Débat « Penser l’anti-racisme » Samedi 10

Débat « Penser l’anti-racisme »
comment trouver des terrains communs
et de nouveaux outils ?

1ere étape d’un processus qui se déploiera sur plusieurs mois :
partager notre compréhension du paysage actuel
afin de dégager un consensus et des regards croisés

A 14h30 au Point Ephémère
200 quai de Valmy 75010
Métro Jaurès

Au programme :

  • Présentation de la problématique avec
    Boudjemaâ Dahmane, président de la section et
    Patrick Simon, socio-démographe à l’INED
  • travail en ateliers
  • restitution des ateliers et conclusion provisoire

DES LOIS et DES HOMMES CINE DROITS

C’était samedi 15 au Majestic avec la LDH… vous l’avez raté… toujours au cinéma

John O’Brien, un pêcheur de la petite île de Bo Finne en Irlande ne savait pas qu’il se lancerait dans une longue croisade quand il a initié avec l’aide d’un groupe d’insulaires, d’experts internationaux et d’ONG, une campagne européenne pour retrouver son droit ancestral de pêcher. Comment aurait-il pu mesurer l’ampleur de la tâche ? Filmé pendant 8 ans, le film raconte comment cet homme s’est lancé tel « David contre Goliath » au cœur de la nouvelle réforme de la pêche commune à Bruxelles pour comprendre et essayer de changer le système qui lui a tout enlevé. C’est l’histoire d’un homme, l’histoire d’une communauté, d’un pays et de toute l’Europe entière.

http://www.film-documentaire.fr/4DACTION/w_fiche_film/44722_1

MARDI 24 NUIT des DEBATS Libertés et technologies de l’information et de la communication

Protection de la vie privée et des libertés collectives face au numérique

Pétition pour le droit de vote des résidents étrangers

SOS Racisme lance, avec plus de 150 acteurs de la société civile, un appel pour la reconnaissance du droit de vote des étrangers (#DDVE) aux élections locales. Responsables associatifs, chercheurs, intellectuels, artistes, élus locaux, ou simples citoyens engagés, ils se mobilisent tous pour l’égalité.
« NOUS N’ATTENDRONS PLUS ! »

Pour signer la pétition : http://sosdroitdevotedesetrangers.wesign.it/fr

11 mai 2012, 17h30 : un rassemblement pour faire libérer Ales Bialiatski !

Vendredi 11 mai à 17h30, sur le parvis de la Mairie du 11e arrondissement, sera inauguré portrait d’Alès Bialiatski, Vice-président de la Fédération internationale des ligues des droits de l’homme (FIDH).

Information sur le site de la mairie.

La FIDH poursuit son action pour obtenir la libération d’Ales Bialiatski, vice-président de la FIDH et président du Centre des droits de l’Homme Viasna. La condamnation d’Ales Biatiatski est une confirmation de la dégradation de la situation des libertés au Belarus

Voilà plus d’un mois qu’Ales Bialiatski a été transféré à la colonie pénitentiaire de Bobrouïsk, où il doit purger le reste de sa peine (4 ans), accusé par les autorités « d’évasion fiscale à grande échelle ». La Cour de Cassation à Minsk a confirmé, le 24 janvier 2012, en son absence, la sentence de 4 ans et demi de prison à régime sévère et la confiscation de ses biens (y compris le bureau de Viasna). Le 22 mars dernier, Ales Bialiatski est sorti de l’isolement où il avait été placé dès son arrivée à Bobrouïsk, pour rejoindre l’unité où il doit effectuer les travaux obligatoires.

La FIDH, avec Viasna et son vice-président Valentin Stefanovitch, compte tenu de l’évidence de la confirmation du jugement en cassation, avait demandé des réactions politiques fortes et des manifestations de solidarité du parlement européen, de la Commission européenne et des délégations des Etats membres. Cette série de rendez-vous a permis, plus largement, de mobiliser les instances européennes sur la situation des droits de l’Homme en Bélarus et en particulier sur la situation des prisonniers politiques et a eu un impact important dans la presse.

En outre, en mars 2012, grâce à cette mobilisation, le Belarus a été inscrit sur la liste des pays en crise, ce qui permet une flexibilité plus grande dans la remise des fonds aux défenseurs. Ainsi, la FIDH peut poursuivre au quotidien des actions de sensibilisation au niveau international afin que des sanctions efficaces soient prises contre le régime de Loukachenko et les personnes qui le mettent en oeuvre.

La situation politique ne cesse de se détériorer au Belarus : de nouvelles législations liberticides ont été adoptées, aggravant la situation des droits de l’Homme, et singulièrement de la société civile et des défenseurs, devenus de véritables otages du régime en même temps qu’il leur est interdit de sortir du pays, comme c’est le cas pour Valentin Stefanovitch, vice-président de Viasna et pour bien d’autres défenseurs locaux.

Enfin dernière signe de l’aggravation de la situation, après que le Belarus exigé le départ de l’ambassadeur polonais et des représentants de l’Union européenne, les pays de l’Union ont décidé le rappel de tous leurs ambassadeurs.

Maintenant que tous les recours judiciaires ont été épuisés, la mobilisation ne doit pas fléchir, afin que Ales Bialiatski, manifestement otage et victime d’une négociation politique avec la communauté internationale, soit libéré par les autorités bélarusses.

La mobilisation doit d’autant plus se développer que le Conseil des droits de l’Homme des Nations unies doit en juin adopter une résolution sur la situation au Belarus. L’heure est donc à faire pression sur les Etats qui ont de l’influence et/ou qui entretiennent des relations particulièrement étroites avec le Belarus.

Deux plaintes concernant Ales Bialiatski ont été déposées avec le soutien de la FIDH – l’une devant le groupe de travail des Nations unies sur la détention arbitraire dans le cadre de l’Observatoire des défenseurs des droits, l’autre auprès du Comité des droits de l’Homme de l’Onu par la famille (l’épouse d’Ales Bialiatski a pu rendre visite à la FIDH à Paris en février) et par la FIDH.

La mobilisation est à faire aussi au quotidien pour accompagner l’équipe de Viasna dans sa ré-organisation stratégique face à la détention de longue durée de son Président et pour prévenir de nouvelles menaces.

Les témoignages et les manifestations de solidarité envers Ales Bialiatski sont très fortement attendus au Belarus. En dépit de son isolement le plus strict, la communication est possible et Ales Bialiatski suit avec courage et espoir l’écho de cette mobilisation..

Six mois après un verdict inique, la FIDH veut démontrer que la détermination reste entière et organise une mobilisation, le 11mai 2012. La LDH en est partie prenante

Le 11 mai prochain, le portrait d’Ales Bialiatski sera accroché sur la façade de la mairie du 11e arrondissement de Paris, où la FIDH a son siège. Cette action sera accompagnée d’un rassemblement à Paris. Des actions similaires sont appelées dans les divers pays européens.

 

Vous pouvez suivre la mobilisation internationale sur freeales.fidh.net et sur le site de Viasna spring96.org.

Pour en savoir plus :

http://freeales.fidh.net/pages/liberez-ales-bialietski

25 avril-13 mai 2012 – Spectacle "coup de poing" à la Maison des Métallos

Du 25 avril au 13 mai, représentations de N.A.Z à la Maison des métallos spectacle « coup de poing » :

Cette pièce de théâtre politique (un débat est systématiquement intégré au spectacle, dans la foulée) s’inspire d’une immersion dans les réseaux extrémistes d’inspiration néo nazi qui prennent une ampleur grandissante dans le Nord Pas de Calais et qui fascinent notamment de plus en plus de lycéens.

A la maison des métallos, 94, rue Jean-Pierre Timbaud, Paris 11e

Tel 01 47 00 25 20    reservation@maisondesmetallos.org
NAZ
Compagnie Sens Ascensionnels
NAZ vous propose d’entrer pendant une heure spectaculaire, bruyante et imagée dans l’intimité d’un jeune Naz afin de comprendre de l’intérieur ce qui s’est passé, ce qu’on – la république, l’école, la famille – a raté. Ce projet trouve son origine dans un article de presse faisant état du développement inquiétant de mouvances extrémistes dans la région Nord-Pas-de-Calais dont le terreau est la précarisation et le manque de repères dans une société en crise.
Culture Commune, Scène nationale du bassin minier du Nord-Pas-de-Calais, et l’association Colères du présent commandent alors à Ricardo Montserrat un texte, qu’il écrira à partir des paroles de jeunes fréquentant ces mouvances. Ils sont parfois bons élèves, bons potes, sportifs, sympas même, mais ils se rasent le crâne, ou pas, et dégueulent des slogans haineux sur des musiques lourdes, dans des stades, ou ailleurs. Ils ont peur de l’avenir, n’ont pas de présent et rêvassent à un passé qu’ils idéalisent.
Chaque soir après le spectacle, un débat avec l’équipe artistique et ses invités propose de faire le tri, et, ensemble, d’imaginer comment chacun pourrait réparer, raconter, relier, relever, libérer ces enfants perdus.
texte Ricardo Montserrat
adaptation et mise en scène Christophe Moyer
avec Henri Botte
vidéo Jérémie Bernaert
régie Yann Hendrickx
coproduction Culture Commune – Scène nationale du bassin minier du Nord-Pas-de-Calais, Colères du présent, Ville de Grenay (Espace culturel Ronny Coutteure), Ville de Carvin, L’Escapade d’Hénin-Beaumont
avec le concours de l’Agence nationale pour la Cohésion Sociale et l’Égalité des chances (ACSÉ) pour l’accompagnement du volet débat
diffusion Compagnie Sens Ascensionnels

Maison des Métallos

25 avril > 13 mai

du mercredi au vendredi > 20h
samedi > 19h
dimanche > 16h

durée 1h25 débat inclus
tarif spectacle

L’AFFAIRE CHEBEYA, UN CRIME D’ÉTAT ?

LES FILMS DU PARADOXE présentent

L’AFFAIRE CHEBEYA, UN CRIME D’ÉTAT ?

Un film de Thierry Michel

(Belgique – 2011 – 1h36)

• Le 2 juin 2010, Floribert Chebeya, militant congolais des Droits de l’Homme, est retrouvé assassiné dans sa

voiture. Plusieurs policiers sont arrêtés et un procès a lieu.

GRAND PRIX DU FESTIVAL INTERNATIONAL DU FILM DES DROITS DE L’HOMME – PARIS 2012

SORTIE NATIONALE : 4 AVRIL 2012

à l’Espace St Michel – 7 place St Michel – 75005 Paris – http://espacesaintmichel.free.fr/

http://chebeya-lefilm.com/

Appel à soutien : SOS Tunisie : les libertés menacées !

La section Paris 10/11 soutient l’appel « SOS Tunisie : les libertés menacées ! » lancé ce 26 janvier suite à des évènements alarmants qui se sont déroulés en Tunisie ces derniers temps.

http://www.petitions24.net/sos_tunisie_les_libertes_menacees

Une centaine de Tunisiennes et Tunisiens à l’étranger, notamment en France, des universitaires, des chercheurs, acteurs de la société civile et citoyens ont lancé cet Appel pour défendre les libertés menacées dans le pays. Les signataires s’alarment « de la dégradation des libertés acquises par la Révolution tunisienne » et demandent notamment « aux autorités publiques de mettre tout en œuvre pour rechercher les auteurs (des) violences, de les traduire devant les tribunaux et d’assurer sans délai la sécurité des personnes menacées ».

Vous pouvez soutenir cet appel en signant la pétition « SOS Tunisie : les libertés menacées ! » http://www.petitions24.net/sos_tunisie_les_libertes_menacees

Lancement de l'audit citoyen de la dette publique

Aujourd’hui 26 octobre, le Collectif national pour un audit citoyen de la dette publique publie son appel constitutif. Il invite tous les citoyens à signer cet appel et à s’engager dans la démarche de l’audit citoyen pour que la dette publique fasse enfin l’objet d’un vrai débat démocratique, au plan local, national et européen. Le Collectif pour un audit citoyen est composé d’une vingtaine d’organisations syndicales et associatives, et soutenu par plusieurs formations politiques. Il tiendra une conférence de presse à Nice, le 2 novembre à 12h, lors de l’alter-forum qui précèdera et contestera le G20.

Pour signer l’appel : http://www.audit-citoyen.org/

Appel pour un audit citoyen de la dette publique
Écoles, hôpitaux, hébergement d’urgence… Retraites, chômage, culture, environnement… nous vivons tous au quotidien l’austérité budgétaire et le pire est à venir. « Nous vivons au-dessus de nos moyens », telle est la rengaine que l’on nous ressasse dans les grands médias. Maintenant « il faut rembourser la dette », nous répète-t-on matin et soir. « On n’a pas le choix, il faut rassurer les marchés financiers, sauver la bonne réputation, le triple A de la France ».

Nous refusons ces discours culpabilisateurs. Nous ne voulons pas assister en spectateurs à la remise en cause de tout ce qui rendait encore vivables nos sociétés, en France et en Europe. Avons-nous trop dépensé pour l’école et la santé, ou bien les cadeaux fiscaux et sociaux depuis 20 ans ont-ils asséché les budgets ? Cette dette a-t-elle été tout entière contractée dans l’intérêt général, ou bien peut-elle être considérée en partie comme illégitime ? Qui détient ses titres et profite de l’austérité ? Pourquoi les États sont-il obligés de s’endetter auprès des marchés financiers et des banques, alors que celles-ci peuvent emprunter directement et pour moins cher à la Banque centrale européenne ?

Nous refusons que ces questions soient évacuées ou traitées dans notre dos par les experts officiels sous influence des lobbies économiques et financiers. Nous voulons y répondre nous-mêmes dans le cadre d’un vaste débat démocratique qui décidera de notre avenir commun.

En fin de compte, ne sommes-nous plus que des jouets entre les mains des actionnaires, des spéculateurs et des créanciers, ou bien encore des citoyens, capables de délibérer ensemble de notre avenir ?

Nous nous mobilisons dans nos villes, nos quartiers, nos villages, nos lieux de travail, en lançant un vaste audit citoyen de la dette publique. Nous créons au plan national et local des collectifs pour un audit citoyen, avec nos syndicats et associations, avec des experts indépendants, avec nos collègues, nos voisins et concitoyens. Nous allons prendre en main nos affaires, pour que revive la démocratie.

Premiers signataires :
Marie-Laurence Bertrand (CGT), Jean-Claude Chailley (Résistance sociale), Annick Coupé (Union syndicale Solidaires), Thomas Coutrot (Attac), Pascal Franchet (CADTM), Laurent Gathier (Union SNUI-Sud Trésor Solidaires), Bernadette Groison (FSU), Pierre Khalfa (Fondation Copernic), Jean-François Largillière (Sud BPCE), Philippe Légé (Économistes atterrés), Alain Marcu (Agir contre le Chômage !), Gus Massiah (Aitec), Franck Pupunat (Utopia), Michel Rousseau (Marches européennes), Maya Surduts (Collectif national pour les droits des femmes), Pierre Tartakowsky (Ligue des droits de l’Homme), Patricia Tejas (Fédération des Finances CGT), Bernard Teper (Réseau Education Populaire), Patrick Viveret (Collectif Richesse)

et Philippe Askénazy (économiste), Geneviève Azam (économiste), Étienne Balibar (philosophe), Frédéric Boccara (économiste), Alain Caillé (sociologue), François Chesnais (économiste), Benjamin Coriat (économiste), Cédric Durand (économiste), David Flacher (économiste), Susan George (écrivain), Jean-Marie Harribey (économiste), Michel Husson (économiste), Stéphane Hessel (écrivain), Esther Jeffers (économiste), Jean-Louis Laville (sociologue), Frédéric Lordon (économiste), Marc Mangenot (économiste), Dominique Méda (sociologue), Ariane Mnouchkine (artiste), André Orléan (économiste), Dominique Plihon (économiste), Christophe Ramaux (économiste), Denis Sieffert (journaliste), Henri Sterdyniak (économiste)…

Pour signer l’appel : http://www.audit-citoyen.org/