Partenariats entre la LDH à la Réunion (co-porteuse de Kozensemb)
Le Refuge La Réunion
OriZon
Seul nou sa va pli vite, ensemb nou sa va pli loin ! Alon met’ ensemb pou fait entend’ la voix ban LGBTQIA+ (Lesbienne, Gay, Bisexuel.le, Transgenre, Queer, Intersexe, Asexuel.le et +) !
Merci au équipes du Refuge Réunion et de OriZOn Réunion pour leur confiance et leur soutien .
Avec le concours de la DILCRAH
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Le 25 novembre, journée internationale de lutte contre les violences sexistes et sexuelles. Nous sommes toutes et tous mobilisé-e-s, nous ne céderons pas !Femmes de tous les continents, nous subissons les violences sexistes et sexuelles. C’est notre lot commun.Les féminicides, les viols, les agressions sexuelles, le harcèlement sexuel, les violences obstétricales, le contrôle de nos corps, sont des réalités tragiques pour des millions voire des milliards de femmes de par le monde. Les mexicaines, les chiliennes, les argentines, les espagnoles, les algériennes, les polonaises… et partout les femmes se soulèvent depuis plusieursannées maintenant.En France, il y a eu 142 310 plaintes pour violences conjugales en 2019, soit 16 % de plus qu’en 2018. Le confinement a encore accéléré les violences subies, avec 15 % d’appel en plus dans la dernière période sur le 3919 plateforme d’aide aux victimes de violences sexistes et sexuelles.Nous ne nous y résignons pas !Nous, militant-e-s de toutes organisations, collectifs, syndicats, associations sommes féministes, et appelons à participer activement encore ce 21 et 25 novembre partout en France, aux événements, sur les réseaux sociaux, et nous rassembler partout où c’est possible, dans le respect des gestesbarrières, pour revendiquer notamment :– un milliard pour lutter efficacement contre les violences sexistes et sexuelles en France : ce n’est pas un simple Grenelle et quelques places d’hébergements en plus qui suffisent ! Un milliard permettrait de mettre en place l’éducation non sexiste dès les petites classes, d’organiser de vraiescampagnes et politiques de lutte contre les féminicides, le harcèlement sexuel au travail, et financer toutes les associations féministes qui oeuvrent depuis des années contre les violences sexistes et sexuelles. Ce milliard est aussi crucial pour l’hébergement dans des centres non mixtes dédiés, spécialisés et sécurisés ;– la mise à l’abri ou la protection des femmes victimes ;– la protection des mineures dans la loi (seuil d’âge) et matériellement, face aux violences sexistes et sexuelles ;– la ratification par la France de la « Convention contre la violence et le harcèlement dans le monde du travail » de l’Organisation internationale du Travail (de juin 2019 !) : celle-ci prévoit notamment des mesures qui contraignent les employeurs à prévenir et sanctionner le harcèlementsexuel, et à donner des droits aux femmes victimes de violences conjugales et intra-familiales. Les violences sexistes et sexuelles, le sexisme ordinaire doivent cesser sur nos lieux de travail ! ;– des moyens de financement ambitieux pour appliquer les accords égalité sur la lutte contre les violences sexistes et sexuelles, dans la fonction publique ou dans le privé ! ;– l’arrêt de la mise en concurrence de la gestion de la ligne d’écoute du 3919. Ce gouvernement prévoit ainsi la privatisation de ce service public, ce qui représente un risque majeur de voir la qualité du service rendu aux femmes réduite ;– la régularisation de toutes les sans-papières et leur protection contre les violences sexistes et sexuelles ;– la lutte contre le proxénétisme, le trafic d’êtres humains, et toutes les violences prostitutionnelles et porno-criminelles.Le 21 novembre et le 25 novembre, toutes et tous mobilisé-e-s pour la fin des violences sexistes et sexuelles, et tant qu’il le faudra !Signataires de l’appel unitaire :CGTFSUUnion syndicale SolidairesUNEFAbandon de Famille, tolérance zéro,Actionaid FranceAPEL-ÉGALITÉATTACChiennes de gardeOrganisation de Femmes EgalitéCollectif National pour les Droits des FemmesLes EffrontéesOsez le Féminisme !Collectif Féministe contre le ViolMaison des Femmes de ParisForum Femmes MéditerranéeFemmes migrantes deboutLigue des droits de l’HommeLigue des Femmes Iraniennes pour la DémocratieLas rojas, feministes anticapitalistesMémoire traumatique et victimologieCollectif TenonFondation CopernicMarche des solidaritésCollectif des immigrants en FranceCollectif « Stop Aux Violences Obstétricales et Gynécologiques »Les Attentives, compagnie théâtrale féministe et humanisteL’association féministe “Un rêve de Farfadet”,Femmes solidairesCLEFCollectif Les Rosies d’A cause de macronCfqd Lesbiennes féministesMarche Mondiale des FemmesCadacLes GrenadesSKBRéseau féministe RuptureEt aussi :Le snpes-pjj/fsu (syndicat national des personnel.le.s de l’éducation et du social à la ProtectionJudiciaire de la Jeunesse)Héro.ïnes 95Africa 93Planning Familial Val de MarneCGT-HPE -Femmes en grève de l’Ibis BatignoleFffrac de Mantes la JolieMaison des Femmes Thérèse Clerc Montreuil
Mobilisons-nous davantage 25 Novembre
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Pour lutter contre les stéréotypes, les discriminations et les violences de genre visant les femmes et les LGBT+ à la Réunion,
Ce 24 Octobre à 11 H 30, nous présentons le projet « KOZENSEMB », une initiative de jeunes réunionnais.e.s, soutenue par la LDH à la Réunion et par la DILCRAH, pour lutter contre les stéréotypes de genre, les discriminations et violences contre les Femmes et LGTB à la Réunion.
KOZENSEMB
Une initiative étudiante pour lutter contre les stéréotypes et violences de genre visant les femmes et les LGBT+ à la Réunion, soutenue par la Ligue des Droits de l’Homme à la Réunion et par la DILCRAH.
La Ligue des Droits de l’Homme à la Réunion avec les jeunes porteurs du projet, lance officiellement l’initiative KOZENSEMB.
Kozensemb (composé des mots
créoles « Koz » et « Met’ ensemb ») est une initiative de jeunes
étudiants réunionnais.e.s.
Son objectif ?
Faire entendre la voix des réunionnais et des réunionnaises, notamment des
jeunes, qui souhaitent agir contre :
Les stéréotypes et préjugés visant les femmes, les hommes et
les LGTB ;
Les discriminations et violences à l’égard des femmes et
des personnes LGBT+ (Lesbienne, Gay, Bisexuel.le, Trans).
Comment réaliser
cet objectif ? Nout’ tout ensemb nou lé capab ! Kozensemb dépend de
votre participation. C’est à vous de décider de l’avenir de l’égalité des
genres à La Réunion en tant que femme, homme, LGBT+, ici et maintenant.
Sur Facebook : La page KOZENSEMB est en ligne ! Exprimez-vous en affirmant qui vous êtes ou apportez votre soutien aux autres !
Parce que la parole des
victimes compte : Témoignez !
Proposez des
changements, partagez vos idées pour mettre fin aux discriminations et violences
de genre à La Réunion !
En dehors de Facebook : Vos expressions personnelles seront traduites
et rendues plus visibles par différentes initiatives concrètes que nous déclinerons
avec la participation du public au fil des mois.
Une initiative de jeunes réunionnais.e.s, soutenue par la Ligue des Droits de l’Homme à La Réunion
Avec Adrien Baret, un des porteurs du projet Kozensemb, âgé de 23 ans, originaire de Saint-Louis, actuellement, étudiant en Master 2 Droit du contentieux international à l’Université de Poitiers.
Pour lutter contre les stéréotypes de genre, pour mettre fin aux discriminations et violences visant les femmes et les LGBT à La Réunion.
Actuellement diffusé par le Rectorat de la Réunion auprès des établissements scolaires de notre Île, le concours de la LDH : » ÉCRITS POUR LA FRATERNITE » . Participez.
Le concours est
organisé par la Ligue des Droits de l’Homme.
Il
s’adresse aux :
1)
Grandes sections, CP, CE1
2)
Ce2, cm1, cm2
3)
6e, 5e
4)
4e, 3e
5)
Lycées et formations professionnelles
6)
Classes et établissements spécialisés
7)
structures complémentaires de l’éducation nationale
centre
de loisirs, conseil municipal de jeunes, etc.
Thème : D’après
un proverbe africain cité par St Exupéry :
« Nous
n’héritons pas de la terre de nos ancêtres, nous l’empruntons à nos
enfants », il
s’agit de réaliser des œuvres qui peuvent être des textes (en prose ou en vers,
scènes de théâtre, textes de chanson), des vidéos, des audios, des œuvres
plastiques et graphiques, et des combinaisons de différentes formes
d’expression.
Les
œuvres multimédias (vidéos et sons) ne doivent pas dépasser une durée de trois
minutes. N’hésitez pas à illustrer vos poèmes, scènes de théâtre, chansons et
autres textes littéraires.
Récompenses : A la Réunion, un jury sera réuni et les
meilleures œuvres seront récompensées et envoyées au niveau national. Dans
chaque catégorie, les œuvres individuelles et collectives seront primées
séparément. Les œuvres écrites, graphiques, plastiques, vidéographiques et
musicales seront primées de façon confondue.
Calendrier :
Avant le 20 décembre 2020 : Les
établissements qui ont l’intention de participer doivent s’inscrire, par mail,
auprès de la Ligue des Droits de l’Homme à la Réunion :
Avant le 1er avril 2021 : Envoi
des œuvres des élèves (individuelles ou collectives) en joignant la fiche de
participation qui sera renvoyée lors de l’inscription.
Entre le 2 et le
14 avril 22021 : Réunion du jury local.
Avant le 23 avril 2021 : Envoi au jury national des deux meilleures œuvres
(individuelles et collectives) de chaque catégorie.
La Ligue des Droits de l’Homme à la Réunion dénonce l’ignominie de la « politique fiction » de « Valeurs Actuelles » sur la députée Danièle OBONO, présentée en esclave, collier de fer au cou, dans l’Afrique du XVIIIème siècle. Au prétexte de critiquer l’idéologie « décoloniale » et de liberté de la presse, il s’agit une nouvelle fois d’une expression nauséabonde d’une extrême droite décomplexée, avec cette représentation volontairement avilissante de la femme noire.Aussi bien, au-delà de toute possible différence d’opinions avec Mme OBONO, notre entière solidarité lui est acquise en cette circonstance.
Saint-Denis, le 01/09/2019
A Paris, la LDH appelle à un rassemblement, le 5 septembre 17H ! au Trocadéro EN SOUTIEN À DANIÈLE OBONO, CONTRE LE RACISME DÉCOMPLEXÉ DE VALEURS ACTUELLESUne députée noire portant les chaînes de l’esclavage au cou !C’est par cette image que Valeurs Actuelles a illustré son roman-fiction de cette semaine, intitulé « Danièle Obono au temps de l’esclavage ».Le « journal » d’extrême-droite, qui n’en est pas à son coup d’essai en matière de racisme, pousse ici sa nostalgie du colonialisme et de la mise en esclavage à son paroxysme, entre iconographie esclavagiste et révision de l’Histoire.Alors que cet essai-fiction a pour objet d’imaginer que « chaque semaine, un personnage emprunte les couloirs du temps », Valeurs Actuelles choisit, pour le premier personnage Noir de cette série, de le renvoyer en Afrique au temps de l’esclavage et de lui faire porter les chaînes.L’Afrique y est ici décrite selon les clichés européens les plus communs : elle réunit des femmes dont les lèvres sont écartelées et des hommes rétrogrades, au milieu de cafards grouillants et de tam-tam chantant.Des silhouettes d’Africains ornent la mise en page du roman, des femmes et des hommes nus autour d’un feu de bois, d’autres marchant les poings liés et Danièle Obono la chaîne autour du cou.Aussi, le récit fictif se vautre dans le révisionnisme et le négationnisme historique, puisqu’il exonère les Européens de toute responsabilité dans la traite transatlantique négrière.Plus encore, c’est finalement un chrétien Français qui sauvera Danièle Obono de sa condition, un comble pour qui sait que c’est au nom de la chrétienté que l’Europe mit en esclavage aussi bien les Noirs que les Indigènes, ce qui fût consacré en France en 1685 par le Code Noir de Colbert qui les relégua au statut de « biens meubles ».Alors qu’un Afro-Américain vient de recevoir sept balles dans le dos par un policier Blanc et qu’en France des dizaines de milliers de personnes se sont réunies à plusieurs reprises ces derniers mois contre le racisme, c’est ainsi que Valeurs Actuelles réagit aux mobilisations récentes des Black Lives Matter : en mettant les chaînes à une députée Noire à qui il compte faire payer ses positions courageuses sur le racisme en France et son soutien à ses victimes.Valeurs Actuelles, dont Geoffroy Lejeune, son rédacteur en chef, est recruté sur C8 à partir de septembre, insère par ailleurs ce roman-fiction dans un numéro consacré à « l’ensauvagement », thématique chère à l’extrême-droite et au gouvernement de Macron, pointant du doigt les Noirs et les Arabes de France en feignant d’oublier que ce sont avant tout les orientations ultra libérales du gouvernement ainsi que le racisme structurel et systémique qui ensauvagent la société dans son ensemble.En soutien à Danièle Obono, et pour lutter contre la banalisation du discours raciste et de ses promoteurs médiatiques*, nous appelons à un large rassemblement samedi 5 septembre, Trocadero, 17h !
Partager la publication "Solidarité avec Mme OBONO"
Voici les initiatives en
cours de la Ligue auxquelles vous êtes invité.e.s à participer :
– Matinée
d’accueil et de formation des nouveaux adhérents le 29/08,
suivi d’un repas. Participation aux groupes de travail.
– Rencontre
inter-associative avec nos partenaires sur inscription
uniquement, le 29/08, 14-18H00.
– Campagne « Nos droits et libertés, parlons-en, faisons-les
vivre ».
– Action judiciaire
contre Brigitte Bardot à la suite de ces propos racistes visant les Réunionnais,
audience du 3/09 13H45, TGI de Saint-Denis.
– Actions
éducatives en partenariat avec les Etablissements
scolaires (courriel pour prochain rendez-vous avec Mme la Rectrice et à divers
établissements correspondants).
– Concours
pour la Fraternité en direction des établissements
scolaires sur le thème : « Nous n’héritons pas la terre de nos
ancêtres, nous l’empruntons à nos enfants. » (proverbe africain cité par
Saint-Exupéry dans Terres des Hommes)
– Actions
citoyennes en vue d’organiser des rencontres populaires et
des rencontres inter-associatives au niveau des communes (courriel adressé aux
maires et rendez-vous en cours)
– Conférences
publiques sur la transmission des stéréotypes racistes
chez les enfants et sur la maltraitance des enfants, en cours de programmation
pour Octobre.
– Journée
des droits de l’enfant (20 novembre) :
vraisemblablement à Saint-Louis cette année.
– Journée
de la Laïcité (9 décembre) : vraisemblablement à
Saint-Pierre cette année avec le concours d’établissements scolaires.
– « KOZENSEMB » : action
nouvelle destinée à lutter contre les stéréotypes de genre, les discriminations
et les violences faites aux femmes et LGTB+.
– Autres initiatives en
partenariat : Journée mondiale du refus de la misère dédiée à la justice
sociale & environnementale (17 octobre) ; journée pour l’élimination
des violences faites aux femmes (25 novembre), 20 décembre.
Pour le bureau de la LDH à la Réunion
Dominique Rivière, président Reine-Claude Grondin, secrétaire
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Gisèle Halimi nous a quittés après une vie de combats en faveur des droits des femmes et celles-ci viennent de perdre une défenseuse acharnée de leur cause. Le nom de Gisèle Halimi est à jamais associé au procès de Bobigny, moment clef dans l’histoire des femmes puisqu’il ouvrit la voie à la dépénalisation de l’avortement et à la loi Veil. Ce procès fut aussi celui du viol et, en cela, il résonne encore aujourd’hui comme une sorte de préambule au mouvement Me too, comme une première victoire contre le tabou des violences sexuelles et sexistes. Viscéralement déterminée à lutter contre toutes les formes d’injustice, Gisèle Halimi n’eut pas peur de défendre celles et ceux qui, en Algérie, se battaient contre le colonialisme. Avocate de plusieurs membres du Front de libération nationale (FLN), elle dénonça, avec courage, les agissements d’une armée qui n’hésitait pas à employer la torture pour obtenir les aveux de femmes et d’hommes engagés dans la cause indépendantiste. Parce qu’elle était pleinement convaincue qu’il appartenait aux femmes de conquérir, aux côtés des hommes, leur place dans l’espace public, Gisèle Halimi s’engagea également dans la vie politique, témoignant ainsi de sa volonté permanente d’être sur le terrain de l’action. La Ligue des droits de l’Homme (LDH) présente toutes ses condoléances à ses proches et salue avec beaucoup d’émotion la mémoire d’une femme qui, sous des formes différentes, ne cessa de lutter en faveur de l’égalité entre les femmes et les hommes. Elle restera, à ce titre, une figure marquante du féminisme de ces dernières décennies. Paris, le 29 juillet 2020 Communiqué LDH
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Ancienne Présidente d’ATD Quart Monde, elle revendique de venir de la société civile et du milieu associatif. Ses déclarations sur France Inter : https://www.franceinter.fr/…/l-invite-de-7h50-24-juillet-20… « En tant que présidente d’ATD Quart Monde, je sais que la pauvreté c’est pas simplement un manque de revenus financiers, c’est aussi un problème de non-accès aux droits. J’ai une réelle connaissance de ces difficultés qu’ont les personnes au quotidien pour accéder à leurs droits. »
« C’est important de montrer pourquoi cette institution [le Défenseur des droits] est proche des gens », au-delà des grands rapports publiés, explique Claire Hédon. « La réalité du non-accès au droit, c’est une atteinte à notre démocratie. Si on a des droits et qu’on ne peut pas y accéder, c’est totalement décourageant ! Ça mine la cohésion sociale, et la confiance qu’on a dans les services publics. »
Elle souhaite également un meilleur suivi de ce qui se passe (ou non) après la publication des rapports du Défenseur des droits. « Une des choses que je souhaiterais faire, c’est un suivi des avis, sur les deux dernières années : qu’est-ce qui a été suivi, qu’est-ce qui ne l’a pas été, et pourquoi. Tout ce travail doit être fait pour que ces recommandations soient appliquées. » Elle souhaite également « qu’on traite toutes les réclamations », c’est « indispensable ».
Claire Hédon cite également un exemple de problème d’accès au droit pendant le confinement. « Ce qui s’est passé avec les EHPAD : fermeture totale, on a empêché les proches de voir leurs personnes âgées : on le comprend en termes sanitaires, mais est-ce qu’on n’est pas allé trop loin ? Certaines sont mortes seules, sans leurs proches… Il y a une réflexion à mener sur la limite d’atteinte aux libertés quand il y a une crise comme celle-là. »
Autre dossier sur lequel son prédécesseur était très actif, surtout ces deux dernières années : celui des violences policières. Claire Hédon commence par tempérer : « Il y a un vrai problème, chez certains, de violences. Je n’aime pas le terme général qui voudrait accuser l’ensemble de la police. Il y a tout un travail à faire de formation des forces de sécurité, de réflexion au sein de la police pour changer certaines pratiques. »
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VIOLENCES CONJUGALES: LE PARLEMENT APPROUVE DÉFINITIVEMENT UNE EXCEPTION AU SECRET MÉDICAL Le Sénat a voté la proposition de loi destinée à mieux « protéger les victimes de violences conjugales ». Elle comprend notamment une exception au secret médical en cas de « danger immédiat ». 149 féminicides en 2019 La loi autorise désormais le médecin ou tout autre professionnel de santé à déroger au secret professionnel lorsqu’il estime en conscience que les violences mettent la vie de la victime en danger immédiat et qu’il y a situation d’emprise.
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Magnifique après-midi ce 7 mars pour prendre ensemble COURAGE et continuer la lutte pour l’Egalité et les DROITS DES FEMMES, avec Pti Colibti, l’AFAR, Lilomots et la LDH à la Réunion, le Film les 30 COURAGEUSES de la REUNION de Jarmila BUSKOVA, les expressions des élèves et celles des conteurs et poètes. Le COURAGE de prendre la parole pour faire vivre les droits des femmes et faire s’envoler notre humanité à deux ailes. GÉNÉRATION ÉGALITÉ ! Merci à tous.
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