Un an après son lancement, le dispositif spécifique mis en place pour les travailleurs étrangers « en première ligne » durant la crise sanitaire a abouti à la naturalisation de 12 012 personnes. Une procédure qui « masque le durcissement politique » qui s’exerce par ailleurs sur « l’accès aux droits des personnes étrangères installées en France », déplorent les associations.