Violences policières
Dans l’actualité
Dans les villes judéo-arabes d’Israël, « la prochaine explosion n’est qu’une question de temps ».
Égypte : “Libérez Alaa Abdel Fattah ou il mourra”.
Brésil: un suspect dit avoir enterré les corps des deux disparus.
Ukraine : Les mines russes mettent en danger la vie des civils.
L’informatique et le numérique, encore des « domaines d’hommes » ?
Maurice : accusations de tortures policières sur l’île, les vidéos et témoignages se multiplient

Depuis deux semaines, l’opinion publique est en émoi à Maurice. Des policiers de l’île sont accusés d’actes de torture et de violence, vidéos à l’appui. Les témoignages se multiplient. Récit.
Lire ICI
Brésil : tortures, exécutions, balles perdues… La population sous le choc après une nouvelle série de graves violences policières
/2022/05/27/php0awJrW.jpg?w=680&ssl=1)
Un raid policier a fait plus de 20 morts dans une favela de Rio de Janeiro. Les Brésiliens ont par ailleurs été choqués par la mort d’un homme, asphyxié après avoir été placé dans le coffre d’une voiture de police.
Lire ICI
Gazé, fouillé à nu, menacé : le calvaire d’un éducateur de rue
Le 14 février, Diafara, un éducateur de rue, vit un calvaire près de Chartres. Il passe 22 heures en garde à vue sans raison, accusé à tort, fouillé à nu avant d’être relâché sans poursuite. L’événement a choqué et mobilisé le quartier.
Lire ICI
Les flics racistes de Nancy en procès

Après cinq ans d’instruction, trois jours d’audience hallucinants (selon notre correspondant) où les langues se sont enfin déliées sur les violences, le néonazisme, le racisme décomplexé, l’alcool en service, la complaisance syndicale et une hiérarchie en partie complice des pratiques de la brigade anti criminalité de la ville. Séisme au commissariat.
Lire ICI
Afrique : violences policières
Au Soudan, deux manifestants tués dans des défilés contre le pouvoir militaire

La 81e victime a été tuée lundi 14 février à Khartoum d’une « balle réelle dans la poitrine » tirée par « les forces de sécurité soudanaises ».
Lire ICI
SÉNÉGAL : DES MANIFESTANTS TUÉS PAR LA POLICE

Il y a un an, le Sénégal traversait la pire crise de son histoire récente. Suite à l’arrestation de l’opposant politique Ousmane Sonko, la jeunesse sénégalaise est descendue dans la rue : jour après jour, les manifestations ont gagné plusieurs villes du pays. Les autorités les ont réprimées dans la violence : usage excessif de la force, tirs de grenades lacrymogènes, tirs à balles réelles. 14 personnes ont été tuées. Un an après, ces crimes restent impunis. Les familles des victimes attendent justice et vous pouvez agir !
Lire ICI
Le policier lanceur d’alerte Benmohamed sanctionné pour avoir témoigné à l’Assemblée
HARCÈLEMENT ADMINISTRATIF

Le policier Benmohamed, qui avait révélé des centaines de cas de maltraitance et de racisme, a été sanctionné une seconde fois. On lui reproche d’avoir témoigné à l’Assemblée. Dans la foulée, sa hiérarchie ouvre une troisième procédure contre lui.
Lire ICI
À Grande-Synthe, un camp d’au moins 150 exilés « ratissé » à coups de tractopelles

Au moins 150 personnes, dont des familles avec enfants, ont été expulsées jeudi de leur lieu de vie informel situé à Grande-Synthe. D’après les associations, les autorités n’avaient ce matin-là qu’un objectif : « la destruction totale du lieu de vie », à grands renforts de bennes et de pelleteuses. Des expulsions « violentes » qui poussent les exilés à fuir par la mer, au péril de leur vie.
Lire ICI
Kazakhstan : Annuler l’ordre de « tirer sans sommation »

Les forces nationales et étrangères doivent respecter les droits des citoyens, et il faut enquêter sur les meurtres de manifestants.
(New York, le 7 janvier 2021) – Le gouvernement du Kazakhstan devrait immédiatement annuler l’ordre donné aux forces de sécurité de tirer pour tuer sans sommation, a déclaré Human Rights Watch aujourd’hui. Tout ordre de ce type viole les obligations juridiques internationales du Kazakhstan de respecter et de protéger le droit à la vie.
Lire ICI
« Pour une réforme de l’IGPN »

Dans le prolongement du sujet sur l’IGPN, Blast vous propose l’entretien de Sarah Massoud en intégralité. La présidente du Syndicat de la Magistrature fait le constat que la problématique du contrôle de la police est avant tout une question de structure et de culture. De là, la magistrate propose des pistes pour imaginer une refonte de l’IGPN pour prévenir les dérives de la police, tout en soulignant qu’elles sont bien souvent la conséquence de choix politiques.
Voir ICI
« Je voudrais juste un os »: au Mexique, la quête éperdue de 94.000 disparus
« Je voudrais juste un os. » Désespérée, une mère supplie un soldat pour qu’il lui laisse une chance de retrouver les restes de son fils, un parmi les quelque 94.000 disparus qui hantent le Mexique.
La mère-courage, qui a perdu la trace de son enfant il y a un an, négocie avec les forces de sécurité l’accès à un ancien champ de maïs dans l’Etat de Tamaulipas (nord-ouest), où une demi-tonne de restes humains ont été retrouvés depuis 2017.
Lire ICI
La Défenseure des droits s’interroge sur la vision « confrontationnelle » du maintien de l’ordre en France
/2021/11/29/phpz10MLM.jpg?w=680&ssl=1)
Dans une étude, elle souligne combien la question du maintien de l’ordre est devenue épineuse depuis 2016 et les manifestations contre la loi travail, et surtout depuis le mouvement des « gilets jaunes ».
Lire ICI
Mort de Rémi Fraisse : le tribunal administratif de Toulouse condamne l’État à indemniser la famille
/2021/11/25/php6kgU4g.jpg?w=680&ssl=1)
Le tribunal administratif de Toulouse a reconnu « une responsabilité sans faute » de l’État.
L’Etat a été condamné, jeudi 25 novembre, à indemniser la famille de Rémi Fraisse, manifestant tué lors d’une charge de gendarmes mobiles, sur le site du projet de barrage de Sivens, dans le Tarn en 2014, a annoncé le tribunal administratif de Toulouse. Le tribunal « reconnaît la responsabilité sans faute de l’Etat pour le décès de Rémi Fraisse dans les suites de l’intervention des forces de l’ordre (…) et indemnise les ayants droit de la victime de leur préjudice moral à hauteur d’un montant total de 46 400 euros ».
Lire ICI
Violences policières à Noisy-le Grand : une vidéo accablante
Main arrachée lors de la free party à Redon : des témoins racontent

Le jeune homme qui a perdu sa main le 19 juin à Redon lors d’une free party a déposé plainte pour violences volontaires et non-assistance à personne en danger. D’après plusieurs témoins, les secours n’ont pas pu accéder au site. Ils racontent ce qu’il s’est passé…
Voir ICI
Tabassage, humiliations, brûlures : à Calais, une inquiétante hausse des violences policières sur les migrants

Utopia 56 a recueilli au cours de la semaine du 14 au 20 juin, plusieurs témoignages de migrants ayant été victimes de graves violences de la part des forces de l’ordre. L’association s’inquiète d’une forte hausse des violences policières depuis les affrontements du début du mois entre la communauté érythréenne et les forces de l’ordre.
Lire ICI
Le Conseil d’État juge illégal le recours à la « technique des nasses » par les forces de l’ordre lors des manifestations
Dans une décision parue jeudi, le Conseil d’Etat annule quatre points du schéma national de maintien de l’ordre, publié le 16 septembre 2020 par le ministère de l’intérieur.
Lire ICI
Violences sur migrant : en appel, la peine d’un policier français passe de deux ans à deux mois de prison avec sursis

La cour d’appel de Grenoble (sud-est de la France) a réduit de deux ans à deux mois la peine de prison avec sursis prononcée à l’encontre d’un policier français. Ce dernier était jugé pour des violences commises sur un migrant malien dans les Hautes-Alpes, en 2018.