Le numéro un mondial de l’agroalimentaire admet réaliser plus de 60% de son chiffre d’affaires avec des produits ayant une mauvaise note nutritionnelle. Le chiffre provient d’un document interne consulté par le Financial Times.
Le numéro un mondial de l’agroalimentaire admet réaliser plus de 60% de son chiffre d’affaires avec des produits ayant une mauvaise note nutritionnelle. Le chiffre provient d’un document interne consulté par le Financial Times.