité prison en partenariat avec le Gallia-Cinéma : entrée payante.

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Automobilistes : tous délinquants

Des drones, des plaques d’immatriculation lues et enregistrées automatiquement, une surveillance généralisée lors de nos déplacements, ce n’est peut-être pas de la science-fiction… Lire la suite »

Soutien de la LDH à Antoine Deltour, le lanceur d’alerte LuxLeaks

Soutenons Antoine Deltour !

Antoine Deltour est le principal lanceur d’alerte des « Luxleaks 1 », qui ont récemment révélé un vaste système d’optimisation fiscale des grandes multinationales. Il est actuellement poursuivi par la justice luxembourgeoise.
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Surveillance de tous les citoyens : le gouvernement a désormais carte blanche

Le Conseil constitutionnel a rendu, jeudi 23 juillet, une décision historique par son mépris des libertés individuelles, du respect de la vie privée et de la  liberté d’expression. Les « sages » ont choisi de faire l’économie d’une analyse réelle de la proportionnalité des lois de surveillance et démontré ainsi leur volonté de ne pas enrayer le jeu politique, pour finalement endosser le rôle de chambre d’enregistrement.
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Relever tous les défis lancés à la démocratie

Les attentats terroristes de janvier 2015 ciblaient la République, la démocratie, la liberté et la fraternité. Leur ambition était de substituer à ces valeurs celles d’un état de guerre, d’une vérité révélée, du mépris de l’autre. Lire la suite »

La Ligue des Droits de L’Homme contre la Liberté surveillée

La Ligue des Droits de l’Homme s’oppose au plan de vidéo-surveillance de la municipalité de Niort. Elle invite les Niortais à participer à un apéro-débat le 29 juin à partir de 19h sur le parvis des halles du marché en parallèle du Conseil Municipal. Lire la suite »

Le contrôle d’internet… ailleurs aussi

Alors que le projet de loi sur le renseignement met au devant de la scène médiatique les pratiques de surveillance d’internet et des réseaux de télécommunications, il nous a semblé intéressant de faire quelques rappels sur l’utilisation de ces mêmes techniques de contrôle dans différents pays.

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La LDH porte plainte contre les pratiques de surveillance

La Fédération internationale des droits de l’homme (FIDH) et la Ligue des droits de l’homme (LDH) ont déposé devant le Tribunal de grande instance de Paris une plainte avec constitution de partie civile afin que toute la lumière soit faite sur les supposées atteintes aux libertés individuelles résultant du programme PRISM et révélées par l’affaire Snowden.
La FIDH et la LDH, qui avaient déposé une plainte simple le 11 juillet 2013, ont décidé d’introduire une plainte avec constitution de partie civile devant l’inaction du Parquet de Paris qui, plus de 18 mois après l’ouverture d’une enquête préliminaire sur ces faits, n’a toujours pas fait connaître les suites qu’il entendait donner à cette affaire.

Sous couvert de la lutte contre le terrorisme et de la criminalité organisée, ce système d’interception des données privées, qui concerne tout autant les citoyens américains que les associations et individus étrangers, a permis à la NSA et au FBI de collecter des données matérielles hébergées par les serveurs de ces sociétés. Ces données incluaient notamment les historiques de recherches et de connexions effectuées sur le net, le contenu d’emails, de communications audio et vidéo, des fichiers photos, des transferts de documents ainsi que le contenu de conversations en ligne.

Le système de collecte révélé par Edward Snowden a été unanimement condamné par la communauté internationale. Pour autant, depuis, aucune enquête indépendante n’a été menée pour en établir l’étendue et les conséquences en terme d’atteintes à la vie privée des citoyens.

Par ailleurs, des informations parues dans la presse en 2013 ont révélé que les services de renseignement  français auraient procédé à une collecte massive de données, et ce en dehors de tout cadre légal. La FIDH et la LDH ont donc déposé, le 26 décembre dernier, une plainte contre X auprès du TGI de Paris visant les responsables français des services de renseignements suite à ces révélations.

Cette plainte a été déposée sur le fondement des articles 323-1, 226-18, 226-1 et 226-2 du Code pénal. Ces dispositions concernent l’accès frauduleux à un système informatisé, la collecte de données à caractère personnel par un moyen frauduleux, l’atteinte volontaire à la vie privée et l’utilisation et la conservation d’enregistrements et de documents obtenus par l’atteinte à la vie privée.

« A l’heure où le Parlement français étudie le projet de loi sur le renseignement visant à légaliser des pratiques jusque là totalement illégales qui auraient au contraire mérité d’être sanctionnées, nous considérons qu’il est urgent que la justice française puisse s’emparer de ces atteintes graves aux libertés individuelles » a déclaré Patrick Baudouin, avocat et président d’honneur de la FIDH.

« Cette intrusion sans contrôle dans la vie de chacun constitue un danger considérable pour les libertés individuelles qui doit être enrayé sous peine de voir disparaître l’État de droit » a déclaré Michel Tubiana, avocat et président d’honneur de la LDH.

Ne touchez pas à la loi de 1905 !

Il ne faut pas toucher à la loi de 1905 ! Il faut défendre les libertés publiques !

Les associations laïques : Ligue de l’enseignement, Ligue des droits de l’Homme et Fédération nationale de la Libre pensée ont décidé de rendre publique cette déclaration au vu de la situation préoccupante qui existe dans ce pays aujourd’hui. Lire la suite »

Loi sur le Renseignement – Avec la section de Saintes de la LDH Dites NON

Le projet de loi relatif au renseignement met en danger les libertés fondamentales
* Surveillance de masse des citoyens
* Pas de contrôle des service de renseignement
* Légalisation des pratiques illégales
NON à la surveillance généralisée !
Mobilisons-nous contre le projet de loi relatif au renseignement !
Adressez une lettre à notre députée.
Les débats sur le projet de loi relatif au renseignement débuteront lundi 13 avril 2015 à l’Assemblée nationale.

Le gouvernement a fait le choix de confisquer le débat démocratique en soumettant ce texte à la procédure accélérée et en entretenant la confusion sur l’objet de ce texte, présenté à tort comme une loi antiterroriste. L’urgence décrétée renvoie dans l’ombre le véritable sujet : les pouvoirs de surveillance de l’État sur les citoyens.

La communication gouvernementale ne doit pas nous tromper : en fait d’encadrement, ce projet entérine les pratiques illégales des services et légalise, dans de vastes domaines de la vie sociales, des méthodes de surveillance lourdement intrusives. Le texte ajoute des moyens de surveillance généralisée comparables à ceux de la NSA dénoncés par Edward Snowden, sans garantie pour les libertés individuelles et pour le respect de la vie privée.

Création de « boîtes noires » destinées à scanner le Web indistinctement, collecte de masse de données personnelles, durée de conservation allongée jusqu’à cinq ans pour certaines données, opacité des moyens d’exploitation de ces données…

Les méthodes de surveillance sont massives, le contrôle inconsistant. Le texte issu de la commission des lois porte un déséquilibre liberticide : l’usage de techniques de surveillance est entre les mains de l’exécutif, sans contrôle solide. La Commission nationale de contrôle des techniques de renseignement, soi-disant garante des libertés, ne disposera ni des pouvoirs ni des moyens nécessaires pour accomplir sa mission. Le Premier ministre pourra toujours passer outre son avis, et elle ne pourra rien interrompre par elle-même. Le gouvernement se refuse à assurer un contrôle systématique et indépendant a priori des demandes des services et organise un contrôle a posteriori illusoire. La saisine du juge administratif restera aléatoire et la procédure asymétrique, les principes processuels fondamentaux cédant devant le secret défense.

Tous les citoyens sont concernés : non seulement parce que les méthodes relèvent de la surveillance de masse, mais aussi parce que le texte étend dangereusement le champ d’action des services spécialisés. La surveillance pourra s’abattre sur les mouvements sociaux et politiques, au titre de la « prévention des violences collectives » et sur tout citoyen ou mobilisation qui, dénonçant des pratiques industrielles néfastes, porterait atteinte aux « intérêts économiques ou industriels essentiels de la France ». Ce projet est une menace pour les libertés politiques et les mobilisations à venir.

La liberté et la sûreté, droits naturels et imprescriptibles reconnus par la Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen sont en péril.

Citoyens et parlementaires doivent refuser ce simulacre de débat et exiger une discussion démocratique protégeant chacun contre les dérives d’une société de surveillance et assurant un contrôle strict et indépendant de l’activité des services de renseignement.

L’Observatoire des libertés et du numérique (OLN) vous appelle à amplifier le mouvement de contestation actuel contre ce projet de loi, en nous rassemblant nombreux le lundi 13 avril 2015 à 12h30, place Edouard Herriot, à Paris, à l’appel des associations et syndicats suivants :

OLN : Cecil, Creis-Terminal, La Quadrature du Net, LDH, Syndicat des avocats de France, Syndicat de la Magistrature

Autres signataires : Amnesty International, Attac, Fondation Copernic, Solidaires, Syndicat national des journalistes

 

Télécharger le modèle de lettre

https://gallery.mailchimp.com/96d6c83ade135980d08d7dbb5/files/LETTRE_AUX_DEPUTES_Loi_renseignement_10_04_2015.doc

 

Quiz fichage : quels risques pour le citoyen ?

Les citoyens (vous peut-être !) ignorent souvent l’étendue du fichage exercé par les institutions de l’Etat dont eux-mêmes ou leurs proches peuvent être l’objet. Avez-vous conscience que ce fichage peut être abusif, même lorsqu’il est encadré par des lois ?

Chacun doit connaître ses droits et ses moyens de recours, et ne pas s’en remettre aux autorités publiques pour décider du bon usage de ses données personnelles.

Chacun doit exercer sa vigilance, non seulement pour sa propre personne et ses propres données, mais aussi pour ses proches et la société de manière générale.

Vous trouverez ici des clefs pour exercer votre vigilance et vos droits. Averti, vous pourrez alors compléter votre information et entreprendre les démarches qui paraîtront nécessaires (des informations complémentaires se trouvent sur les sites indiqués dans la rubrique à propos).
Que savez-vous sur le fichage institutionnel ?

Participez au quiz fichage

La vidéo-surveillance, une fausse bonne solution ?

Conférence-débat jeudi 2 avril à 18h30 à la Maison des associations
12 rue Joseph Cugnot à Niort
Avec Noé LE BLANC, journaliste Lire la suite »