Catégorie : Section

Syrie – rassemblement le 15 Mars à Saintes

La section de Saintes de la Ligue des Droits de l’Homme

 vous invite à répondre à l’appel ci-dessous
en solidarité avec le peuple syrien
jeudi 15 mars 2018 à 17h30
Rassemblement à Saintes
Cours Alsace Lorraine- Place de l’Echevinage

Appel de l’association Solidarité Saintonge-Syrie  et de la Ligue des Droits de l’Homme section Saintes

Le 15 mars 2011, une manifestation à Damas marquait le début du soulèvement contre Bachar al-Assad, le début du combat du peuple syrien pour la dignité et la liberté.

Mais, peu après, ce fut le début d’une répression de plus en plus sauvage, de plus en plus meurtrière : plus de 400 000 morts à ce jour, un pays qui se vide de ses forces vives, de très nombreux  villages et villes détruits. Et le pays est l’objet d’enjeux internationaux qui n’ont plus rien à voir avec le combat des Syriens contre le clan al-Assad.

Pour marquer notre solidarité avec les Syriens, nous appelons à un rassemblement le Jeudi 15 Mars, à 17h30, Rue Alsace-Lorraine à Saintes (au niveau de la Médiathèque)  .

LDH Saintes Projection-Débat « Razzia », de Nabil Ayouch

La section de Saintes de la Ligue des Droits de l’Homme

 vous invite à venir assister 

Samedi 17 mars 2018 à 21 h Cinéma Le Gallia
67 ter Cours National à Saintes

Projection Débat 

Du film « Razzia », de Nabil Ayouch

https://www.ldh-france.org/wp-content/uploads/2018/02/AFFICHE-RAZZIA-WEB-DEF-220x300.jpg

A Casablanca, entre le passé et le présent, cinq destinés sont reliées sans le savoir. 

Différents visages, différentes trajectoires, différentes luttes mais une même quête de liberté.

Et le bruit d’une révolte qui monte….

Sortie le 14 mars 2018

Après Ali Zaoua, prince de la rue (2000) sur les enfants des rues, Les Chevaux de Dieu (2012) qui mettait en scène des garçons des bidonvilles devenus terroristes kamikazes, et Much Loved (2015) sur la prostitution à Marrakech, le réalisateur franco-marocain, Nabil Ayouch, réalise avec Razzia un film puissant et provoquant, qui aborde frontalement un certain nombre de tabous de la société marocaine.

Nabil Ayouch eut à faire face pour son précédent film, Much Loved, à des réactions violentes au Maroc. Le film a non seulement été interdit par la censure, mais a déclenché une véritable vindicte populaire. Son actrice principale, agressée à Casablanca, a dû quitter le Maroc : « J’ai compris à ce moment-là qu’une censure populaire avait pris le relais de la censure politique, se souvient le cinéaste. La censure politique s’était arrêtée à l’interdiction de mon film. La censure populaire est allée beaucoup plus loin. C’est elle qui nous a fait le plus de mal ». Etre pris pour cible par les partisans d’un durcissement de l’ordre moral et religieux a fait de Nabil Ayouch une figure de proue du Maroc progressiste.

Si les personnages de ses précédents films étaient à la marge de la société, avec Razzia Nabil Ayouch est en plein cœur de la société marocaine. Le scénariomêle les destinées de personnages qui ne se connaissent pas mais sont liés par un même sentiment d’étouffement. Nabil Ayouch explique : « Ils représentent une majorité, les uns additionnés aux autres, mais une majorité silencieuse. Ils portent en chacun d’eux une part de rêve, de volonté d’exister, de souffle de liberté et ça nous semblait important, de les faire exister indépendamment les uns des autres ».

Le film met donc en scène plusieurs personnages dans des contextes différents. Salima, interprétée par Maryam Touzani – compagne du cinéaste et co-scénariste – incarne une femme asphyxiée par l’emprise d’un mari qui contrôle ses moindres faits et gestes, ses tenues vestimentaires, refuse qu’elle fume, qu’elle travaille… Hakim, jeune homme issu d’un milieu populaire, rêve d’être chanteur et a pour idole Freddie Mercury, le chanteur gay de Queen. Le père d’Hakim, muré dans le silence, rejette à la fois l’homosexualité de son fils et le métier qu’il s’est choisi. Inès est une adolescente perdue dans un ghetto de riches. Monsieur Joe (Arieh Worthalter), juif, restaurateur, est un des personnages les plus touchants du film, à la fois dans sa relation émouvante avec son père malade et dans son refus obstiné de voir l’antisémitisme latent de la société.Chacun de ces personnages, tous magnifiquement interprétés, est bien caractérisé : « Ces personnages existent, ils sont inspirés par des gens que j’ai rencontrés, précise Nabil Ayouch. Ils se débattent avec leurs rêves, leurs frustrations, ils essaient d’exister au sein d’une société qui les étouffe ».

Le film est construit en deux époques. Il commence au début des années 80 dans un village reculé de l’Atlas, par l’évocation de l’arabisation forcée de l’enseignement à travers l’histoire d’Abdallah, l’instituteur, qu’on oblige soudainement à enseigner à ses élèves dans une langue qu’ils ne comprennent pas. Il finit par abandonner le village et s’en va, laissant derrière lui la femme qu’il aime, Yto, qu’on retrouvera 35 ans plus tard. La deuxième époque du film se situe en 2015 dans un contexte de manifestations violentes, celles des islamistes et des conservateurs, durant lesquelles une majorité de femmes proteste contre la réforme du code de l’héritage instaurant l’égalité. Il était intéressant de relier les deux époques pour montrer les conséquences de l’importation au début des années 80 d’une idéologie et d’un islam salafistes au sein d’une culture musulmane marocaine ouverte et tolérante.

Le film joue sur la notion d’espace, l’espace clos de chaque personnage et l’espace public, celui de la rue, des lieux de rencontres et de harcèlement. La ville de Casablanca est elle-même un personnage du film. Il est fait allusion à plusieurs reprises au film de Michael Curtiz avec Humphrey Bogart et Ingrid Bergman, sorti en 1942 et devenu un mythe. Des personnes âgées à Casablanca prétendent se souvenir du tournage dans l’ancienne Médina, alors que le film a été entièrement tourné en studio à Los Angeles. Leur conviction, le luxe de détails qu’ils fournissent, arrivent à faire douter leurs interlocuteurs.

Avec Razzia, en entrecroisant par un montage alterné les vies de ses différents personnages, Nabil Ayouch construit une narration sans faille et aborde frontalement ou plus allusivement plusieurs des maux qui taraudent la société marocaine : la répression de la liberté des femmes dans l’espace public, l’interdiction de l’avortement, la persécution de l’homosexualité, masculine et féminine, l’antisémitisme. A travers des personnages complexes, incarnant le courage de la résistance, il montre l’émergence de l’individu dans une société communautaire.

On peut regretter l’explosion de violence qui se déchaîne à la fin du film, lors d’une fête chez des jeunes gens de la haute bourgeoisie. Elle témoigne d’une tension sociale exacerbée mais fait verser le film dans un autre registre. La richesse et la complexité du scénario, la rigueur de la construction, la beauté des images – notamment les plans à couper le souffle tournés dans les montagnes de l’Atlas – font néanmoins de ce film un puissant hymne à la liberté qui dépasse largement le contexte du Maroc.

Thématiques du film : liberté, femmes, genre, égalité, antisémitisme, Maghreb

Razzia

Durée : 1h59

Réalisation : Nabil Ayouch

Distribution : Ad Vitam

LDH Saintes – Projection Débat  » Une saison en France  » Mercredi 7 mars 2018 à 21h

L’ECRAN SAVINOIS  65 quai des Fleurs 17650 St SAVINIEN SUR CHARENTE
Mercredi 7 mars 2018 à 21h

En présence de membres du CAE Saintes et de la Commission Immigration de la section de Saintes  de la Ligue des droits de l’Homme

Projection-Débat    » Une saison en France  » de Mahamat Saleh Haroun
avec Sandrine Bonnaire, Eriq Ebouaney….

Pour plus de détails, ouvrir la pièce jointe : Une saison en France

Saintes – Etats Généraux des Migrations

Vous le savez, les Etats Généraux des Migrations sont un processus national
décentralisé, menés partout en France sur les territoires. Ils ont pour but
de :

1)	dénoncer l’inacceptable
2)	proposer des politiques migratoires alternatives
3)	construire un discours opposé aux argumentaires xénophobes trop
souvent véhiculés et le diffuser dans l’opinion publique

Dans ce cadre, et pour répondre à ces objectifs, nous vous proposons une première rencontre,
Mardi 20 février 2018 à partir de 18h00
Maison de la Solidarité  
Salle du Café Sol
Esplanade du 6 RI
17100 SAINTES
Vous trouverez en fichier joint (Etats Généraux des Migrations)
le guide méthodologique élaboré au niveau national
Un formulaire de restitution des échanges a été inséré dans ce guide, pour
permettre une remontée coordonnée de toutes les discussions qui se
dérouleront partout en France :
https://framaforms.org/consultation-etats-generaux-des-migrations-1513356634

En effet, l'idée est que ce qui émergera des différentes assemblées locales
puisse être repris, et présenté en particulier lors de la 1ère session
nationale des États généraux les 26 et 27 mai prochain. Les
formulaires de restitution ont été préparés pour faciliter le travail de
compilation dont un groupe de travail se chargera. Vous pouvez donc remplir
le formulaire en ligne les jours qui suivront l'assemblée locale et les diverses rencontres que vous
aurez organisées. L’idéal serait que le groupe de travail dispose de
l'ensemble des formulaires avant le 15 avril.


En espérant que vous serez nombreux à participer à cette première rencontre saintaise
Merci de faire suivre dans vos réseaux

Pour le CAE Saintes

La LDH vous souhaite ses…

L’année 2017 a été marquée par de grands combats, chaque section a contribué sur le terrain à les défendre et nous vous en remercions : contre l’extrême-droite lors des élections présidentielles, contre la prolongation et l’inscription de mesures de l’Etat d’urgence dans le droit commun, contre les violences faites aux migrant-e-s et le harcèlement judiciaire et policier mené à l’encontre des militant-e-s, contre la situation de plus en plus précaire des mineur-e-s non accompagné-e-s.
>
En 2018, et à l’occasion de ses 120 ans, la LDH continuera de se mobiliser dans une actualité toujours plus marquée par la nécessité de défendre les droits et libertés de toutes et tous. Dans ce cadre, de nombreuses actions vous seront proposées afin de poursuivre le travail sur le terrain partout en France. Vous recevrez prochainement du matériel afin de vous aider dans la préparation de cet événement, à décliner tout au long de cette année à venir.
>
A partager auprès de vos contacts et sur les réseaux sociaux :
> Vous trouverez ci-joint la carte de vœux de la LDH en deux versions et en format gif pour les réseaux sociaux. Vous pouvez également visualiser et partager une courte rétrospective de l’action de la LDH en 2017 sur notre chaîne Youtube.
>

Bonnes fêtes et à l’année prochaine
pour de nouvelles mobilisations !

Conférence-débat de Pierre Tartakowsky « Droits et libertés en démocratie » le 14 décembre à la MPT

Droits et libertés en démocratie

La démocratie a de l’avenir, car elle est porteuse de justice, de progrès et de solidarité. Elle implique aussi une capacité de résistance quand les droits et libertés sont bafoués. Elle témoigne d’une envie d’embellissement et d’approfondissement de la vie quand les gens ont su dépasser leur condition altérée de peur et de misère. Elle suppose aujourd’hui une refondation où les acteurs, forts de leur imagination et de leur capacité à se penser comme égaux, déploieront une citoyenneté active, en toute fraternité, dans tous les domaines de la vie.

Venez débattre de cette passionnante question avec Pierre Tartakowsky qui signera le livre de la LDH qu’il a codirigé aux éditions La Découverte : Le Monde qui vient : entre périls et promesses.

L’ouvrage est proposé au cours de la réunion publique par la librairie châtelleraudaise Aux Classiques.

Ciné-débat « Derrière les fronts » aux 400 coups le 11 décembre

Au sein du collectif Palestine 86, la section invitait à la projection du film d’Alexandra Dols « Derrière les fronts : résistances et résiliences en Palestine » en présence de la réalisatrice.

Journées de la Laïcité : projection-débat du film « Laïcité, Inch’Allah »

Jeudi 7 décembre à 20h 30 au cinéma Les 400 coups projection-débat du film de Nadia El Fani « Laïcité, Inch’Allah » proposé par la LDH, le Grand Orient de France, la Fédération du Droit Humain, la Ligue de l’Enseignement, la Libre Pensée, Mémoire de la Commune de Paris, 1871, Culture pour Tous, Union des Familles Laïques de Châtellerault et le Cercle Condorcet de la Vienne.

Samedi 9 décembre à 11h Promenades Blossac, près du Rond-point de la Poste, rassemblement et prise de parole des associations citées ci-dessus.

 

Motion LDH Saintes Technicentre SNCF -20-11-2017

 

Motion LDH Saintes Technicentre SNCF -20-11-2017

Tour des prisons de France des Artisans de la Paix au Pays Basque

L’étape de Poitiers Artisans de la Paix au Pays Basque : l’étape de Poitiers

  •   Lundi 27 novembre, 20h 30, hôtel Aubaret – Amphithéâtre Madiot

Ciné-débat autour du film « Barrura begiratzeko leihoak = Fenêtres sur intérieur »

réalisé par Josu Martinez. Echanges animés par la CGT, le GENEPI et la LDH.

 

  • Mardi 28 novembre, 20h 30, Maison du Peuple (salle Jean-Pierre Timbaud)

Conférence-débat de la délégation basque sur « La paix au Pays Basque ».

 

  • Chronologie du processus de paix au Pays Basque

2011

Le 10 janvier, l’organisation basque ETA annonce un cessez-le-feu per­manent, général et vérifiable par la Communauté internationale. Le 17 octobre de cette même année se tient la conférence internationale d’Aiete à San Sebastian présidée par Kofi Annan. Trois jours plus tard, l’ETA pro­clame la fin définitive de la lutte armée au Pays Basque.

2016

Le 16 décembre à Louhossoa, cinq personnalités de la société civile – Michel Tubiana, président d’honneur de la LDH et président d’EuroMed Droits aurait dû être aussi présent – se livrent à la mise hors d’usage de 15% de l’arsenal de l’ETA. Quatre mois plus tard, le 8 avril, à Bayonne, les Artisans de la Paix organisent le démantèlement total de l’armement de l’ETA. Cet événement crée une impulsion décisive pour qu’une paix juste et durable s’instaure au Pays Basque.

2017

Du 16 novembre au 9 décembre a lieu un troisième temps fort : le Tour de France des prisons où sont incarcéré.e.s des prisonnier.e.s basques. Il s’agit de sensibiliser les pouvoirs publics à trois revendications : le rap­prochement et le regroupement des prisonnier.e.s vers le Pays Basque ; la libération des prisonnier.e.s gravement malades ; la libération condition­nelle des prisonnier.e.s en vertu de l’application de la loi française.

 

Les Artisans de la Paix – LDH Poitiers et Châtellerault – UD Vienne CGT – GENEPI

Soirée de solidarité avec le peuple palestinien – 1 décembre – Festival des Solidarités

Soirée de Solidarité avec le Peuple palestinien

Ciné-débat : « Jean Genet, un captif amoureux », film de Michèle Collery

 Vendredi 1er décembre à 20h 30

Maison pour Tous (Châteauneuf)

Jean Genet est un des plus grands écrivains français. Il était aussi l’ami des prisonniers, des membres du Black Panther Party et des Palestiniens. Présent en septembre 1982 à Beyrouth chez son amie Leila Shahid, qui sera ensuite ambassadrice de la Palestine auprès de l’Union Européenne, Jean Genet sera l’une des premières personnes à aller à Chatila après le massacre de Sabra et Chatila. Il écrira à ce sujet « Quatre heures à Chatila ». Son dernier livre « Un captif amoureux », paru un mois après son décès en 1986, retrace les années de lutte et d’amitié auprès des Palestiniens. Il y parle aussi de Châtellerault, ce qui est moins connu.

Michèle Collery évoque ce parcours dans son film documentaire alternant images d’archives et tournages au Liban et au Maroc. Le spectateur découvrira des lectures de Denis Lavant et Clotilde Mollet, des témoignages d’Angela Davis et Leila Shahid, et des entretiens avec Albert Dichy, biographe de Genet. Un grand film pour une belle soirée de solidarité avec le peuple palestinien. Un temps fort du Festival des Solidarités.

 

L’affaire Jules Durand

La LDH et la CGT présentent :

Ciné-débat aux 400 coups

Jeudi 16 novembre à 20h 30

« Mémoires d’un condamné »

En présence de la réalisatrice Sylvestre Meinzer

L’affaire Jules Durand : un crime social et judiciaire

Jules Durand, secrétaire du Syndicat ouvrier des charbonniers au port du Havre, est condamné à mort le 25 novembre 1910 pour complicité d’assassinat. Une nouvelle affaire Dreyfus commence quatre ans après la réhabilitation du militaire. En pleine grève des charbonniers le militant de la CGT et de la LDH est victime d’une machination diabolique du patronat doublée d’un horrible crime judiciaire. Le combat syndical et citoyen  conduira à la réhabilitation en 1918, mais dès janvier 1911, Jules Durand, militant très sincère et très sensible avait perdu la raison. Il mourra en 1926 dans un asile d’aliénés.

Sylvestre Meinzer est retournée sur les lieux du drame et interroge les syndicalistes, juge, avocat, psychiatre qui témoignent de la guerre sociale, des luttes ouvrières et des dérives scandaleuses de la justice.

30 ans de la section : expo du 13 au 24 novembre (sauf le week-end)

1987-2017

LA LIGUE DES DROITS DE L’HOMME À CHÂTELLERAULT

Exposition à l’hôtel Sully

du lundi 13 au vendredi 24 novembre (sauf le week-end)

 10h-12h et 16h-18h


1987-2017 

LA LIGUE DES DROITS DE L’HOMME À CHÂTELLERAULT

 

Après avoir été active de 1902 à 1939 la section de Châtellerault de la Ligue des droits de l’Homme avait disparu du paysage des luttes pour les droits et les libertés.

En novembre 1987, quelques militants ont eu l’idée et l’énergie de la recréer. Depuis ce temps la section s’est étoffée et a développé son activité et sa réflexion dans un éventail de champs qu’il est possible de décliner ainsi :

Défense des droits universels et des libertés fondamentales

Citoyenneté et culture

Laïcité

Combats contre l’extrême droite

Aide aux sans papiers, migrants et réfugiés

Pour la mémoire

Solidarité avec le peuple palestinien

Des luttes vers d’autres horizons

L’exposition des 30 ans montre ces thématiques déployées à travers des affiches et des documents précieux. Elle témoigne des efforts réalisés sur le Pays châtelleraudais et au-delà, pour que la dignité des hommes (hommes, femmes et enfants) soit pleinement reconnue dans notre pays. Une tâche difficile tant les lois vont souvent à l’encontre des principes de justice et des droits naturels. Un combat nécessaire que la Ligue française pour la défense des droits de l’Homme et du Citoyen mène résolument afin que les droits civils et politiques, économiques, sociaux et culturels, indivisibles et universels, deviennent effectifs et intangibles.

 

  • Prenez date aussi : « Droits et libertés en démocratie »: une conférence-débat de Pierre Tartakowsky, président d’honneur de la LDH – Maison pour Tous – Jeudi 14 Décembre 2017, 20h 30 – Entrée gratuite.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

réorganisation du Service de la Vie Associative de Saintes

La section de Saintes de la Ligue des Droits de l’Homme s’associe à la démarche collective engagée par le milieu associatif Saintais. (voir courrier de la FACELS en fin de message)
Ses membres ont été destinataires du CR de la réunion du vendredi 13 octobre et de la lettre rédigée à l’attention de M le Maire.
Elle se joint aux signataires de la dite correspondance .
Elle sera présente lors de la prochaine réunion envisagée.
Cordialement
Pour la section
Le président
Patrick Falzone
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Courrier de la FACELS
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Bonjour à tous,

Ce message est adressé à l’ensemble des associations pour lesquelles l’annuaire de la ville de Saintes indique une adresse mail.
Vous avez probablement lu dans Sud-ouest de lundi l’article titré « Inquiétude et gronde chez les associations » en page Saintes Agglo. La FACELS a invité plusieurs associations à une rencontre qui s’est tenue vendredi soir pour faire ensemble le point sur la situation créée par la réorganisation du service de la vie associative. L’article de Sud Ouest retranscrit fidèlement l’inquiétude exprimée par l’ensemble des personnes présentes à cette rencontre. Nous avons collectivement décidé d’interpeller Monsieur le Maire et de lui demander de nous recevoir et de revoir sa copie.
Nous avons été mis devant le fait accompli, ce qui est contraire à la lettre de la Charte de la Vie Associative adoptée par le Conseil Municipal l’année dernière, et nous sommes confrontés à de graves difficultés qui compromettent le bon fonctionnement de nos associations. Vous trouverez en PJ le texte de la lettre que nous proposons d’envoyer à Monsieur le Maire. Si comme nous, vous désapprouvez cette réorganisation du Service de la Vie Associative, nous vous invitons à nous rejoindre en tant que signataire de cette lettre et à informer vos adhérents des problèmes créés par cette situation.
Bien cordialement à vous.
Jean-Yves Boiffier, président de la FACELS

Village des Associations Saintes les 2 et 3 septembre 2017

Le stand :

Conférence-débat « Numérique et libertés » 23/09/17 Libourne

Collecte livres CAE

Affichette Collecte 2017

Appel à voter contre Le Pen et le Front National

      

La Ligue des droits de l’Homme invite les citoyens français à voter contre Le Pen et le Front National

Le vote pour Le Pen et le Front National n’est pas une option. Pourquoi ? Parce qu’il est un parti aux tendances fascisantes utilisant les institutions démocratiques pour ensuite les supprimer une fois arrivé au pouvoir. Un parti raciste, sexiste, xénophobe, antisémite, islamophobe, à l’idéologie identitaire et totalitaire.

Le Front National possède une histoire archaïque où le culte du chef, le mépris du système républicain, le goût de la violence sont masqués aujourd’hui par une attention apparente à l’inquiétude des citoyens et le souci affiché de proposer des solutions sociales et politiques qui transformeraient  leur vie.

Pour ce faire, Le Pen et le Front National distillent un discours démagogique dont les pierres angulaires sont la préférence nationale (renommée priorité nationale), la recherche de boucs émissaires (les étrangers, les immigrés, les réfugiés), la référence au peuple, entité républicaine complexe où les droits de Homme sont les nerfs de la Nation, mais outrageusement déformée par l’officine Le Pen en l’expression absurde « eux non-blancs/nous les blancs », la glorification du nationalisme, « antidote » à la mondialisation, appelée « mondialisme » dans le jargon frontiste.

En réalité, cette politique correspond à une remise en cause radicale des valeurs républicaines (liberté, égalité, fraternité, solidarité, laïcité) en développant une mécanique d’opposition de tous contre tous et en instituant un socle de comportements où dominent les sentiments de haine et de mépris.

Voter pour Le Pen et Le Front National, c’est assurément voter contre les libertés privées et publiques, sociales et politiques. C’est voter contre l’égalité de toutes et tous. C’est voter pour la défaite de l’intelligence, de la dignité humaine, et de la démocratie.

Votons pour l’épanouissement de chaque personne et l’accomplissement de chaque citoyen dans une République où les femmes et les hommes pourront jouir intensément des droits civils et politiques, économiques, sociaux et culturels.

Soyons acteurs-actrices de notre profonde humanité ! Votons contre Le Pen et sa clique !

 

Châtellerault, le 1er mai 2017  Arbre des Libertés

Saintes -Dimanche 30 avril – Journée du souvenir des victimes de la déportation

– Le programme « officiel » de la journée du souvenir :
Programme (cliquer sur lien pour acceder au texte)

-un texte rappelant qu’à l’issue des cérémonies, les citoyens saintais
sont invités à se retrouver comme lors des années précédentes au square
ANGEL, SIDELIO et SARABESSE – Prise de parole et dépôt d’une gerbe .
Précision étant apportée que la section  de Saintes de la Ligue des
Droits de l’Homme se joint à cet appel.
Journée de la déportation (cliquer sur lien pour acceder au texte)

Conférence-débat de Rosa Ould Ameziane dit Florent « Le vrai visage du Front National » le mardi 4 avril à Châtellerault

La section LDH et la Maison pour Tous à Châtellerault

invitent  à la  CONFÉRENCE-DÉBAT

de ROSA OULD AMEZIANE DIT FLORENT

(groupe de travail « Extrêmes Droites » LDH)

« LE VRAI VISAGE DU FRONT NATIONAL »

 Mardi 4 avril à 20h 30

Maison pour Tous

69 rue Creuzé (Quartier Châteauneuf)  

 Le Front National avance masqué