Un tribunal de Téhéran a condamné à mort, dimanche 13 novembre une personne accusée d’avoir participé « aux émeutes ».
Selon le verdict qui le condamne à la peine capitale, ce manifestant, présenté comme un « ennemi de Dieu et corruption sur terre », est jugé coupable « d’avoir incendié un bâtiment gouvernemental, de trouble à l’ordre public, de rassemblement et conspiration en vue de commettre un crime contre la sécurité nationale ».
D’après le droit iranien, la peine de mort peut s’appliquer à une longue liste d’infractions : crimes, viols, mais aussi outrage au prophète de l’islam
ou diffusion de la corruption sur terre
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