11 novembre 1917-2017
Le centenaire de 14-18 : le combat de la LDH continue
Le centenaire de la Grande Guerre doit, pour la Ligue des droits de l’Homme,
être l’occasion de réintégrer pleinement dans la mémoire nationale les fusillés pour l’exemple, les mutins de 1917, les volontaires étrangers engagés dans l’armée française et les soldats originaires des colonies.
Dans le prolongement de l’affaire Dreyfus,
la LDH a, dès le lendemain de la Première Guerre mondiale, dénoncé les injustices commises par les tribunaux militaires et obtenu la réhabilitation d’un certain nombre de fusillés pour l’exemple.
La LDH demande au président de la République, Emmanuel Macron,
de marquer ce centenaire par un acte fort vis-à-vis de tous ceux qui n’ont pas encore été réhabilités, qui ont été victimes d’ordres arbitraires et injustes alors qu’ils voulaient, comme l’avait demandé Jaurès, être traités comme des citoyens sous l’uniforme. Leurs noms doivent être tous transcrits sur les monuments aux morts, leurs sépultures doivent être identifiées et dignement traitées, le transfert de leurs restes dans les communes dont ils étaient originaires doit contribuer à leur rendre justice.
Un travail est aussi nécessaire sur des questions insuffisamment connues de la Grande Guerre.
En particulier celle des mutineries de 1917, qui ont affecté les deux tiers des divisions d’infanterie engagées sur le front, et de leur répression dans les bagnes coloniaux, compagnies de discipline et bataillons d’exclus, qui ont concerné des dizaines de milliers de soldats et provoqué beaucoup plus de morts que les fusillés pour l’exemple ; celle des engagés volontaires étrangers européens victimes de traitements brutaux dans des régiments de marche de la Légion étrangère ; celle des soldats coloniaux victimes de recrutements forcés, de promesses non tenues, d’un emploi inconsidéré et d’un quasi-abandon après-guerre ; et celle du recrutement, pour les usines d’armement, de dizaines de milliers d’indigènes coloniaux militarisés qui y ont connu une mortalité très élevée.
Paris, le 9 novembre 2017
Journée nationale de la laïcité
Vivre ensemble dans le principe de laïcité.
Yonnaises, yonnais nous vous donnons rendez-vous
le 9 décembre.
Une proposition portée par la Ligue des Droits de l’Homme.
Vivre ensemble de manière apaisée dans le respect de tous les membres de notre société plurielle.
Parce qu’il existe un arbre de la laïcité à la Roche sur Yon, une journée nationale de la laïcité le 9 décembre et une charte de la laïcité à l’école, La Ligue des Droits de l’Homme vous invite à découvrir, à redécouvrir les 15 articles de la charte de la laïcité lors d’un rassemblement au pied de l’arbre proche de la médiathèque, Place Mazurelle, en présence des enfants invités à lire un des articles de la charte qu’ils auront sélectionné.
Rassemblement place Mazurelle
Le 9 décembre 2017 à 11h.
Rappelons que
La laïcité permet l’exercice de la citoyenneté, en conciliant la liberté de chacun avec l’égalité et la fraternité de tous dans le souci de l’intérêt général.
Situation des migrants : Un rassemblement pour informer.
Lors du rassemblement devant la permanence de la députée, les différentes prises de paroles ont permis d’évoquer toutes les situations dramatiques que traversent les migrants dans le département. La lettre ouverte a été diffusée et une rencontre rapide avec la Députée a eu lieu permettant de fixer un calendrier des prochaines rencontres.
La LDH a lancé un appel à un changement radical de politique migratoire
Le 21 octobre 2017
Un appel à un changement radical de la politique migratoire
Pour la section yonnaise, tous les témoignages de la situation locale ne sont pas une exception sur le territoire français.
Pour dénoncer ces atteintes graves aux droits de tout humain (familles, enfants, mineurs isolés), une mobilisation forte s’impose. Elle doit sensibiliser le plus grand nombre de français non avertis, mal informés que les discours de haine et les politiques du tout sécuritaire rendent xénophobes et même racistes.
Alors trouvons les responsables !
Les préfets ne font qu’appliquer avec plus ou moins d’humanité la politique migratoire française que nous mettons au ban des accusés. Des lois sont votées par les élus. C’est pourquoi nous nous adressons aux parlementaires
Des constats : justice au rabais, état d’urgence permanent, fermeture des frontières, collaboration avec des pays totalitaire ou autoritaires (Soudan, Libye, Turquie, Afghanistan, Algérie), poursuites judiciaires pour les aidants, contrôles au faciès.
Une nouvelle loi pour janvier 2018.
Des pratiques et des motivations évidentes, faire du chiffre migratoire.
Une amplification de la politique du rejet et de l’éloignement dénoncée par l’Observatoire de l’Enfermement des Etrangers.
Un projet de loi qui doit interpeller les parlementaires et que nous dénonçons.
Elargissement des possibilités de contrôle d’identité frontalier dans le projet de loi renforçant la sécurité intérieure et la lutte contre le terrorisme
Situation irrégulière = terrorisme. Rassurons les français tentés par le vote Le Pen.
L’observatoire de l’enfermement des étrangers s’insurge contre cette quête obsessionnelle de l’enfermement des exilés, sur la seule base du caractère irrégulier de leur séjour en France.
Enfermement des étrangers en situation irrégulière, mesure phare du projet de loi relatif à l’immigration
La durée de la rétention administrative passe à 90 jours, voire à 135 jours en cas d’obstruction, G Collomb annonce la création de 200 places en centre de rétention et le renforcement des services des étrangers en préfecture.
La justice dans les tribunaux, pas sur le tarmac !
Les étrangers ne sont pas des justiciables ordinaires. Il s’agit d’une justice dégradée. Le projet de délocalisation d’une annexe du TGI de Bobigny à Roissy est porteur de graves dérives ? Cela revient à mettre en place une justice d’exception pour les seuls étrangers.
Le même projet abandonné, il y a 4 ans, est repris aujourd’hui et l’OEE dont la LDH est membre, dans une lettre ouverte à la ministre de la justice demande de renoncer à la justice de l’aéroport, loin du palais de justice et du regard de la société.
Le projet de loi défendu par Gérard Collomb élargit les possibilités de contrôle d’identité sans motif et hors de la compétence de la justice pour viser principalement les jeunes des quartiers populaires, les étrangers en situation irrégulière et les migrants à la frontière franco-italienne.
Loi sur l’immigration : Macron annonce une « refondation complète »
Dans son discours de rentrée aux préfets, le Président a défini une ligne ferme pour le futur texte, qu’il espère voir adopté début 2018.
Une politique de fermeté en matière d’immigration c’est : « Nous reconduisons beaucoup trop peu », « Nous laissons s’installer des centaines de milliers » de personnes dans un « no man’s land administratif ». Alors accélérons les procédures.
La situation des enfants
Immigration: Une pétition «contre l’enfermement des enfants en rétention» recueille 60.000 signatures.
Déjà en2016, la Cour Européenne des Droits de l’Homme (CEDH) avait condamné la France pour des « pratiques dégradantes » à l’encontre des enfants enfermés en rétention.
Enfants de sans papiers, ils sont les premières victimes des politiques migratoires qui délibérément les privent de leurs droits fondamentaux. Comme ses prédécesseurs, ce gouvernement s’affranchit de toute humanité et du respect de l’intérêt supérieur de l’enfant, plaçant en priorité ce que le ministre de l’intérieur Gérard Collomb appelle le « problème fondamental » que pose la demande d’asile en France, et qu’il assure vouloir résoudre « dans les prochaines semaines.
Autre problème : le cas des mineurs isolés étrangers:
Un mineur isolé étranger (MIE) est un jeune de moins de 18 ans qui n’a pas la nationalité française et se trouve séparé de ses représentants légaux sur le sol français. De sa minorité, découle une incapacité juridique et, de l’absence de représentant légal, une situation d’isolement et un besoin de protection. Il n’existe pas de statut juridique propre aux MIE.
Le gouvernement remet en cause la protection des mineurs vulnérables confiée à l’Aide Sociale à l’Enfance. ( compétence des départements) dans le droit commun de la protection de l’enfance. Ils seraient avant tout des étrangers et non plus des enfants en danger. L’état reprend la gestion des mineurs.
Le Défenseur des Droits, s’oppose à la mise en place d’ un fichier national des mineurs étrangers.
Il refuse le glissement vers un droit spécifique hors du droit commun non conforme aux engagements internationaux.
C’est pourquoi, notre appel est destiné en priorités aux élus, qu’ils prennent conscience de l’impact de ces lois qu’ils défendent, qu’ils votent, toujours nouvelles, toujours plus efficaces dans la répression mais loin des valeurs humanistes que nous voulons prôner. Ils ne peuvent s’affranchir de toute humanité.
Chaque nouvelle loi est le signe d’un recul impensable aux Pays des Droits de l’Homme.
Action de défense des migrants en Vendée
APPEL A UN RASSEMBLEMENT
LANCE PAR 17 ASSOCIATIONS VENDEENNES
Nous vous invitons à vous rassembler nombreux :
SAMEDI 21 OCTOBRE 2017
A partir de 10h30
Place de la Vendée, à la Roche-sur-Yon
Face à la permanence de Mme Gallerneau, députée de la Vendée.
De fait, nous constatons actuellement un durcissement dans le traitement des demandes de régularisation des migrants par la Préfecture de la Vendée. Par ailleurs, l’absence d’étude approfondie des situations et le manque d’attention portée aux familles nous posent question.
Aussi avons-nous décidé de rendre publiques ces situations, concernant des expulsions dans des conditions inacceptables, des décisions entraînant la dislocation de familles ou des refus de renouvellement de titres de séjour qui, jusqu’ici, ne posaient pas de problèmes.
Nous avons également décidé de transmettre à nos députés une lettre ouverte portant à leur connaissance un certain nombre de ces faits dramatiques. Nous leur demanderons d’intervenir auprès de l’administration et de corriger, dans la loi qui sera soumise à leur vote, les dispositions aux conséquences inhumaines.
La CIMADE, 71 bd Aristide Briand, 85000 La Roche sur Yon
LDH-La Roche sur Yon, 8 place Napoléon, 85000 La Roche sur Yon
LDH Noirmoutier Nord Ouest Vendée – Espace Grain de Sel à 85330 Noirmoutier en l’Ile
AMISUV – 24 rue Pierre Fouschier, bât K les Moulins Liot 85200 Fontenay-le-Comte
AMINOV, La Coursaudière, 9, rue de la Cité, 85300 – Challans
AMI-Pouzauges, 12 rue du Vieux Château, 85700 Pouzauges
Echanges et Solidarité, 32, rue du Colonel Taylor,85 600 Montaigu
Comité de vigilance des Herbiers , 31, rue Nationale, 85500 Les Herbiers
Amnesty – Haut-Bocage, rue du Pont-de-la-Ville 85500 Les Herbiers
RESF, (collectifs d’associations créés autour d’une école)
FCPE ,71 Bd Aristide Briand Porte C – RDC – Bureau 021, 85000 La Roche sur Yon
SOS-Famille Emmaüs, 71 bd Aristide Briand, 85000 La Roche sur Yon
TOIT SOLIDAIRE, Maison du Diocèse, 62-64 rue Joffre, BP 249, 85006 La Roche sur Yon
WELCOME Vendée, Pôle Associatif, 71 Boulevard Aristide Briand, 85000 La Roche-sur-Yon
SEL-85, 114 bd d’Angleterre, La Roche sur Yon
ICEM-85, chez Elfie Meunier 1 rue de Beaubraud, Saint Hilaire des Loge
SECOURS CATHOLIQUE -CARITAS FRANCE, 22 rue Aucher, La Roche sur Yon
CONFÉRENCE D’EWA TARTAKOWKY
Conférence d’Ewa Tartakowsky
Les droits de l’Homme en Europe occidentale et dans l’espace post-soviétique
Vendredi 13 octobre 2017, 20h, maison de quartier de la Liberté
Dans le cadre de la semaine culturelle de la maison de quartier de la Liberté, la section yonnaise de la LDH propose une soirée sur la question des droits de l’Homme en Europe Orientale.
Ewa Tartakowsky est ligueuse à la section de Paris 10/11, responsable de la lettre Droits de l’Homme en Europe orientale et dans l’espace post-soviétique et chercheuse au centre Max Weber de Lyon.
Événements de rentrée
Une conférence, une campagne d’adhésion, un concours des Écrits pour la Fraternité.
CONFÉRENCE DE FRANÇOISE DUMONT
19 septembre 20h30, salle des anciennes écuries LRY
La section de La-Roche-sur-Yon accueillera, le mardi 19 septembre, Françoise Dumont, présidente d’honneur de la ligue des droits de l’Homme pour une conférence sur les priorités et les engagements de la LDH.
CAMPAGNE NATIONALE D’ADHÉSION
La ligue des droits de l’Homme lance une campagne nationale d’adhésion.
CONCOURS : ÉCRITS POUR LA FRATERNITÉ
Le thème retenu pour le concours des Écrits pour la Fraternité 2017 est un extrait du poème Le voyageur de Guillaume Apollinaire « Ouvrez cette porte où je frappe en pleurant« .
Pour participer contactez la section yonnaise de la LDH : http://site.ldh-france.org/la-roche-sur-yon/nous-contacter/
Campagne d’adhésion
Les droits de l’Homme c’est comme les licornes, on aimerait que ce soit une réalité, mais c’est pas gagné !
Pour que ça change, rejoignez-nous !
Ne serait-il pas temps de faire des droits le socle d’une stratégie, une ambition qui cherche à construire du collectif, du solidaire où chacun est respecté et impliqué ?
Et si c’était le bon moment pour rejoindre la LDH ? Vous y avez pensé ? Face aux injustices, aux discriminations, aux atteintes aux droits, vous voulez agir ? Vous faire entendre ?
Si on causait ! Un évènement de rentrée
La ligue des droits de l’Homme de La-Roche-sur-Yon propose des rencontres, des temps de parole, d’échange et d’écoute pour vivre notre citoyenneté en portant les valeurs de la République.
Premier rendez-vous : le 2 septembre 2017
Kiosque de la Place Napoléon, de 10h à 13h
Liberté, Égalité, Fraternité et Laïcité sont les piliers du vivre ensemble… en paix !
Notre démarche peut s’adapter à différents publics en rencontrant les animateurs locaux, les partenaires associatifs, le monde éducatif et les citoyens qui souhaitent s’investir.
« Nous devons (ré)apprendre à vivre ensemble »
Nous sommes à votre disposition.
Contacts : ldh.larochesuryon@mail .com
Tél : 07 85 98 48 27
Le concours »écrits pour la fraternité » fait sa rentrée –
Ouvrez-moi cette porte où je frappe en pleurant.
Apollinaire, premier vers du poème Le Voyageur.
Un message quand , certains deviendront des réfugiés.
Depuis l’été 2015, des milliers d’hommes, de femmes et d’enfants frappent aux portes de l’Europe. On les appelle les migrants, ils ont fui leurs pays au péril de leur vie, en raison des conflits, de la guerre et aussi de la misère.
Mais aussi un concours pour la rentrée.
La rentrée scolaire est l’occasion pour la LDH de lancer la 26ème édition du concours
» Ecrits pour la fraternité « 2017-2018.
Le respect du thème est primordial :
Il s’agit de s’exprimer sur le thème de l’hospitalité. Les enfants sont invités à présenter des oeuvres écrites sous forme de textes en prose ou en vers, scènes de théâtre, textes de chanson etc … où « autres oeuvres » sous la forme de vidéos, objets graphiques, musique et chansons ) n’hésitez pas à illustrer les textes.
Ce 26 ème concours s’inspire du vers d’Apollinaire :« Ouvrez-moi cette porte où je frappe en pleurant » tiré du poème Le Voyageur.
Organisation à la Roche sur Yon.
La section yonnaise invite les enseignants et éducateurs à s’emparer du projet.
Ce concours organisé par la Ligue des Droits de l’Homme France, dès la rentrée 2017, sera relayé par les ligueurs yonnais qui apporteront leur soutien en répondant aux éventuelles invitations de rencontres avec les élèves.
Comment participer ?
Ce concours s’adresse aux scolaires de la maternelle au lycée , aux établissements spécialisés, aux centres de loisirs et aux individuels.
Dates à retenir.
1er avril 2018: envoi des oeuvres en joignant la fiche de participation, dûment remplie, aux représentants locaux de la section LDH de la Roche sur Yon, ou se tiendra le jury local. (Jury local, section de la LDH,: Galerie Bonaparte, 8 place Napoléon)
22 avril: envoi, par la section, des oeuvres sélectionnées.
juin 2018 : remise des prix nationale , à Paris.
Vous pouvez retrouver toutes ces informations dans la plaquette de présentation et télécharger les fiches d’inscription sur le site .
lien possible : https://www.ldh-france.org/sujet/concours-ecrits-pour-la-fraternite/
Le droit à l’éducation pour tous.
La rentrée, c’est dans un peu plus d’un mois.
L’accès à l’éducation pour tous, partout sur le territoire de la République est toujours dans l’attente de décisions des élus, de l’administration.
Notre implication dans le Carrefour de l’Action Laïque est plus que jamais nécessaire pour que les discours sur le principe de laïcité garant de l’égalité se concrétisent aussi sur le territoire vendéen.
Pendant la campagne des législatives,
nous avons interpelé les candidats :
Huit ont répondu en exprimant leur attachement au principe de « laïcité ». L’un insiste sur le « soutien pour l’enseignement public dans tous les territoires », « la lutte pour des taux d’encadrement plus favorables notamment en milieu rural ». Si « le respect de l’équité entre les écoles et entre les communes » est revendiqué dans un courrier, un autre affirme clairement que « l’argent public doit aller au service public, garant de la laïcité », et en appelle à « des combats communs ». On lit également, justifiant une « inquiétude », qu’« une offensive de l’enseignement privé est trop souvent soutenue et toujours bien écoutée par nos élus. »
Aujourd’hui, les parlementaires élus ne répondent pas à nos demandes de rencontres.
Dans l’édition du journal Ouest France, du mardi 1er août, les initiatives de la communauté de communes des Achards appellent le Carrefour d’Action Laïque à réagir.
Le Carrefour d’Action Laïque sera vigilant sur l’évolution de ce dossier.
Pour la Ligue des Droits de l’Homme, il est indispensable que le service public de l’éducation nationale soit préservé en milieu rural : La carte scolaire doit rester compétence communale. Le droit de l’enfant doit être respecté, les familles doivent bénéficier d’un service public de proximité. A défaut d’école publique dans une commune (ex Martinet), le Maire ne peut s’opposer à toute demande de compensations financières envoyées par la commune d’accueil en respect de la loi républicaine. Le Préfet peut exiger à l’inscription au budget de la CCPA, la contribution basée sur le coût moyen d’un élève de l’école publique en Vendée. A ce sujet on peut s’étonner des différences d’une commune à une autre. L’imposture réside dans l’argument fallacieux entretenu par les tenants de l’école privée et les élus qui les soutiennent, qu’au nom de l’égalité de traitement de tous les enfants, un subventionnement public s’impose, en s’exonérant en même temps, des obligations imposées au service public, et en revendiquant son caractère propre.
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