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Une série d’article de Corinne Baret.
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Une série d’article de Corinne Baret.
Pendant plusieurs semaines, des avocats du SAF et des militants de la LDH notamment ont suivi la mise en place de ce dispositif et ont pu en dénoncer les dysfonctionnements à Nancy.
Brigitte Jeannot revient sur la suspension obtenue de « haute lutte » par un médiateur à Montreuil qui devrait écouter les parties impliquées dans ce « bras de fer ».
Depuis plusieurs semaines, les avocats se battent contre ce dispositif à Nancy, Lyon, Montreuil.
Des observateurs de la section de la LDH de Nancy ainsi que d’autres associations (Cimade, Amnesty, RESF, États Généraux des Migrations…, Sud Éducation) sont présents en tant qu’observateurs.
Un article du canard enchaîné relatait la visioconférence et deux avis « contradictoire » du Conseil Constitutionnel, le 21 mars et plus lointain.
Ce qui est retoqué, et on peut s’en réjouir, pour défendre le droit des détenus, ne l’est pas pour les étrangers à la C N D A.
Communiqué :
Q P C : question prioritaire de constitutionnalité concernant les tests osseux le 14 mars 2019.
Le Conseil Constitutionnel donnera son avis le 21 mars.
On notera la plaidoirie de Brigitte Jeannot, avocate qui plaide au nom de l’ADDE. (Association pour la défense des droits des étrangers.)
Birgitte Jeannot est adhérente de la section de Nancy de la Ligue des Droits de l’Homme.