RENCONTRE PUBLIQUE SUR LA LAÏCITÉ

SAMEDI 20 NOVEMBRE 2O21

Avec la participation de Mr JEAN LOUIS BIANCO, ancien ministre, ancien président de l’Observatoire de la Laïcité.

La laïcité, tout le monde en parle et s’en réclame, bien précieux de nos institutions, héritage de notre histoire, elle est pourtant dévoyée par celles et ceux qui l’ont longtemps combattue avant de s’y rallier en apparence. Plus que jamais, elle permet l’émancipation et contribue au vivre-ensemble en séparant les cultes de l’État et en s’opposant à toute tutelle religieuse sur la vie publique. Elle rejette avec force l’exclusion et la discrimination et contribue à la construction d’une société inclusive.

(Rencontre à l’initiative de l’association Réinventer la Gauche Marseille)

Appel à actions contre la loi Sécurité Globale, contre la technopolice et pour nos libertés

Mobilisation générale du 13 au 20 mars partout en France :
https://stoploisecuriteglobale.fr/#carte

RASSEMBLEMENT – CONFÉRENCE DE PRESSE MARDI 16 MARS à
12h 30 PRÉFECTURE MARSEILLE
MANIFESTATION SAMEDI 20 MARS 14h VIEUX PORT

Nouveau schéma du maintien de l’ordre,
Loi « séparatisme »,
Décrets élargissant le fichage politique,
Loi sécurité globale,

Alors que la question policière a été portée au premier plan du débat public avec la révélation par des vidéos amateurs puis par la presse de la multiplication des excès, abus et violences illégitimes des forces de l’ordre,


Alors que depuis des années des dispositifs techno-sécuritaires de plus en plus liberticides se multiplient partout dans nos villes et nos vies,


Alors que le gouvernement poursuit cette surenchère sécuritaire avec le foisonnement de lois et décrets répressifs et liberticides, faisant de chaque citoyen une menace,


Alors que depuis le 8 novembre s’exprime, partout en France, l’opposition à cette proposition de loi déjà adoptée par l’assemblée nationale et en débat au sénat,


Alors que la réécriture de l’article 24 ne règle rien sur le fond,


Agissons pour nos libertés !
Refusons une société de surveillance généralisée !
Exigeons de vraies réponses à l’insécurité sociale !

Premiers signataires :
ATTAC Marseille, QUADRATURE DU NET, LDH Marseille, LA CIMADE Marseille, SUD SOLIDAIRES 13, UNL 13, CRI Marseille, MARSEILLE RÉVOLTÉ, EXTINCTION RÉBELLION Marseille, GILET JAUNE Marseille,

FSU 13, Collectif d’échanges citoyens du pays d’Aix,
MARSEILLE CONTRE LES VIOLENCES POLICIÈRES, SQUALES MARSEILLE, LIBRE PENSÉE 13, …/…

Soutien aux occupant.e.s d’immeubles vides, verbalisé

Le 9 février, Place Sadi Carnot, un rassemblement pour le droit au logement
de personnes à la rue qui occupent des logements vides est verbalisé par la
police : le montant des amendes dépasse au total 4 000€ !
Depuis mars 2020, une quarantaine de personnes, dont 11 enfants, occupent un immeuble vide, 1 place Sadi Carnot, qu’une société immobilière projette de transformer en hôtel de luxe.

Fin janvier 2021, les habitant.es reçoivent via jugement un ordre d’expulsion sans délai en pleine trêve hivernale !
Le 9 février, à 13h, les habitant.es de l’immeuble se postent à leurs fenêtres, tendent des banderoles expliquant leur situation, à grand renfort de prises de parole au mégaphone. Une cinquantaine de personnes sont mobilisées à cette occasion pour dénoncer une nouvelle expulsion sans solution. Certaines répondaient à l’appel du Collectif El Manba, d’autres étaient des habitant.es du quartier qui s’étonnaient en face du déploiement de cinq cars de police, des journalistes étaient présents.
Le rassemblement était pacifique, des petits groupes porteurs de masques
discutaient, proposaient des tracts. Au prétexte que le rassemblement n’avait pas été déclaré, les policiers ont effectué des contrôles d’identité auprès de l’ensemble des présent.es.

Sans sommation, sans prévenir ni expliquer que c’était pour dresser des contraventions d’un montant de 135 €.
Une quinzaine de personnes a même reçu deux amendes de 135 €, certain.es pour le même motif (deux amendes identiques pour participation à un rassemblement interdit), d’autres pour non port du masque alors qu’il serait facile de prouver le contraire.
Nous dénonçons ce déploiement disproportionné de forces de police, refusons cette politique d’intimidation infantilisante et demandons la levée des contraventions. La Préfette de Marseille interdit une manifestation de solidarité pour des raisons sanitaires : simultanément la justice expulse et met des réfugiés dans une situation sanitaire dangereuse.
Nous vous donnons rendez-vous à la grande manifestation pour le droit au logement samedi 27 mars qui aura lieu dans 21 pays d’Europe.
Une démarche collective de solidarité aux personnes verbalisées est lancée.
Collectif El Manba / Collectif du 5 novembre / Un Centre-ville pour tous / La Cimade / Legal Team / Ligue des Droits de l’Homme / MRAP

SÉCURITÉ GLOBALE

MANIFESTONS LE SAMEDI 16 JANVIER
14h VIEUX PORT MARSEILLE

SÉCURITÉ GLOBALE.
VIOLENCES POLICIÈRES.
NOUVEAU SCHÉMA DU MAINTIEN DE L’ORDRE.
FICHAGE DES OPINIONS POLITIQUES, DES CONVICTIONS RELIGIEUSES, DES APPARTENANCES SYNDICALES ET ASSOCIATIVES, DES TROUBLES PSYCHOLOGIQUES.
PROJET DE LOI CONFORTANT LE RESPECT DES PRINCIPES DE LA RÉPUBLIQUE.
REFUSONS CETTE POLITIQUE SÉCURITAIRE ET LES ATTEINTES AUX LIBERTÉS FONDAMENTALES.

Alors que les sénateurs devront prochainement se prononcer sur le projet de loi « sécurité globale », partout en France de nouvelles manifestations seront organisées pour faire entendre notre désapprobation face à cette frénésie sécuritaire.
Alors que depuis des mois se font entendre dans le pays de justes revendications pour la justice et le progrès social, pour la réduction des inégalités et une autre répartition des richesses, pour l’accès aux droits économiques, sociaux, culturels et à leur effectivité, pour faire entendre l’exigence démocratique, le gouvernement, faute de répondre aux vraies questions sociales et politiques, n’envisage que l’affirmation de son autorité.
Nous refusons que la France soit le pays des violences policières, des atteintes à la liberté d’informer et de manifester, du contrôle de masse.
Nous resterons mobilisés jusqu’au retrait.
A l’appel de :
CGT 13
SOLIDAIRES13
LDH Mlle
CRI Mlle
FSU 13
UNL 1CFDT 13
CNT 13
ATTAC Mlle
Place Publique 13
MRAP 13
Quadrature du Net
Collectif d’échanges citoyens du pays d’Aix
UNEF Aix Mlle
Marseille révolté
Extinction Rébellion Mlle
Gilets Jaunes Mlle centre
VISA13
SNUIPP13
La Cimade Mlle

Appel à manifester contre la Sécurité Globale, pour les libertés, le 12 décembre, Marseille

Tou-tes ensemble, manifestons Samedi 12 décembre, 14h, Vieux-Port de Marseille.
Pour exiger le retrait total de la loi dite de Sécurité Globale.
Pour le retrait du nouveau Schéma national du maintien de l’ordre
Pour mettre fin aux violences policières.
Pour dénoncer l’extension du fichage politique décidée par le gouvernement.
Pour faire échec au livre blanc de la sécurité intérieure.
Pour stopper les projets technopoliciers à Marseille et partout sur le territoire.
Pour mettre fin à quarante ans de dérives sécuritaires.
Pour la défense de nos libertés.
Pour le progrès démocratique, social et écologique.

Le gouvernement persiste et signe, en dépit des mobilisations historiques massives contre sa dérive autoritaire, et après ses basses manoeuvres pour étouffer la contestation en prétendant « réécrire » l’article 24 de la proposition de loi sur la Sécurité Globale.
D’un côté, il vient d’adopter le projet de loi sur le séparatisme, qui restreint à son tour les libertés publiques au nom de l’affirmation des « principes républicains ». De l’autre, il vient de faire publier trois nouveaux décrets engageant un fichage massif de militantes et militants politiques.

Quand Emmanuel Macron annonce un « Beauvau de la sécurité» pour tenter de rassurer l’opinion publique, son ministre de l’intérieur Gérald Darmanin s’empresse de voir dans cette initiative la « première pierre de la grande loi de programmation de la sécurité intérieure que les forces de l’ordre méritent depuis longtemps ». Derrière cette annonce d’une nouvelle loi sécuritaire, on devine la volonté du gouvernement de mettre en oeuvre au plus vite les préconisations du livre blanc de la sécurité intérieure, lequel réclame le triplement du budget de la police, la prolifération de la surveillance numérique et du contrôle biométrique.
Le gouvernement continue de faire la sourde oreille tout en s’adonnant à une piteuse communication de crise pour tenter d’étouffer la contestation. Pour l’heure, il n’a nulle intention de mettre un coup d’arrêt à sa fuite en avant sécuritaire.
Localement aussi, nous nous heurtons à une fin de non recevoir : à Marseille, la nouvelle majorité municipale refuse toujours d’honorer sa promesse de mettre un terme à l’expérimentation de la vidéosurveillance automatisée et à son prototype de police prédictive, l’« observatoire Big Data de la tranquillité publique ».
Déterminé.e.s à défendre nos droits contre la répression, la surveillance et le musellement des libertés, nous serons de retour dans la rue ce samedi 12 novembre pour exiger le retrait de la loi dite « de Sécurité Globale », et du Schéma national du maintien de l’ordre. C’est là un préalable indispensable. Au-delà, c’est l’ensemble des politiques sécuritaires, la violence systémique et la technologisation toujours plus poussée du contrôle social que nous entendons battre en brèche.
Rendez-vous, à Marseille, SAMEDI 12 DÉCEMBRE, à 14h au Vieux-Port, pour
marcher de nouveaux pour les libertés.
Premiers signataires,
La Quadrature du Net
La Ligue des Droits de l’Homme Marseille
Marseille révoltée
UNL 13
Confluences
Youth for Climate Marseille
Gilets Jaunes Marseille Centre

Appel à manifester contre la Sécurité Globale, en hommage à Zineb Redouane

Pour un autre choix de société
Tou-tes ensemble, manifestons Samedi 5 décembre 2O2O,
14h, Vieux-Port, Marseille

Pour exiger le retrait total de la loi dite de Sécurité Globale,
Pour mettre fin à la technopolice et à cette surveillance globale qui envahit nos villes et nos vies,
Contre les violences policières,
En hommage à Zineb Redouane,
Contre la précarité,
Pour exiger un autre choix de société,
Pour le progrès social et écologique,


Premiers signataires,

Ligue des Droits de l’Homme Marseille, La Quadrature du Net,

Marseille contre les violences policières, CGT 13, FSU13,

Gilets Jaunes – Marseille Centre, MRAP13, SNUipp13, La Cimade Marseille, Solidaires 13, SUD Éducation 13, Solidaires Étudiant-e-s Aix-Marseille,

UNL 13, Place Publique 13, Collectif du 5 Novembre, BDS Marseille,

CNT-SO 13, Marseille Révoltée, Extinction Rébellion Marseille,

UNEF AIX-MARSEILLE, FSE Marseille, SNES-FSU AIX MARSEILLE,

PARTI DE GAUCHE 13, LP13, PCF 13, UL CNT 13, NPA 13, Confluences

Pour un logement décent pour tous

Une trentaine d’associations s’engagent, au côté de la Fondation Abbé Pierre, pour porter 14 engagements et 60 mesures pour un logement décent pour tous.

Ce dossier, mis à disposition de tous les candidats, servira aussi de balise et d’outils, dans une démarche la plus unitaire qu’il soit, pour agir et obtenir des mesures concrètes en matière de lutte contre l’habitat indigne, l’offre de logements pour les plus démunis, la résorption des bidonvilles et du sans abrisme, garantir l’accès et maintien dans le logement.

Lire le rapport :

14 engagements et 60 mesures pour un logement décent pour tous

 

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J’y suis, j’y vote ! Pour une citoyenneté de résidence

La vie locale est un lieu essentiel de la vie démocratique, les élections en sont des moments importants. Chaque citoyen doit pouvoir contribuer aux décisions prises au nom de l’intérêt général et choisir les personnes qui le représentent. Les organisations réunies dans le collectif « J’y suis j’y vote » ne peuvent accepter qu’une partie de nos concitoyens, parce qu’ils sont étrangers, n’aient pas la possibilité de participer aux élections communales.

La citoyenneté de résidence
La citoyenneté n’est pas liée uniquement à la nationalité. Certes en France, le droit de vote a été longtemps lié à la nationalité puisque celle-ci définit l’appartenance juridique à un Etat souverain. Mais, depuis 1992 et le traité de Maastricht, des étrangers, ceux de l’Union européenne, ont le droit de vote et d’éligibilité aux élections municipales et européennes, sans condition d’assimilation ou de naturalisation.
La citoyenneté est aussi liée à la résidence, elle est une manière de vivre ensemble sur un même territoire. Dans les villes et les quartiers, les habitants, quelle que soit leur nationalité, sont soumis aux mêmes règles et doivent toutes et tous pouvoir participer à la vie commune. D’ailleurs, dans de nombreux pays, tous les étrangers peuvent participer aux élections locales, leur participation est considérée comme un moyen privilégié d’intégrer la communauté locale.
La citoyenneté ne se limite pas à une élection tous les six ans. De plus en plus souvent, entre deux scrutins, pour des projets d’aménagement, des budgets participatifs…, des communes sollicitent la participation de tous les habitants, étrangers comme Français : consultations citoyennes, référendums locaux…

L’opinion publique française est favorable !
Alors qu’il y a 25 ans les sondages donnaient au maximum un tiers d’avis favorables au droit de vote des étrangers aux élections municipales et européennes, l’opinion publique a progressivement évolué dans un sens favorable et, depuis 2006, cette opinion est majoritaire (sondages annuels de la lettre de la citoyenneté qui portent sur l’égalité des droits entre résidents étrangers européens et non européens).
Retrouvez le dossier du collectif « j’y suis, j’y vote »

Campagne_DDVE_2020_VADEMECUM

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Les élus locaux face à la résorption des squats et bidonvilles

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Elus locaux, vous pouvez agir efficacement !
Près de 18 000 personnes vivent toujours en bidonville ou squat en France, dans des conditions parfaitement indignes. Les politiques publiques ont jusqu’à présent échoué à résorber durablement ces habitats et à assurer aux personnes qui y survivent des conditions d’insertion correctes. Les chiffres ne bougent guère. Le recours à l’expulsion, trop souvent utilisé, s’est avéré une solution de facilité, vaine et violente pour les familles, faute de s’attaquer au vrai problème : la grande précarité et la pauvreté des personnes.
Mais l’État a changé d’optique, désireux d’impulser des stratégies porteuses de résultats au niveau local. Il entend régler la question d’ici à 2022, volontarisme appuyé par le doublement du budget dédié de la Délégation interministérielle à l’hébergement et l’accès au logement (Dihal).
Mais le succès dépendra étroitement de l’implication des élus locaux. 2020, année d’élections municipales. Année de l’efficacité ?
Retrouvez l’intégralité du rapport du Collectif National Droits de l’Homme Romeurope :
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Municipales : Notre Affaire !

Une évolution de l’organisation territoriale depuis les élections municipales de 2014.
La loi NOTRe1 de 2015, acte III de la décentralisation, a transféré des compétences administratives de l’Etat vers les collectivités territoriales, particulièrement aux régions, a redéfini celles déjà attribuées, et dissout davantage la commune dans des intercommunalités aux pouvoirs renforcés, avec le risque d’aggraver l’éloignement entre les populations et leurs élu-e-s. 4 échelons administratifs locaux se partagent compétences et financements : 34 968 communes (au 1er mars 2019), 2510 intercommunalités, 101 départements et 13 régions. Cet empilement, qualifié de « millefeuille territorial », est illisible pour beaucoup.
La commune, née de la Révolution de 1789, reste le premier échelon de proximité, celui où peut s’exercer au mieux la citoyenneté. Les élections municipales sont donc importantes, avec leurs conséquences sur les intercommunalités et sur la composition du Sénat (les élu-e-s votant pour les sénatrices et sénateurs).
Ouvrons de larges débats pour le scrutin des 15 et 22 mars 2020 !
C’est par le débat contradictoire avec les équipes candidates que les citoyennes et les citoyens peuvent confronter leurs interrogations, leurs problèmes et leurs analyses des maux qui traversent la société et peser sur les programmes qui seront soumis à leurs suffrages. Pour que vive la démocratie, toutes ces paroles doivent être prises en compte.
La campagne électorale est l’occasion de réfléchir ensemble aux solutions à proposer face aux difficultés connues et aux attentes, comme répondre à la nécessaire transition écologique, démocratique et sociale, à construire sur des droits effectifs conformes aux valeurs républicaines.
Bien que les enjeux de la vie quotidienne soient déterminés par les choix politiques nationaux et internationaux, c’est aussi à l’échelle des villes et des villages qu’ils peuvent être repensés et que peuvent être corrigés le déficit croissant de représentation, l’insuffisante diversité et renforcée la place des femmes.
Il dépend de chacune et de chacun qu’une conception humaniste et démocratique prévale lors de ces élections, que la conception haineuse portée par les extrêmes droites d’un « tous contre tous » soit mise hors débat, hors jeu électoral. Quelles que soient ses convictions sur l’emploi, la protection sociale, l’éducation, le logement, les transports ou l’environnement, construire un destin commun impose de refuser que ces sujets soient instrumentalisés par les extrêmes droites et que des boucs émissaires soient désignés.
Sachons débattre du « vivre ensemble » dans lequel nous voulons inscrire notre avenir.
Sachons, ensemble, prévenir et dénoncer toutes les agressions racistes, antisémites, sexistes, homophobes, xénophobes qui ébranlent à chaque fois le pacte républicain fondé sur nos valeurs communes rappelées sur tous les frontons des mairies :
liberté, égalité, fraternité.
1 Loi portant sur la Nouvelle organisation territoriale de la République (NOTRe) promulguée le 7 août 2015

Ma vie, ma ville, je la veux accueillante et ouverte ! Tract “Accueillante et ouverte”

Ma vie, ma ville, je la veux démocratique ! Tract “Démocratique”

Ma vie, ma ville, je la veux écologique durable ! Tract “Ecologique et durable”

Ma vie, ma ville, je la veux fraternelle et solidaire ! Tract “Fraternelle et solidaire”

Ma vie, ma ville, je la veux juste ! Tract “Juste”

Ma vie, ma ville, je la veux libre et cybercitoyenne ! Tract “Libre et cybercitoyenne”

 

 
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