C’est sur le thème d’un monde nouveau, respectueux des droits, des libertés, de l’égalité et de la solidarité que nous proposons aux enfants et aux jeunes de s’exprimer pour cette 30e édition du concours. A partir d’une citation de Victor Hugo dans Les Misérables, on pourra analyser la période que l’on vient de vivre et se projeter dans un avenir différent, celui dont nous rêvons toutes et tous :« Rien n’est tel que le rêve, pour engendrer l’avenir ». Aux enseignants : Pour inscrire votre classe, nous adresser un courriel à notre adresse saintdenis-reunion@ldh-france.org
– Prenez connaissance de la plaquette de présentation de l’édition de cette année et diffusez l’information autour de vous.- Commandez dès maintenant des plaquettes de présentation papiers en envoyant votre adresse postale et la quantité souhaitée à clotilde.julien@ldh-france.org afin de les distribuer localement.- Rendez-vous sur le site de la LDH pour télécharger les fiches, la plaquette et l’affiche du concours.- Si vous participez pour la première fois, consultez le vade-mecum qui vous donnera des pistes pour mener à bien ce projet en section (il existe également un vade-mecum à destination des enseignants dans le cas où la section locale ne participerait pas au concours).– N’hésitez pas à commander à la boutique en ligne des plaquettes « Les actions de la LDH auprès des jeunes » : laboutique@ldh-france.org
Pour qui ?Le concours « Écrits pour la fraternité » s’adresse aux enfants et aux jeunes des classes de grande section de maternelle, de primaire, de collège, de lycée, d’établissement spécialisé, mais aussi aux centres de loisirs et aux individuels.Les sections et fédérations de la LDH travaillent localement avec les enseignants et éducateurs. Ainsi, chaque année, des établissements scolaires, instituts médicaux spécialisés, associations, centres de loisirs, conseils municipaux des jeunes… proposent de relever ce pari à de jeunes poètes en herbe.Comment ?Le respect du thème est primordial mais les œuvres, individuelles ou collectives, peuvent prendre plusieurs formes : textes en prose ou en vers, scènes de théâtre, textes de chanson, chansons en musique, œuvres vidéographiques, objets et œuvres graphiques, qui sont réparties en plusieurs catégories d’âges ou d’établissements ;Concernant les échéances :— pour les sections, n’oubliez pas d’envoyer au plus tôt vosfiches d’inscription. Celles-ci nous permettent d’évaluer la participation au concours et d’établir un fichier de contacts préalables ;— les participants ont jusqu’au 1er avril 2022 pour envoyer leurs œuvres aux représentants locaux de la LDH (sections) avec les fiches de participation rattachées à chaque œuvre ;— toutes les œuvres primées localement par les sections devront nous parvenir au siège impérativement avant le 22 avril 2022. Nous devons laisser le temps nécessaire aux membres du jury national d’examiner les œuvres avec attention.La réunion du jury se tiendra en mai 2022 et la cérémonie de remise des prix aura lieu en juin.
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Communiqué de la Ligue des Droits de l’Homme de la Réunion sur la gestion de la crise sanitaire.
La LDH à la Réunion, inquiète de la gestion verticale de la crise sanitaire et préoccupée par les bouleversements des droits humains qui en découlent, réaffirme la nécessité de veiller au respect des droits fondamentaux de chacun.
En effet, le passe sanitaire, devenu notre sauf conduit nécessaire pour tous les actes quotidiens, menace notre droit fondamental à la mobilité et notre libre accès aux services culturels et commerciaux. De facto, il discrimine deux catégories de personnes, fracturant davantage la cohésion sociale déjà éprouvée par la pandémie.
De même, du fait d’un cadre légal prêtant aux interprétations multiples et de l’absence d’une pédagogie adaptée à notre société où l’illettrisme touche 21% des adultes, la gestion de la crise génère une défiance, laissant le champ libre aux fake news. Elle accentue le climat anxiogène née de la pandémie et aggrave la crise sociale déjà éprouvée durement. Allons-nous vers une société où la peur de perdre son emploi ou d’être exclus motivent les choix de vie et les choix politiques ?
En outre, le contrôle de la mobilité des citoyens par des agents non assermentés déroge aux règles de notre état de droit. La pandémie offre ainsi l’opportunité d’expérimenter à grande échelle la délégation d’une compétence régalienne à des sociétés privées, en gestation dans la loi pour une sécurité globale préservant les libertés (2021LOI n° 2021-646). Faute d’un cadre réglementaire et d’un cahier des charges, nous sommes en droit de craindre les abus de pouvoir.
L’utilisation de la peur en lieu et place d’une pédagogie visant à convaincre afin de susciter l’adhésion éclairée de chacun d’entre nous, pose question et nous inquiète. Nous sommes par ailleurs préoccupés par la généralisation à bas bruit d’une société de contrôle et pire d’une société d’inclus et d’exclus.
Dans ce climat marqué par cette crise multiforme, il n’est pour la LDH, qu’un seul objectif : celui de la défense globale et inconditionnelle des Droits et des Libertés partout et pour tous.
Le Bureau de la LDH
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Au niveau national : 4 œuvres de la Réunion primées
Au niveau local : 13 classes primées; 9 œuvres collectives ; 17 œuvres individuelles.
Au niveau national
Travaux individuels
Catégorie 3 – 6e/5e
2e prix ex aequo : Ma fleur de cœur, Valentin Willaume Ponce, collège Jean- Albany, professeure : Christine Bacque – LDH La Réunion
3e prix ex aequo : Mon arbre m’a dit, Théo Augustin, collège Jean-Albany, professeure : Christine Bacque – LDH La Réunion
Travaux Collectifs
Catégorie 4 – 4e/3e
3e prix : Recueil de poèmes Ode à la nature, classe de 3e, collège Cambuston, professeure : Dania Leocadie – LDH La Réunion
Catégorie 5 – Lycées et formations professionnelles
2e prix : Soupirs poétiques, Maya Telliez et Mathilde Lafage, lycée Saint-Exupéry, professeur : Patrick Janc – LDH La Réunion
Depuis 1991… Catégories ; œuvres collectives ou individuelles ;
Chaque année, des élèves de tous âges démontrent une vraie ouverture d’esprit, une réelle sensibilité et une grande créativité en participant au concours des «Écrits pour la fraternité». Les thèmes sont variés et souvent en lien avec l’actualité, ils ont porté dernièrement sur la citoyenneté, la paix, la solidarité, l’égalité ou encore, en 2019-2020, sur la liberté autour de la phrase de Thucydide «Il faut choisir : se reposer ou être libre». Grâce à l’engagement et au dynamisme des acteurs locaux de la Ligue des droits de l’Homme et de nombreux enseignants et animateurs, ce sont, chaque édition, entre 2000 et 5 000 jeunes qui prennent part à cette belle initiative qui permet d’enrichir notre réflexion sur des thèmes majeurs des droits de l’Homme.
– Le thème 2020-2021:
D’après un proverbe africain cité par Antoine de Saint-Exupéry dans Terre des hommes : « Nous n’héritons pas de la terre de nos ancêtres, nous l’empruntons à nos enfants. » Un thème sur la protection de l’environnement en lien avec les droits de l’Homme
– La participation :
16 établissements à la Réunion. Environ 200 élèves
– le Jury national ; le Jury local
Groupe Éducation LDH ; Mme Elisabeth ARDON (SREPEN) ; Mme Dominique DAMBREVILLE ( Centre de lecture du Brûlé)
Partenariat : Réunion des livres ; Solidarité laïque.
Au niveau local
13 classes primées
9 œuvres collectives ; 17 œuvres individuelles.
LES PRIX : Remerciements à RÉUNION DES LIVRES
Œuvres COLLECTIVES
– CP Ecole des Jacques Saint-Joseph Affiche « Dans notre Ecole »
– CM2 Ecole Jean Albany La Saline (5 œuvres collectives formant un ensemble d’une même classe : le monde de la pollution, le montre des déchets, le sauveur de la planète, l’histoire du petit Tom, l’histoire de la belle Diana) – CE2 Ecole des Jacques Saint Joseph Recueil de poésies « Fraternité » (textes et images) – CM2 Ecole des Camélias, Saint-Denis, Suspension Bois et Cordes , images et vidéo « Le monde sur une corde raide » – CM1 Ecole SARDA, Saint-Louis Affiche et texte « La part du Colibri » – CM2 Medersa Œuvre plastique (carton) « les inégalités du monde »
3ème Collège de Cambuston, Saint-André Recueil de poèmes (texte, images et vidéo) « Ode à la nature , Escapade en forêt » 2ème Lycée Saint Exupéry, Les Avirons Mathilde LAFAGE, Maya TELLIEZ : Vidéo « Soupirs poétiques »
Œuvres INDIVIDUELLES – 5ème Collège Jean Albany La Possession (Poésies) William Ponce VALENTIN « Ma fleur de cœur » ; Auguste THEO « Mon arbre m’a dit » Paul HUGO « Qu’avons-nous fait ? »; Dobaria NOHAM « Les arbres sont comme nous autres » ; Alexia BARBIN « Ecologie quand tu me tiens »; Rachel ANCELLY « Je vous demande » ; Mathéo MALLET « Un homme, une planète »; Melinda CAVANE « A toi, mon ami »; Mathis GERE DENA « Ce qui est funeste »; Dassimatri BOTRA « Regarde »
Classes les ULIS Collège Guy Moquet, Saint-Benoit(Dessins et textes) 6ème : Daniel SAID « Je laisse la terre propre » Majeya PAYET « J’aime ma terre » ; 5ème Samuel JEBANE « La terre est très belle » ; 4ème, 3ème Faharid ABDOU « La Terre offre des plantes qui nous guérissent » Yan PAYET « La terre est magnifique »
– 6ème Lycée Saint Exupéry, Les Avirons (texte); Lora VELLOUPOULE « L’enfant des arbres »
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Partenariats entre la LDH à la Réunion (co-porteuse de Kozensemb)
Le Refuge La Réunion
OriZon
Seul nou sa va pli vite, ensemb nou sa va pli loin ! Alon met’ ensemb pou fait entend’ la voix ban LGBTQIA+ (Lesbienne, Gay, Bisexuel.le, Transgenre, Queer, Intersexe, Asexuel.le et +) !
Merci au équipes du Refuge Réunion et de OriZOn Réunion pour leur confiance et leur soutien .
Avec le concours de la DILCRAH
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– dans un ou deux des groupes de travail au niveau national, en retournant le bulletin d’inscription ci-joint (https://www.ldh-france.org/…/bulletin-inscription…) à l’adresse : direction@ldh-france.org ;
– et dans un ou deux des groupes de travail au plan local, en écrivant à la section locale (saintdenis-reunion@ldh-france.org) ÉDUCATION, DROITS DE L’ENFANT, CULTURE DROITS ÉCONOMIQUES ET SOCIAUX, DÉMOCRATIE, LIBERTÉS LOGEMENT DROITS ET ENVIRONNEMENT SANTÉ, BIOÉTHIQUE LAÏCITÉ DROITS DES ÉTRANGERS FEMMES, GENRE, ÉGALITÉ, LGBTI
PLUS DE SECURITE SOCIALE, PAS DE « SECURITE GLOBALE » 16/01/2021 : Mobilisation à la Réunion contre la loi Sécurité Globale, à Saint-Paul. Avec les syndicats et les partenaires Stop Sécurité Globale dont la LDH à la Réunion, quelques 200 à 300 personnes ont défilé de la médiathèque CIMENDEF à la sous-préfecture pour alerter les Réunionnais sur les dangers de la loi Sécurité Globale.
Voici le Communiqué publié à cette occasion par la LDH Réunion :
ENSEMBLE POUR NOS LIBERTÉS Contre la proposition de loi dite de Sécurité GlobaleSamedi 16 janvier 2021 à Saint-Paul.
Avec d’autres associations et syndicats, la LDH à la Réunion appelle à manifester contre la proposition de loi dite de « Sécurité globale », ce samedi 16 janvier 2021 à Saint-Paul.Présentée par un groupe de députés de la majorité actuelle avec l’aval du Gouvernement, cette proposition de loi (déjà votée en 1ère lecture et en cours d’examen au Parlement), comporte diverses dispositions pouvant porter gravement atteinte à nos libertés fondamentales, notamment au droit de manifester, au droit à la vie privée et à la liberté d’information. Elle menace ainsi notre démocratie, dans un contexte où nombre d’interrogations et de plaintes ont visé dans la dernière période le comportement des forces de l’ordre.La Commission Nationale Consultative des Droits de l’Homme (CNCDH) considère que le fait de passer par une proposition de loi pour présenter ces nouvelles orientations sécuritaires, constitue un détournement de procédure. Cela prive le débat démocratique d’une étude d’impact ainsi que de l’expertise juridique préalable du Conseil d’État, qui sont obligatoires en cas de projet présenté par le gouvernement, ce qui n’est pas le cas pour une proposition de loi émanant de députés. Aucune autre instance qualifiée n’a d’ailleurs été consultée au préalable.La LDH s’oppose à plusieurs articles contenus dans cette proposition de loiContre l’article 24 qui entend interdire la diffusion des images identifiées de policiers à des fins malveillantes les visant personnellement. En réalité il s’agit, en édictant des peines particulièrement lourdes, de dissuader la diffusion d’images prises lors de manifestations ou d’interventions des forces de l’ordre. Une telle disposition fait de tous ceux qui filment l’action des forces de l’ordre des délinquants potentiels, et entravent la capacité des citoyens à contrôler l’action de leur police, ce qui un droit démocratique reconnu.Contre la mesure qui, à titre expérimental, entend transférer à des policiers municipaux, dépendant des seuls élus locaux et non soumis à la même formation que les agents de police judiciaire. des missions de police judiciaire, normalement soumises au contrôle et la surveillance de l’autorité judiciaire.Contre le recrutement d’agents de sécurité privés en leur accordant un statut de protection similaire à celui des agents de la police nationale et en leur autorisant la « palpation » directe dans des périmètres de sécurité, sans habilitation préalable.Contre l’utilisation extensive des « drones » munis de caméras permettant la reconnaissance faciale. Outils intrusifs de surveillance massive et d’intimidation de la population, auxquels les polices municipales pourraient aussi avoir accès. Ces dispositions font peser des risques immédiats et non justifiés sur le respect de la vie privée des citoyens et sur leur liberté de manifester. Elles sont contraires à nos engagements européens comme à nos obligations constitutionnelles, comme l’a souligné la Défenseure des Droits.Pour la LDH, la libre communication des pensées et des opinions est un des droits humains les plus précieux. Tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi (article 12 de la Déclaration de 1789, 19 de la DUDH, et 10 de la CEDH)Enfin, dans ce contexte, le nouveau schéma national du maintien de l’ordre, publié en septembre par le ministère de l’Intérieur, ne laisse pas d’inquiéter également. Ce nouveau texte aura pour effet d’entraver le travail des journalistes et des observateurs indépendants tels que ceux mis en place par des organisations démocratiques dont la LDH.Aujourd’hui, près d’une centaine d’organisations représentant les journalistes et professionnels de la presse et de l’image, des avocats, des magistrats, des défenseurs des libertés publiques et de l’Etat de droit ou encore des victimes de violences policières ont rejoint la coordination à l’origine de cette mobilisationParce que ce projet de loi constitue une réelle menace sur les libertés fondamentales, nous demandons le retrait des articles 21, 22 et 24, ainsi que le retrait du nouveau schéma national du maintien de l’ordre (SNMO).Nous demandons à l’exécutif d’entendre la voix des plus hautes autorités qualifiées, celle de la CNDH et de la Défenseure des Droits, celle des experts de l’ONU et de l’Europe, celles enfin de plus de cent organisations de la société civile, associations et syndicats, qui tous ont émis publiquement les plus sérieuses alertes au sujet des dispositions proposées.Nous appelons tous les Réunionnaises et Réunionnais à prendre de leur temps pour venir manifester leur opposition résolue à ce texte dit de Sécurité Globale. Le bureau de la LDH à la Réunion
Intervention LDH à l’Immeuble Flacourt à Ste Marie, en liaison avec la CNL. La ligue des Droits de l’Homme s’est rendue sur place ce matin. 83 étais posés, des appareils de mesure…. et un immeuble dans un état lamentable….
En France, quatre millions d’habitants n’ont pas de logement ou vivent dans de très mauvaises conditions. C’est le chiffre que donne la Fondation Abbé Pierre dans son dernier rapport annuel. Loin de s’améliorer la situation s’aggrave, dit l’association (janvier 2020) .
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Publication par l’Observatoire de la laïcité publie son rapport annuel 2019-2020. Ce 7e rapport annuel établit un état des lieux précis sur la situation de la laïcité en France .Selon CADENE, dans ce rapport, vous trouverez un état des lieux précis qui,sans se fonder sur l’émotion, n’occulte aucune difficulté. Loin de la course au buzz, vous y trouverez des analyses de fond sur la visibilité et l’expression religieuses. Enfin,des préconisations pour une laïcité en actes.
A l’occasion du 20
Décembre 2020, alors que les contraintes sanitaires actuelles vont réduire les
rassemblements et festivités traditionnelles, la Ligue des Droits de l’Homme à
la Réunion appelle tous les Réunionnaises et Réunionnais, sans distinction
d’origine, de culture ou de conviction religieuse ou philosophique, à retrouver
le sens et la portée de la commémoration de l’Abolition de l’Esclavage dans
notre Île, à savoir : l’esprit d’émancipation !
Nous les appelons, en
ce sens, à s’approprier davantage les outils d’une citoyenneté partagée pour
faire vivre davantage à la Réunion nos libertés et droits humains fondamentaux.
Il apparait en effet
nécessaire aujourd’hui que chacune et chacun puisse s’inscrire, sous diverses
formes, dans les actions civiles collectives visant à promouvoir concrètement,
dans notre société, les valeurs de liberté, d’émancipation et de fraternité
humaine.
Il s’agit notamment
de :
– Contribuer à la
réhabilitation et à la valorisation de nos ascendances africaines et malgaches
et de la figure de l’homme ou de la femme noire ;
– Combattre, dès le
plus jeune âge et au-delà, les préjugés racistes et répondre de manière
appropriée aux diverses idéologies du ressentiment et de la haine de
l’autre ;
– Marquer, au-delà de
nos frontières, une solidarité effective dans la lutte contre l’esclavage
contemporain, alors que l’Organisation internationale du Travail (OIT), estime
à plus de 40 millions dans le monde le nombre de personnes actuellement victimes
du travail forcé ;
– Participer activement
à lever les entraves à la liberté et à l’épanouissement que constituent le
chômage et le mal logement dans notre Île.
– Réhabiliter et
soutenir financièrement, à la hauteurs des besoins, l’éducation populaire
laïque et la lutte contre l’illettrisme, et cela au niveau des écoles, des
centres de vacances, et des divers quartiers et lieux d’apprentissage de la
citoyenneté ;
Oui, pour être fidèles
aujourd’hui aux luttes de nos anciens et à l’esprit de notre 20 DÉSAMN, il nous
faut davantage mobiliser notre citoyenneté et nos ressources culturelles et
intellectuelles locales, pour construire ensemble un développement plus humain
et plus équitable à la Réunion.