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LyonConfluences
de la Ligue des Droits de l’Homme

Mobilisée depuis plus de 120 ans, la #LDH a été particulièrement active dans le contexte liberticide de ces derniers mois. Vous non plus, ne restez pas impuissant face au recul de vos droits et libertés : liguez-vous ! ⤵ Adhérer

Dimanche solidaire le 17 décembre Collectif soutiens/migrants Croix-Rousse

De : Collectif Soutiens/Migrants Croix-Rousse<soutiens.chezgemma@framalistes.org>

La 13e édition des Dimanches solidaires organisés par le Collectif soutiens/migrants Croix-Rousse en soutien aux mineur.e.s étranger.ère.s isolé.e.s de Lyon, aura lieu dimanche prochain, le 17 décembre, de 12h à la tombée de la nuit !

La situation est absolument catastrophique ces derniers temps : plus de 100 jeunes sans hébergement, autant en squat. Nous avons besoin de votre solidarité pour poursuivre nos actions auprès d’elles et eux !

Comme pour la dernière édition, les festivités auront lieu dans la Montée de la Grande Côte, au niveau de la K’fête ô Mômes.

Au programme : de la musique avec un open mic des jeunes et un set de Wq-Productions, de la danse, une buvette, de la soupe au chaudron, du vin chaud, crêpes et gâteaux (n’hésitez pas à en apporter !)… et des échanges autour de la situation des mineur.e.s isolé.e.s étranger.ère.s à Lyon !

Comme d’habitude, l’ensemble des dons et recettes seront reversés au Collectif soutiens/migrants Croix-Rousse et utilisés pour les dépenses quotidiennes des jeunes (alimentation, hygiène, etc.) D’avance merci pour votre solidarité !

Si vous souhaitez nous soutenir mais ne pouvez pas venir faire la fête avec nous dimanche, n’hésitez pas à diffuser cet événement : https://fb.me/e/30SaP8Jsb , et la cagnotte du collectif : https://www.helloasso.com/associations/exile-es-soutiens-lyon/formulaires/1

Collectif soutiens/migrants Croix-Rousse
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RETRAIT DU PROJET DE LOI DARMANIN

MANIFESTATION LUNDI 18 DÉCEMBRE À 18h30 PLACE BELLECOUR

Cette loi est une attaque en règle contre les droits et les libertés des personnes exilées, car, pour le gouvernement, elles sont la source de tous les problèmes. Nous le répétons avec les Collectifs de Sans-Papiers. Ce sont les politiques racistes et anti-migratoires qui nous mettent en danger. Pas l’immigration.

Nous le répétons avec les syndicats. C’est la destruction des acquis sociaux qui crée la précarité et le dumping social. Pas l’immigration. Nous le répétons avec les associations du droit au logement. Ce sont les politiques publiques du logement cher qui alimentent le sans-abrisme et la crise du logement. Pas l’immigration. Nous le répétons avec les professionnels de la santé. C’est l’absence de soins qui favorisera les prochaines épidémies. Pas l’immigration. Nous le répétons avec les associations. Ce sont les attaques contre les libertés, dont la liberté de circuler, qui développent une société en tension. Pas l’immigration. Nous le répétons avec les chercheurs et chercheuses. C’est la misère, l’atomisation et l’absence d’avenir qui créent la délinquance. Pas l’immigration.

LE PROJET DARMANIN : LA FABRIQUE DES SANS PAPIERS

Le gouvernement poursuit sa politique d’immigration jetable : être régularisé·e… le temps d’un contrat de travail… puis de nouveau sans papiers, sans droits ni au chômage, ni au logement, ni à la Sécu. Cette fabrique de sans-papiers va de pair avec la généralisation de la précarité pour tous et toutes : destruction de l’assurance chômage, des droits à la retraite, du droit à l’enseignement pour tous les jeunes. C’est la même politique de répression que le gouvernement utilise contre les mobilisations en défense des droits sociaux du monde du travail.

UN DISCOURS MENSONGER POUR JUSTIFIER UN PROJET DE LOI XÉNOPHOBE ET RÉPRESSIF

  • Ce projet conditionne l’obtention du titre de séjour à l’intégration de la personne dans la société. Mais comment s’intégrer sans titre de séjour ?
  • Ce projet propose des titres de séjours « métiers en tension ». Mais les préfectures ont déjà le pouvoir de régulariser les travailleurs et travailleuses sans papiers.
  • Ce projet propose de supprimer l’Aide Médicale de l’État aux personnes sans papiers qui n’ont déjà pas d’autre moyen de se soigner que d’aller aux services d’urgence des hôpitaux.
  • Ce projet propose de supprimer les droits à l’hébergement. Mais comment s’intégrer quand on dort à la rue ?
  • L’asile, ce n’est pas de l’immigration. Mais comment garantir le droit d’asile si les bureaux de l’OFPRA (qui devient France Asile) sont rattachés aux préfectures ?
  • Ce projet propose de faciliter l’expulsion des étrangers considérés comme indésirables. Mais comment s’intégrer quand toute divergence d’idée avec le pouvoir constitue un délit ?

Pour ce gouvernement, il ne suffit plus de bannir les personnes exilées, il veut mettre leur vie en danger. Le simple fait d’être exilé rend suspect. Et cela justifie la restriction des libertés fondamentales.

UNITÉ POUR LE RETRAIT DU PROJET DE LOI DARMANIN

POUR:

  • une régularisation large,durable et immédiate pour toutes et tous
  • le droit d’accès au travail et au logement pour toutes et tous
  • la liberté de circulation et d’installation pour toutes et tous
  • la fermeture des Centres de Rétention Administrative (CRA)
  • le respect de la présomption de minorité et la mise à l’abri des personnes mineures, isolées ou non.

Collectifdesoutienauxréfugié·esetmigrant·esLyon-69
CSP-69, Alternatiba/ANV 69, ATTAC 69, CGT Vinatier, CGT-Éduc’Action 69, Union Départementale CGT, Union Départementale CNT, Union départementale CNT-SO 69, Collectif Intersquats exilé.es 69, Collectif soutien migrants Croix-Rousse-Collège sans frontières, Collectif des étudiantEs étrangerEs, Collectif 69 Palestine, Cimade, CUM, Émancipation-69, FSU 69, LDH 69, Collectif Africain LGBTI de Lyon 2MSG, RESF-69, Union Syndicale Solidaires 69, Solidaires EtudiantEs, Solidaires Retraités 69, SUD santé sociaux 69, UJFP Lyon, EELV 69, Ensemble!, L’insurgé, Lutte Ouvrière, MJCF 69, Nouveau Parti Anticapitaliste, Parti de Gauche 69, PCF, Union Communiste Libertaire Lyon, MAN,…

Contact : collectifrefugie69@laposte.net https://www.facebook.com/soutienmigrants69/

Les Illuminations ? une saison en enfer pour les 331 enfants sans toit de la métropole de Lyon

Alors que la ville de Lyon s’apprête à accueillir près de 2 millions de touristes pour les illuminations, plusieurs centaines d’élèves condamnés à dormir dehors vivent une saison en enfer. 

À Lyon, les lumières du 8 décembre n’ont pas le parfum de la cire des bougies, ni la chaleur ou le crépitement d’un feu de bois. Elles semblent devenues indifférentes et insensibles. A l’heure où les visiteurs affluent pour célébrer la protection passée d’une sainte, il est important de rappeler l’immense vulnérabilité de nombreux enfants dans notre ville. 

L’hiver dernier, le ministre délégué au logement s’était engagé devant la représentation nationale et les associations à ce qu’« aucun enfant ne dorme à la rue ». Cette promesse n’a pas été tenue et dès la rentrée scolaire, les compteurs ont explosé partout en France. Malgré l’alerte du secteur associatif, des maires de grandes villes et de parlementaires de tous bords, le gouvernement refuse encore de créer 10 000 places d’hébergement pour parer à l’urgence.

Les solutions officielles tardent à venir

À ce jour, le collectif  Jamais Sans Toit recense 331 enfants sans solution d’hébergement officielle (parmi eux 36 ont moins de trois ans), dont 176 dans la seule ville de Lyon. C’est 30 % de plus que l’an dernier à la même date. Certes, les plus « chanceux » d’entre eux peuvent compter une nouvelle fois sur la mobilisation de la communauté éducative (parents d’élèves, enseignants, personnel périscolaire) et les gestes de solidarité des riverains et des commerçants pour leur porter secours. Ainsi, un tiers des enfants sans toit de Lyon trouve refuge chaque nuit dans 10 établissements scolaires. Ils peuvent y dormir au chaud, en toute sécurité, en attendant que les pouvoirs publics leur trouvent une solution d’hébergement comme la loi les y oblige. 

Faire la lumière sur le scandale des enfants à la rue 

A l’occasion de la Fête des Lumières, les comités de soutien fédérés au sein du collectif Jamais Sans Toit ont donc imaginé un itinéraire bis de déambulation à travers la ville ; un circuit avec ces mots inscrits sur des banderoles faites à partir de vieux draps en coton, qui évoquent la chaleur d’un lit, d’un moment de repos. 

Il est urgent de faire la lumière sur ces situations dramatiques trop souvent dérobées au regard du reste de la population ; de montrer qu’au-delà de la féérie, des centaines d’enfants vivent dans des conditions indignes et dangereuses. 

L’envers du décor doit être dévoilé : ces enfants sont abandonnés par l’État qui a l’obligation légale de protéger les plus démunis, mais qui n’assume pas sa mission de mise à l’abri. 

Nous disons à nouveau que la générosité citoyenne a ses limites et ne peut se substituer plus longtemps au principe de solidarité inscrit dans la loi. 

Les chiffres : 

331 enfants dont 36 bébés, 10 femmes enceintes, 76 mères isolées, 19 personnes avec des problèmes de santé

14 écoles et 1 collège occupés pour mettre à l’abri 71 enfants

556 nuits solidaires 

16 000 euros dépensés en nuitées d’hôtel

1/3 des enfants sans toit de la ville de Lyon hébergés dans 10 écoles

Événements organisés pour la fête des lumières :

Samedi 2 décembre de 11h à 17h stand gâteaux du comité Alix Solidarité au marché d’hiver à la MJC Confluence (Lyon 2e)

Mardi 5 décembre à 16h30 goûter solidaire à l’école Berthelot (Lyon 7e) et à l’école François Auguste Ravier (Lyon 7e)

Vendredi 8 décembre de 10h à 21h marché de Noël solidaire place Ampère à Neuville-sur-Saône

Vendredi 8 décembre à partir de 16h15 goûter / apéro solidaire à l’école Grandclément (Vaulx-en-Velin)

Vendredi 8 décembre à 16h30 goûter solidaire à l’école Philibert Delorme (Lyon 8e) et à l’école Michel Servet (Lyon 1er)

Vendredi 8 décembre à 17h goûter solidaire à la permanence parlementaire de la députée du Rhône Marie-Charlotte Garin (38, rue Rabelais Lyon 3e)

Vendredi 8 décembre à 18h vin chaud et distribution de tracts place Raspail (Lyon 7e)

Mardi 12 décembre à 16h30 goûter solidaire à l’école Gilbert DRU (Lyon 7e)

Mardi 12 décembre à 16h30 goûter solidaire à l’école Berthelot (Lyon 7e)

Jeudi 14 décembre à 16h45 goûter solidaire à l’école Montaigne-Ferry (Lyon 6e)

Vendredi 15 décembre soirée solidaire à partir de 18h30 à la Cordée Jean Macé (19, rue Père Chevrier Lyon 7e) à l’initiative de la députée du Rhône Marie-Charlotte Garin

Contacts presse :

Ecole Gilbert Dru (Lyon 7e) occupée depuis le 17/9 pour héberger 9 enfants (Pascale 06 82 27 22 60)

Ecole Montaigne-Ferry (Lyon 6e) occupée depuis le 25/9 pour héberger 5 enfants (Florence 06 62 09 38 64)

Ecole Antoine Charial (Lyon 3e) occupée depuis le 26/9 pour héberger 7 enfants (Véronique 06 99 40 12 91)

Ecole Mazenod (Lyon 3e) occupée depuis le 2/10 pour héberger 3 enfants dont un bébé de 5 mois (Juliette 06 89 34 50 65)

Ecole Audrey Hepburn (Lyon 9e) occupée depuis le 9/10 pour héberger 3 enfants (Véronique 06 80 56 92 18)

Collège Môrice Leroux (Villeurbanne) occupé depuis le 9/10 pour héberger 5 enfants (Céline 06 66 02 58 95)

Ecole Philibert Delorme (Lyon 8e) occupée à depuis le 17/10 pour héberger 2 enfants (Marion 06 08 60 92 80)

École Paul Painlevé (Lyon 3e) occupée depuis le 6/11 pour héberger 7 enfants (Aurélie 06 81 49 01 50)

Écoles de la Tatière et Lucie Guimet (Neuville-sur-Saône) occupées depuis le 6/11 pour héberger 3 enfants (Sylvie 06 81 21 80 24)

École Ernest Renan (Vénissieux) occupée depuis le 13/11 pour héberger 1 enfant (Bernard 06 83 84 05 02)

École Jean Giono (Lyon 8e) occupée à partir du 13/11 pour héberger 10 enfants (Fabienne 06 88 98 14 34)

École Michel Servet (Lyon 1er) occupée depuis le 22/11 pour héberger 2 enfants (Antoine 06 64 02 76 58)

École Alix (Lyon 2e) occupée depuis le 30/11 pour héberger 11 enfants (Cécile 07 84 11 77 36)

École Ernest Renan (Villeurbanne) occupée depuis le 4/12 pour héberger 3 enfants dont un bébé de 1 mois et un de 1 ans (Anne-Sophie 06 95 99 07 14)

Expulsion du gymnase Mugnier

CP collectif soutiens/migrants Croix-Rousse

Lyon, le 02/12/2023

Hier soir, vers 19 h 30, les mineurs en recours vivant sur le campement du square Sainte-Marie-Perrin sont entrés dans le gymnase universitaire voisin (gymnase Mugnier, 38 rue Léon Jouhaux Lyon 3) pour y chercher un abri et des conditions de vie un peu moins inhumaines.

Ils se sont installés dans les gradins pour ne pas déranger la tenue des cours de sport.

Les gardiens ont immédiatement contacté la personne responsable de la sécurité de l’université Lyon 1, propriétaire des lieux, et les forces de l’ordre (FDO) qui sont arrivées sur place environ 30 minutes après les jeunes et ont immédiatement fermé les portes du gymnase pour empêcher les derniers jeunes de rentrer.

Sans même chercher à connaître les revendications ni l’identité des jeunes ni du collectif, une réquisition d’expulsion a été émise par l’Université et validée par la Préfecture dans la foulée.

Les jeunes et leurs soutiens ont fini par évacuer pacifiquement le lieu, vers 21 h, sous le regard de plusieurs dizaines de FDO cagoulées.

Même les FDO ont manifesté leur surprise de recevoir si promptement le feu vert pour l’évacuation des jeunes qui tentaient de se mettre à l’abri du froid.

Une fois dehors, les jeunes exprimant leur déception et leur désespoir en scandant « on veut une maison » et en dansant sur la chaussée, il n’a pas fallu 5 minutes avant qu’une grenade explose au-dessus de leurs têtes et qu’ils disparaissent sous un nuage de gaz lacrymogènes.

La brutalité des forces de police face au dépit de jeunes éprouvés par la rue depuis des mois est sidérante. Et que dire de l’indignité des pouvoirs publics qui préfèrent laisser des mineurs à la rue par des températures négatives (-5 °C la nuit dernière) plutôt que de leur accorder le minimum de protection envisageable ?

Temple du savoir et des humanités, l’Université se serait honorée de secourir ces jeunes. Les organisations des enseignant.e.s et étudiant.e.s ne peuvent qu’être indigné.es.

Préfecture, Ville de Lyon, Métropole, institutions universitaires, religieuses, peuvent et doivent trouver une solution de mise à l’abri.

Il y a urgence humanitaire !

Collectif Soutiens/Migrants Croix-Rousse

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Rencontre-débat avec Pinar Selek

Lundi 4 décembre de 19h30 à 22h00 à la Maison des Passages
Retour sur son procès et présentation de son dernier ouvrage

La Maison des Passages et ses partenaires, le Collectif Lyonnais de Solidarité avec Pinar Selek, l’Observatoire des armements, l’association France-Kurdistan Rhône et les éditions des femmes-Antoinette Fouque invitent Pinar Selek le lundi 4 décembre à 19h30 pour une rencontre-débat.

Le Collectif de lyonnais de solidarité avec Pinar Selek reviendra sur son procès qui a eu lieu le 29 septembre 2023 à Istanbul et Pinar Selek, en discussion avec le journaliste Philippe-Jean Catinchi, présentera son dernier ouvrage Le Chaudron militaire turc, un exemple de production de violence masculine .

Discussions avec le public
Table de vente de livres par La Librairie à Soi·e et séance de dédicaces
Entrée libre

 Pinar Selek
Née en 1971 à Istanbul, Pinar Selek est sociologue, militante féministe et antimilitariste. S’intéressant notemment aux groupes opprimés et aux marginaux, elle a été victime de la répression que subissent les intellectuels en Turquie et emprisonnée en 1998. Elle vit désormais en exil en France où elle a publié plusieurs livres, fictions, contes, essais et articles.

  Le Chaudron militaire turc, un exemple de production de violence masculine paru Éditions des Femmes-Antoinette Fouque, octobre 2023
Quels mécanismes sociaux et politiques transforment un enfant en sujet de violence ? Pour éclairer une des dimensions de ce processus, Pinar Selek sonde le service militaire, obligatoire en Turquie, à travers une enquête de terrain menée en 2007 et dévoile les articulations entre militarisme, nationalisme et patriarcat. Avec ce nouveau livre qui réarticule les éléments de ses recherches précédentes, elle élargit sa réflexion à nos sociétés tout entières, régies par le néolibéralisme et le néoconservatisme dans un contexte mondial de guerres et une montée des régimes autocratiques.
C’est dans un cadre très particulier, celui du système répressif turc, que Pinar Selek a mené son enquête, défiant la censure omniprésente. Exilée en France depuis 2011, elle est victime d’un acharnement judiciaire de la part de l’État turc depuis 25 ans et menacée de mort. Condamnée à la prison à perpétuité et sous le coup d’un mandat d’arrêt international délivré à son encontre par les autorités turques, elle continue de se battre, soutenue par une très grande solidarité internationale. Le dernier procès a eu lieu le 29 septembre 2023 et il est une nouvelle fois reporté le 28 juin 2024.

 Phillipe-Jean Catinchi, agrégé d’histoire, est entré au Monde en 1994 où il écrit sur l’histoire, la musique, les livres de jeunesse et la littérature.
Philippe-Jean Catinchi est admirateur de Vladimir Nabokov et d’Italo Calvino et spécialiste de Marguerite Yourcenar. Il est l’auteur de livres pour la jeunesse et d’un essai sur les polyphonies corses, il est aussi journaliste au « Monde des livres ».
Il a notamment écrit le documentaire « Lumière ! », un parcours historique et artistique autour du terme de la lumière.

Justice pour Pinar Selek !

La Maison des Passages
44 rue Saint-Georges
69005 Lyon
Métro D / Vieux Lyon

Réclamons le retour des enfants ukrainiens déportés en Russie

Le 20 novembre est la Journée mondiale des droits de l’enfance, célébrée chaque année à la date qui fut celle de l’adoption par l’ONU, en 1989, de la Convention internationale des droits de l’enfant, dont le régime russe transgresse quotidiennement les dispositions. Cette date est pour nous l’occasion d’alerter encore une fois sur le sort des dizaines de milliers d’enfants ukrainiens kidnappés par les troupes d’occupation russes, depuis 2014 et plus encore depuis l’invasion à grande échelle de février 2022.

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