Camp de Saint-Denis : des associations dénoncent des violences policières lors du démantèlement

Des gaz lacrymogènes tirés sur des migrants, le 17 novembre 2020, à Paris. Crédit : @dorine_goth

Quelques heures après la fin de l’évacuation des migrants du camp de Saint-Denis, entre « 500 et 1 000 » personnes, selon des associations, restaient toujours à proximité du camp en attendant d’être mises à l’abri. Les forces de police ont tiré des gaz lacrymogènes pour disperser la foule.

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