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l’Assemblée – 59è Ciné-Débat

Dans le cadre du collectif « Sauvons le Ciné-Ville »

le flyer

59ème Ciné Débat
29 septembre 2017
20h30

en avant-première, sortie en salles le 18 octobre

En présence de Mariana Otero.

L’Assemblée’

Film-Annonce de L'ASSEMBLEE, de Mariana OteroAu cinéma le 18 octobre« Une plongée passionnante au sein du mouvement Nuit Debout » LES INROCKS« Un documentaire qui tombe à pic » ALTERNATIVES ECONOMIQUES« Un film passionnant, qui atteste d’une soif de démocratie » POLITIS

Publié par L'Assemblée, le film sur lundi 28 août 2017

Un acte courageux!

Je vous rappelle notre mobilisation pour la réouverture des bains douches de septembre 2016.
(Vous trouverez ci-dessous notre tract)

Notre parole aurait pu se perdre totalement dans le désert des consciences .
Rebondissement, un élu du groupe majoritaire de la mairie vient de démissionner en faisant référence expresse à l’argumentaire que nous avions développé.

« Quel sens donner à notre action lorsque nous renonçons à aider les plus fragiles, en les privant d’un service public indispensable à leur santé ainsi qu’à leur dignité ? »

Quel bel acte de courage pour un élu du groupe majoritaire !!!
La dignité cela commence aussi par le respect de ses convictions.( surtout quand elles sont conformes au respect des droits fondamentaux)
Notre action n’a pas permis d’obtenir gain de cause sur l’essentiel.
Pour autant, il convient d’accueillir cette nouvelle avec la satisfaction d’avoir au moins favorisé l’éveil d’une conscience.
GC

Lire l’article de presse

Défendre nos droits et nos libertés face à l’état d’urgence

« La LDH participera partout, le 10 septembre, aux rassemblements et aux manifestations contre l’état d’urgence permanent, qu’il se cache derrière une décision d’exception ou qu’il soit le résultat de sa normalisation. »

Communiqué LDH

Paris, le 31 août 2017

La Ligue des droits de l’Homme (LDH) est inquiète de l’avenir de l’Etat de droit en France, vacillant dangereusement sous prétexte de lutte contre le terrorisme. Le gouvernement et la majorité présidentielle ont fait adopter cet été une loi et un projet de loi très préoccupants au regard des libertés publiques.

La première prolonge l’état d’urgence jusqu’au 1er novembre 2017. Elle a pour effet de placer, pour la sixième fois, la France sous un régime d’exception pour une durée totale inédite de presque deux ans. Cette décision a été prise alors que ses conditions légales sont loin d’être réunies et que des rapports parlementaires ont démontré son inefficacité dans la lutte contre le terrorisme par rapport à celles mobilisées dans le droit commun.

La France rejoint ainsi l’Ukraine et la Turquie, seuls autres pays à subir un tel droit d’exception.

Le projet de loi qui va être discuté à l’Assemblée nationale, supposé nécessaire pour sortir de l’état d’urgence, introduit dans le Code de la sécurité intérieure, après les lois des 3 juin et 21 juillet 2016, des dispositions qui accroissent considérablement les pouvoirs de police administrative, du ministre de l’Intérieur et des préfets. Elles marquent une atteinte grave à l’équilibre des pouvoirs et sont largement inspirées par l’état d’urgence avec sa logique de suspicion et de contrôle de masse.

La LDH dénonce ces choix faits sans même qu’ait été pris le temps d’une évaluation pertinente des législations à peine antérieures et sans s’interroger sur l’efficacité réelle de l’action des services de renseignement et de lutte contre le terrorisme. Ils sont d’autant plus préoccupants que, si ces mesures se sont avérées largement inefficaces contre le terrorisme, elles ont favorisé des abus et des dérives comme la stigmatisation d’une partie de la population, en raison de son origine ou de sa religion.

La LDH met en garde contre ces dangereuses dérives et la création d’un véritable droit d’exception sans cesse renforcé qui ampute, de fait, sans retour, les droits et libertés de chacun-e, au mépris de l’Etat de droit et des engagements internationaux et européens de la France.

La LDH, avec toutes ses sections locales, s’adressera aux parlementaires sur le contenu de ces lois en rappelant pourquoi elle estime nécessaire de rompre avec l’état d’urgence.

Elle participera partout, le 10 septembre, aux rassemblements et aux manifestations contre l’état d’urgence permanent, qu’il se cache derrière une décision d’exception ou qu’il soit le résultat de sa normalisation.

Le Maire répond à la LDH

Lettre de Dominique Guilbert Secrétaire Général de la LDH au Maire de Conflans.

Réponse de Laurent Brosse

 

Communiqué du 12 juin 2017

Communiqué de la LDH

Législatives : La LDH en appelle à une mobilisation citoyenne forte

Malgré l’importance de l’Assemblée nationale dans l’élaboration et le vote des lois comme dans le contrôle de l’action du gouvernement, les électrices et les électeurs ont boudé les urnes comme jamais au premier tour de ce type d’élections. Moins d’un électeur sur deux s’est déplacé, marquant sa défiance envers les offres politiques qui lui étaient proposées.

De par le mode de scrutin, une coalition présidentielle prévisible est en mesure d’emporter une très large majorité, avec à peine un tiers des voix exprimées. La diversité des sensibilités serait faiblement représentée au sein de la future Assemblée et son rôle, ainsi que la qualité du débat démocratique, risquent d’en être affaiblis.

Ces résultats confirment l’urgence à revoir en profondeur le fonctionnement de notre démocratie et de nos institutions pour corriger dérives et carences, en offrant plus de place aux débats contradictoires, à l’implication et au contrôle citoyens.

C’est pourquoi la LDH appelle à une mobilisation citoyenne forte au second tour des élections législatives.

Inquiète des 2,99 millions de voix qui se sont portées sur le parti d’extrême droite de Marine Le Pen, la LDH appelle à faire barrage à tous ses candidats, aux idées de haine et d’exclusion.

Elle invite les citoyen-ne-s à apprécier leur choix à la lumière des enjeux qui engagent l’avenir :

– la promotion d’une démocratie plus forte et participative, qui associe mieux les citoyen-ne-s aux décisions qui les concernent ;

– la défense des droits et libertés, individuels et collectifs, confortés, particulièrement par des droits économiques et sociaux protecteurs et facteurs d’une solidarité pour tous ;

– le refus de la stigmatisation de catégories de population et d’un Etat policier, sous couvert de lutte contre le terrorisme ;

– la réaffirmation d’un Etat de droit, où les juges contrôlent l’action de l’exécutif, refusant l’état d’urgence et l’inscription des mesures d’exception dans le droit commun.

Paris, le 12 juin 2017

Communiqué LDH du 7 juin 2017

Président de la République et gouvernement :

cocktail à risques pour les libertés ?

Si ce que révèle le quotidien Le Monde est exact, le gouvernement entend introduire dans le droit commun des mesures comme l’assignation à résidence, la pose de bracelets électroniques ou les perquisitions administratives, sous la seule décision d’un préfet.

De telles mesures piétineraient les libertés individuelles et collectives et nous feraient basculer dans un autoritarisme d’Etat. A défaut de sortir de l’état d’urgence, la France entrerait durablement dans un régime d’exception.

Loin de ne concerner que les actes de terrorisme, ces mesures s’appliqueraient indifféremment à une large gamme de délits. Chacun pourrait alors être victime de cet arbitraire. Aujourd’hui déjà, nous voyons des dispositions inscrites dans l’état d’urgence utilisées contre des militants associatifs, syndicaux ou politiques.

Que ce délirant cocktail liberticide, qui s’ajoute à une jurisprudence désastreuse et aux lois déjà votées, ait pu s’écrire dans les bureaux d’un ministère et être approuvé par les plus hautes autorités de l’Etat laisse à penser qu’elles entendent pratiquer une démocratie soumise plutôt que de respecter les règles de l’Etat de droit.

A la veille des élections législatives, La Ligue des droits de l’Homme appelle les électeurs et les électrices à tenir compte des projets du gouvernement et du président de la République dans leurs choix.

 

Communiqué LDH 08.05.2017

Présidentielle : soulagement et inquiétudes

L’élection d’Emmanuel Macron ouvre un nouveau quinquennat et participe d’une redistribution de la donne politique dans un contexte périlleux. Plus de 66% des suffrages exprimés ont fait barrage à la candidature de Marine Le Pen, évitant ainsi d’installer durablement l’extrême droite à la tête du pays. La Ligue des droits de l’Homme apprécie ce résultat à sa juste valeur, en ce qu’il préserve les possibles démocratiques.Mais les dix millions de voix qui se sont portées sur la candidate du Front national, la radicalisation de la droite dite républicaine qui a marqué la campagne et l’enracinement dans le débat public des idées d’extrême droite, avec ce qu’elles charrient d’esprit de fermeture, de racisme, de discriminations et de violence, constituent autant de facteurs préoccupants pour l’avenir.Conjointement, le poids de l’abstention, du vote blanc et du vote nul – sans précédent lors d’une présidentielle – donne la mesure d’un décalage croissant entre offre politique institutionnelle et attentes citoyennes. Il y a là un message lourd de sens dont il faudra tenir compte.Conjurer les périls et répondre aux attentes populaires exigera plus que jamais un profond renouvellement de la vie et des pratiques politiques, qu’il s’agisse de représentation ou des mécanismes de décision. Les peurs et souffrances qui taraudent le pays et l’opinion publique appellent des réponses de justice sociale, une solidarité en actes, un développement humain garant de sécurité pour toutes et tous. Cela nécessite une ouverture solidaire au monde.

Dans ce cadre, la Ligue des droits de l’Homme souligne que l’égalité des droits doit demeurer le  cœur battant du contrat républicain. Elle rappelle que la liberté, toujours, doit prévaloir sur la tentation d’un horizon rabougri au sécuritaire. Elle réaffirme que la fraternité est plus que jamais à défendre face aux politiques de haine et d’exclusion, face à la mise en concurrence de tous avec tous. Faire face à cette triple exigence renvoie à l’urgence de choix et de politiques de solidarité.

La Ligue des droits de l’Homme appelle les citoyennes et les citoyens à défendre et faire vivre cette perspective à travers leurs choix lors des élections législatives, dont le résultat déterminera largement l’avenir politique de notre pays.

Paris, le 8 mai 2017

‘CORPORATE’ Ciné-Débat 1/4/17

Ciné Débat 1er avril 2017

en avant-première (sortie nationale le 5/4)

‘Corporate’

Sur un sujet sensible qui affecte, à des degrés divers (stress, souffrances psychiques, ‘burn out’…) des millions de salariés et leurs proches, un film de fiction inspiré du réel, de situations générées par des pratiques actuelles d’organisation du travail… avec des comédiens renommés tels que Céline Sallette, Lambert Wilson…

Débat après projection

avec des membres de l’équipe du film, notamment

  • Nicolas Fleureau co-scénariste (avec Nicolas Silhol réalisateur),
    Jean-Louis Osvath conseiller pour l’évocation de l’inspection du travail, inspecteur du travail participant au réseau www.souffrance-et-travail.com
    Philippe Laville co-animateur du Groupe de travail national LDH Santé-bioéthique

La bande annonce http://diaphana.fr/film/corporate-2.

le 58è Ciné débat de la LDH à guichet fermé!


La salle était pleine, près de 90 personnes étaient présentes pour la projection en avant première de ‘CORPORATE’ et pour le débat.
Un superbe film qui montre la réalité des souffrances psychologiques au travail dans notre société de productivisme qui néglige l’humain.
Merci à l’équipe de CINEVILLE pour cette belle soirée.
 

Les heures souterraines

57ème Ciné débat dans le cadre de la semaine de la santé mentale

sur le thème Travail et santé mentale.

 

Semaine de la santé mentale 13-26 mars 2017

Cette année encore la section LDH de Conflans Andrésy Chanteloup Maurecourt participe à l’organisation et à l’animation de la semaine d’information sur la santé mentale.

Le thème de cette année est :Santé mentale & Travail.

Voilà le programme ci-dessous:

Flyer en pdf

 

 

 

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