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LyonConfluences
de la Ligue des Droits de l’Homme

Mobilisée depuis plus de 120 ans, la #LDH a été particulièrement active dans le contexte liberticide de ces derniers mois. Vous non plus, ne restez pas impuissant face au recul de vos droits et libertés : liguez-vous ! ⤵ Adhérer

Meeting contre les violences policières

Meeting contre les violences policières ce jeudi 11 janvier, jour du procès de « l’Affaire Legay » à la Bourse de Travail de Lyon. Tables rondes, diverses interventions.

Toujours pas de places d’hébergement ouvertes sur la Métropole et Lyon

Toujours pas de places d’hébergement ouvertes sur la Métropole et Lyon ! Le plan Grand Froid démarre mardi, impossible de penser ces familles à la rue lundi !

Alors qu’une grande vague de froid arrive sur Lyon en début de semaine, aucune solution n’a été trouvée pour les 56 enfants qui dormaient dans les écoles occupées et qui sont hébergés le temps des vacances par la Ville. Leur remise à la rue est annoncée pour lundi matin. 

le réseau « Jamais Sans Toit » appelle à un rassemblement lundi 8 janvier à 7h

devant l’hôtel CISL au 103 Bd des États-Unis, Lyon 8e

Venez soutenir le collectif JAMAIS SANS TOIT

L’affaire Geneviève Legay le 11 janvier à Lyon

Geneviève Legay, militante d’ATTAC, âgée de 73 ans à l’époque des faits, a été gravement blessée par une charge policière lors d’une manifestation des gilets jaunes, en 2019, à Nice. Après dépaysement de l’affaire, le commissaire de police qui avait ordonné la charge a été renvoyé devant le tribunal correctionnel de Lyon. L’audience, initialement programmée le 13 octobre 2023, a été reportée au 11 janvier 2024. Il s’agit d’un procès historique contre les violences policière puisque c’est la première fois, depuis des décennies, qu’un donneur d’ordre sera jugé. 

Toute la journée du 11 janvier, à la Bourse du travail de Lyon, place Guichard, Attac organise une rencontre, avec la participation de collectifs et associations dont la LDH, où se succèderont témoignages et interventions sur les violences policières ainsi que sur les revendications pour en finir avec elles. 

Toutes les sections LDH du Rhône sont appelées à se mobiliser pour cette importante journée.

Ayons le courage d’opposer à la restriction des libertés, un véritable sursaut citoyen

La section LDH Lyon Confluences refuse cette loi indigne sur l’asile et l’immigration, loi de la honte, contraire à nos valeurs démocratiques et à la devise de la République. Elle s’associe à la demande solennelle de ne pas la promulguer et vous invite à signer la pétition.

Plus de 150 organisations, dont la LDH, appellent à une mobilisation citoyenne pour dénoncer la loi qui remet en cause des principes républicains fondamentaux. 

Tribune publiée dans Libération le 24 janvier 2023

« Le 19 décembre dernier, le Sénat et l’Assemblée nationale ont adopté à la majorité le projet de loi immigration. Cette adoption va dans le sens d’une remise en question sans précédent des valeurs républicaines. Instauration de quotas migratoires, conditionnement d’aides sociales à cinq ans de séjour régulier, conditionnalité de l’aide publique au développement, durcissement des conditions d’accès à la nationalité, mise en place d’une caution pour les étudiants étrangers sont autant de lignes rouges qui sont franchies. Ironie du sort, le texte va jusqu’à conditionner l’obtention d’un titre de séjour au respect des principes républicains à l’heure où nous nous nous en éloignons.

Au-delà de s’en prendre drastiquement au droit des étrangers, cette loi vient compliquer encore davantage le travail mené par les salariés et les bénévoles de nombreuses associations et structures de l’économie sociale et solidaire qui interviennent en aide aux plus démunis. Ainsi, la loi prévoit des restrictions à l’hébergement d’urgence pour les personnes qui sont visées par une obligation de quitter le territoire, entravant plus encore la tâche pour les structures qui luttent contre la précarité. Ce n’est pas aux associations de cautionner la préférence nationale !

Les acteurs de terrain ont toujours été force de proposition pour renforcer l’intégration des immigrés, enjeu majeur pour une société à réconcilier et rendu plus difficile par la loi votée. Au lieu de se saisir de leur expertise pour apporter des solutions concrètes et utiles, les parlementaires ont fait le choix de céder aux sirènes d’une extrême droite – qui se gargarise aujourd’hui d’une «victoire idéologique» – quitte à remettre en cause des principes républicains fondamentaux.

L’immigration irrigue et enrichit la France.

La situation n’est plus soutenable. Là où nous devrions combattre la xénophobie et le populisme, là où nous devrions donner à voir que l’immigration irrigue et enrichit la France, là où nous devrions chercher à réconcilier les Françaises et les Français, cette loi n’ajoute que de la division. Elle s’inscrit dans un contexte global où chaque jour nous tirons la sonnette d’alarme sur le déclin de nos libertés et sur le renoncement à nos principes fondamentaux.

Plus que jamais, il devient urgent de réinvestir le politique et d’opposer des solutions concrètes aux discours réactionnaires. Les associations offrent cette possibilité de traduire en actes des valeurs politiques mais elles ne sont pas seules. Partout autour de nous, il existe des espaces où se mobiliser. Alors, soyons intransigeants et surtout, ne nous résignons pas à perdre la bataille culturelle.

Le drame de cette loi est qu’elle continue à ajouter de la division et de l’autoritarisme là où nous devrions travailler au rassemblement et à la consolidation de notre démocratie. Ayons le courage d’opposer à la restriction des libertés, un véritable sursaut citoyen. Ayons le courage que la majorité des parlementaires n’a pas eu en ce 19 décembre. »

Refus de subvention à Alternatiba

La préfecture du Rhône tente de museler la société civile en refusant une subvention du FDVA à Alternatiba_Rhône alors même qu’un jugement récent confirme que la formation à la désobéissance civile ne justifie pas le retrait de subvention

Dimanche solidaire le 17 décembre Collectif soutiens/migrants Croix-Rousse

De : Collectif Soutiens/Migrants Croix-Rousse<soutiens.chezgemma@framalistes.org>

La 13e édition des Dimanches solidaires organisés par le Collectif soutiens/migrants Croix-Rousse en soutien aux mineur.e.s étranger.ère.s isolé.e.s de Lyon, aura lieu dimanche prochain, le 17 décembre, de 12h à la tombée de la nuit !

La situation est absolument catastrophique ces derniers temps : plus de 100 jeunes sans hébergement, autant en squat. Nous avons besoin de votre solidarité pour poursuivre nos actions auprès d’elles et eux !

Comme pour la dernière édition, les festivités auront lieu dans la Montée de la Grande Côte, au niveau de la K’fête ô Mômes.

Au programme : de la musique avec un open mic des jeunes et un set de Wq-Productions, de la danse, une buvette, de la soupe au chaudron, du vin chaud, crêpes et gâteaux (n’hésitez pas à en apporter !)… et des échanges autour de la situation des mineur.e.s isolé.e.s étranger.ère.s à Lyon !

Comme d’habitude, l’ensemble des dons et recettes seront reversés au Collectif soutiens/migrants Croix-Rousse et utilisés pour les dépenses quotidiennes des jeunes (alimentation, hygiène, etc.) D’avance merci pour votre solidarité !

Si vous souhaitez nous soutenir mais ne pouvez pas venir faire la fête avec nous dimanche, n’hésitez pas à diffuser cet événement : https://fb.me/e/30SaP8Jsb , et la cagnotte du collectif : https://www.helloasso.com/associations/exile-es-soutiens-lyon/formulaires/1

Collectif soutiens/migrants Croix-Rousse
lecollege@riseup.net
Twitter : @SoutiensCroix
Facebook : @soutiensmigrantscroixrousse
Instagram : @collectif_soutiens_migrants_xr
https://collegemauricesceve.org

RETRAIT DU PROJET DE LOI DARMANIN

MANIFESTATION LUNDI 18 DÉCEMBRE À 18h30 PLACE BELLECOUR

Cette loi est une attaque en règle contre les droits et les libertés des personnes exilées, car, pour le gouvernement, elles sont la source de tous les problèmes. Nous le répétons avec les Collectifs de Sans-Papiers. Ce sont les politiques racistes et anti-migratoires qui nous mettent en danger. Pas l’immigration.

Nous le répétons avec les syndicats. C’est la destruction des acquis sociaux qui crée la précarité et le dumping social. Pas l’immigration. Nous le répétons avec les associations du droit au logement. Ce sont les politiques publiques du logement cher qui alimentent le sans-abrisme et la crise du logement. Pas l’immigration. Nous le répétons avec les professionnels de la santé. C’est l’absence de soins qui favorisera les prochaines épidémies. Pas l’immigration. Nous le répétons avec les associations. Ce sont les attaques contre les libertés, dont la liberté de circuler, qui développent une société en tension. Pas l’immigration. Nous le répétons avec les chercheurs et chercheuses. C’est la misère, l’atomisation et l’absence d’avenir qui créent la délinquance. Pas l’immigration.

LE PROJET DARMANIN : LA FABRIQUE DES SANS PAPIERS

Le gouvernement poursuit sa politique d’immigration jetable : être régularisé·e… le temps d’un contrat de travail… puis de nouveau sans papiers, sans droits ni au chômage, ni au logement, ni à la Sécu. Cette fabrique de sans-papiers va de pair avec la généralisation de la précarité pour tous et toutes : destruction de l’assurance chômage, des droits à la retraite, du droit à l’enseignement pour tous les jeunes. C’est la même politique de répression que le gouvernement utilise contre les mobilisations en défense des droits sociaux du monde du travail.

UN DISCOURS MENSONGER POUR JUSTIFIER UN PROJET DE LOI XÉNOPHOBE ET RÉPRESSIF

  • Ce projet conditionne l’obtention du titre de séjour à l’intégration de la personne dans la société. Mais comment s’intégrer sans titre de séjour ?
  • Ce projet propose des titres de séjours « métiers en tension ». Mais les préfectures ont déjà le pouvoir de régulariser les travailleurs et travailleuses sans papiers.
  • Ce projet propose de supprimer l’Aide Médicale de l’État aux personnes sans papiers qui n’ont déjà pas d’autre moyen de se soigner que d’aller aux services d’urgence des hôpitaux.
  • Ce projet propose de supprimer les droits à l’hébergement. Mais comment s’intégrer quand on dort à la rue ?
  • L’asile, ce n’est pas de l’immigration. Mais comment garantir le droit d’asile si les bureaux de l’OFPRA (qui devient France Asile) sont rattachés aux préfectures ?
  • Ce projet propose de faciliter l’expulsion des étrangers considérés comme indésirables. Mais comment s’intégrer quand toute divergence d’idée avec le pouvoir constitue un délit ?

Pour ce gouvernement, il ne suffit plus de bannir les personnes exilées, il veut mettre leur vie en danger. Le simple fait d’être exilé rend suspect. Et cela justifie la restriction des libertés fondamentales.

UNITÉ POUR LE RETRAIT DU PROJET DE LOI DARMANIN

POUR:

  • une régularisation large,durable et immédiate pour toutes et tous
  • le droit d’accès au travail et au logement pour toutes et tous
  • la liberté de circulation et d’installation pour toutes et tous
  • la fermeture des Centres de Rétention Administrative (CRA)
  • le respect de la présomption de minorité et la mise à l’abri des personnes mineures, isolées ou non.

Collectifdesoutienauxréfugié·esetmigrant·esLyon-69
CSP-69, Alternatiba/ANV 69, ATTAC 69, CGT Vinatier, CGT-Éduc’Action 69, Union Départementale CGT, Union Départementale CNT, Union départementale CNT-SO 69, Collectif Intersquats exilé.es 69, Collectif soutien migrants Croix-Rousse-Collège sans frontières, Collectif des étudiantEs étrangerEs, Collectif 69 Palestine, Cimade, CUM, Émancipation-69, FSU 69, LDH 69, Collectif Africain LGBTI de Lyon 2MSG, RESF-69, Union Syndicale Solidaires 69, Solidaires EtudiantEs, Solidaires Retraités 69, SUD santé sociaux 69, UJFP Lyon, EELV 69, Ensemble!, L’insurgé, Lutte Ouvrière, MJCF 69, Nouveau Parti Anticapitaliste, Parti de Gauche 69, PCF, Union Communiste Libertaire Lyon, MAN,…

Contact : collectifrefugie69@laposte.net https://www.facebook.com/soutienmigrants69/

Les Illuminations ? une saison en enfer pour les 331 enfants sans toit de la métropole de Lyon

Alors que la ville de Lyon s’apprête à accueillir près de 2 millions de touristes pour les illuminations, plusieurs centaines d’élèves condamnés à dormir dehors vivent une saison en enfer. 

À Lyon, les lumières du 8 décembre n’ont pas le parfum de la cire des bougies, ni la chaleur ou le crépitement d’un feu de bois. Elles semblent devenues indifférentes et insensibles. A l’heure où les visiteurs affluent pour célébrer la protection passée d’une sainte, il est important de rappeler l’immense vulnérabilité de nombreux enfants dans notre ville. 

L’hiver dernier, le ministre délégué au logement s’était engagé devant la représentation nationale et les associations à ce qu’« aucun enfant ne dorme à la rue ». Cette promesse n’a pas été tenue et dès la rentrée scolaire, les compteurs ont explosé partout en France. Malgré l’alerte du secteur associatif, des maires de grandes villes et de parlementaires de tous bords, le gouvernement refuse encore de créer 10 000 places d’hébergement pour parer à l’urgence.

Les solutions officielles tardent à venir

À ce jour, le collectif  Jamais Sans Toit recense 331 enfants sans solution d’hébergement officielle (parmi eux 36 ont moins de trois ans), dont 176 dans la seule ville de Lyon. C’est 30 % de plus que l’an dernier à la même date. Certes, les plus « chanceux » d’entre eux peuvent compter une nouvelle fois sur la mobilisation de la communauté éducative (parents d’élèves, enseignants, personnel périscolaire) et les gestes de solidarité des riverains et des commerçants pour leur porter secours. Ainsi, un tiers des enfants sans toit de Lyon trouve refuge chaque nuit dans 10 établissements scolaires. Ils peuvent y dormir au chaud, en toute sécurité, en attendant que les pouvoirs publics leur trouvent une solution d’hébergement comme la loi les y oblige. 

Faire la lumière sur le scandale des enfants à la rue 

A l’occasion de la Fête des Lumières, les comités de soutien fédérés au sein du collectif Jamais Sans Toit ont donc imaginé un itinéraire bis de déambulation à travers la ville ; un circuit avec ces mots inscrits sur des banderoles faites à partir de vieux draps en coton, qui évoquent la chaleur d’un lit, d’un moment de repos. 

Il est urgent de faire la lumière sur ces situations dramatiques trop souvent dérobées au regard du reste de la population ; de montrer qu’au-delà de la féérie, des centaines d’enfants vivent dans des conditions indignes et dangereuses. 

L’envers du décor doit être dévoilé : ces enfants sont abandonnés par l’État qui a l’obligation légale de protéger les plus démunis, mais qui n’assume pas sa mission de mise à l’abri. 

Nous disons à nouveau que la générosité citoyenne a ses limites et ne peut se substituer plus longtemps au principe de solidarité inscrit dans la loi. 

Les chiffres : 

331 enfants dont 36 bébés, 10 femmes enceintes, 76 mères isolées, 19 personnes avec des problèmes de santé

14 écoles et 1 collège occupés pour mettre à l’abri 71 enfants

556 nuits solidaires 

16 000 euros dépensés en nuitées d’hôtel

1/3 des enfants sans toit de la ville de Lyon hébergés dans 10 écoles

Événements organisés pour la fête des lumières :

Samedi 2 décembre de 11h à 17h stand gâteaux du comité Alix Solidarité au marché d’hiver à la MJC Confluence (Lyon 2e)

Mardi 5 décembre à 16h30 goûter solidaire à l’école Berthelot (Lyon 7e) et à l’école François Auguste Ravier (Lyon 7e)

Vendredi 8 décembre de 10h à 21h marché de Noël solidaire place Ampère à Neuville-sur-Saône

Vendredi 8 décembre à partir de 16h15 goûter / apéro solidaire à l’école Grandclément (Vaulx-en-Velin)

Vendredi 8 décembre à 16h30 goûter solidaire à l’école Philibert Delorme (Lyon 8e) et à l’école Michel Servet (Lyon 1er)

Vendredi 8 décembre à 17h goûter solidaire à la permanence parlementaire de la députée du Rhône Marie-Charlotte Garin (38, rue Rabelais Lyon 3e)

Vendredi 8 décembre à 18h vin chaud et distribution de tracts place Raspail (Lyon 7e)

Mardi 12 décembre à 16h30 goûter solidaire à l’école Gilbert DRU (Lyon 7e)

Mardi 12 décembre à 16h30 goûter solidaire à l’école Berthelot (Lyon 7e)

Jeudi 14 décembre à 16h45 goûter solidaire à l’école Montaigne-Ferry (Lyon 6e)

Vendredi 15 décembre soirée solidaire à partir de 18h30 à la Cordée Jean Macé (19, rue Père Chevrier Lyon 7e) à l’initiative de la députée du Rhône Marie-Charlotte Garin

Contacts presse :

Ecole Gilbert Dru (Lyon 7e) occupée depuis le 17/9 pour héberger 9 enfants (Pascale 06 82 27 22 60)

Ecole Montaigne-Ferry (Lyon 6e) occupée depuis le 25/9 pour héberger 5 enfants (Florence 06 62 09 38 64)

Ecole Antoine Charial (Lyon 3e) occupée depuis le 26/9 pour héberger 7 enfants (Véronique 06 99 40 12 91)

Ecole Mazenod (Lyon 3e) occupée depuis le 2/10 pour héberger 3 enfants dont un bébé de 5 mois (Juliette 06 89 34 50 65)

Ecole Audrey Hepburn (Lyon 9e) occupée depuis le 9/10 pour héberger 3 enfants (Véronique 06 80 56 92 18)

Collège Môrice Leroux (Villeurbanne) occupé depuis le 9/10 pour héberger 5 enfants (Céline 06 66 02 58 95)

Ecole Philibert Delorme (Lyon 8e) occupée à depuis le 17/10 pour héberger 2 enfants (Marion 06 08 60 92 80)

École Paul Painlevé (Lyon 3e) occupée depuis le 6/11 pour héberger 7 enfants (Aurélie 06 81 49 01 50)

Écoles de la Tatière et Lucie Guimet (Neuville-sur-Saône) occupées depuis le 6/11 pour héberger 3 enfants (Sylvie 06 81 21 80 24)

École Ernest Renan (Vénissieux) occupée depuis le 13/11 pour héberger 1 enfant (Bernard 06 83 84 05 02)

École Jean Giono (Lyon 8e) occupée à partir du 13/11 pour héberger 10 enfants (Fabienne 06 88 98 14 34)

École Michel Servet (Lyon 1er) occupée depuis le 22/11 pour héberger 2 enfants (Antoine 06 64 02 76 58)

École Alix (Lyon 2e) occupée depuis le 30/11 pour héberger 11 enfants (Cécile 07 84 11 77 36)

École Ernest Renan (Villeurbanne) occupée depuis le 4/12 pour héberger 3 enfants dont un bébé de 1 mois et un de 1 ans (Anne-Sophie 06 95 99 07 14)

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