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Pendant le confinement, de nombreux habitants des villes ont été fascinés par la réapparition d’animaux et de plantes sauvages là où ils avaient disparu. Certains y ont vu le signe que la présence humaine était nécessairement mauvaise pour les autres vivants. Prenant le contrepoint de cette conception manichéenne, Marie Négré-Desurmont nous invite plutôt à réapprendre à avoir des égards pour nos milieux et pour les autres vivants.
Une réflexion fort intéressante piochée sur le site du magazine SOCIALTER à lire ICI.