« L’autre côté de l’espoir » Ciné-débat jeudi 16 novembre 20h30 aux Mureaux

Notre section est membre du Comité de soutien des Tilleuls de Triel sur Seine, qui s’associe à une initiative de Attac 78 Nord et du Collectif des Voisins Solidaires de Mezy (où il y a également un Centre d’Hébergement d’Urgence) pour une soirée Ciné- Débat sur le thème :

Rencontrer et accueillir les migrants

jeudi 16 novembre à 20h30

cinéma Frédéric Dard aux Mureaux

« L’autre côté de l’espoir »

film  de Aki Kaurismak

suivi d’un débat

« La bombe et nous » un Ciné-débat sur l’arme atomique

Le 7 juillet 2017 a été voté par les Nations Unies le traité d’interdiction des armes nucléaires.
50 ratifications sont nécessaires avant son entrée en vigueur.
Les questions relatives à l’arme atomique sont donc plus que jamais d’actualité.

Vendredi 27 octobre 2017 à 20h 30

Ciné-débat

 » la bombe et nous « 

en présence du réalisateur Marie-Xavier Baunot et du producteur associé Jean-Claude Bauduret

Cinéma Pandora

6, allée Simone Signoret 78260 Achères

Ce ciné-débat est organisé par le Mouvement de la Paix, ATTAC78/Nord et la section Poissy et environs de la Ligue des Droits de l’Homme


L’arme nucléaire a-t-il pris le dessus sur nous? Est-elle indispensable? Peut-on envisager un monde où il n’y a pas d’équilibre de la terreur ? L’arme nucléaire est-elle un gage de paix et de stabilité ? Ces questions tracassent l’ensemble de l’humanité avant même que ce dispositif ait vu le jour. Xavier-Marie Bonnot, le réalisateur, porte la réflexion sur l’actualité et l’avenir des armes nucléaires en invitant des militaires, scientifiques, historiens, hommes politiques…

Triel-sur-Seine 7 octobre : Le Comité de Soutien au Cenre d’Hébergement d’Urgence participe à la fête du Flan

Le Centre d’Hébergement d’Urgence (CHU) de Triel-sur-Seine

Il héberge aujourd’hui toujours environ 120 jeunes hommes seuls, majoritairement Soudanais et Afghans. Ce ne sont pas les mêmes qu’à l’ouverture à l’automne 2015, car au bout de quelques mois (6, 8,….), ils peuvent être amenés à partir soit du fait d’ un transfert vers une autre structure d’accueil (de type CADA : Centre d’Accueil de Demandeurs d’Asile), soit du fait de difficultés administratives ou de refus de leur demande. Il y a donc une rotation régulière des résidents.

Pour rappel, le centre est géré par la Croix-Rouge.

Nous venons d’apprendre que la localisation du CHU serait maintenue sur le même site probablement jusqu’au moins en 2019.

La plupart des résidents du CHU en est aux premiers stades de leur démarche de demande d’asile en France, avec deux grands cas de figures:

ceux qui n’ont pas encore pu déposer leur demande d’asile en France du fait de la procédure « Dublin » qui permet à un pays de l’Union Européenne de renvoyer les demandeurs d’asile, sans même étudier leurs demandes, vers le pays de l’Union par lequel ils sont entrés en Europe, la preuve de leur passage par le premier pays étant constatée par l’enregistrement des empreintes digitales dans le fichier Eurodac. En conséquence, les personnes dites « dublinées » doivent attendre au minimum 6 mois pour pouvoir déposer une demande d’asile en France. Pendant cette période, elles sont dans la plus grande incertitude, avec la crainte constante d’être assignées à résidence, voire mises en rétention, et de se voir notifier et exécuter leur transfert vers le premier pays par lesquelles elles sont rentrées en Europe. Si elles ne se présentent pas à une convocation, elles peuvent être déclarées en fuite et devoir attendre 18 mois pour espérer pouvoir reformuler une demande d’asile en France.
ceux qui ont pu, vont pouvoir,ou ont déjà pu déposer leur dossier de demande d’asile à l’OFPRA, dont l’instruction peut demander plusieurs mois. Très peu de résidents dans le CHU ont déjà obtenu le statut de réfugié, ce qui normal car il s’agit d’un Centre d’Hébergement d’Urgence.

Un certain nombre d’actions continuent sous la houlette de notre Comité :

Cours de Français organisés par le Secours Catholique
Permanences administratives tous les vendredis de 17h30 à 19h30 sur la Péniche amarré à Triel, destinée à amener une aide complémentaire aux démarches administratives
Café-Voisins tous les 1ers samedi du mois à 14h dans le garage à l’entrée du CHU, qui est l’occasion d’une rencontre conviviale entre réfugiés, riverains….
– autres initiatives diverses : visites de Triel pour les « nouveaux », visites,……. sont toujours les bienvenues

Information et demande de soutien.

Comme la Fête du Flan à Triel aura lieu cette année le 7 octobre, l’initiative a été prise de prendre un stand pour le Comité de Soutien des Tilleuls, et d’y tenir le Café-Voisins. Les objectifs sont :

– permettre aux réfugiés de lier connaissance avec d’autres personnes
– donner des informations au public sur leur situation et les actions de notre Comité
– récolter un peu d’argent pour notre cagnotte qui sert au Café voisins et diverses actions, en vendant divers objets

N’hésitez pas à passer à ce stand (rue du Pont, à côté de la pharmacie), à toute heure, mais plus particulièrement entre 14h et 15h30 pour le Café-Voisins

Si vous avez des objets à donner pour qu’ils soient vendus au bénéfice de la cagnotte (la Fête du Flan est une brocante), en bon état et en quantité modéré, vous pouvez les déposer aux heures d’ouvertures au
bureau des Nouvelles des Deux Rives au 50 rue des Créneaux à Triel du lundi au samedi (il est toujours préférable de téléphoner au 06 79 69 51 50)

Carrières sous Poissy : cette nuit, 32 personnes expulsées ont passé la nuit dans la rue !

La section de Poissy et environs de la LDH se fait l’écho du communiqué de RomYvelines du 22 septembre 2017 :

Communiqué Romyvelines

Le collectif Romyvelines demande à l’Etat de leur proposer un hébergement stable ou, à défaut, de les autoriser à s’installer sur un terrain.

Une quarantaine de personnes ont été expulsées d’un bidonville de Carrières sous Poissy le 30 août dernier.

Elles ont été hébergées 15 jours en hôtels jusqu’au 13 septembre (la majorité en Seine et Marne et deux familles à Bois d’Arcy).

Le 14 septembre, quelques familles ont vu leurs hébergements renouvelés pour une semaine, mais avec changement de ville (quelques familles à Alfortville et une autre en Seine Saint Denis).

Quant aux familles dont l’hébergement n’avaient pas été renouvelé, elles avaient consigne d’appeler le 115. Mais, malgré leurs multiples appels et du fait de la saturation de ce dispositif, ces familles n’ont obtenu aucun hébergement par le 115; elles ont été hébergées une nuit par des bénévoles, quelques nuits chez des proches, puis la rue….

Hier 21 septembre, les familles dont l’hébergement avait été prolongé d’une semaine ont également été remises à la rue. Malgré leurs appels au 115, aucune proposition d’hébergement ne leur a été faite.

Ces familles, celles mises à la rue le 14 et le 21 septembre, sont revenues hier après-midi aux abords de leur ancien bidonville. La police municipale leur a interdit de reconstruire le moindre abri. Les familles ont donc décidé de dormir sur place. La police nationale et un représentant des renseignements territoriaux sont venus en renfort. Ils ont compté 32 personnes dont 16 enfants et 16 adultes.

Des membres de Romyvelines, alertés, ont appelé la Sous préfecture, en vain. Aucun responsable n’était joignable.

Les familles se sont préparées à passer la nuit à même le sol. Quelques voisines et une responsable du Secours populaire ont apporté des boissons, des biscuits et des couvertures.

Pourquoi l’Etat a-t-il expulsé ces familles alors qu’il était prévisible qu’il allait les mettre au bout de 2 ou 3 semaines à la rue ?

Le collectif Romyvelines réitère sa demande qu’un hébergement stable soit proposé à toutes ces familles, ou à défaut qu’elles soient autorisées à s’installer sur un terrain jusqu’à ce qu’elles puissent accéder à un logement ou à un hébergement stable.

Voir sur le site de RomYvelines

Les personnes expulsées le 30 août vont-elles être mises à la rue ? Communiqué Romyvelines du 14 septembre 2017

Une quarantaine de personnes ont été expulsées de leur bidonville mercredi 30 août à Carrières sous Poissy. Parmi elles de nombreux enfants et au moins deux adultes handicapés. Elles ont été hébergées pendant 15 jours par l’Etat dans des lieux d’hébergement provisoires éloignés. Aujourd’hui elles n’ont aucune garantie que leur hébergement soit prolongé au delà des 15 premiers jours.
 
L’hébergement des personnes en situation de détresse est un droit en France. Il l’est d’autant plus que cette détresse a été aggravée par l’Etat qui les a expulsées. La scolarisation des enfants est un droit. La domiciliation de toute personne sans domicile aussi.
 
Nous demandons solennellement à Monsieur le Sous Préfet de Saint Germain, à Monsieur le Préfet de Région, à Monsieur le Maire de Carrières sous Poissy que ces personnes soient hébergées de manière stable, et domiciliées, pour leur permettre de scolariser leurs enfants et de poursuivre leurs démarches d’insertion (recherche d’emploi, formation professionnelle, soins pour celles dont l’état le nécessite), afin qu’elles puissent dès que possible accéder à une logement autonome.   
 
Pour tout contact:
Annick Omond annick.omond@orange.fr tel 06 80 43 89 75
Anne Laforgue anne.laforgue@orange.fr tel 06 32 68 01 41
Jean-Pierre Bercovici jeanpierre.bercovici@secours-catholique.org tel 06 03 85 44 98

Communiqué-bilan du collectif Romyvelines après les expulsions des bidonvilles de Carrières sous Poissy et Triel du 30 août.

Voici le communiqué-bilan du collectif Romyvelines dont la LDH est membre, après les expulsions des bidonvilles de Carrières sous Poissy et Triel du 30 août.
Encore beaucoup de problèmes à régler:
– sécurisation des conditions de vie, accompagnement et relogements pour les familles regroupées sur le petit terrain de Triel.
– prolongation et stabilisation de l’hébergement pour les familles expulsées de Carrières.
Quant aux familles parties d’elles-mêmes avant expulsion, elles vont vraisemblablement se  réinstaller dans des communes voisines (ou le sont déjà).

COMMUNIQUE              Triel sur Seine, le 10 septembre 2017

Expulsion partielle des bidonvilles de la plaine au bout de près de 10 ans : tout n’est pas réglé !

Des familles roumaines pauvres ont vécu depuis fin 2007 en habitat précaire (caravanes vétustes ou cabanes) sur différents sites de la plaine à Triel, Chanteloup (en 2008-2009) et plus récemment Carrières sous Poissy.

Le collectif inter-associatif Romyvelines s’est créé en 2008 pour les soutenir dans l’accès difficile à leurs droits : droit au travail jusqu’à la fin des mesures transitoires en janvier 2014, droit au séjour, domiciliation, accès aux soins, accès à la scolarisation -après l’intervention du « Défenseur des Droits » sur demande du Collectif-, accès à l’emploi, accès à l’hébergement et au logement.

Après une première période d’hostilité des pouvoirs publics, une relation positive s’est instaurée avec certaines administrations et collectivités. Des enfants ont été scolarisés à partir de 2009 dans les écoles de Triel, une MOUS (maitrise d’oeuvre urbaine et sociale) a été mise en place par la Sous préfecture de Saint-Germain de 2013 à 2016 pour accompagner les familles vers l’emploi et le logement, un bus scolaire a été mis en place à partir de 2014 et la domiciliation à la mairie de Triel à partir de 2014.

De 2013 à 2016, plusieurs dizaines d’adultes ont accédé à l’emploi et plus de 20 familles ont pu accéder au logement social, en suivant les procédures de droit commun.

Fin 2016, l’Etat n’avait plus d’argent pour poursuivre la MOUS, et par ailleurs les collectivités locales ont développé des projets d’utilisation de la plaine.

Le démantèlement des bidonvilles a alors été décidé, notamment justifié par la pollution des sols.

Les familles installées sur Triel et proches de l’insertion, ont bénéficié de la poursuite d’un accompagnement social vers le logement.

A ce jour, ce sont 34 familles logées depuis 2013. Mais les autres (plus éloignées de l’insertion ou installées sur Carrières sous Poissy) n’ont bénéficié que d’un diagnostic social préalable à l’expulsion.

Le collectif Romyvelines a multiplié les démarches envers les administrations et les élus pour demander que des solutions soit de relogement, soit d’hébergement stable soit proposées à l’ensemble des familles.

Le démantèlement, repoussé notamment suite à notre mobilisation en juillet, a finalement eu lieu le 30 août.

A Triel, seul le grand bidonville du Chemin Vert a été démantelé. Le petit terrain, proche du rond point sur lequel vivaient quelques familles a été préservé avec le projet d’en faire un terrain provisoire d’insertion pour permettre à des familles d’y vivre en attendant qu’elles soient prêtes à accéder au logement. Les familles qui restaient sur le grand bidonville sont donc venues s’y installer le 29 août.

Si nous approuvons que ce terrain devienne un terrain d’insertion, nous regrettons que l’installation de ses nouveaux habitants ait dû se faire dans la précipitation et sans aménagement préalable.

Compte tenu des circonstances précipitées, nous demandons que des moyens puissent être trouvés au plus vite pour la viabilisation de ce terrain.

Par contre les occupants des bidonvilles de Carrières sous Poissy n’ont eu que le choix entre partir avant l’expulsion ou se faire expulser.

– Une quarantaine de personnes dont de nombreux enfants et au moins deux adultes handicapés, ont été expulsés et emmenés en car, le 30 août, vers des lieux d’hébergement provisoires éloignés. Nous sommes extrêmement inquiets pour eux, car nous n’avons aucune garantie que leur hébergement soit prolongé au delà des 15 premiers jours.

Naturellement du fait de cette situation de rupture et d’incertitude, les enfants n’ont pas pu faire de rentrée scolaire et les démarches d’insertion des parents sont désorganisées.

Nous n’avons pas de nouvelles précises de ceux qui sont partis quelques jours avant l’expulsion, mais on peut supposer qu’ils se sont réinstallés dans d’autres communes des environs, au risque d’être à nouveau expulsés.

Romyvelines réitère son objectif :

Pas de démantèlement ni expulsion de bidonville sans solution viable
pour toutes les familles.

Pour tout contact: romyvelines@hotmail.fr

Annick Omond annick.omond@orange.fr tel 06 80 43 89 75

Anne Laforgue anne.laforgue@orange.fr tel 06 32 68 01 41

Jean-Pierre Bercovici jeanpierre.bercovici@secours-catholique.org tel 06 03 85 44 98

Adresse postale: collectif Romyvelines c/o Ligue des droits de l’Homme MCSA, 2 boulevard Robespierre    78 300 Poissy.

Expulsion programmée des bidonvilles de la plaine

Notre section LDH est membre depuis 2008 du collectif Romyvelines qui s’est mobilisé pour l’accès aux droits de familles majoritairement de nationalité roumaine et de culture rom qui vivent en bidonville dans la plaine de Triel (78510).
Après des premières années marquées par un harcèlement administratif et policier, les pouvoirs publics ont mis des moyens pour aider les personnes à accéder aux droits, et au logement pour certaines, même si les conditions de vie dans le bidonville n’ont jamais été améliorées.
Comme nous le craignions depuis plusieurs mois, la préfecture a décidé l’expulsion de deux à trois cents personnes, alors qu’un relogement ou un hébergement durable n’est garanti qu’à une minorité d’entre elle, bafouant ainsi le droit au logement et à des conditions de vie dignes de ces personnes.
N’hésitez pas à pas à le faire connaitre largement autour de vous.

Incendie sur le bidonville de Triel, 2 mois avant son démantèlement annoncé: le collectif Romyvelines communique.

Les préfectures de la région Ile de France et des Yvelines ont annoncé depuis plusieurs mois que le bidonville de Triel sur Seine serait démantelé cet été, mais qu’une solution de logement ou d’hébergement serait proposée à chaque famille.
Malgré la mobilisation des familles et des travailleurs sociaux qui les accompagnent, le rythme avec lequel les familles accède au logement reste très limité, notamment du fait  de la situation, connue de tous, de pénurie de logements sociaux en Ile de France.
Mardi 16 mai, un incendie a ravagé une partie du bidonville, ne faisant heureusement ni mort ni blessé, mais laissant 20 familles (70 personnes) sans abri. Après que les sinistrés aient été accueillis une soirée dans un gymnase, les solidarités familiales et amicales ont permis de les mettre tous à l’abri, dans des conditions de sur-occupation des logements, caravanes ou baraquements ne pouvant se prolonger au delà de quelques jours.
Une famille a été relogée par son employeur. Certaines familles se ré-installent sur le bidonville.
Le Sous Préfet de Saint Germain a proposé aux familles sans solution d’être hébergées par l’intermédiaire du service départemental de l’hébergement d’urgence (115). Une trentaine de sinistrés ont demandé à en bénéficier. Il s’avère que les propositions d’hébergement faites sont bien inférieures en nombre aux besoins, et, de plus, situées dans des communes éloignées des lieux de travail ou de scolarisation des personnes sinistrées, et difficilement accessibles par les transports en commun. A ce jour, une seule famille a pu accéder à un hébergement d’urgence. Nous constatons que cette famille a pu accepter cet hébergement parce qu’elle dispose d’une voiture qui permet à ses membres actuellement en formation professionnelle de continuer à y aller, et qu’elle n’a pas d’enfant.
Nous demandons aux pouvoirs publics de proposer dès que possible des solutions d’hébergement stable aux familles qui en ont fait la demande, soit en mobilisant plus de places d’hébergement, soit en permettant qu’un terrain soit aménagé pour pouvoir recevoir des caravanes ou mobil’home ou autres habitations légères où pourront vivre les sinistrés jusqu’à leur accession au logement. Nous demandons que la continuité de la scolarisation des enfants soit assurée, avec appui aux démarches de changement d’établissement scolaire si besoin.
Nous nous interrogeons avec inquiétude: comment le service d’hébergement d’urgence qui n’a pas la capacité d’accueillir les 30 sinistrés qui en ont fait la demande pourra accueillir un nombre beaucoup plus important de personnes lors du démantèlement prévu en juillet?
Nous exhortons les pouvoirs publics à repousser l’échéance du démantèlement, ou a prévoir un lieu d’hébergement qui pourra accueillir toutes les familles concernées qui le souhaiteront depuis le démantèlement jusqu’à leur relogement.
Dans l’immédiat, nous invitons chacun à apporter son soutien aux familles qui ont tout perdu dans l’incendie du 16 5 2017, notamment en participant à la collecte organisée par notre collectif: https://www.leetchi.com/c/solidarite-suite-incendie-triel
 
Collectif Romyvelines, le 22 05 2017
Pour tout contact:
Anne Laforgue anne.laforgue@orange.fr tel 06 32 68 01 41 
Jean-Pierre Bercovici jeanpierre.bercovici@secours-catholique.org tel 06 03 85 44 98

Incendie au bidonville de Triel : Appel à solidarité financière

Plusieurs familles ( 71 personnes) ont tout perdu dans l’incendie qui, ce 17 mai, a détruit de nombreuses caravanes et abris de fortune sur le bidonville de Triel.

Plusieurs familles sont actuellement sans papiers, sans argent, sans toit.

La sous-préfecture à demandé des hébergements d’urgence pour ces personnes, mais à ce jour seulement deux hébergements ont été trouvés.

La section locale LDH de Poissy et ses environs soutient la cagnotte à l’initiative du collectif RomYvelines pour exprimer notre soutien à ces familles.

La page de RomYvelines est ici

L’accès direct à la cagnotte est ici.