C’est TOUJOURS le même schéma : on vous jure que c’est pour traquer les terroristes et à l’arrivée on espionne les opposants et les journalistes.
C’est TOUJOURS le même schéma : on vous jure que c’est pour traquer les terroristes et à l’arrivée on espionne aussi les opposants et les journalistes.
De longue date, le maire de Nice entretient des liens étroits avec l’industrie israélienne de l’hyper surveillance. Le cinq avril 2017, nous dénoncions les relations entre la mairie de Nice et le lobby sécuritaire israélien, ici : https://site.ldh-france.org/nice/2017/04/05/lobby-securitaire-franco-israelien-tient-congres-a-nice/
Véritable commis voyageur de cette industrie, le maire de Nice a organisé en mars 2017 un colloque destiné à promotionner l’industrie de la surveillance israélienne : « Elnet France, réseau qui travaille au renforcement des relations bilatérales entre la France et Israël […] entre autres des spécialistes français et israéliens autour des questions de sécurité » et en présence de M. Yoram Cohen « ancien directeur des services de la sécurité intérieure d’Israël «
(Nice-Matin 23-03-2017)
Le dernier colloque en date, toujours à Nice, en décembre 2019 ; ici le programme (alléchant !) : https://www.nicecotedazur.org/actualite/2019/12/04/4%C3%A8me-%C3%A9dition-du-colloque-safe-smart-city
Partager la publication "Projet Pegasus : Christian Estrosi et l’industrie israélienne de la surveillance"