La fédération des Hauts de Seine de la Ligue des Droits de l’Homme s’associe aux associations de résistants pour dénoncer la décision municipale de rebaptiser la place de de la Résistance par le le nom de Charles Pasqua. et appelle au rassemblement ce samedi 24 octobre à 11H.
LA PLACE DE LA RESISTANCE NE DOIT PAS DEVENIR PLACE CHARLES PASQUA
Alors que cette année nous commémorons le 70e anniversaire de la création du Conseil National de la Résistance (C.N.R.), regroupant Gaullistes, Communistes,
Socialistes et Radicaux, la décision municipale de débaptiser la place de la Résistance heurte profondément de très nombreux Robinsonnais.
Cette décision meurtrit les gens bien au-delà de tout clivage politique !
Pour permettre au Maire de rendre hommage à son « mentor », le conseil municipal a pris une décision qui va à l’encontre du devoir de mémoire qu’il faut continuer de perpétuer pour ces femmes et hommes qui se sont engagés dans la résistance au péril de leur vie.
C’est pourquoi à l’appel des principales associations de résistants et amis de la Résistance
ANACR Association Nationale des Anciens Combattants de la Résistance
FNDIRP Fédération Nationale des Déportés et Internés, Résistants et Patriotes
ANFFMRFA Association Nationales des Familles de Fusillés et Massacrés de la Résistance Française et de leurs Amis
de syndicalistes et de parti politiques,
un rassemblement républicain est organisé sur cette place de la Résistance
Samedi 24 octobre à 11H00
Nous vous attendons nombreux et nombreuses pour dire :
« NON cette place de la Résistance NE doit PAS changer de nom ! »
Rappelons-nous : Le choix de la première municipalité du Plessis-Robinson issue de la Résistance a été d’honorer les résistantes et résistants locaux de tous bords et leurs actes de bravoures, en faisant déboucher l’avenue de la Résistance sur la place de la Résistance. Ne touchons pas à ce double symbole !
LA PLACE DE LA RESISTANCE NE DOIT PAS DEVENIR PLACE CHARLES PASQUA
Alors que cette année nous commémorons le 70e anniversaire de la création du Conseil National de la Résistance (C.N.R.), regroupant Gaullistes, Communistes,
Socialistes et Radicaux, la décision municipale de débaptiser la place de la Résistance heurte profondément de très nombreux Robinsonnais.
Cette décision meurtrit les gens bien au-delà de tout clivage politique !
Pour permettre au Maire de rendre hommage à son « mentor », le conseil municipal a pris une décision qui va à l’encontre du devoir de mémoire qu’il faut continuer de perpétuer pour ces femmes et hommes qui se sont engagés dans la résistance au péril de leur vie.
C’est pourquoi à l’appel des principales associations de résistants et amis de la Résistance
ANACR Association Nationale des Anciens Combattants de la Résistance
FNDIRP Fédération Nationale des Déportés et Internés, Résistants et Patriotes
ANFFMRFA Association Nationales des Familles de Fusillés et Massacrés de la Résistance Française et de leurs Amis
de syndicalistes et de parti politiques,
un rassemblement républicain est organisé sur cette place de la Résistance
Samedi 24 octobre à 11H00
Nous vous attendons nombreux et nombreuses pour dire :
« NON cette place de la Résistance NE doit PAS changer de nom ! »
Rappelons-nous : Le choix de la première municipalité du Plessis-Robinson issue de la Résistance a été d’honorer les résistantes et résistants locaux de tous bords et leurs actes de bravoures, en faisant déboucher l’avenue de la Résistance sur la place de la Résistance. Ne touchons pas à ce double symbole !
Dans le prolongement d’un stage LDH régional »santé » en 2014, le Comité régional Ile-de-France a conçu un important colloque co-organisé avec la Macif (dans le cadre du partenariat LDH-Macif), avec le soutien de la Ville de Nanterre qui l’accueille dans le grand auditorium de la Maison de la Musique (en centre-ville, facilement accessible en RER A), samedi 14 novembre, de 9 à 18h.
Ce colloque est titré « Pour une santé égalitaire et solidaire ! » en reprenant l’intitulé du »Manifeste des 123 » – signé par la LDH en décembre 2011- avec l’accord des concepteurs de ce livre-manifeste, toujours valide, dont deux auteurs interviendront dans le Colloque, Frédéric Pierru et André Grimaldi.
Ce colloque sera triplement dans l’actualité, en étant placé volontairement au cours du »mois de l’économie sociale », au moment où le PLFSS et le PLF2016 seront en débat (et à mettre en regard des engagements de la Loi santé pour la réduction des inégalités), et en lien avec les débats autour de la Conférence climat (Cop21) compte-tenu des regards qui seront proposés en matinée sur les déterminants non-médicaux de la santé, particulièrement environnementaux…
Il est ouvert à tout public et le programme détaillé est téléchargeable ici.
Jean Ganeval, délégué régional LDH-Ile de France
Philippe Laville, élu au CR LDH-IDF et au CC, coordonnateur de la préparation du Colloque
POUR UNE SANTÉ EGALITAIRE ET SOLIDAIRE !
Exposés et débats avec des chercheurs, praticiens de santé, élus associatifs, mutualistes, politiques, syndicaux…
Sur chaque thème, un focus sur la situation à Nanterre, pour illustrer les études générales par des exemples concrets et encourager le développement des interventions citoyennes. Expositions sur les perturbateurs endocriniens (Réseau Environnement Santéet Mutualité Francilienne), la crise sanitaire… Tables de publications des intervenants, projection de films, théâtre-forum (extrait de « A votre santé ! » par la Compagnie NAJE ( »Nous n’Abandonnerons Jamais l’Espoir »)…
De 9 à 13h – La santé en amont du soin
Quelles maladies pourraient être évitées ? Quels effets sur notre santé des conditions de travail et de vie (alimentation, habitat, transports, loisirs…) ? Quels effets des dégradations plus ou moins visibles de l’environnement (climat, invasion des produits chimiques et nano-particules…) ? Comment y remédier et lutter contre les inégalités ? Quelles contributions des géographes de la santé ?
Présentation de l’exemple d’une »Evaluation d’Impact en Santé » : le projet urbain du quartier Nanterre Gare Université
De 14 à 18h – Inégalités sociales de santé et conditions de l’égalité d’accès à des soins de qualité pour tous
Quelles évolutions de la protection sociale avec les désengagements de la Sécurité Sociale et les grandes inégalités entre »complémentaires » ? Quelles justes rémunérations des médecins, quelles causes des inégalités d’accès à des soins de qualité en consultations médicales, et en hôpitaux ?
Focus sur le centre de santé municipal et la défense de l’hôpital local.
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Ont, à ce jour, confirmé leur participation aux table-rondes, suivies de débats avec le public : Habiba Bigdade(maire-adjointe à la santé à Nanterre),André Cicolella(président du Réseau Environnement Santé),Hélène Colombani(médecin directrice de la Santé de la Ville de Nanterre, secrétaire générale de la Fédération Nationale des Centres de Santé),Jean-Pierre Dubois (professeur de droit public, président d’honneur de la LDH), Laurent El Ghozi(chirurgien hospitalier, conseiller municipal délégué de Nanterre, président ESPT),Emmanuelle Fourneyron (BN LDH, co-responsable groupe de travail national LDH santé-bioéthique),Jacqueline Fraysse (cardiologue, députée), André Grimaldi (diabétologue, chef de service AP-HP, initiateur du Mouvement de défense de l’hôpital public, co-auteur du Manifeste pour une santé égalitaire et solidaire), Patrick Jarry (maire de Nanterre), Tatiana Gründler (juriste, Centre de recherches et d’études sur les droits fondamentaux CREDOF-Université Paris Ouest Nanterre),Martine Lalande (médecin généraliste à Gennevilliers, militante du COMEGAS, de l’Observatoire du Droit à la Santé des Etrangers,vice-présidente du Syndicat de la Médecine Générale), Françoise Lareur (Présidente Macif-Idf), Philippe Laville (CR-idf et CC LDH, co-responsable groupe de travail national LDH santé-bioéthique), Roger Lenglet (journaliste, philosophe, auteur de « Lobbying et santé« , « 24h sous influences : comment on nous tue jour après jour« , « Nanotoxiques » ; par visio-conférence), Danièle Lochak (juriste, prof. émérite Université Paris Ouest Nanterre, militante GISTI et LDH), Philippe Lorrain (médecin généraliste, co-rédacteur en chef de la revue « Pratiques » et de son dossier « Ces maladies que l’on pourrait éviter » de mai 2015),Patric Mourgère(Président de CPAM), Fabrice Nicolino (journaliste d’investigation, auteur notamment de »Un empoisonnement universel »-sous réserve), Marie Pezé (docteur en psychologie, expert judiciaire, responsable du réseau national de consultations www.souffrance-et-travail.com),Frédéric Pierru (sociologue, chercheur CNRS, comité directeur Sciences-Po santé Paris, Haut Conseil de la Santé Publique, co-auteur du Manifeste pour une santé égalitaire et solidaire…), Stéphane Rican (géographe de la santé, LADYSS-Université Paris Ouest Nanterre), Yorghos Remvikos(professeur de santé environnementale, OVSQ-Université Versailles St-Quentin), Nora Tréhel (présidente de la MUFIF, Union régionale Ile-de-France de la Mutualité française), Zoé Vaillant(géographe de la santé, LADYSS-Université Paris Ouest Nanterre)…
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Entrée libre et gratuite au Colloque mais sur pré-inscription impérative au plus tard le 12/11
en retournant le coupon ci-dessous par messagerie colloque-sante-14-11-2015-nanterre@ldh-france.org
Nom, prénom : …………………………………………………………………………………………………………………………
profession-fonction (facultatif) : ……………………………………………
Ville – département : ……………………………………………. Tel. / courriel : ……………………………………………..
Nanterre le 11/09/2015,
Communiqué
La Fédération de la Ligue des Droits de l’Homme des Hauts-de-Seine condamne fermement les propos tenus par Patrick Devedjian, Président du Conseil départemental des Hauts-de-Seine sur les réfugiés, lors d’une conférence de presse à la Préfecture de région au cours de laquelle le préfet de région évoquait la situation des réfugiés syriens et irakiens en provenance d’outre-Rhin.
« Ils nous ont pris nos juifs, ils nous rendent des Arabes. » sont des propos inacceptables, qui d’une part, établissent une surenchère entre deux groupes d’individus et réduisent la vie des femmes, des hommes et des enfants qui ont vécu ou vivent des drames terribles, à une logique comptable nauséabonde déshumanisant les victimes de l’exode.
D’autre part la LDH 92 salue l’effort fait par l’Allemagne d’organiser l’accueil de réfugiés sur son territoire, le rappel de M. Devedjian aux heures sombres de son histoire est cynique.
La LDH 92 invite M. Devedjian dès à présent à mettre en musique ses regrets en finançant l’accueil de réfugiés dans toutes les villes du département à travers sa compétence principale qu’est l’action sociale.
La Section de l’Université de Nanterre de la Ligue des droits de l’Homme
a le plaisir de vous convier à une conférence-débat sur le thème :
Université / Laïcité / Religions
Quelles spécificités ?
En présence de
Danièle Lochak, Professeure émérite à l’Université Paris Ouest Nanterre la Défense, membre de la Ligue des droits de l’Homme
Frédéric Dieu, Maître des requêtes au Conseil d’Etat,
Dominique Goussot, Président de la fédération des Hauts de Seine de la Libre pensée
un Membre de l’Observatoire de la laïcité (sous réserve)
Le jeudi 16 avril 2015,
de 17h15 à 19H15
Batiment F,
amphi D
Conscient que son métier de photographe l’amène à questionner les gens sur ce qu’ils sont, Stéphane Ragot décide de retourner la question sur lui-même et de s’interroger sur son histoire et celle de sa famille. « Je suis Français, dit-il. Je veux regarder en face l’histoire dont je suis l’héritier. Je veux interroger un récit familial et national qui ne va pas de soi. Je suis Français de souche comme on dit, de cette souche vantée par les nationalistes et méprisée par les humanistes. Je refuse l’orgueil que me promettent les uns et je refuse la honte que me prescrivent les autres. Le pacte est rompu. Je suis Français et je refuse de me résigner au repli, à la défense, même passive, surtout passive, d’une permanence figée et imaginaire de l’identité française. Je suis photographe et je veux faire un film qui porte mon refus. Je veux donner à voir mon histoire, affirmer ma place. Tenir debout face à la violence symbolique d’une identité nationale asservie. »
Ses grands-pères, morts depuis longtemps étaient tous deux militaires pourtant leur histoire est bien différente. Paul le parachutiste, a fait une belle carrière d’officier, a reçu la légion d’honneur des mains du général de Gaulle, ses filles se sont mariées à des Saint-Cyriens. Pierre le légionnaire a été boucher, et ses états de service, dans la Légion, sont peu élogieux, enfant illégitime il fut rejeté par sa mère. En remontant dans leur histoire marquée par les guerres, Stéphane Ragot accomplit un travail minutieux d’historien, il nous fait découvrir une histoire de la France où l’on rencontre aussi bien des défenseurs de l’empire colonial, des témoignages de la « grande guerre », des badauds du défilé du 14 juillet. Un des moments les plus touchants est celui où des sans papiers en marche pour leurs droits se recueillent dans la nécropole militaire Notre-Dame de Lorette, près d’Arras, où à coté des croix portant les noms de soldats français, des tombes musulmanes portent la même mention « mort pour la France ».
Partant de cette démarche individuelle de reconstitution de son histoire familiale, Stéphane Ragot fait émerger des questions liées à l’identité personnelle, familiale et nationale. Il nous montre la perversité de la question de l’identité nationale et de tout ce qui la sous-tend dans une France tellement diverse : « Inoculé par un pouvoir qui parie sur la division et la stigmatisation, je vois le venin de l’identité nationale, loin d’avoir disparu avec le ministère du même nom, s’immiscer dans les tissus d’un corps social déjà tétanisé par la peur de l’autre. Je rejette les termes d’un débat biaisé et je refuse d’abandonner aux puissants l’usage des mots, des images et des symboles. »
Citons enfin les propos très élogieux de Jean Baubérot qui nous invite à voir et faire voir ce film : « …Voilà une œuvre qui parle magnifiquement de la France d’hier et d’aujourd’hui entremêlées. […]Un film qui, par la justesse de son propos, par la beauté de ses images, par l’impressionnant travail de montage réalisé, procure un vrai bonheur, un bonheur grave capable de panser des blessures secrètes ou béantes, les blessures que chacun d’entre nous porte. »
En même temps que le film, parait Patria lucida un livre des photos et des textes du film ainsi qu’un beau texte de Pierre Bergounioux intitulé « Qui nous sommes » (180 pages, format 20×28 cm, éditions, 30 euros).
Patria obscura
Documentaire, 2014
Durée : 83 mn
Réalisation : Stéphane Ragot
Distribution : DHR
La section de la LDH Université Paris Ouest-Nanterre organise
Le Mercredi 21 janvier de 17h à 20 h
amphithéâtre D (Bâtiment F, campus de Nanterre)
une Conférence-débat sur
Liberté d’expression : quel avenir pour la démocratie post-Charlie?
Mot d’ouverture Florence Bellivier, co-directrice de l’UFR droit & sciences politiques et Serge Slama, président de la section LDH Paris Ouest Nanterre
Débat animé par Pascal Beauvais, professeur de droit, Univ. Paris Ouest-Nanterre, co-directeur de l’UFR droit & sciences politiques, membre de la CNCDH
Avec
Emmanuel Dockès, professeur de droit social, Univ Paris Ouest-Nanterre, IRERP
Stéphanie Hennette-Vauchez, professeure de droit public, Univ. Paris Ouest-Nanterre, CREDOF
Nicolas Hervieu, doctorant en droit public au CREDOF, chargé d’enseignements à l’Université Panthéon-Assas et collaborateur d’avocat aux Conseils
Thomas Hochmann, professeur de droit public à l’Université de Reims
Franck Johannès, Journaliste au Monde
Agnès Tricoire, avocat au barreau de Paris, déléguée de l’Observatoire de la liberté d’expression/ LDH
Camille Viennot, maitre de conférences en droit privé, Univ. Paris Ouest-Nanterre, CDPC
LDH Section Paris-Ouest Nanterre, bâtiment F, 200 avenue de la République 92001 NANTERRE CEDEX
Dans le cadre des rendez-vous de la Ligue des droits de l’Homme, la section d’Antony recevra le chercheur Eric FASSIN le 5 novembre prochain autour d’un débat :
Laïcité, genre, race. La bataille des mots
elle vous y souhaite nombreux !
Qui est Eric FASSIN ?
Éric Fassin est chercheur à l’Institut de recherche interdisciplinaire sur les enjeux sociaux (sciences sociales, politique, santé), unité mixte de recherche associant le CNRS, l’Inserm, l’EHESS et l’université de Paris XIII. Sociologue engagé dans le débat public, il enseigne à Paris VIII et travaille sur la politisation des questions sexuelles et raciales, en France et aux États-Unis.
Informations pratiques.
mercredi 5 novembre 2014 à partir de 20h
Accueil par le restaurant La cour des potes
24, av. de la Division Leclerc à Antony
Réservation indispensable avant le mercredi 29 octobre 2014 auprès de antony92@ldh-france.org
retrouver les détails sur l’invitation
Cette œuvre collective a pour but de participer de manière partagée, attrayante et mobilisatrice au travail de mémoire de cette période de l’histoire. A Nanterre, ce projet a été initié par le Collectif Mémoire Résistance et Déportation de Nanterre.
En 2014, l’Etat a déclaré le 27 mai Journée nationale de la Résistance. Il s’agit de la date d’anniversaire de la création du Conseil national de la Résistance (CNR). Mis en place par Jean Moulin en 1943, il va fédérer les différents mouvements de résistance pendant l’occupation et va lutter contre les nazis et le régime collaborationniste français.
La ville de Nanterre a décidé de lui donner une résonance locale, la résistance ayant été très suivie dans ce fief francilien. Dès 1939, le maire Raymond Barbet est déchu de son mandat et interné. Il s’évade en 1940 pour rejoindre la Résistance. Le député de Nanterre, Waldeck Rochet, est lui aussi arrêté. Il deviendra, après sa libération en 1943, le représentant du PCF auprès du général de Gaulle à Londres.
Au-delà des hommes politiques, c’est un réseau de Résistance qui se met en place à Nanterre. Louis Meunier organise en 1941 un réseau de francs-tireurs et partisans (FTP), nom du mouvement de Résistance intérieure française. De nombreux Nanterriens vont participer. C’est le cas de Vincent Pascucci ou Pierre Bougas, deux des responsables de la Résistance locale. Le jeune Spartaco Fontanot, immigré et antifasciste italien, s’engagera au côté de Missak Manouchian. Il sera fusillé avec ses 22 camarades le 21 février 1944 au fort du Mont-Valérien.
Pour célébrer cette date anniversaire, de nombreuses expositions seront proposées tout au long du mois. Des projections-débats seront organisées à l’Agora, au cinéma Les Lumières mais aussi à la médiathèque Pierre-et-Marie-Curie, avec la présence de réalisateurs, de représentants d’associations et de témoins de l’époque.
A noter : projection de FTP MOI le 5 juin à l’Agora, 20 rue de Stalingrad à 19h30, en présence des réalisateurs Mourad Laffitte et Laurence Karsnia, et de Georges Duffau-Epstein
Programme
Programme Le mois de la Ré_sistance 2014
Communiqué :
Le 20 mars 2014,
Ce que pensent vos candidats aux élections municipales du droit de vote des résidents étrangers aux élections municipales. |
La question suivante a été adressée à l’ensemble des candidats têtes de liste des Hauts de Seine :
« Aux prochaines élections municipales des étrangers voteront et seront éligibles, il s’agit des résidents étrangers communautaires (de la communauté européenne).
Êtes vous favorables (dans les mêmes conditions que les résidents étrangers communautaires qui ne peuvent être maire, ne peuvent être grand électeur et ne peuvent participer à la désignation des grands électeurs) au droit de vote et d’éligibilité des résidents étrangers extracommunautaires aux élections municipales ? »
Parmi les 149 candidats interrogés, 60 ont répondu à la question. Nous voulons les remercier ici d’avoir pris la peine de nous faire connaître leur point de vue sur un sujet primordial pour la démocratie.
52 d’entre eux (87%) se sont positionnés favorablement et 8 défavorablement (13%).
Les résultats détaillés sont consultables ici: http://site.ldh-france.org/hautsdeseine/files/2014/03/Resultats-Consultation-droit-de-vote-92.pdf
87% des répondants sont favorables au droit de vote des étrangers
La majorité d’entre eux – soit 48 sur 52 – sont des candidats de « gauche », qui ont affirmé ou réaffirmé leur positionnement favorable à l’octroi du droit de vote et d’éligibilité des résidents étrangers extracommunautaires aux élections municipales.
2 répondants s’affichent sans étiquette.
Les deux derniers sont des centristes, ce qui est une bonne chose.
Il est à noter que de nombreux dirigeants centristes et de la droite classique se sont déjà positionnés favorablement sur cette question, le dernier en date M. De Boishue, ancien ministre d’Alain Juppé, le 2 janvier dernier
8 répondants sur 60 s’expriment défavorablement
2 réponses défavorables émanent sans surprise de l’extrême droite.
La droite « classique » reste pour sa part très silencieuse. Seuls 6 candidats ont répondu, et leurs réponses sont toutes défavorables.
Peut-on y lire la volonté de ne pas ‘s’exprimer publiquement sur une question qui concerne une partie de la population de leur ville ? Ou encore la volonté de ne pas froisser un électorat qui serait défavorable à cette mesure ?
Au collectif, nous restons persuadés de la nécessité de notre mobilisation, qui depuis 20 ans n’a pas cessé. Le maintien des votations citoyennes a permis d’années en années de faire évoluer l’opinion publique favorablement, en insistant sur l’urgence démocratique que constitue cette question. Il est urgent de donner un nouveau souffle à notre démocratie vieillissante qui laisse de côté de nombreux acteurs de la vie locale.
En tout état de cause les 23 et 30 mars, beaucoup de parents d’élèves, d’acteurs associatifs de représentants syndicaux, d’ouvriers, d’employés, de chefs d’entreprises seront privés du droit de participer à la désignation de leur futur maire.
Le lien «indéfectible» posé par la Constitution entre la nationalité et la citoyenneté, souvent invoqué, a été infirmé par l’octroi du droit de vote et d’éligibilité aux élections locales et européennes aux résidents étrangers de l’Union européenne il y a plus de 20 ans. Certains d’entre eux seront d’ailleurs probablement élus dans les jours qui viennent.
Pourtant les quatre derniers Présidents de la Républiques se sont prononcés, durablement ou non, en faveur du droit de vote des résidents étrangers aux élections locales. Tous les responsables politiques même locaux ont ce devoir de participer à l’évolution de l’exercice démocratique, comme ce fut le cas en 1944 quand les femmes ont obtenu le droit de vote.
D’autres pays européens ont déjà engagés les marches du progrès et de l’égalité en accordant à leurs résidents étrangers le droit de vote aux élections locales voire plus.
Notre pays est-il condamné par l’immobilisme de ses élus à rester dans le peloton de queue des pays démocratiques en regard du progrès que constitue l’ouverture du droit de vote à l’ensemble de ses résidents ?
Pour éviter les clivages partisans habituels, le débat sur ce sujet devra gagner en hauteur et en sérénité. Aujourd’hui, il est urgent que le Président de la République engage un chantier sur les enjeux démocratiques et politiques liés au droit de vote en invitant des personnalités politiques, associatives et culturelles à le conduire. Ce processus permettra l’étude des pratiques dans les autres pays, la nécessité de revoir le modèle d’intégration, l’analyse de l’intérêt à ouvrir le droit de vote à tous les résidents pour conforter le lien économique, social, culturel entre tous les habitants de nos communes. Fort de ce travail, nos Assemblées et les élus seront prêts à examiner à nouveau un projet de loi constitutionnelle ouvrant le droit de vote et d‘éligibilité à tous les résidents étrangers aux élections municipales. Il faut rappeler que ce projet devra ensuite être adopté par le Congrès à la majorité qualifiée des 3/5ème des suffrages exprimés.
Pour cela il faudra dépasser le clivage politique actuel avec la conviction que l’égalité des droits et la citoyenneté pour tous les résidents qui participent à chaque instant à la vie économique et culturelle de nos communes est un atout pour la démocratie et qu’il sera un outil pour faire reculer la xénophobie et le racisme qui menacent notre pays.
A ces conditions, nous pouvons espérer qu’aux prochaines élections municipales de 2020, tous les résidents qui vivent la citoyenneté dans nos Cités pourront y participer sans discrimination et qu’ils pourront enfin voter.
Les résultats détaillés des réponses reçues sont consultables ici: http://site.ldh-france.org/hautsdeseine/files/2014/03/Resultats-Consultation-droit-de-vote-92.pdf
Les modalités de la consultation sont consultables ici:http://site.ldh-france.org/hautsdeseine/files/2014/03/Modalités-de-la-consultation.pdf
La section de Nanterre de la Ligue des droits de l’Homme et le comité local du MRAP de Nanterre vous invitent à la projection du documentaire réalisé par Yohan Malka pour Brut X , suivie d’un débat en présence de Bruno Jaffré, auteur d’une biographie de Thomas Sankara et Yali Sankara, rappeur et protagoniste du film.
MARDI 15 OCTOBRE 2024 à 19h
AGORA 20 RUE DE STALINGRAD
NANTERRE VILLE
Sur le site de la ville :Projection débat « Thomas Sankara le film » (nanterre.fr)
34 ans après son assassinat, le Président du Burkina Faso, Thomas Sankara, continue de fasciner. Véritable icône panafricaine, il est un symbole de l’anti-impérialisme et de la lutte contre la corruption d’Etat. A peine au pouvoir, il change le nom de son pays, la Haute-Volta devient le Burkina Faso (« pays des hommes intègres »).
Ses priorités sont : améliorer la situation sanitaire du pays, faciliter l’accès à l’éducation, développer l’agriculture, la production et l’artisanat local. Il se montre par ailleurs très en avance sur son temps sur des questions comme l’écologie et le féminisme. Entre images d’archives et enquête de terrain, se dessine peu à peu le portrait d’un chef d’État dont l’héritage résonne encore fortement au sein de la jeunesse africaine et de la diaspora.
Pour Brut, Yohan Malka a réalisé un documentaire sur une légende : Sankara. Thomas Sankara, ce n’est pas juste l’histoire d’un président africain. C’est une révolution qu’aucun autre chef d’État au monde n’a jamais osé mener. Une révolte anticapitaliste, féministe et écologiste au cœur de l’Afrique des années 80. Aujourd’hui, Sankara est devenu une icône pour des milliers de jeunes et inspire même des rappeurs comme Kalash Criminel ou Youssoupha.
Le film raconte cette histoire à la rencontre de ceux qui l’ont connu et de ceux qui continuent son combat.
Programme
19h accueil
19h15 projection
20h30 débat
21h30 pot de l’amitié
22h fin
Portrait de Mohamed Ben Said, coordinateur du collectif j’y suis j’y vote!
Mohamed Ben Said , citoyen des deux rives, L’Humanité, Emilien Urbach, 27 septembre 2024, p.28
Projection débat le 4 octobre
Les épisodes électoraux de l’année 2024 out été marqués par la présence de plus en plus forte de l’extrême-droite.
Sa présence dans les médias est de plus en plus oppressante.
Les ravages créés quand elle est au pouvoir dans certaines villes, comme Béziers, Perpignan, Orange, Hénin-Beaumont sont de plus en plus manifestes.
OUVRONS LES YEUX ! ALERTONS AUTOUR DE NOUS !
Le cas emblématique de Béziers fait l’objet du film récent du réalisateur Daniel Kupferstein « Béziers, l’envers du décor », qui présente notamment la démagogie et les manipulations auxquelles se livre l’organe municipal, » Le Journal du Biterrois », depuis sa prise en main par le maire Robert Ménard et son équipe d’extrême-droite aux élections municipales de 2014.
Daniel Kupferstein sera présent à l’Agora de Nanterre le vendredi 4 octobre 2024 de 18h. à 22h. pour présenter son film et en débattre avec nous !
Débat à l’initiative du MRAP et de la Ligue des Droits de l’Homme
AGORA 20 RUE DE STALINGRAD RER NANTERRE VILLE
Droit de vote des résidents : une question de démocratie et d’égalité
Le collectif J’y suis j’y vote, était présent à la fete de l’Humanité le samedi 14 septembre, sur le stand du PCF 92 en présence de Habiba Bigdade LDH, Mohamed Ben Said FTCR avec le témoignage de Jacqueline Belhomme maire de Malakoff militante sur cette question.
Merci a la présence et aux interventions et questions de qualité du public malgré la richesse de la programmation de la fête de l’Humanité.
Le collectif est à la disposition de tous pour porter cette revendication de progrès.
Notez le 26 avril 2025 journée internationale du droit de vote des résidents.
Communiqué
Le collectif J’y suis j’y vote ! rejoint l’appel pour que l’ensemble des forces politiques progressistes se mobilisent et proposent un front commun pour battre l’extrême-droite dans le cadre des prochaines élections législatives du 30 juin et 7 juillet 2024.
Le 26 avril dernier nous avons mobilisé toutes les forces de progrès pour que le droit de vote et d’éligibilité aux élections locales de toutes les résidentes et tous les résidents soit à nouveau porté et avons recueilli la signature de plus de 40 villes en France dans le cadre de l’appel européen pour une citoyenneté de résidence.
En France, depuis 1981 ce combat pour plus de démocratie figure dans tous les programmes présidentiels et législatifs des partis de progrès.
Aujourd’hui en 2024, l’opinion publique n’a jamais été autant favorable atteignant 66% des français interrogés*, grâce entre autres aux nombreuses mobilisations des associations et syndicats.
La démocratie ne sera complète que lorsque toutes les résidentes et tous les résidents pourront choisir celles et ceux qui les représentent et prennent les décisions, notamment au niveau local, qui concernent leur vie quotidienne. Il a fallu plus de 50 ans pour que le combat des femmes en France, pour voter, devienne réalité.
Nous appelons à ce que cette réforme figure dans le programme des candidats qui portent les combats en faveur d’une société démocratique, sociale et écologique, et de l’effectivité de tous les droits pour toutes et tous.
* sondage Harris interactive pour la lettre de la citoyenneté – Avril 2024
Le Collectif J’y suis j’y vote !
Paris le 17 juin 2024
Contact : ben-said2@wanadoo.fr – 06 86 78 78 65 – fede92@ldh-france.org – 06 63 60 44 19
Le 26 avril, journée internationale du droit de vote pour toutes et tous, Anne Hidalgo, Maire de Paris, a signé l’appel européen en faveur du droit de vote des résident.es étranger.es aux élections locales à l’initiative du réseau européen VRAR ( Voting rights for all residents) dont fait partie le Collectif français J’y suis j’y vote ! avec le soutien de ANVITA association des villes accueillantes.
Elle a rejoint la cinquantaine des premiers maires des villes européennes dont, en France, Jeanne Barseghian de Strasbourg, Eric Piolle de Grenoble, Didier Cujives de Paulhac, Jean-Philippe Gautrais de Fontenay-sous-Bois, Mohamed Gnabaly de l’Ile Saint Denis, Johanna Rolland de Nantes, Nicolas Mayer-Rossignol de Rouen, Jacqueline Belhomme de Malakoff, Azzedine Taibi à Stains ou encore Ali Rabeh à Trappes (Texte et liste complète en annexe).
En Allemagne, Martin Horn, Maire de Friburg, en Italie, Matteo Leopore, Maire de Bologne, en Suisse, Alfonso Gomez, Maire de Genève, au Royaume Uni, Nik Johnson, Maire de Peterborough.
La démocratie ne sera complète que lorsque toutes les résidentes et tous les résidents pourront choisir celles et ceux qui les représentent et prennent les décisions, notamment au niveau local, qui concernent leur vie quotidienne. Depuis plusieurs années (résultats en annexe), les sondages montrent que les Françaises et le Français sont favorables à la participation des résident.es étranger.es aux élections locales.
Le dernier en date d’avril 2024, montre que 66 % y sont favorables.
14 des 27 Etats de l’Union européenne accordent le droit de vote local à tous les résident.es étranger.es.
A l’occasion des élections européennes du 9 juin, le Collectif J’y suis J’y vote ! souhaite que les candidat.es des différentes listes républicaines s’expriment sur l’adhésion très majoritaire des Françaises et des Français au projet d’élargissement du suffrage local à tous les résident.es étranger.es afin qu’elles et ils portent et s’ils comptent porter cette réforme démocratique au sein du parlement européen pour que le droit de vote et d’éligibilité des résident.es étranger.es soit effectif dans tous les pays de l’Union Européenne.
* sondage Harris interactive pour la lettre de la citoyenneté – Avril 2024
« Nous, les villes signataires, considérons nos communes comme des espaces de mise en œuvre des droits de l’Homme et sommes convaincues qu’une démocratie vivante repose fondamentalement sur une participation active de tous, les habitants et habitantes de nos cités »
Les signataires de la déclaration
Marie-Hélène AMIABLE, Maire de Bagneux
Nadège AZZAZ, Maire de Chatillon
Jeanne BARSEGHIAN, Maire de Strasbourg
Jacqueline BELHOMME, Maire de Malakoff
Arthur BOIX-NEVEU, Maire de Barberaz
Sabine CAMPREDON, Maire du Percy
Luc CARVOUNAS, Maire d’Alfortville
Patrick CHAIMOVITCH, Maire de Colombes
Alexandra CORDEBARD, Maire de Paris 10è
Didier CUJIVES, Maire de Paulhac
Danielle DAMBACH, Maire de Schiltigheim
Michel DEMOLDER, Maire de Pont-Péan
Tony DI MARTINO, Maire de Bagnolet
Grégory DOUCET, Maire de Lyon
Christophe FERRARI, Maire de Pont-de-Claix, Président de Grenoble-Alpes Métropole
Yann GALUT, Maire de Bourges
Jean-Philippe GAUTRAIS, Maire de Fontenay-sous-Bois
Mohamed GNABALY, Maire de l’Ile-Saint Denis
Nadine GRELET-CERTENAIS, Maire de La Flèche
Mathieu HANOTIN, Maire de Saint-Denis
Anne HIDALGO, Maire de Paris
Mathieu KLEIN, Maire de Nancy, Président de la Métropole du Grand Nancy
Patrice LECLERC, Maire de Gennevilliers
Fabienne LEGUICHER, Maire de La Norville
Nicolas MAYER-ROSSIGNOL, Maire de Rouen, Président de la Métropole Rouen Normandie
Christian METAIRIE, Maire d’Arcueil
Xavier NORMAND, Maire de Castanet-Tolosan
Benoit PAYAN, Maire de Marseille
Éric PIOLLE, Maire de Grenoble
Carine PETIT, Maire de Paris 14è
Patrick PROISY, Maire de Faches-Thumesnil
Ali RABEH, Maire de Trappes
Jean-François ROCHEDREUX, Maires de Saliès
Johanna ROLLAND, Maire de Nantes
Abdel SADI, Maire de Bobigny
Stéphane SORRE, Maire d’Yquelon, Président CC Granville Terre & Mer
Azzedine TAÏBI, Maire de Stains
Stéphane TROUSSEL, Président du CD de la Seine-Saint-Denis
Cédric VAN STYVENDAEL, Maire de Villeurbanne
Communiqué de presse |
Conférence de presse du réseau VRAR et du collectif « J’y suis, j’y vote »
VENDREDI 26 AVRIL 2024 -11H
13-17 rue Sambre-Meuse Paris 75010 (près de la Place de la République)
Le collectif J’y suis j’y vote ! en partenariat avec le réseau européen VRAR (Voting Rights for All Residents) célèbrent la 4e édition de la journée internationale du droit de vote pour toutes et tous les résident.es à PARIS.
Le 26 avril a été choisi en référence au référendum « sauvage » pour le droit de vote des femmes en France organisé il y a 110 ans, le 26 avril 1914, à Paris et dans toute la France par des militantes féministes, soutenues par un quotidien Le Journal. Les luttes pour le droit de vote des femmes se poursuivirent en France entre les deux guerres mondiales mais il a fallu attendre une ordonnance de 1944 pour que les femmes françaises obtiennent le droit de vote.
En France, depuis plus de trente ans, de nombreuses associations et syndicats mènent le combat pour plus de démocratie. Malgré des promesses électorales et de nombreux sondages montrant une opinion favorable, la révision constitutionnelle nécessaire pour que toutes les résidentes et tous les résidents étrangers obtiennent le droit de vote n’a toujours pas eu lieu. Le traité de Maastricht en 1992 a accordé aux ressortissants européens résidant dans un autre Etat de l’Union européenne, le droit de vote aux élections municipales, mais pas aux autres résidents étrangers.
Avant le Traité de Maastricht, 14 pays européens avaient déjà engagé une démarche d’élargissement à tous les résident-es ; la France et les autres Etats retardataires doivent également permettre à toutes leurs résidentes et résidents d’être des citoyennes et citoyens à part entière.
La démocratie ne sera effective que si toutes les résidentes et tous les résidents peuvent choisir celles et ceux qui les représentent et prennent les décisions qui concernent leur vie quotidienne, notamment au niveau local. C’est pourquoi, le Collectif J’y suis j’y vote et le réseau VRAR associent en ce mois d’avril 2024 les luttes menées pour le droit de vote des femmes et celles menées pour le droit de vote des résidentes et résidents.
Le vendredi 26 avril 2024, des votations auront lieux partout en Europe :
– à Bruxelles esplanade de la commission européenne
– à Berlin, dans 3 districts
– et à Paris sur la place de la République de 14h 18h.
19h – Hôtel de Ville, salle du conseil municipal – Proclamation des résultats de la votation
Signature de l’appel des maires par Anne Hidalgo (à confirmer)
Le samedi 27 avril 2024, un colloque « Du droit de vote des femmes au droit de vote des ressortissant.es étrangèr.es » se tiendra au Palais du Luxembourg (voir programme joint) inscription obligatoire https://framaforms.org/inscription-colloque-droit-de-vote-des-residentes-27-avril-2024-1710501390
Le dimanche 28 avril 2024, de 10h à 15h, Déambulation, visite guidée sur les lieux parisiens du vote symbolique du 26 avril 1914
Contact : ben-said2@wanadoo.fr – 06 86 78 78 65 – 06 63 60 44 19
A l’occasion de la journée des Droits de l’Homme*, le 10 décembre 2021, la LDH, Ligue des Droits de l’Homme, met à l’honneur la monumentale fresque peinte sur la façade du Collège de Sèvres, par un rassemblement sur le Parvis Charles de Gaulle , face à la mairie entre 10h et 10h40, dans le respect des gestes barrière
En présence de :
Gilles Manceron, membre de la Direction nationale de la LDH,
Monsieur le Maire de Sèvres, Grégoire de la Roncière
Autour de l’artiste, Seb James
Informations plus précises sur la fresque
*La déclaration Universelle des Droits de l’Homme (DUDH) est adoptée par l’assemblée générale des Nations unies le 10 décembre 1948 à Paris, par les 58 Etats Membres qui constituaient alors l’Assemblée générale. La journée des droits de l’Homme est célébrée chaque année le 10 décembre.
La section LDH de Meudon Sèvres Clamart
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