En Tunisie, « la joie d’un peuple qui n’en pouvait plus de suffoquer »


Des Tunisiens expriment leur joie devant le Parlement, le 26 juillet 2021 à Tunis, après que le président Kaïs Saïed a limogé le premier ministre et suspendu l’Assemblée. YASSINE MAHJOUB / AFP


Pour l’écrivaine Emna Belhaj Yahia, l’accueil réservé au coup de force du président Kaïs Saïed témoigne d’un « profond ras-le-bol à l’égard de l’islam politique qui a gouverné pendant dix ans ».


Lire ICI