Catégorie : Events

Une fresque monumentale signée Seb James à Sèvres

A l’occasion de la journée des Droits de l’Homme*, le 10 décembre 2021, la LDH, Ligue des Droits de l’Homme, met à l’honneur la monumentale fresque peinte sur la façade du Collège de Sèvres, par un rassemblement sur le Parvis Charles de Gaulle , face à la mairie entre 10h et 10h40, dans le respect des gestes barrière

En présence de :

Gilles Manceron, membre de la Direction nationale de la LDH,

Monsieur le Maire de Sèvres, Grégoire de la Roncière

Autour de l’artiste, Seb James

Informations plus précises sur la fresque

*La déclaration Universelle des Droits de l’Homme (DUDH) est adoptée par l’assemblée générale des Nations unies le 10 décembre 1948 à Paris, par les 58 Etats Membres qui constituaient alors l’Assemblée générale. La journée des droits de l’Homme est célébrée chaque année le 10 décembre.

La section LDH de Meudon Sèvres Clamart

Mobilisation jeudi 28 janvier 14H – Non à la fermeture invisible des voies de régularisation!

Le débat « Quelle police voulons-nous ? »

Quelle police voulons nous ?

Comment établir un lien de confiance avec une police qui devrait protéger avant de réprimer ?

Comment abolir des pratiques abusives et discriminatoires, comme les contrôles d’identité au faciès?

Comment contrôler les moyens d’exercice de la force publique pour éviter les dérives et les abus ?

organisé par le comité local du MRAP de Nanterre

le mardi 3 avril 2018, à 19h.30, à l’Agora de Nanterre

avec le soutien  d’Authenti-cité, de la Ligue des Droits de l’Homme (92), de l’Union locale de Nanterre de la CGT et d’Attac (92)

Venez nombreux

 


Projection PATRIA OBSCURA au cinéma NORMANDY de Vaucresson

Le cinéma NORMANDY à  VAUCRESSON vous propose de découvrir le
le film PATRIA OBSCURA de Stéphane RAGOT soutenu par la Ligue des Droits de l ‘Homme.
*DIMANCHE 25/01/15 à  19H.*
En présence du réalisateur Stéphane Ragot.
En partenariat avec la librairie l’Ecriture de Vaucresson
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« Est-ce que dire c’est trahir? »

Conscient que son métier de photographe l’amène à questionner les gens sur ce qu’ils sont, Stéphane Ragot décide de retourner la question sur lui-même et de s’interroger sur son histoire et celle de sa famille. « Je suis Français, dit-il. Je veux regarder en face l’histoire dont je suis l’héritier. Je veux interroger un récit familial et national qui ne va pas de soi. Je suis Français de souche comme on dit, de cette souche vantée par les nationalistes et méprisée par les humanistes. Je refuse l’orgueil que me promettent les uns et je refuse la honte que me prescrivent les autres. Le pacte est rompu. Je suis Français et je refuse de me résigner au repli, à la défense, même passive, surtout passive, d’une permanence figée et imaginaire de l’identité française. Je suis photographe et je veux faire un film qui porte mon refus. Je veux donner à voir mon histoire, affirmer ma place. Tenir debout face à la violence symbolique d’une identité nationale asservie. »

 

Ses grands-pères, morts depuis longtemps étaient tous deux militaires pourtant leur histoire est bien différente. Paul le parachutiste, a fait une belle carrière d’officier, a reçu la légion d’honneur des mains du général de Gaulle, ses filles se sont mariées à des Saint-Cyriens. Pierre le légionnaire a été boucher, et ses états de service, dans la Légion, sont peu élogieux, enfant illégitime il fut rejeté par sa mère. En remontant dans leur histoire marquée par les guerres, Stéphane Ragot accomplit un travail minutieux d’historien, il nous fait découvrir une histoire de la France où l’on rencontre aussi bien des défenseurs de l’empire colonial, des témoignages de la « grande guerre », des badauds du défilé du 14 juillet. Un des moments les plus touchants est celui où des sans papiers en marche pour leurs droits se recueillent dans la nécropole militaire Notre-Dame de Lorette, près d’Arras, où à coté des croix portant les noms de soldats français, des tombes musulmanes portent la même mention « mort pour la France ».

 

Partant de cette démarche individuelle de reconstitution de son histoire familiale, Stéphane Ragot fait émerger des questions liées à l’identité personnelle, familiale et nationale. Il nous montre la perversité de la question de l’identité nationale et de tout ce qui la sous-tend dans une France tellement diverse : « Inoculé par un pouvoir qui parie sur la division et la stigmatisation, je vois le venin de l’identité nationale, loin d’avoir disparu avec le ministère du même nom, s’immiscer dans les tissus d’un corps social déjà tétanisé par la peur de l’autre. Je rejette les termes d’un débat biaisé et je refuse d’abandonner aux puissants l’usage des mots, des images et des symboles. »

 

Citons enfin les propos très élogieux de Jean Baubérot qui nous invite à voir et faire voir ce film : « …Voilà une œuvre qui parle magnifiquement de la France d’hier et d’aujourd’hui entremêlées. […]Un film qui, par la justesse de son propos, par la beauté de ses images, par l’impressionnant travail de montage réalisé, procure un vrai bonheur, un bonheur grave capable de panser des blessures secrètes ou béantes, les blessures que chacun d’entre nous porte. »

 

En même temps que le film, parait Patria lucida un livre des photos et des textes du film ainsi qu’un beau texte de Pierre Bergounioux intitulé « Qui nous sommes » (180 pages, format 20×28 cm, éditions, 30 euros).

 

Patria obscura
Documentaire, 2014
Durée : 83 mn
Réalisation : Stéphane Ragot
Distribution : DHR

Laïcité, genre, race : la bataille des mots

Dans le cadre des rendez-vous de la Ligue des droits de l’Homme, la section d’Antony recevra le chercheur Eric FASSIN le 5 novembre prochain autour d’un débat :

Laïcité, genre, race. La bataille des mots

elle vous y souhaite nombreux !

Qui est Eric FASSIN ?
Éric Fassin est chercheur à l’Institut de recherche interdisciplinaire sur les enjeux sociaux (sciences sociales, politique, santé), unité mixte de recherche associant le CNRS, l’Inserm, l’EHESS et l’université de Paris XIII. Sociologue engagé dans le débat public, il enseigne à Paris VIII et travaille sur la politisation des questions sexuelles et raciales, en France et aux États-Unis.

Informations pratiques.
mercredi 5 novembre 2014 à partir de 20h
Accueil par le restaurant La cour des potes
24, av. de la Division Leclerc à  Antony

Réservation indispensable avant le mercredi 29 octobre 2014 auprès de antony92@ldh-france.org
retrouver les détails sur l’invitation

Mois de la resistance à Nanterre avec le soutien de la LDH 92

 

FTP MOI LDH 92

 

Affiche mois resistance

 

Cette œuvre collective a pour but de participer de manière partagée, attrayante et mobilisatrice au travail de mémoire de cette période de l’histoire. A Nanterre, ce projet a été initié par le Collectif Mémoire Résistance et Déportation de Nanterre.

En 2014, l’Etat a déclaré le 27 mai Journée nationale de la Résistance. Il s’agit de la date d’anniversaire de la création du Conseil national de la Résistance (CNR). Mis en place par Jean Moulin en 1943, il va fédérer les différents mouvements de résistance pendant l’occupation et va lutter contre les nazis et le régime collaborationniste français.

La ville de Nanterre a décidé de lui donner une résonance locale, la résistance ayant été très suivie dans ce fief francilien. Dès 1939, le maire Raymond Barbet est déchu de son mandat et interné. Il s’évade en 1940 pour rejoindre la Résistance. Le député de Nanterre, Waldeck Rochet, est lui aussi arrêté. Il deviendra, après sa libération en 1943, le représentant du PCF auprès du général de Gaulle à Londres.

Au-delà des hommes politiques, c’est un réseau de Résistance qui se met en place à Nanterre. Louis Meunier organise en 1941 un réseau de francs-tireurs et partisans (FTP), nom du mouvement de Résistance intérieure française. De nombreux Nanterriens vont participer. C’est le cas de Vincent Pascucci ou Pierre Bougas, deux des responsables de la Résistance locale. Le jeune Spartaco Fontanot, immigré et antifasciste italien, s’engagera au côté de Missak Manouchian. Il sera fusillé avec ses 22 camarades le 21 février 1944 au fort du Mont-Valérien.

Pour célébrer cette date anniversaire, de nombreuses expositions seront proposées tout au long du mois. Des projections-débats seront organisées à l’Agora, au cinéma Les Lumières mais aussi à la médiathèque Pierre-et-Marie-Curie, avec la présence de réalisateurs, de représentants d’associations et de témoins de l’époque.

A noter : projection de FTP MOI le 5 juin à l’Agora, 20 rue de Stalingrad à 19h30, en présence des réalisateurs Mourad Laffitte et Laurence Karsnia, et de Georges Duffau-Epstein

 

Programme

Programme Le mois de la R&#233_sistance 2014

 

 

Dévoilement de la plaque Victor et Ilona Basch, Mercredi 16 avril, Montrouge

 

La section locale de la Ligue des droits de l’Homme,

son président, M. Philippe Ponge, ont l’honneur de vous convier au dévoilement de la

plaque en mémoire de Victor et Ilona Basch

Mercredi 16 avril 2014 à 18h30

à l’angle des rues Carves et Basch, à Montrouge

 

Cet évènement, pour lequel la municipalité de Montrouge a apporté

son concours, se tiendra en présence de :

Mme Françoise Basch, petite-fille de Victor et Ilona Basch

M. Gilles Manceron, membre du comité central de la Ligue des droits de l’Homme

M. Jean-Loup Metton, conseiller général des Hauts-de-Seine

Mme Julie Sommaruga, députée des Hauts-de-Seine

Mme Brigitte Gonthier-Maurin, sénatrice des Hauts-de-Seine

 

Merci de bien vouloir

confirmer votre présence à

ldh92sud@hotmail.fr

 

 

 

Section de la Ligue des droits de l’Homme de Malakoff-Bagneux-Montrouge

 

Maison de la vie associative – 28 rue Victor Hugo – 92240 Malakoff – http://ldh92sud.over-blog.com – courriel : ldh92sud@hotmail.fr

v basc montrouge

 

Histoire de la gestion de l’eau – 7 janvier 2014 à 20h- Bourg La Reine

 

Pour bien démarrer l’année 2014, les « Rendez-vous de la Ligue des droits de l’Homme » vous proposent une rencontre avec

 Jean-Luc Touly autour de « l’histoire de la gestion de l’eau »

le mardi 7 janvier à 20h

 

au café le Vieux Bourg-Le Métro

 

RER Bourg la Reine.

Jean-Luc Touly, responsable eau de la Fondation France Libertés Danielle Mitterrand,est  Conseiller régional Ile-de-France, conseiller municipal de Wissous et Co-auteur de « L’eau des multinationales » (Fayard 2006).

Nous vous retrouverons avec plaisir au café Le vieux Bourg – Le Métro A 50 m du RER (en sortant de la gare, à droite sur le boulevard)
Le café nous accueille gracieusement, merci de prévoir l’achat une boisson.
Ceux qui le souhaitent pourront dîner à partir de 19h.

Contact : antony92@ldhfrance.org

 

www.ldh-france.org

 

Section d’Antony

 

Rassemblement devant la préfecture, mercredi 11 décembre, Lycéens sans papiers

Des papiers pour Youssouf et tous ses camarades

L’histoire de Youssouf, 18 ans, lycéen à Paul Langevin à Nanterre, a ému et mobilisé nombre d’adultes et de lycéens. C’est par dizaines qu’ils ont été présents dans la salle d’audience, mais aussi derrière les barrages de police, pour assister finalement à sa libération par le juge des libertés et de la détention.
L’histoire de Youssouf n’est pas si originale : le 22 novembre, trois jours plus tôt, 200 lycéens et enseignants de Chérioux (Vitry-sur-Seine, 94) se sont mobilisés pour deux élèves qui avaient reçu de la préfecture des OQTF (obligation de quitter le territoire français). Réunis en assemblée générale le matin, les élèves et leurs enseignants ont décidé de porter leurs pétitions en préfecture et demandé à être reçus en audience. La délégation est ressortie avec des titres de séjour pour les deux lycéens au titre de la vie privée et familiale.

À Nanterre, en janvier 2012, c’est Vadim, un lycéen moldave de Joliot Curie, qui se voyait régularisé ainsi que sa mère. La mère venait de recevoir une OQTF mais le dossier a été réglé en 24 heures suite – là encore – à la mobilisation de plus de 200 lycéens de Joliot qui se sont rendus, avec leurs enseignants, en manifestation devant la préfecture.

On pourrait évoquer des cas plus extrêmes encore où les mobilisations des lycéennes et lycéens ont permis de faire revenir et régulariser des expulsés : c’est le cas avec la jeune Suzylène, lycéenne du LP Valmy à Colombes. Expulsée en octobre 2006 vers le Cap Vert. Elle a alors 18 ans. Suite à une intense mobilisation, elle reviendra le 3 février suivant. Toujours à
Valmy, en 2010 : Mohamed, marocain de 18 ans ou Taoufik du LP Louis-Girard à Malakoff Il est hors de question que le gouvernement qui avait renoncé aux expulsions de lycéens quand les élèves étaient dans la rue, les reprenne dès que les manifestations cessent.
La loi doit changer, l’interdiction de l’expulsion des scolaires imposée dans les faits par les manifestations lycéennes doit entrer dans les textes et entraîner la régularisation de droit des scolaires et de leurs familles.

RASSEMBLEMENT MERCREDI 11 DÉCEMBRE 13h30
Devant la Préfecture de Nanterre
(RER Nanterre Université ou Nanterre Préfecture

Une liste de lycéens sans-papiers scolarisés dans le 92 sera remise à la Préfecture de Nanterre à cette occasion pour demander leur régularisation
6 décembre 2013

ASTI Colombes, CGT Éduc’action 92, EELV 92, Ensemble 92, FCPE 92, FSU 92, Gauche Citoyenne, LDH 92, MJCF 92, MRAP Nanterre, NPA 92, PCF 92, PG 92, RESF 92, SNES 92, SOLIDAIRES 92, SUD-éducation 92, SUD Poste 92, UEC Nanterre, UL CGT Nanterre, UNL 92…

Mobilisations locales dimanche 7 avril 2012 pour la campagne « droit de vote 2014 »

Après la mobilisation départementale à La Défense le samedi 6 avril,
Dimanche 7 avril: mobilisations locales pour le droit de vote de étrangers dans le 92:

Asnières: marché des 4 routes de 10h à 12h.

Antony: marché d’Antony de 10h à 12h.

Nanterre: marché du centre 10h-12h

Ce soir à 21h sur LCP dans le BBC BondyBlog Café qui a reçu Rachida Dati, sera projeté un reportage fait dans le cadre de cette conférence de presse.

A voir des a présent sur le site du Bondy blog