Défendre la liberté d’expression – Lettre ouverte aux présidences des universités de Montpellier

Depuis l’appel à l’interdiction systématique des « manifestations pro-palestiniennes », lancé par Gérald Darmanin à l’automne 2023, les voix qui contestent l’intervention militaire israélienne menée depuis sept mois à Gaza sont de plus en plus souvent sanctionnées. Une conception ouverte et équilibrée de la liberté d’expression est pourtant fondamentale dans une démocratie.

Jeudi 25 avril 2024, le Comité universitaire de soutien à la Palestine de Montpellier avait prévu d’organiser à l’université Paul-Valéry une conférence, intitulée « Les liens entre la lutte palestinienne et les autres luttes arabes » et animée par Joseph Daher, enseignant à l’Institut universitaire européen de Florence et spécialiste des pays arabes.  Elle n’a pas pu se tenir, la direction de l’université ayant refusé de lui octroyer une salle, « compte tenu du risque d’escalade militaire au Proche-Orient et des mesures de grande vigilance qui sont demandées aux établissements publics dans ce contexte ». Il y a un mois déjà, le 25 mars, une conférence de Pierre Stambul, co-président de l’Union juive française pour la paix était censurée par la présidence de l’université de Montpellier « en raison des propos qui pourraient y être tenus et provoquer des troubles à l’ordre public ». Le 14 février, la police et la gendarmerie intervenaient sur le marché de Clermont-l’Hérault pour demander à un maraîcher de retirer les t-shirts de soutien à la cause palestinienne affichés sur son stand.

La section de Montpellier de la Ligue droits de l’Homme alerte l’ensemble des acteurs institutionnels locaux et l’opinion publique sur les atteintes portées au respect du droit fondamental qu’est la liberté d’expression par ces interdictions et intimidations, et les risques qu’elles font peser sur le débat citoyen et démocratique. Ces faits locaux s’inscrivent malheureusement dans un contexte national d’ « interprétations extensives et aléatoires du délit d’apologie du terrorisme et de la notion d’ordre public, ayant pour objet ou pour effet d’intimider lourdement des militants associatifs, syndicaux ou politiques », comme le dénonce une tribune collective du 25 avril 2024 signée par le président national de la LDH.

Campagne locale contre la vidéosurveillance

Technopolice Montpellier, dont la LDH fait partie, a lancé en mars la campagne locale autour des recours contentieux contre la vidéosurveillance à Montpellier et Sète. Cela s’est traduit par l’annonce simultanée du dépôt des recours devant le tribunal administratif de Montpellier et de l’organisation d’un évènement sur la vidéosurveillance, qui s’est tenu samedi 16 mars au Quartier généreux.

Habitantes et habitants de Montpellier et Sète peuvent rejoindre les recours engagés en tant que parties intervenantes à l’audience. Il leur faut pour cela remplir le formulaire en ligne et transmettre leurs justificatifs d’identité et de domicile à Technopolice (technopolice-montpellier@riseup.net)

Cette initiative a bénéficié d’une importante couverture médiatique, à découvrir en parcourant la revue de presse.

Projection du documentaire Des Gouts de lutte

Des Goûts de lutte, réalisé par Emmanuelle Reungoat et Pierre-Olivier Gaumin, suit les trajectoires de Gilet jaunes pendant cinq ans. Leurs parcours, personnel et collectif, permet d’examiner, plus largement, les lieux de politisation et la forme des conflits sociaux, avec l’éclairage d’une historienne et d’une sociologue. La première aura lieu à Montpellier le 30 avril, en partenariat avec la LDH, et sera suivie d’un débat animé par Cécile Hautefeuille, journaliste à Médiapart.

>> Mardi 30 avril, 18h30, au cinéma Diagonal (5 rue de Verdun)

Rien que l’égalité, mais toute l’égalité !

Le 8 mars est l’occasion de rappeler que seules les luttes font reculer les inégalités de genre. À Montpellier, une manifestation partira à 14h30 de place de la Comédie.

Le combat pour l’égalité est loin d’être fini. Nos sociétés, française comprise, restent porteuses dans les rapports sociaux, le langage et les pratiques quotidiennes, de l’héritage millénaire d’une vision patriarcale et genrée des rôles masculins et féminins. Partout, dans tous les milieux, des femmes continuent d’être confrontées à des injustices et à des discriminations, à subir des violences, à ne pas être traitées à l’égal de l’homme au sein de leur famille et dans l’emploi, à ne pas avoir le même accès aux ressources naturelles et économiques, aux fonctions de pouvoir. De tels constats n’empêchent pourtant pas certains courants conservateurs, le plus souvent proches de l’extrême droite, de continuer leurs croisades pour faire obstacle à toute avancée en matière d’égalité femmes-hommes.

En ce qui concerne les violences sexuelles et sexistes, les derniers mois resteront incontestablement marqués par l’impact du mouvement #Metoo et la façon dont celui-ci a mis en lumière les violences physiques et psychiques dont des femmes, des jeunes filles, parfois même des fillettes, ont pu faire l’objet. La LDH (Ligue des droits de l’Homme) salue le courage de toutes celles qui se sont élevées pour dénoncer l’omerta dont leurs agresseurs ont trop souvent bénéficié. L’ampleur du phénomène montre que seule une mobilisation de la société tout entière permettra que le corps des femmes cesse d’être maltraité, nié, exploité. L’école et l’ensemble des structures éducatives et sociales ont un rôle essentiel à jouer. Ce sont la prévention et l’éducation dès le plus jeune âge qui sont les meilleurs atouts pour changer les choses. Il faut en particulier promouvoir et rendre effectives la Convention sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes (Cedef ou Cedaw) adoptée en 1979 et la Convention n° 210 du Conseil de l’Europe sur la prévention et la lutte contre la violence à l’égard des femmes et la violence domestique, dite Convention d’Istanbul, adoptée en 2011.

De même, il faut que l’ensemble des droits qui, en France, permettent l’égalité entre les femmes et les hommes soient rendus effectifs. Il est inadmissible qu’aujourd’hui encore les inégalités salariales persistent, que les femmes soient massivement présentes dans les secteurs les moins rémunérés, constituent la majorité des travailleuses à temps partiel et pauvres. Il revient aux pouvoirs publics de veiller à ce que les lois garantissant l’égalité professionnelle soient réellement appliquées et de conditionner, à cet effet, les aides publiques aux entreprises à un comportement vertueux en matière d’égalité.

Au moment où l’avortement est menacé dans de nombreux pays, y compris parmi les plus riches ou ceux qui se revendiquent comme des démocraties, la LDH se félicite de voir inscrite dans la Constitution la garantie de la liberté de recourir à l’avortement. Elle estime toutefois que cela implique nécessairement l’octroi de moyens ad hoc pour permettre à toutes les femmes qui le souhaitent d’avoir accès à l’IVG.

Parce qu’elle défend une société mixte dans laquelle les femmes et les hommes sont libres et égaux en droits et que ceux-ci sont indivisibles et universels, quel que soit le genre, la LDH appelle ses adhérentes et adhérents à participer massivement aux différentes initiatives qui auront lieu le 8 mars.

Violences policières : parce que l’État le veut bien

Arié Alimi, membre du bureau national de la Ligue des droits de l’Homme, a animé jeudi 1er février à la Carmagnole, à Montpellier, une discussion sur les violences policières.

L’avocat Arié Alimi défend depuis vingt ans un grand nombre de victimes et de familles de victimes, les accompagnant dans leur combat quotidien pour obtenir la vérité et la justice. Jeudi 1er février, il a partagé ses réflexions, étayées par son expérience, devant une salle comble. Plus de 70 personnes ont participé à cette conférence-dialogue qui a permis de mieux comprendre les racines et les ressorts des violences policières.

Contre la loi Asile et immigration : la mobilisation continue !

Relayant l’appel lancé au président de la République par 201 personnalités pour qu’il ne promulgue pas la loi Asile et immigration votée par le parlement en décembre 2023, une vingtaine d’organisations montpelliéraines, dont la LDH, appellent à marcher pour la liberté, l’égalité et la fraternité dimanche 21 janvier. Retrouvons-nous sous nos drapeaux à 14h30 place Albert 1er  !

Pour poursuivre votre réflexion et affûter vos arguments, vous pouvez utilement réécouter l’émission « Quoi de neuf » de Divergences FM à laquelle a participé Sophie Mazas, président de la Fédération LDH de l’Hérault, lundi 15 janvier et lire l’article qui y est associé.

Action « Bloque Ton Périph » des 14 et 15/10/2023

La section de Montpellier était signataire de l’appel à mobilisation. Récit de SOS Oulala

K. Mesquida, C.Delga, M.Delafosse, Clement Beaune nient les changements climatiques. Jusqu’à quand ? Lors de l’action « Bloque Ton Périph » à Montpellier du 14 et 15 octobre 2023 – une des 10 actions de l’automne de LaDerouteDesRoutes – près de deux mille personnes se sont mobilisées sur deux jours pour stopper le bétonnage de nos terres et pour dire #NonAuLIEN et Oui au #MoratoireRoutes. Voir notre vidéo des deux jours de l’Evénement BTP (3 minutes). Voir aussi nos premières images dans actualités  Vélorution et Tribune Les deux jours ont été rythmés par tribunes, assemblées des luttes, manifestations, actions de défense de la garrigue, batucada, vélorution, concerts, parade carnavalesque pour dénoncer les mensonges politiques. Durant ce week-end, les énergies ont fusé. Aucun débordement, aucune violence. Quelque chose de fort circule. Aux côtés des actions bambinerie, espaces détente, cantines, buvettes et concerts ont offert un accueil chaleureux. L’arrivée de la vélorution depuis Montpellier ouvre le week-end « Bloque Ton Périph ».  La Tribune de la Déroute des Routes (vidéo d’une heure 20)donne le ton : sous le chapiteau, les collectifs de Rouen, Castres-Toulouse, Haute Loire et Montpellier témoignent : impacts des routes sur la biodiversité, métropolisation galopante et maîtres-mots politiques des autorités territoriales. Ces derniers justifient systématiquement les routes. Désenclavement, fluidification et développement économique sont des arguments de marketing conçus pour brader terres et vivant. De fait, les projets routiers ne sont pas pensés pour servir les gens. « Ils sont pensés pour mailler le territoire au profit du transport de marchandises, des camions et des entrepôts. Cela se retrouve à Rouen, Toulouse, Montpellier, Arles également où le projet routier est lié au développement du port de Marseille et de l’expansion Marseille Fos Lyon. A Rouen, la politique fluviale suit la même logique d’accroissement permanent et de compétitivité entre les villes. Bloquer le chantier d’une route, c’est bloquer tout le processus de l’urbanisation en amont. » (La Déroute des Routes, 2023 ;extrait de la vidéo).   « Nous sommes la garrigue qui se défend » Aux chants de « Plus de loutres, moins de routes », « Nous sommes, nous sommes, la garrigue qui se défend, Bloque ton périph », « Combien d’hectares de saccagées pour des minutes de gagnées« , près de mille personnes ont défilé derrière la bannière « Le LIEN, en route vers la crise climatique » et derrière une mente religieuse de trois mètres de haut installée dans un vélo cargo.   Ensemble, individus, militants et collectifs prennent la départementale pendant deux kilomètres pour se rendre sur le tracé du LIEN encore intact à ce jour. Quatre cortèges – lézard ocellé, pélobate cultripède, pipistrelle de Nahtusius et glaïeuls douteux – se forment de nouvelles alliances pour armer la garrigue. Voyez tous les détails de chaque opération en suivant le fil tweeter des Naturalistes des terres.  Un muret en pierre sèche est construit pour abriter les lézards, une mare d’argile est creusée pour abriter les grenouilles, un filin est tendu entre les arbres situés sur le tracé afin de préserver l’abri des chauve-souris endormies et menacées de réveil et de mort par les abattages du chantier.  Enfin, un champ de glaïeuls douteux en papiers crépons de couleur rappelle que cette espèce protégée est sous-estimée par le Département : près de 500 pieds de glaïeuls douteux ont été recensés sur le tracé du LIEN ce printemps 2023. On est loin des 20 pieds comptabilisés par le Département. Le recours juridique sur la dérogation aux espèces protégées est d’actualité. Un appel est en cours.   Greenwashing du Département et de la Métropole Un hérisson géant suivi de deux cent personnes quitte le camp et avance sur les remblais et rochers excavés du chantier du LIEN. La colline est éventrée, la biodiversité raclée, la forêt coupée en deux. Cette route n’est pas écologique. Elle augmente le volume de trafic, la pollution et les émissions de GES. Elle imperméabilise les sols, menace les nappes phréatiques etc. Les coquilles d’huitres des enrobés promus par le département de l’Hérault ne changent rien à l’affaire. Le bitume du LIEN, ses échangeurs constituent un barreau infranchissable. Pour marquer cette imposture, les militants ont laissé sur le haut des remblais bien visibles depuis la départementale le hérisson géant, des coquilles d’huitres et une banderole « Une route écolo, c’est comme une huître à vélo, ça n’existe pas »ça n’existe pas ».  Les bulldozers se chargent d’écraser le dernier hérisson géant de l’Hérault dès le lendemain matin mais notre détermination est intacte : K. Mesquida a l’habitude d’étouffer les avis citoyens et scientifiques. Lors de la consultation publique de 2022, le président du Département cite les chiffres de 2014 . Accroché au passé, il efface 80% de personnes défavorables à l’avis du Département, mais favorables à l’avis de la Mission Régionale d’Autorité environnementale . Cette dernière est particulièrement critique et « considère que le dossier présente une grande incertitude sur les conséquences du projet sur l’extension de la périurbanisation, sans faire état d’actions ou de décisions concertées permettant d’éviter que ce projet devienne un facteur de développement urbain mal maîtrisé et induise une consommation d’espaces ayant des incidences environnementales ». (MRAe, 2021).  « Bloque Ton Périph » dénonce la métropolisation galopante L’appel du collectif « Bloque Ton Périph » et de la coalition La Déroute des Routes, vise à empêcher la reprise des travaux sur les 8 km de route encore non construites entre Grabels et le plateau de Bel Air. Bloquer la connexion à l’autoroute A750, c’est bloquer l’urbanisation et la métropolisation dévorante à venir. Le projet routier du LIEN, « cheval de Troie de la Métropole de Montpellier » va à l’encontre des engagements « Zéro artificialisation nette » et « zéro carbone ».  Avec le contournement de Montpellier, les choix politiques de la Métropole, du Département de l’Hérault se matérialisent : les territoires sont mis en scène pour attirer les grands groupes économiques afin de stimuler une croissance extractiviste sans limites. Paysages, sols et habitants sont vendus au plus offrant. Les ressources naturelles sont englouties. L’échangeur de Saint-Gély-du Fesc desservira bientôt les Pics Studio, studios de tournage conduits par les grands groupes CGL et SMAG. L’aberration est écologique et sociale: la route détruit le vivant, et éloigne, toujours plus, des pans entiers de la population de leurs lieux de travail. L’accès aux logements abordables se situe en périphérie et contraint les habitants à une mobilité automobile forcée. A l’heure où déjà 13,3 millions de personnes subissent une précarité de mobilité les longs trajets obligatoires, coûteux en temps, en argent et en énergie n’offrent aucune alternative. Pas de transports en commun, pas de déplacements du quotidien pour les périphéries des métropoles. Construire le LIEN c’est aller à contre sens de l’histoire.  Appel à mobilisation Le silence, les mensonges politiques, les usurpations écologiques vendent les territoires et leurs habitants à la prédation foncière. L’opération « Bloque Ton Périph » est là pour le rappeler : l’heure est à la réduction du trafic, à la baisse des émissions de GES, à la préservation des sols, des écosystèmes et du climat. Penser des formes d’organisation collective sous forme de solidarités est un enjeu social et écologique impératif. « Les routes sont un objet politique à déconstruire » (La Déroute des Routes, 2023).  Le combat se poursuit avec l’appel à mobilisation national le 21 et 22 octobre, RDV est donné à Castres Toulouse pour la lutte contre l’A69. Cette date est le point culminant de la Saison de la Déroute des Routes. L’heure n’est pas à une négociation au cas par cas, mais à un #moratoireroutes national pour une réflexion systémique sur la politique du tout-routier et ses alternatives ! La Déroute des routes, le Réseau Action Climat, la Fédération des Usagers de la Bicyclette, France Nature Environnement, Les Amis de la Terre, Greenpeace, Agir pour l’Environnement et le Groupement National de Sauvetage des Arbres ont lancé l’appel national il y a une semaine.  Signataires de l’appel à mobilisation BTP Alternatiba Montpellier, Extinction Rébellion Montpellier, SOS Oulala, Gauche écosocialiste 34, Comité local des Soulèvements de la Terre Montpellier, UCL Montpellier, CNT 34, ESS, Solidaires 34, NPA 34, Solidaires étudiant-e-s Montpellier, Sud éducation 34, LFI 34, LDH MTP, Attac-MTP, Groupe local GreenPeace, la Carmagnole. Présents à l’assemblée des luttes, aux stands et activités BTP La Voie est Libre, l’A69 de Castres-Toulouse, la lutte des Sucs contre la RN88, le collectif Caveyrac-Vaunages contre le contournement de Nîmes, l’Axe Vert de la Ramée de Toulouse, le collectif Autre COM Montpellier, l’association Vélocités Montpellier, l’association Mosson Coulée Verte, la LPO Occitanie, le collectif de Malbosc, la déviation de Prades, Eau Secours 34, Arrêt du Nucléaire 34, Atterrissons d’urgence, la LPO, AESAE, AntiRep MTP, le comité Nîmois de soutien aux soulèvements de la terre, les Naturalistes des Terres et Terres de Luttes.  Nous ont également rejoint Sébastien Rome et Nathalie Oziol, députés de l’Hérault, René Revol maire de Grabels, signataires du moratoire de la Déroute des Routes. La lutte continue. #NoMacadam#LaDerouteDesRoutes BloqueTon Périph SOS Oulala  Revue de Presse 

  • Metropolitan, 13/10/2023 : Montpellier, Sos Oulala annonce l’opération Bloque Ton Périph France Blleu, 14/10/2023 : Environ 500 personnes rassemblées à Combaillaux pour dire non au LIEN Midi-Libre, 14/10/203 : Epaulé par la Déroute des Routes Sos Oulala s’oppose toujours au LIEN au Nord de Montpellie La Gazette, 15/10/2023 : Nord de Montpellier : Un millier de personnes rassemblées contre la fin de construction du LIEN Rapports de Force, 15/10/2023 : A Montpellier, « Bloque Ton Périph » réclame un moratoire du LIEN, un projet vieux de 35 ans. Le Poing, 15/10/2023 : Bloque ton Périph, Jour 1 : « Nous sommes la garrigue qui se défend » Le Poing, 16/10/2023 : Bloque ton Périph, Jour 2 : un carnaval contre l’échangeur autoroutier du LIEN Contact
  • : sos_oulala@protonmail.com             Site web : https://www.sosoulala.org  

    Actualités du site 

    COMBAT ET HERITAGE DE JEAN MOULIN FACE A L’EXTREME-DROITE

    Conférence-débat organisée par la Ligue des droits de l’Homme en partenariat avec la Faculté de droit et de science politique de Montpellier

    Vendredi 20 octobre 2023 – 17h à 20h

    Faculté de droit et de science politique – Amphithéâtre Jean Moulin – Rue Cardinal de Cabrières

    Sur inscription seulement : jeanjacques.gandini@orange.fr

    Programme ci-dessous:

    Conférence Combat et héritage de Jean Moulin face à l’extrême droite .