MEDIAS ET DEMOCRATIE : PROPOSITIONS, ET GARDE-FOUS À MIEUX CONNAÎTRE

Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen : article XI

Constitution française, article 34

Déclaration des devoirs et des droits des journalistes (Déclaration de Munich 1971, signée par l’ensemble des syndicats de journalistes, au niveau européen)

LE SNJ, Syndicat National des Journalistes, qui vient d’adopter :

LES 12 PROPOSITIONS POUR UNE INFORMATION DE QUALITÉ /
CONTRIBUTION AUX ETATS-GÉNÉRAUX DE L’INFORMATION (en cours)
Publiés le 27-3-24 sur son site (cliquez sur le lien pour obtenir le détail des propositions) https://www.snj.fr

L’ARCOM, créée le 1er janvier 22

Autorité de Régulation de la Communication Audiovisuelle et Numérique (Arcom) garante des libertés de communication et d’expression (issue de la fusion du CSA et de l’Hadopi).

Ses décisions ont force de loi.

L’ARCOM assure actuellement la présidence du REFRAM, le réseau francophone des régulateurs des médias. A ce titre ouvre à la consolidation de l’Etat de droit, de la démocratie et des droits de l’homme.

wwww.arcom.fr

Le CDJM

Le Centre de Déontologie Journalistique et de Médiation est une instance de médiation entre les journalistes, les médias, les agences de presse et les publics sur toutes les questions relatives à la déontologie journalistique. Organe d’auto-régulation, le CDJM rend ses décisions seul, en toute indépendance des pouvoirs politiques ou économiques.

Tout le monde peut saisir (gratuitement) le Conseil de déontologie journalistique et de médiation (CDJM).
https://cdjm.org

Pourquoi saisir le Conseil ?
Le CDJM examine les atteintes supposées aux bonnes pratiques journalistiques dans le texte ou les images d’un article imprimé ou en ligne ou d’une émission audiovisuelle d’information.

Les saisines anonymes ne sont pas traitées, mais le CDJM peut exceptionnellement, sur demande et sous condition (art. 7.4 du RI), accepter de ne pas révéler l’identité de la personne qui l’a saisi.

Quels critères une saisine doit-elle respecter ?

Lorsqu’une saisine est déposée, la première tâche du CDJM est de vérifier si elle est recevable sur la forme et sur le fond.
Sur la forme : la demande de saisine doit comporter l’identité, la domiciliation et le numéro de téléphone de l’auteur de la saisine, le nom du média concerné, la copie de la publication ou de la séquence contestée ou un lien hypertexte permettant de les consulter, et les motifs de la saisine. Elle ne peut être adressée au CDJM par un avocat.
Enfin, les saisines doivent être déposées dans un délai de trois mois maximum à compter de la première publication ou de la première diffusion de l’article ou de l’émission concerné(e).
Sur le fond : la saisine doit porter sur une erreur ou un manquement supposé(e) d’ordre déontologique, relevé(e) dans un acte journalistique édité, publié ou diffusé en France ou à destination du public français
Les questions sur les choix rédactionnels et la ligne éditoriale propre à un média n’entrent pas dans le champ de compétence du CDJM (art. 1 et 2 du RI).

  • Que se passe-t-il ensuite ?

Si la saisine est recevable, un dossier est ouvert. Cela ne préjuge pas du caractère fondé de la saisine, qui ne sera déterminé qu’à l’issue de la procédure.

  • Si le cas peut être réglé par une médiation (art. 4 du RI), son résultat est publié sur le site du CDJM.
  • Si le cas ne peut être réglé de cette manière, le CDJM désigne en son sein un groupe de travail composé de journalistes, d’éditeurs et de représentants du public, qui procède à une enquête. Il demande au média concerné de répondre aux griefs de l’auteur de la saisine. Ce dernier aura à son tour l’occasion de commenter la réponse du média.

Une fois l’enquête terminée, le CDJM se prononce en séance plénière sur le cas :
il indique dans un avis motivé si la saisine était « fondée », « non fondée » ou « partiellement fondée ».

Gwenaële Leprat
Journaliste indépendante, élue du Conseil du Syndicat National des Journalistes (SNJ)
et du Conseil de déontologie journalistique et de médiation (CDJM).

 

Rencontre débat, la presse, objectivité ou influence?

 

23 septembre à la MJC (entrée libre)

La presse est sensée informer, apporter des éléments vérifiés et objectifs pour permettre à chacun de se faire une image claire servant de base à la réflexion et à l’opinion de chacun.

Pourtant, on a le sentiment de recevoir souvent du prêt à penser , que ce soit dans les médias tv, radio la presse écrite et même les réseaux sociaux qui voudraient prendre leur place avec plus ou moins de conscience, de vérifications des sources et d’objectivité.

Venez en discuter, en présence de:

Gwenaëlle Leprat, journaliste indépendante, élue du Conseil du Syndicat National des Journalistes (SNJ), et du Conseil de déontologie journalistique et de médiation (CDJM)

Sandrine Chesnel, Journaliste indépendante pigiste, membre du CA de l’association Profession: pigiste.

D’où vient la violence ? 17 juin MJC.

 

D’où vient la violence, elle est partout, dans la rue, dans les quartiers, dans les familles, contre les femmes, les enfants abusés, harcelés, sur les réseaux sociaux, dans les institutions, dans la politique, dans les lois, dans les manifestations et la répression. La violence en réaction, la violence en provocation. en usurpation, en privation des droits.

La violence est de plus en plus présente dans nos vies, dans la société.

Mais d’où vient elle donc ?

Parlons en !

 

 

+ d’infos sur les rencontres débats de la LDH

Liberté associative, LDH en danger

 

Pour cette 20ème rencontre débat, nous débâterons de la loi de 1901 récemment mise en cause par le ministre de l’intérieur et la première ministre.
Les menaces de réduction ou de suppression des subventions à la LDH sont une première depuis 125 ans mise à part la période de Vichy.
Les prises de positions de la LDH après les violences de Sainte Soline et des manifestations contre la réforme des retraites justifieraient elles ces menaces de rétorsion alors que la Ligue est dans son rôle dans ses missions d’observation et de promotion de l’effectivité des droits?

+ d’infos

SISM 2022

Dans le collectif d’associations
SISM de Conflans
la section LDH participe
aux Semaines d’Information
sur la Santé Mentale 2022.

l‘affiche en pdf

Le Quizz de la SISM

Le collectif a préparé un petit Quizz sur le sujet de la santé mentale, amusez-vous à le remplir et remettez le nous lors de la semaine d’information vous recevrez en échange un document contenant les réponses et de nombreuses informations.

 

 

Cliquez sur le qwizz
pour l’ouvrir en Pdf et le télécharger.

vous pourrez ensuite le remplir
et nous le retourner.
à
ldhconflans@ldh-france.org

nous vous ferons parvenir par retour
le document contenant les réponses

et de nombreuses informations.

 

 

 

35 spectateurs ont répondu présents au ciné débat de la SISM pour parler de l’incidence de la nature et de l’environnement sur la santé mentale avec la projection du film de Pascale d’Erm ‘NATURA’.
La semaine d’information sur la santé mentale se poursuit samedi 22 octobre, toute la journée à la salle des fêtes.

Merci à Madame la proviseure pour son accueil à l’amphi du lycée Jules-Ferry.

 

Le livre de Pascale D’Erm est disponible en librairie et reprend toute l’enquête, « Natura, pourquoi la nature nous soigne et nous rend plus heureux »

Résumé
Vous pensez que la « nature vous fait du bien » ? Qu’une simple marche en forêt vous procure du bien-être, ou vous aide à ne plus ressasser vos idées noires ? Votre intuition a vu juste. Désormais, les scientifiques considèrent qu’il existe suffisamment de preuves pour dire qu’une immersion, même brève, dans des environnements naturels, a un impact positif sur tous les critères de santé.
Date de parution 08/05/2019
Editeur Les Liens Qui Libèrent

 

AVIS: la conférence prévue le samedi 15 à la Médiathèque a été annulée pour raison de santé, Monsieur El Ghozi ayant contracté la Covid.
Nous lui souhaitons un prompt rétablissement.