
Le 19 juin dernier, le Conseil constitutionnel a censuré les dispositions les plus emblématiques de la loi Attal visant à « renforcer l’autorité de la justice à l’égard des mineurs délinquants et de leurs parents ». Est-ce à dire que le droit pénal des mineurs serait devenu intouchable ? La magistrate Valérie-Odile Dervieux analyse pour nous cinq dispositions censurées et propose d’en tirer des guide lines pour les futurs travaux du législateur sur ce sujet.
Justice pénale des mineurs : la décision du 19 juin 2025, une porte de sortie pour le législateur ?
Le Conseil constitutionnel a rendu sa décision concernant la proposition de loi dite « loi Attal », visant à renforcer l’autorité de la justice à l’égard des mineurs délinquants et de leurs parents, en censurant six de ses articles. Décryptage.
Nous annoncions dans ces colonnes l’adoption, le 19 mai, par le Parlement français , après un ultime vote du Sénat, d’une proposition de loi de Gabriel Attal pour durcir la justice des mineurs et responsabiliser les parents de mineurs délinquants. VOIR ICI.
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