« Une heure pour Gaza » : tous les jours

La CNCDH, dont la LDH est membre, appelle la France à amplifier les initiatives visant à mettre un terme à toute restriction délibérée de l’accès à la nourriture à Gaza. La famine comme méthode de guerre est un interdit fondamental.

A Lyon, rejoignez les citoyen.ne.s qui chaque soir de 18 à 19h affichent la demande de cessez le feu à Gaza et d’accès à l’aide humanitaire !

François Audigier : « Cessez-le-feu immédiat et accès de l’aide humanitaire à Gaza »

François Audigier, membre du bureau de la Ligue des droits de l’Homme de Lyon, est l’invité ce mardi de Raphaël Ruffier-Fossoul, dans les Coulisses du Grand Lyon. Chaque jour, un invité qui fait l’actualité de Lyon, son agglomération ou sa région. Politique, société, culture, social : ils passent tous sur le grill dans le studio de LyonMag TV lien .

« Une heure pour Gaza »

En soutien à la population de Gaza, ils se rassemblent tous les soirs à Lyon. Un collectif appelle les lyonnais à se rassembler tous les soirs, depuis mercredi 6 mars, devant l’hôtel de ville, silencieusement, pour appeler à un cessez-le-feu à Gaza.

Face aux drames de la guerre, le silence. Un collectif de citoyens a décidé de se rassembler chaque soir, pour les populations de Gaza, devant l’hôtel de ville de Lyon. Intitulée « 1 heure pour Gaza », la mobilisation a commencé mercredi 6 mars.

Cessez-le-feu

Pour l’instant, ils ne sont que quelques dizaines… Mais ils comptent être présents tous les jours. « Nous sommes un collectif de citoyens de Lyon et de la région lyonnaise. Face à la situation dramatique dans laquelle vit la population de Gaza, nous appelons à des rassemblements silencieux tous les jours », expliquent les organisateurs dans un communiqué. Les manifestants soutiennent deux mots d’ordre : un appel à « un cessez-le-feu immédiat », et « un accès à l’aide humanitaire ».
Suite de l’article de France Info

vidéo BFM

La préfecture aux ordres de qui ?

La conférence de Maître Gilles Devers, déplacée, après son interdiction, de l’Université Lyon2 à la Bourse du Travail, a finalement été interdite par la préfecture.

Dans sa conférence l’avocat international devait caractériser en droit l’action de l’armée israélienne à Gaza.

Ceci alors que la Cour Internationale de Justice des Nations Unies vient de mettre en garde contre un risque de génocide à Gaza.

La fédération du Rhône de la LDH dénonce fermement cette nouvelle atteinte à la liberté d’expression et réaffirme sa participation aux actions pour obtenir un cessez le feu à Gaza.

Conférence Gaza : changement de lieu

Communiqué de la section LDH LyonConfluences

Bonjour,

Nous tenons à vous assurer de notre soutien pour la réussite de cette conférence ce soir à la Bourse du travail. Nous protestons contre cette atteinte grave à la liberté d’expression à laquelle vous devez faire face. Déjà la préfecture avait voulu interdire la conférence de Salah Hamouri en juin 2023. La justice leur avait donné tort !
Pour le bureau LDH Lyon Confluences

La conférence avec Maitre Gilles Devers : CRIF, préfète, université Lyon2 et « référé liberté »

Conférence : A Gaza : Crimes de guerre, crimes contre l’humanité, génocide ? Israël au tribunal

Conférence avec Maitre Gilles Devers, avocat au barreau de Lyon

Jeudi 1er février – 18 h université Lyon 2

Amphi Fugier quai Claude Bernard Tram T1 arrêt « Université ».

Après une injonction du CRIF la préfète enjoint l’université Lyon 2 d’annuler la conférence.

Nous engageons un « référé liberté » afin de préserver la liberté d’expression, la liberté syndicale et universitaire

Une conférence avec maitre Gilles Devers est organisée à la faculté de Lyon 2 ce jeudi 1er février 2024. Une campagne de dénigrement et de menaces est orchestrée par le CRIF (Comité représentatif des institutions juives de France) et relayée par Laurent Wauquiez et l’extrême droite. La préfète, Fabienne Buccio s’est également faite le relais servile des injonctions du CRIF en intimant l’ordre à l’université Lyon 2 d’annuler la conférence arguant d’un soi-disant risque pour la sécurité.

A l’heure où il existe un risque « sérieux de crime de génocide » selon la « Cour Internationale de Justice », à l’heure du désastre et des massacres des populations civiles à Gaza, les soutiens d’Israël tentent de bâillonner toute réflexion et informations juridiques factuelles.

Nous n’acceptons pas ces tentatives visant à bâillonner la liberté d’expression, la liberté syndicale et la liberté universitaire. Le tribunal administratif, saisi en référé liberté, donnera sa décision au dernier moment, soit probablement jeudi 1er février 2024 dans l’après-midi.

Nous invitons toutes les personnes inscrites à suivre attentivement nos réseaux sociaux pour prendre connaissance du résultat de notre recours