Une maison pour la liberté de la presse

La Maison des journalistes, vous connaissez ?

La Maison des journalistes est d’abord un lieu où les journalistes contraints de fuir leur pays peuvent trouver un toit, une chambre et une ambiance de travail. Aucun des journalistes hébergés n’a souhaité quitter son pays. Le réfugié a été contraint de tout laisser derrière lui. Il craint pour les siens.

A la Maison des journalistes, il trouve des femmes et des hommes qui, comme lui, un jour n’ont pas eu le choix et se retrouvent en exil, des journalistes qui comme lui se demandent comment ils peuvent rester utiles à leur pays, des réfugiés qui comme lui ignorent de quoi demain sera fait : quel logement, quel travail trouver ? Comme faire venir les siens ? Comment continuer à pratiquer la profession pour laquelle on a tout sacrifié ? Cette vie commune de quelques mois entre confrères venus des cinq continents est une passerelle vers une nouvelle vie.

La Maison des journalistes héberge trente journalistes par an. Grâce au financement des média, du Fonds européen pour les réfugiés, et de la Ville de Paris, elle met à leur disposition une chambre, un bon d’achat alimentaire et la possibilité de pratiquer leur métier à travers le journal en ligne de la MDJ, l’Oeil de l’exilé.

Vous voulez en savoir plus ? La Ligue des droits de l’Homme du 15e propose une rencontre avec certains d’entre eux et avec les responsables de cette association.

Quand ? Jeudi 16 Mai à 20h

Où ? à la Maison des Associations (MDA), 22 rue de la Saïda 75015 PARIS, (Métro : Porte de Versailles Tramway : ligne 3 : G. Brassens Bus : ligne 89 : G. Brassens)

Les médias : valets ou contre-pouvoirs ?

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« Tout individu  a droit à la liberté  d’opinion et d’expression, ce qui implique (…) le droit de rechercher, de recevoir  et de répandre (…) les informations et les idées ». Article 18 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme

Les médias, leur fonctionnement, les contradictions qui les traversent, les rapports de connivence qu’ils entretiennent avec le pouvoir, leur concentration en grands groupes financiers  nous permettent-ils de jouir de ce droit?   Le citoyen ne doit-il pas re-visiter en permanence l’analyse de leur fonctionnement?

Si la presse est un 4e pouvoir, est-elle bien séparée des trois autres?

  • Quelle place et quel rôle tiennent les nouveaux instruments de communication ( blogs, sites indépendants, réseaux sociaux , tweets …) ?
  • Faut-il se satisfaire de l’affaiblissement collectif des rédactions face aux pouvoirs économique et politique ?

Venez en débattre avec nous au débat animé par Guy Pineau et Nils Solari, d’Acrimed (Association critique des médias).

Quand ? Jeudi 4 octobre, à 20h

Où ? A la Maison des Associations , 22 rue de la Saïda , 15e

Les médias, leur fonctionnement, les contradictions qui les traversent,

Les médias, leur fonctionnement, les contradictions qui les traversent,
Lieu: Maison des Associations, 22 rue de la Saïda, Paris 15e

Débat animé par Guy Pineau et Nils Solari, d’Acrimed, organisé par la section Paris 15

Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique ………….le droit de rechercher, de recevoir et de répandre ….. les informations et les idées. (Article 18 de la Déclaration universelle des droits de l’Homme)

Les médias, leur fonctionnement, les contradictions qui les traversent, les rapports de connivence qu’ils entretiennent avec le pouvoir, leur concentration en grands groupes financiers nous permettent-ils de jouir de ce droit? Le citoyen ne doit-il pas re visiter en permanence l’analyse de leur fonctionnement?

Si la presse est un 4e pouvoir, est-elle bien séparée des trois autres?

Quelle place et quel rôle tiennent les nouveaux instruments de communication (blogs, sites indépendants, réseaux sociaux, tweets …) ?

Faut-il se satisfaire de l’affaiblissement collectif des rédactions face aux pouvoirs économique et politique ?

Comment s’approprier démocratiquement les médias?

C’est à ce débat animé par Guy Pineau et Nils Solari, d’Acrimed (Association critique des médias) que nous vous invitons :
Jeudi 4 octobre, à 20h